Florence de Femme Mariée à Callgirl 03

BÊTA PUBLIQUE

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Ses habits rangés, ce n'est que de profil et très brièvement que j'entrevoyais son sexe épais qui, à demi bandé arrivait déjà à mi-cuisse. Il me contournai et je sentais sa présence derrière moi.

J'imaginais aisément, que ma pose lui offrait à ce colosse, une vue panoramique et excitante de ma chatte et de mon cul dont le petit petit anus fraichement ouvert était une invitation à la jouissance.

Tao avait ouvert la grande baie vitrée et l'air frais caressait mon corps lui procurant une chair de poule. Je frissonnait de la tête au pied lorsque la voix d'Igor résonnait avec écho.

- Max je vous prie, posez vos couilles sur le haut des fesses de notre ami. Allongez confortablement votre magnifique sexe le long de sa colonne vertébrale. Afin de permettre à Florence de mesurer à l'avance l'objet qui va lui pénétrer son si petit cul.

Je sentais alors deux énormes boules chaudes se positionner de part et d'autres de ma raie culière à la naissance de mes reins. Max déposait alors son sexe dans la cambrure de mes reins.

Mes lèvres s'arrondissaient, ma bouche dessinait un O lorsque je découvrais que le gland de cet énorme sexe me chatouillait à mi-dos.

Je me rendais compte à la pression de ce bâton de chair, que ce que j'avais vécu depuis le début de la nuit n'était rien.

Les visages d'Igor et de Tao étaient tétanisés. Ils avaient une vue plongeante sur le sexe de Max dont le gland à présent reculait vers ma raie culière.

Il suintait son doux liquide transparent et chaud sur mes reins.

À présent les deux mains puissantes de Max écartaient mes fesses au maximum afin d'y insérer son sexe.

Malgré ça, elles ne s'écartaient pas suffisamment pour que la pointe humide de son gland entre en contact avec le centre de mon œillet qui pourtant bâillait encore des précédentes pénétrations.

La respiration de Max remplissait le silence de la pièce.

Le pouce et l'index de sa main gauche écartaient puissamment mon anneau. Je sentais à présent la pointe du gland presser l'ouverture de mon œillet. Maintenant cette queue à elle seule suffisait à tenir mes fesses largement ouvertes.

Max posait ses larges mains à plat sur mes reins et sur mon dos me contraignait à poser ma tête au sol.

Mes seins étaient écrasés sur l'épaisse moquette et je sentais mon cul relevé très haut.

Les pieds de Tao et d'Igor se posaient sur ma nuque, sur mes épaules, devant mon visage. Tao poussait ma tête vers le pied d'Igor qui sans gêne tentait d'introduire son gros orteil dans ma bouche.

Je sentais à ce moment une pression énorme sur mon anus.

J'avais beau pousser encore et encore, je n'arrivais pas à avaler l'énorme sexe qui tentait de forcer ma petite porte entrouverte.

Max dans un grognement donnait un coup de rein rageur.

Je poussais un véritable hurlement que l'espace piscine me renvoyait comme un boomerang.

Tao et Igor riaient et applaudissaient à la vue de ce pieu qui s'enfonçait inexorablement dans mon fondement.

Tao s'exclamait

- Ma petite Florence j'ai bien l'impression que Max vous casse le cul.

Max à ce que je vois seul un tiers de votre joli sexe s'est introduit dans ce petit cul de vierge. Allez mon vieux un effort enculez-là à fond

- Non je vous en supplie non arrêtez!

- Florence vous préférez casser le contrat de Marc pas de problème vous confirmez

- Allez vous faire foutre. Pas question.

Vous avez compris Max, elle préfère se faire casser le cul. Alors vite, faites-nous jouir cette pucelle par l'anus.

Je serrais les dents, ma respiration était intense et courte.

Mon corps s'agitait tentant d'échapper à cette sodomie hors norme.

Abandonnant dans un mouvement de désespoir ma position à quatre pattes, je pensais éjecter le sexe du métis en plongeant à plat ventre sur la moquette.

Peine perdue Max suivait le mouvement, et dans un bruit sourd ses deux genoux frappaient le sol de part et d'autre de mes hanches.

Je sentais sa poitrine se coucher sur mon dos. Le souffle chaud de sa bouche à mon oreille s'accompagnait alors de chuchotement.

«Je n'ai jamais joui d'un cul aussi serré. » « Calme-toi, respire à fond et caresse ta chatte » « Voilà Florence, c'est bien on va y aller maintenant »

J'avais à peine eu le temps de me calmer qu'une nouvelle poussée intense et rectiligne agrandissait mon anus pour s'enfoncer dans mon rectum.

Enfin je sentais comme une première délivrance les couilles de mon baiseur claquaient sur mes fesses.

Max ne bougeait plus, son sexe était calé au fond de mon cul. La pression qu'il exerçait sur mon vagin faisait jaillir mon clito et je ruisselais comme une fontaine.

Et à nouveau sa voix grave me chuchotait

« Ton petit cul est chaud comme la braise. Mais il serre comme un étau.

Maintenant je vais vraiment t'enculer afin que tu jouisses comme jamais »

D'un ample mouvement de rein, il déculait lentement pour mieux réinvestir la place. À chaque coup de reins, mon anus s'ouvrait et s'assouplissait, il électrisait tout mon corps qui tremblait.

Je sentais clairement sous l'effet de ses poussées les lèvres de mon sexe s'ouvrir et se refermer à chaque aller-retour.

Au bout d'une vingtaine de va-et-vient, Max déculait au son d'un petit « plop » qui laissait mon anus totalement dilaté.

J'avais à peine le temps de l'entendre me dire

« C'est bien petite tu t'ouvres bien »

qu'il replongeait son gland qui ruisselait au plus profond de moi facilitant de plus en plus la tâche de mon enculeur.

Il me tirait comme une poupée afin de me remettre à quatre pattes afin de me pénétrer encore plus profondément. Il était maintenant déchainé et me claquait les fesses et criait

« Allez bouges-moi ce cul, empale-toi sur ma queue »

J'étais maintenant comme anesthésiée, mécaniquement je poussais sur mes bras et projetais mes fesses en arrière afin de me sodomiser sur cette énorme queue.

Mon anus comme ma chatte ruisselait et j'étais agitée de convulsions.

J'avais en face de moi la vision incroyable d'Igor et de Tao qui se masturbaient frénétiquement devant mon visage.

Je les voyais dans l'instant éjaculer et projeter à trois ou quatre reprises leurs spermes qui venaient tapisser mon visage.

Au moment où ils s'effondraient définitivement épuisés sur le lit, j'entrevoyais le lever du jour.

Dans un cri guttural Max à son tour tapissait mon cul de plusieurs éjaculations.

Dans un dernier « poc » il sortait de mon anus qui se libérait lentement du trop plein de liqueur.

Je me levais, Max avait disparu.

Je me dirigeais lentement vers la piscine, laissant derrière moi cet immense lit, ou ces deux hommes qui se croyaient si puissants venaient de s'assoupir.

Je plongeais dans l'eau bleue et chaude.

Au rythme de mes brasses, je pensais au chemin de cette petite femme de province que j'étais et qui disparaissait à présent dans la brume matinale du petit jour.

Mon esprit vagabondait. Il était habité tour à tour par la colère contre Michel mon mari et par ma nouvelle vie, qui éveillait mon corps et me dévoilait une addiction naissante aux plaisirs sexuelles.

Le jour était à présent levé, Igor et Tao avaient disparus.

Je sortais de la piscine, en haut des marches Marc était là. Il me couvrait d'une épaisse sortie-de-bain.

Je regagnais ma chambre et me blottissais sous les draps chaud.

Marc venait de refermer la porte.

L'avenir me réservait bien d'autres surprises.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Il me tarde de découvrir cet avenir plein de débauche…

Merci pour ce récit très excitant, je suis impatient de lire la suite…

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