Florence de Femme Mariée à Callgirl 03

BÊTA PUBLIQUE

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En quelques minutes, mes mains posées sur leurs couilles sentaient des contractions qui m'avertissaient que leurs jouissances étaient proches.

Deux cris étouffés venaient couvrir les violons de Vivaldi. Je sentais alors sur ma langue l'éjaculation libératrice. J'avalais à plusieurs reprise le sperme de ces deux hommes qui à présent me dominaient.

Ma bouche libérée, j'étais totalement essoufflée mais consciente de n'avoir passée qu'une première épreuve.

Je pensais alors être tranquille pour un moment.

C'était sans compter sur les accessoires et le secours des petites pilules qu'Igor et Tao venaient de prendre avec une rasade de Vodka.

DEUXIÈME LEÇON CANARD ET BILBOQUET LA DÉCOUVERTE

Mes deux hommes étaient assis sur le lit.

- Igor regarde, Florence tu exagères, tu as bavé sur ta magnifique robe de soirée.

- Tu as raison mon Tao, je crois bien que sa robe a également goûté à notre sperme.

- Allez Florence tu nous enlèves ça tout vite.

Je m'exécutais, j'étais à présent couverte de mes escarpins, mes bas, mon porte-jarretelles et ma culotte. A moité avachi sur le lit ils me demandaient de tourner sur moi-même. Lorsque je leur tournais le dos il me disaient Stop.

- Tu vois Tao, c'est le genre de cul que j'adore. Au bas d'une chute de reins vertigineuse, ces fesses remontent vers le haut avec arrogance.

- Tu as raison Igor et la raie est bien serrée, elle cache bien au chaud un petit anneau qui ne demande à être choyé. Mais au fait, tu lui as glissé un doigt tout à l'heure.

- Oui, et crois-moi c'était plus que serré.

- Florence, répond et ne ment pas, car ça fait partie du contrat. C'est vrai que tu es vierge de ce côté-là.

- Oui monsieur

- Non! Personne ne t'a jamais sodomisée! Un petit doigt peut être avant celui d'Igor.

- Celui de Marc monsieur.

Ils rigolaient en marmonnant que Marc n'allait jamais au fond des choses. À ce moment Igor fouillant dans la poche de sa veste en sortait un cran d'arrêt.

- Viens ici Florence, approches

- Que faites-vous avec ce couteau monsieur, je vous en prie, ne me faites pas de mal.

Il se levait et se précipitait sur moi, en un éclair la lame du couteau se glissait sous l'élastique de ma culotte le tranchant net. Il repartait avec son trophée rejoindre son ami.

J'avais vraiment eu peur.

Il ne me restait à présent que mes bas mon porte-jarretelles et mes escarpins rouges.

Ils me demandaient d'approcher du lit et de m'étendre sur le dos entre eux.

Leurs mains me caressaient les seins, le ventre, les cuisses. Leurs doigts agaçaient les lèvres humides de ma chatte. Ils me prodiguait maintenant des baisers profonds et me susurraient à l'oreille des mots de plus en plus crus.

Tu aimes nos caresses petite pute, dès que je tentais de répondre je recevais un

« chut tais-toi ». « Réserves ta bouche pour sucer ou crier. »

« Tu te souviens de ta leçon sur les porte-jarretelles. »

« C'est à notre tour de te donner une bonne leçon. »

Inutile de faire la fière, à ce moment là, j'avais vraiment peur.

Tao attrapait le petit sac de cuir rouge dont le contenu m'avait passablement ridiculisé en début de soirée.

Pendant que les doigts agiles d'Igor, me faisaient abondamment mouiller en me masturbant le clito et le vagin, Tao me souriait en agitant le petit canard jaune au bec noir.

Tous deux riaient en me disant maintenant nous allons jouer.

La main d'Igor à peine sortie de mon vagin, Tao y introduisait la grosse tête du canard. Le temps d'entendre un petit bruit de moteur électrique et mes reins décollaient du lit.

J'étais prise de convulsions mes jambes se soulevaient, je griffais le cuir du lit.

Mes cris couvraient la musique classique. Jamais je n'avais ressenti cela.

Igor aussi rapidement retirait le canard pour me le faire sucer.

À nouveau, il l'enfonçait plus profondément dans mon vagin qui coulait comme une fontaine. Le flot de cyprine ruisselait jusque sur mon anus.

Il stoppait le canard et le jetait par terre. Ils me précisaient que ce n'étais pas un jouet mais un vibro-masseur.

C'était maintenant au tour du « bilboquet » de sortir du sac. C'est Igor qui tenait la longue ficelle ou le chapelet des cinq boules d'acier s'entrechoquaient.

A ce moment j'étais vraiment stressé par ma naïveté.

Tao recommençait à bander, il me demandait d'allonger mes bras au dessus de ma tête. Il s'agenouillait alors sur eux à la hauteur de mes aisselles. J'étais totalement immobilisée. Son sexe reposait sur mon front.

Igor faisais cliquer les billes d'acier au dessus de mes yeux. Il déposait le chapelet sur ma bouche le tirait lentement vers le bas. Le froid des billes d'acier passait entre mes seins. La petite chenille descendait vers mon ventre pour atteindre mon sexe.

- Alors Florence, toujours convaincu que c'est un bilboquet

- Je vous en prie, qu'allez-vous me faire

- Que du bien ma petite oie blanche. Maintenant Florence écarte largement tes jambes. Et ne bouge pas.

Igor de sa main gauche écarte les lèvres de ma chatte. Sa main droite glisse la plus petite boule à l'entrée de mon vagin. Une très légère poussée et dans un petit ploc, elle s'installe à l'intérieur. Il accélère la pénétration des autres, deux trois et quatre sont dans ma partie la plus intime.

Tao me caresse les seins, il tire mes tétons vers le haut. A chaque fois que je cri, il relâche. Mais aussitôt il recommence et ça l'excite le bougre. Il s'est avancé, se sont maintenant ses couilles qui ont envahis mon front. Son sexe s'est allongé il repose à présent sur mon nez.

Je pousse un cri, Igor vient de faire pénétrer la dernière boule, la plus grosse dans mon vagin. Seul la ficelle taquine mon clito.

Alors Igor se recule, attrape mes chevilles, et referme le compas de mes jambes.

Tao se recule également et attrape mes poignets.

Les deux hommes dans un seul et même mouvement me retournent pour m'installer sur le ventre.

Tao glisse alors un énorme coussin sous mon ventre et disparaît de ma vue. J'ai alors devant moi l'immense baie vitrée et la piscine. Le coussin m'a cambré les reins et au moindre mouvement de mon postérieur, je sent les billes dans mon vagin s'entrechoquer violemment.

- Florence, vois-tu, ce n'était pas un bilboquet, mais des boules de geisha. À chacun de tes mouvements elles vont accroitre ton plaisir tu verras.

- Prête à découvrir le nouvel objet.

- S'il vous plait.

LES MENOTTES OU LA DÉCOUVERTE D'UN NOUVEAU PLAISIR

Je voyais alors deux paires de menottes sortir du petit sac de cuir rouge. Ma respiration s'accélérait et je ressentais un stress important. Je ne devais pas me laisser envahir par la peur. Qu'allaient ils faire me faire à l'aide de ces menottes.

- Vraiment prête où tu préfères renoncer Florence.

- Cela vous ferait plaisir de me voir abandonner et de pouvoir humilier Marc.

- Cela ne nous déplairait pas pour tout dire

- Je ne vous donnerais pas ce plaisir

- Mais ma chère tu vas nous en donner bien d'autres. Maintenant Florence met immédiatement tes deux mains derrière ton dos. Et ne bouges plus.

Je m'exécutais, mes deux poignets reposaient sur mes reins, le dos de mes mains sur le rebond de mes fesses. J'entendais alors le cliquetis des paires de menottes.

Tao menottait mes poignets sur mes reins et Igor en faisait de même avec mes chevilles.

Dans cette position, le coussin sous mon ventre avait pour effet d'étirer mon vagin stimulant les boules de geisha, il me faisait cambrer les reins au maximum.

Mes fesses, dans cette posture s'écartaient et dégageait ma raie culière. J'exposais ainsi à la vue des deux hommes une vision de mon petit œillet brun.

Tao interpellait Igor

- Tu vois Igor, dans cette position, Florence va pouvoir jouir de la vue du le ciel étoilé se reflétant dans la piscine.

- Tu as raison Tao et franchement, n'est-ce pas un vrai bonheur. Pouvoir de se faire enculer pour la première fois en admirant un paysage de rêve.

- Non vous n'allez pas faire ça je vous en prie.

- Comment ça Florence, tu ne veux pas admirer le paysage ou c'est le refus de te faire pénétrer le cul pour la première fois. Il faut que tu sois claire ma petite, car je peux t'affirmer que le contrat de Marc lui est limpide. Alors.

- Non mais vous n'êtes pas obligé de me faire ça franchement.

Sans un mot, Igor se mettait face à moi, et muni du petit sac de cuir rouge en extrayait le martinet.

- Tu sais ce que c'est ça.

- Oui je sais c'est un martinet.

- Bien. Hier, dans l'avion, tu nous as expliqué l'origine du porte-jarretelles. Alors laisse-moi te conter aujourd'hui celle de cet objet.

C'est un colonel de l'armée du roi Louis XIV, du nom de Martinet, qui est à l'origine de cette invention. Indigné des cruautés dont il fut souvent témoin, il eut l'idée de remplacer le fouet par de petites lanières fixées sur un manche. Cet instrument a donc pris le nom de son inventeur qu'il porte encore de nos jours. C'est bien ça Tao.

- Tu as parfaitement raison Igor, et ce fameux martinet a longtemps été utilisé par les parents ou les éducateurs notamment en Angleterre pour rappeler aux élèves les conventions qu'il convient de respecter. Un peu comme toi aujourd'hui. Tu sembles ne pas avoir bien saisi les règles imposées par le contrat que nous avons signé avec Marc. Aussi Igor, il me paraît indispensable de mettre les points sur les i et quelques coups de martinets sur cet adorable petit cul.

- Attends Tao, Florence peut à tout moment dire stop. Elle va nous dire stop ou excusez-moi messieurs pour poursuivre son engagement. Alors ça vient cette réponse!

Le temps que de prononcer les mots « excusez-moi... » Le premier coup de martinet s'abattait sur ma fesse droite. Mon premier cri était immédiatement étouffé par le second coup sur ma fesse gauche.

Tao Intervenait

- Stop Igor, ces cris sont insupportables. Je pense qu'il est temps de sortir le nez de clown de Florence.

- Tu as raison Tao

Tao tout sourire, agenouillé devant moi, agitait l'objet que j'avais pris pour un nez de clown.

- Ma petite Florence ce n'est pas un nez de clown, c'est un bâillon. Alors je vais te permettre de le tester. Comme tu ne pourras plus te faire entendre, si tu veux tout arrêter, il te suffira de plier tes jambes vers le haut. Tout s'arrêtera, car tu as le pouvoir d'annuler ce contrat. Tu as compris.

- Je vous le répète, je ne vous donnerais pas ce plaisir. Mais ce bâillon vous privera des plaisirs de ma gorge.

- Igor, elle a un sacré caractère cette petite et de l'arrogance à revendre.

- Tao ne perd pas de temps le petit jour va dans quelques heures pointer son nez et nous cesserons de profiter de notre chère petite soumise.

La boule rouge était immédiatement introduite dans ma bouche la petite ceinture de cuir bouclée dans mes cheveux.

À présent, les coups de martinet se succédaient. J'avais une étrange impression. J'étais partagée entre la douleur et la chaleur des coups sur mes fesses et les mouvements des boules de geisha qui me procurait maintenant un certain plaisir.

Au sixième coup, je voyais le martinet jeter sur le lit loin devant moi. Tao m'enlevait le bâillon. Mes yeux brillaient mais je ne lui offrais pas le plaisir d'une seule larme.

LA DÉCOUVERTE D'UNE NOUVELLE JOUISSANCE

Il me chuchota à l'oreille que le moment était venu de leur offrir mon pucelage anal.

Il glissait alors ses cuisses sous mon ventre, remplaçant ainsi le coussin.

Il me caressait tendrement le postérieur.

Tao ouvrait un petit flacon, un liquide doux et tiède coulait abondamment sur mes fesses. Il écartait alors mes généreux globes fessiers pour permettre de dégager mon anus.

Je sentais à présent Igor poser le gland de son pénis sur mon oeillet jusqu'à présent inviolé.

Tao appuyait avec force sur mes fesses. Ils les écartaient au maximum, afin de dégager ma raie culière pour satisfaire son ami.

Igor tenait fermement son sexe et dessinait de son gland, de petits cercles sur ma rose anale. Par petites pressions, il ouvrait lentement la petite porte du plaisir qu'il convoitait.

Je sentais à présent mon anus lubrifié s'ouvrir lentement. Mon expérience avec Marc dans l'avion et ses conseils me revenait comme un flash, je poussais alors sur mon sphincter à chaque fois qu'Igor tentait de me pénétrer plus profondément.

Lors d'un coup de reins plus importants, je poussais et sentais clairement ma corolle s'ouvrir. Igor poussait un ah.. de plaisir au moment où mon anus absorbait l'intégralité de son gland.

Je ne pouvais retenir un..ah! suivi long gémissement qui accompagnait cette pénétration anale qui, s'immobilisait lorsque je sentais les couilles d'Igor frapper mes fesses.

Igor entamait un lent va et vient, sa longue verge me pénétrait maintenant en profondeur et faisait danser les boules de métal dans mon vagin.

Mes gémissements devenaient autant de témoignage d'un début de jouissance extrême.

Jamais dans mes rêves, je n'avais un seul instant fantasmé sur une telle situation et pourtant, je me surprenait à présent à m'entendre murmurer.. oui c'est bon..mon dieu.

Igor laissait sa place à Tao qui m'avait repositionné sur l'énorme coussin. Sa verge était plus large et je poussais à nouveau pour aspirer cette colonne de chair dans mon anus.

Il me tenait à présent par les hanches et m'enculait à fond. Ses testicules claquaient mes fesses à un rythme soutenu. Ses mains bougeait mon cul de droite à gauche. Les effets sur les boules de geishas me provoquait une jouissance extrême et tout mon corps frémissait de mille soubresauts.

Igor était à présent agenouillé devant moi. Il me présentais son sexe luisant du plaisir qu'il avait pris en s'offrant ma virginité anale. J'avalais son sexe, il s'offrait pour la seconde fois d'une poussée rectiligne ma gorge profonde. Mes yeux se levait et lorsque son regard me croisait je contractais ma gorge pour accentuer la pression sur son gland. Il fermait les yeux et gémissait.

JEUX EN DOUBLE PILE ET FACE

Au bout de quelques minutes, Tao et Igor libéraient ma bouche et mon anus. Ils m'ôtaient les menottes.

Igor lentement sortait une à une les boules de métal de mon sexe. Chaque sortie me provoquait un orgasme qui se matérialisait par une éjaculation de cyprine.

La plus grosse boule de geisha extraite, Tao s'allongeait sur le dos et m'invitait à m'installer sur lui.

Sa queue investissait ma chatte. Igor s'installait derrière moi et son sexe rejoignait celui de Tao élargissant les mes lèvres intimes ils coordonnaient leurs mouvements me faisant jouir et crier de plaisir.

Igor non content de gratifier ma chatte d'une double pénétration, introduisait deux doigts dans mon anus qui était déjà plus largement accueillant, au regard des précédentes pénétrations.

Je gémissais de plus en plus fort. Je me surprenais à m'entendre murmurer : oh..Oui..ah... C'est bon....

D'un seul coup ils sortaient tous deux de mon sexe. Ils m'appuyaient fortement sur les reins afin que Tao puisse me pénétrer à nouveau par le cul.

L'inimaginable alors survenait Igor positionnait sa queue sur celle de Tao et ils investissaient en cœur mon fondement.

À présent, ils m'enculaient tous les deux à grand coups de reins pendant de longues minutes. D'un coup, ils sortaient de ce puits de plaisir. Igor alors m'écartait largement les fesses pour contempler mon anus béant qui frissonnait et luisait du plaisir qu'ils m'offraient.

Ils me pénétraient à nouveau leurs verges puissantes élargissant un peu plus cet anus dont qu'ils avaient défloré. Nous gémissions tous trois de plus en plus fort.

Tao décidait d'abandonner mon cul pour réinvestir ma chatte.

L'un me baisait, l'autre m'enculait et je jouissait comme une folle remuant la tête comme un pantin désarticulé, griffant la poitrine de Tao ou les fesses d'Igor.

Ma réaction décuplait leur plaisirs, ils saisissaient de mes seins et mes fesses qu'ils gratifiaient de milles caresses mais également de claques provocant des spasmes de tout mon corps.

J'étais véritablement dans un état second lorsque je recevais leurs éjaculations. Ils tapissaient mon anus et mon vagin de leur sperme brûlant en trois ou quatre jets puissants.

Les deux hommes s'étant retirés de mes puits de plaisirs, ils étaient à présent assis sur le lit face à la baie vitrée.

Je me levais et me dirigeais vers la piscine au moment où Igor poussa un cri.

- Ou vas-tu petite pute, non mais regardes ça Tao, le jour n'est pas encore levé qu'elle se croit libérée de son contrat.

- Tu as raison Igor alors pour qui tu te prends Florence.

- Je suis désolé messieurs mais il me semble qu'il vous faut peut-être prendre un peu de repos, j'allais faire quelques brasses dans la piscine.

- Elle est amusante Igor, tu ne trouves pas. Viens ici tout de suite et mets toi à quatre pattes sur la moquette devant nous.

UNE GRATIFICATION AU PERSONNEL

Je faisais demi-tour. Je me mettais donc à quatre pattes face à eux. Je me demandais bien ce qu'ils allaient encore pouvoir me faire subir. J'avais le visage au niveau de leurs genoux. S'offrait alors à ma vue leurs sexes flasques et totalement débandés.

- Tu vois Igor, cette petite regarde nos queues fatiguées et elle se dit que c'est terminé.

- Elle n'a pas tort Tao, mais elle manque d'éducation et ignore la tradition des palaces

- C'est vrai au fait, tu connais la tradition des palaces chère Florence.

- Non et vous le savez puisque vous vous êtes si bien renseigné sur moi

La musique classique avait cessé, et l'immense salon était plongé dans un silence qui à présent m'angoissait. C'est un cri puissant d'Igor qui brisait ce silence pesant.

- Max...Maaax venez s'il vous plait merci.

La lourde porte s'ouvrait et j'entendais dans mon dos les pas du maître d'hôtel

- Messieurs vous désirez.

- Mon cher Max notre amie Florence souhaite vous remercier pour la qualité de votre service. Mais comme vous pouvez le constater, sa nudité ne lui permet pas de vous remettre les quelques billets, qui vous prouveraient sa satisfaction.

- Certes Igor mais en Chine il existe la possibilité de payer en nature

- Mais Tao en Russie également on parle alors de donner de sa personne. Max que pensez-vous de notre petite Florence ici présente.

- Madame est une très jolie femme monsieur.

- Tu vois Tao, Max est un homme de goût. Mon cher Max vous vous souvenez de notre accord.

- Oui monsieur.

- Alors qu'attendez-vous pour vous mettre à l'aise.

Igor se penchait vers mon oreille et me chuchotait nous

« Hé oui ma petite Florence nous avons aussi un contrat avec Max »

« J'ai la nette impression que Max va vous enculer ma chère ».

Je le suppliais de renoncer en lui disant que c'était humiliant pour Max, qui n'avait rien à voir avec le contrat qu'ils avaient signé dans l'avion.

Mes deux tourmenteurs éclataient de rire et Tao à son tour me chuchotait :

«Florence tu as eu le temps d'apprécier la longueur de la queue de mon ami Igor, et la grosseur de la mienne. Hé bien vois-tu, dans la vie, il faut faire preuve d'humilité et pour être honnête avec toi je vais te dire la vérité. »

Penché en avant, il se saisissait mes bouts de seins qu'il pressait en étirant mes globes mammaires vers le bas. La douleur me faisait gémir lorsqu'il ajoutait

« À côté du sexe que Max a entre les cuisses, les nôtres sont ridiculement petits. Je suis certain que tu es ravie de cette confidence»

« Tao, Igor je vous ai tout donné, par pitié, vous ne prendrez même pas de plaisir. »

« Décidément ma chère Florence tu reste une petite oie blanche »

Très distinctement, j'entendais derrière moi Max ôter ses vêtements. En tournant la tête vers la droite, je le voyais de dos les disposer sur un serviteur. Habillé je n'avais pas perçu que c'était un véritable géant tout en muscles.

Mon regard se posait à présent sur ses talons, je remontais lentement pour découvrir des mollets fermes surmontés de puissantes cuisses qui menaient à un cul, dont les fesses se contractaient à chacun de ses mouvements.