Florence de Femme Mariée à Callgirl 03

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Florence offre sa virginité anale et bien plus à ses clients.
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EMILIEDAN
EMILIEDAN
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DANS L'AVION DE MOSCOU A NICE OU LE CONTRAT DE FLORENCE

Le ronronnement de l'avion avait laissé place aux discussions vives entre Marc Igor et Tao. Je somnolais lorsque Nathalie notre interprète venait me chuchoter à l'oreille.

- Florence tu m'écoutes

- Oui Nathalie que se passe-t-il.

- Marc a conclu ses contrats au-delà de ses espérances, mais... comment te dire, la finalité dépend de toi.

- Que veux-tu dire, soit plus précise.

- Ben voilà, j'ai surpris une conversation entre le Russe et le Chinois ils sont particulièrement malins et vicieux, car tiens-toi bien, ils parlent tous les deux un français impeccable.

- Non c'est incroyable!

- Marc m'a dit qu'ils avaient accepté de signer le contrat à ses conditions financières, mais ils avaient ajouté une condition suspensive. Si elle n'était pas respectée à la lettre, tout tombait à l'eau et le contrat deviendrait nul.

- Et tu les as entendus en parler entre eux.

- C'est délicat à te dire, mais Tao disait à Igor qu'une nuit complète à Nice avec la petite Florence, valait bien un effort financier sur les accords avec Marc.

Igor lui répondant du tac au tac, qu'un cul comme celui de cette petite Française nous offrira des plaisirs multiples. Tao ajoutant, elle nous a défiés avec son histoire de porte-jarretelles. Aussi à Nice il va falloir qu'elle assume. Igor émettait des doutes et dit alors à Tao, si le contrat tombe à l'eau Marc sera totalement ridicule. Ils rigolaient leurs verre à la main.

- Merci de m'avoir averti Nathalie. C'est vrai que je les ai vraiment provoqués. Marc t'as parlé à mon propos.

- Il m'a dit que tout dépendait de toi. Je l'ai senti un peu stressé. Ce contrat est énorme pour lui, sans sa validation l'entreprise sera confrontée à une passe très délicate. Surtout ne dit pas à Marc ce que je viens de te dire. Je te laisse et bon courage.

Nathalie avait rejoint Marc depuis une vingtaine de minutes. Je fermais les yeux et songeais à la responsabilité qui pesait sur mes épaules. Nos deux clients pensant que je m'étais assoupie s'étaient déplacés à pas feutrés, pour investir les deux places en face de moi.

Mon fauteuil étant en position nuit, j'avais les jambes relevées, leur permettant ainsi d'avoir une vue éclairée de ma culotte. Igor s'adressait en chuchotant à Tao :

- Elle est canon la petite oie blanche, tu imagines mon Tao une nuit entière avec elle pour satisfaire nos fantasmes.

- Tu as raison, regarde Igor elle dort, tu as vu sa bouche et ses lèvres, une véritable invitation à la fellation.

- Oui elle doit sucer comme une reine.

- Si elle ne sait pas, t'inquiète Igor nous saurons lui apprendre.

- D'après mes informateurs, elle est totalement naïve, il paraît même que du côté pile, elle serait encore vierge.

- Non, si c'est le cas, je crains que l'entreprise de notre Marc ne soit d'ici peu en légère difficulté. Car je n'imagine pas cette petite satisfaire à nos exigences.

Les rires étouffés de ces deux hommes d'affaires faisaient monter en moi une colère froide. Je les avais effectivement provoqués, et à présent je ne pouvais douter qu'ils aient l'intention de me le faire payer.

La question était de savoir si je serai capable de faire face. J'avais encore si peu d'expérience que le doute et la crainte de ne pas être à la hauteur m'envahissaient.

Aussitôt je pensais à ce qu'avait fait Michel mon mari. Dans quelle situation je me retrouverais si je renonçais à me soumettre aux désirs de ces deux hommes.

En attendant j'avais envie de leur faire payer l'instant présent.

Les yeux fermés, ils me croyaient endormie. Très bien, alors je gémissais en écartant plus largement mes cuisses. Je descendait lentement ma main droite pour atteindre ma culotte et la glissait sous l'élastique, je caressais alors tendrement mon petit abricot, afin d'exciter ces messieurs.

Igor avait les yeux exorbités.

- Regarde Tao, cette petite pute se caresse, c'est insupportable, elle me fait bander comme un âne.

- Tu as raison Igor, elle doit être chaude comme la braise.

- Elle ne perd rien pour attendre. Nous allons lui apprendre qu'il ne fait pas bon nous défier.

Mes yeux mi-clos me permettaient de voir que mes deux prétendants affichaient une bosse naissante au niveau de l'entrejambe. Je pouvais me rendre compte que mère nature les avait généreusement dotés à ce niveau.

Il me semblait même que le pénis d'Igor montrait le bout de son gland au-dessus de sa ceinture.

Tao lui, c'était la cuisse gauche de son pantalon qui laissait deviner un sexe moins long qu'Igor, mais dont la circonférence était manifestement importante.

J'étais profondément excitée et fière de constater le pouvoir que j'avais sur ces deux hommes excités à l'idée de me posséder. Aussi, c'est à cet instant que je prenais ma décision.

J'irais jusqu'au bout de mon engagement, quel-qu'en fut le prix à payer.

DANS LE PALACE A NICE

Après l'atterrissage, une vaste limousine nous transportait vers notre destination finale. Une occasion supplémentaire pour mes deux prétendants de discrètement me caresser le dos la nuque, ou de me frôler les jambes de leurs genoux ou leurs chevilles.

Le palace était magnifique baigné de soleil face à la mer. J'avais les yeux pleins d'étoiles. Jamais je n'avais imaginé un jour pénétrer dans un tel établissement de luxe.

Une véritable petite armée affectée à notre service nous invitait à emprunter l'ascenseur qui nous menait au dernier étage. Deux larges portes s'ouvraient, nous laissant découvrir une suite royale.

Un immense salon en arc de cercle permettait d'accéder à sept chambres et salle de bains privatives. En avançant nous accédions à une vaste salle à manger ornée d'une table en marbre gris entourée de chaises cuir. Sur la droite, à nouveau un très grand salon comportait des fauteuils et des canapés. L'un d'eux, immense et totalement rond avait des dossiers en forme de pétales qui, en s'inclinant totalement, devenait alors un immense lit.

Le plus impressionnant dans ce salon était la gigantesque baie vitrée s'ouvrant sur la piscine surplombant la baie. Cette terrasse nous offrait alors, une vue majestueuse du couché de soleil sur la mer.

J'étais comme une gamine devant un pot de confiture. Même si en réalité, je n'avais pas conscience que pour ces hommes, le pot de confiture c'était moi.

Ma rêverie fut interrompue par la voix de Marc.

- Mesdames et messieurs, je vous propose de nous retirer quelques instants dans nos chambres, afin de nous rafraîchir et de passer nos tenues de soirée pour savourer notre repas. Je vous propose de nous retrouver dans une petite heure.

Les traductrices enchainaient :

- (Igor) Mon cher Marc vous ne nous avez pas menti sur la qualité de ce palace, et vous nous offrez manifestement ce qui se fait de mieux en la matière.

- (Tao) il est vrai très cher Marc que vous nous impressionnez par la qualité de cette suite. Souhaitons que le reste de vos promesses pour cette nuit soit du même niveau.

- Soyez assuré messieurs que je respecte mes engagements en toutes choses.

L'établissement était d'un tel niveau que des plaques de cuivre gravés à nos noms figuraient sur la porte de nos appartements respectifs.

Je poussais celle de ma chambre avec une boule au ventre, les paroles de Tao résonnaient dans ma tête comme une claque. J'ouvrais la porte du dressing, le personnel avait installé ma garde-robe et je devais faire mon choix pour le repas.

J'étais en pleine réflexion, lorsque la discrète sonnette m'avertissait de la présence d'un visiteur.

J'ouvrais, c'était Marc il pénétrait rapidement et refermait sans délai la lourde porte.

- Florence, je me dois d'être honnête avec vous. Les clients ont exigé un paragraphe exceptionnel pour valider le contrat, cette clause vous concerne.

- Que contient ce document?

- Ils exigent pour valider la vente de pouvoir, comment dire, disposer de vous toute la nuit.

- Et vous craignez de me voir refuser ou de ne pas être à la hauteur.

- Ce n'est pas ça Florence, je crains que leurs exigences vis-à-vis de vous ne soient insupportables. Ils ne m'ont pas caché que vous les aviez chagrinés avec votre intervention sur le porte-jarretelles. En même temps votre prestance et les mouvements de votre corps les affolent.

- Monsieur je vais être également franche avec vous. Savez-vous qu'ils parlent un français impeccable?

- Vous êtes sérieuse.

- Absolument, dans l'avion ils me croyaient assoupie, et ils n'ont cessé de parler de moi dans des termes, qui ne laissent aucun doute sur leurs intentions pour la nuit à venir.

- Florence je ne sais quoi vous dire. Sinon que ce contrat est d'une importance capitale pour notre société.

- Je sais monsieur, j'irais jusqu'au bout de la nuit je m'y engage.

- Merci Florence.

Pendant toute la conversation mes yeux s'égaraient sur mes robes. Mon choix était fait. Je serais vêtue de bleu. Robe longue fendue côté droit jusqu'à mi-cuisse. Je la porterais sans soutien-gorge. Culotte, porte-jarretelles et bas assortis en couleur. Je trancherais avec des escarpins rouge à talons haut.

Je soulignait mes paupière du même bleu que la robe et mes lèvre du même rouge que mes chaussures.

J'avais donc pris un bain relaxant dans l'immense baignoire balnéo qui équipait la salle de bain. Habillée, j'étais à présent en tenue pour affronter les exigences de ces messieurs.

LE REPAS

La table dressée était le reflet du chef étoilé qui menait la brigade en cuisine. Nos clients étaient en smoking blanc, les interprètes en robes de soirée. Marc avait opté pour un smoking noir.

Le maître d'hôtel était un grand métis très classe qui répondait au nom de Max. Il nous invitait à prendre place. Je me retrouverais évidemment entre Tao et Igor.

Au rythme des plats et des grands crus, leurs mains s'égaraient sur mes genoux et parfois un peu plus haut sur mes cuisses. Leurs yeux ne perdaient pas une occasion de plonger dans mon décolleté.Je sentais à ce moment que les grands crus me mettait dans un état légèrement euphorique.

L'heure du dessert avait sonné et les coupes de champagnes se succédaient. Jusqu'à présent ça discutais affaires, cours de bourse, bateaux, grosses berlines et villas paradisiaques. C'est à ce moment que Tao créa la surprise en s'exprimant en Français :

- Alors mon cher Marc avez-vous informé votre amie Florence de notre marché

- Mais vous parlez Français! Et vous Igor

- Bien sûr Marc, comme Tao je manie la langue de Molière.

- Vous cachez bien votre jeu messieurs.

- (Tao) c'est très bien Marc, mais vous n'avez pas répondu à ma question.

- Oui j'ai parlé à Florence de votre souhait. Elle a accepté mais je lui ai précisé qu'à tout moment elle gardait la faculté de refuser et de renoncer.

Igor sans pudeur introduisait alors sa main par la fente de ma robe, la paume sur le plat intérieur de ma cuisse, ses doigts quasiment à la naissance de ma culotte en déclarant :

- Vous confirmez ma chère Florence

- Oui.

- (Tao) : il paraît que vous avez peu d'expérience dans le genre de mission que vous a confiée notre ami Marc.

- C'est possible, il conviendra d'en reparler demain matin.

- Ho! Mais c'est que vous vous braquez facilement, à ce que je constate au ton de votre voix.

- Pas du tout, mais vous mettez en doute ma détermination

- Non ma chère, je ne mets pas en doute votre détermination mais votre expérience. Tenez, je vous propose un petit jeu. J'ai ici quelques objets que je vais vous présenter. Dites nous ce que c'est, et vous nous confirmerez ainsi une partie de votre expérience. D'accord?

- Je suis là pour vous satisfaire, alors allons-y.

LE PETIT SAC DE CUIR ROUGE

Je n'imaginais pas que j'allais à ce moment, subir une première humiliation. J'allais payer à mes dépens, ma totale ignorance des pratiques sexuelles débridées et sans limites.

Les rires que j'allais déclencher dans l'assistance allaient vite me mettre face à ma naïveté.

Tao sortait de son petit sac de cuir rouge les objets.

- Allons-y ma petite Florence vous êtes prête?

- Allons-y mon cher Tao.

Le premier objet :

C'était une série de cinq boules en métal qui allaient d'une petite à une très grosse. Elles étaient reliées par une ficelle :

- Ça ressemble à un bilboquet mais je ne sais pas trop?

Le second

C'était un petit canard jaune au bec noir, Tao me le mettait dans la main et il vibrait

- C'est un jouet vraisemblablement.

Le troisième objet une petite boule rouge était manifestement inséré dans une mini-ceinture

- On dirait un nez de clown.

Cette fois, je déclenchais des rires aux larmes. Même les serveuses et Max le maître d'hôtel avait esquissé un sourire.

Igor n'en pouvait plus de pouffer en s'adressant à l'assemblée

- Pas de doute Marc, vous nous avez déniché la perle rare. C'est une nuit comique que vous nous offrez.

- Igor, un proverbe français dit que c'est à la fin du match que l'on compte les points.

- Florence ma chère, il n'y a pas de mal à ne pas connaître la vraie définition et l'utilité de ces objets. Mais rassurez-vous demain, nous vous aurons aidé à être une experte. Allez une chance supplémentaire avec quelques objet de plus.

Il sortait de son sac un martinet

- Ça aucun doute c'est un martinet.

À présent, c'est Igor qui sortait du petit sac rouge, quatre paires de menottes.

- Ce sont des menottes mon cher Igor.

- Bravo ma chère petite Florence. Demain matin, je puis vous assurer que vous connaitrez tous les noms des objets que nous vous avons présentés. Vous aurez également découvert l'épanouissement et la jouissance qu'ils peuvent vous apporter. Plus tard, lorsque vous raconterez cette nuit à vos amis et à ceux présents ce soir, je doute fort qu'ils éclatent de rire.

À cet instant, le silence de Marc et des interprètes m'inquiétait tout autant que les larges sourires d'Igor et de Tao qui lança immédiatement

- Marc, il est temps de nous laisser seuls avec Florence. Emmenez donc nos charmantes interprètes visiter Nice. La nuit s'annonce si longue et si belle.

- Très bien nous vous laissons messieurs à demain matin,

Le regard de Marc en quittant la suite, en disait long sur son stress et son inquiétude. Nathalie me faisait la bise en me murmurant à l'oreille courage tient bon, nous comptons sur toi.

Dans l'immense salle à manger, nous restions tous trois avec Max le maître d'hôtel et les trois serveuses. Boris prenait la parole :

- Max vous nous mettez au salon face à la piscine 2 bouteilles de champagne, une bouteille de vodka et d'alcool de riz. Ensuite vous resterez avec le personnel à notre disposition ici dans la salle à manger. Nous resterons dans le salon et vous appellerons si nous avons besoin de vos services. Aussi, vous voudrez-bien diffuser dans le salon les quatre saisons de Vivaldi.

- Bien Monsieur

- Vous connaissez ma chère Florence les quatre saisons de Vivaldi.

- Non monsieur.

- Cette musique délicieuse, le printemps, l'hiver l'automne et l'été accompagnera vos prestations.

- Venez maintenant passons dans le salon.

Max refermait les deux lourdes portes derrière nous. Les violons de Vivaldi résonnaient sous l'immense plafond décoré d'or et de lumières indirect. Les Spots de la piscine se reflétaient dans l'immense baie vitrée passant des bleus aux verts des jaunes aux rouges. C'était un arc-en-ciel qui défilait devant mes yeux tournés vers l'horizon.

Ma rêverie devait être de courte durée.

PREMIÈRE LEÇON A GORGE DÉPLOYÉE

Tao venait de se coller à mon dos, les mains plaquées sur le plat de mon ventre, il me chuchotait qu'il était l'heure de remplir mon contrat.

En face de moi Igor tout sourire, se déshabillait. Il déposait avec précaution pantalon, veste et chemise, sur l'un des valets de chambre en bois précieux qui entourait l'immense lit rond.

Tao venait de libérer les bretelles de ma robe, me dénudant des seins aux hanches.

Igor appréciait le tableau. Face à moi, son boxer, pour unique vêtement, était gonflé d'un renflement témoin de son excitation. Je ne pouvais ignorer le même émoi chez Tao, dont je sentais le sexe grossir et s'allonger, doucement caler entre mes fesses.

Igor se rapprochait et, avec force, m'appuyait sur les épaules m'obligeant à me mettre à genoux.

- Au travail ma chère Florence

Je baissais son boxer, son sexe était déjà à moitié bandé et touchait mon menton. Je me saisissais de ce pénis et m'employais à en dégager le gland violacé.

Je déposais un filet de salive sur le méat. Son érection avait en un éclair doublé de volume.

La main virile d'Igor m'invitait à une pénétration buccale plus importante de son sexe.

Je sentais entre mes dents, sur ma langue et mon palais, ce sexe puissant avancer et reculer, au rythme des petits coups de reins de son maître.

Mes yeux apercevaient Tao se dévêtir comme l'avait fait Igor.

Maintenant, les pénétrations de plus en plus profondes d'Igor me faisaient saliver intensivement. Son gland touchait parfois la naissance de mon arrière-gorge me provoquant un haut-de-cœur.

Lors de ces pénétrations plus importantes, je remarquais que je n'avais que la moitié de son sexe en bouche.

C'est lors de cet épisode que Tao entièrement nu se rapprochant me dit en riant:

- Ma petite oie blanche, il va falloir faire mieux. Igor et moi ne sommes pas là pour nous faire sucer la moitié de la queue.

- Tu as raison Tao, ma petite Florence il va te falloir faire un sérieux effort et nous ouvrir ta gorge en profondeur.

- Mais c'est impossible.

Tous les deux riaient de ma réflexion.

- Nous allons t'apprendre, et il te faudra voir nos couilles reposer sur ton menton pour nous satisfaire. Tu as compris, c'est clair.

- Oui monsieur.

En même temps je n'avais pas le choix.

Tao avait remplacé Igor. Comme je le pressentais, son sexe était plus court mais sa circonférence était importante. Les deux mains derrière ma tête il rentrait et sortait de ma bouche avec une rapidité incroyable. Ma bouche était ouverte au maximum et mes mâchoires douloureuses. Son gland très rond butait de plus en plus fort le fond de ma gorge.

Igor passait derrière moi, et sans aucun ménagement m'enfonçait violemment son majeur en entier dans mon anus.

L'effet était immédiat ma gorge s'ouvrait pour pousser un cri, mais à ce moment, c'est le sexe de Tao qui enfin entrait en entier dans ma bouche et s'immobilisait. Son ventre touchait mon nez et ses testicules reposaient alors sur mon menton luisant de salive.

La main d'Igor avait empoigné la totalité de mon cou. Ses doigts exerçaient de petites pressions sur ma gorge qui se rétrécissait alors, pressant le gland de Tao qui grossirait encore.

- Alors Florence, tu la sens bien la bite de mon ami au fond de ta gorge

- Igor je crois que nous allons pouvoir bientôt, prendre totalement cette gorge qui devient accueillante.

- Attends mon Tao notre petite pute semble manquer d'air.

Tao d'un coup de rein arrière me libérait. Je toussais violemment et déversais un flot de salive.

Igor le remplaçait immédiatement s'enfonçant à son tour au plus profond de ma gorge. Ses allers-retours devenaient rapides et encore plus profonds. Au fil des minutes, je sentais par réflexe ma gorge s'élargir et s'ouvrir volontairement à la chaleur de ce gland.

Les deux hommes alternaient leur pénétration se partageant ma gorge.

Tao à un moment se baissait et soulevant le bas de ma robe touchait ma culotte.

- Devine Igor

- Quoi

- La petite mouille sa culotte, ta queue est si longue que ça

Certes j'étais humiliée par cette réflexion, mais c'était vrai. Ces pénétrations, ces odeurs, ces perles de liquides sur ma langue et au fond de ma gorge, m'apportaient à présent une certaine jouissance que ma chatte révélait à ces deux machos.

À ce moment ils étaient côte à côte devant moi. Ils m'obligeaient à emboucher en même temps leurs deux sexes.

Péniblement ma bouche s'élargissait au maximum et j'accueillais sur ma langue les deux pénis. Je salivais abondamment et avec ma langue, je léchais le dessous de leurs glands.

EMILIEDAN
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