EVG Chez Gégé et dépucelage - 02

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Ils sont déchaînés.

Dans leur fougue, ils grognent et me baisent sauvagement, me défonçant le cul comme jamais.

Je suis empalée jusqu'à la garde.

- "HAAAAAaHHaAAAAAaAAAAAAAAAAAH aAAhhhhoOOOOUuiIIIIIIIii aAAAAH!"

- "Une vraie nana quand elle crie comme ça...!"

Gérard et Antoine crachent leur purée dans mon boyau...

Je me fais engrosser par la moitié d'une équipe de rugby.

Ça ne s'arrête pas, et je n'ai pas envie que ça s'arrête.

Jamais je n'ai autant joui.

Je suis remplie de sperme.

J'ai le cul et la bouche qui dégorgent de leurs éjaculations.

Les sept rugbymen, plus Gérard, tous m'ont violée, baisée, remplie.

S'ils avaient voulu me féconder ils ne s'y seraient pas pris autrement!...

Alain, le jeune Michel, mon brouteur Pascal, Antoine, Victor, Philippe, Norbert et Gérard, huit solides gaillards aux queues épaisses et vigoureuses, viennent d'abuser de moi.

- "Cette gamine a le petit cul le plus serré que je connaisse... Je pourrais la baiser longtemps."

Une fois que tous ont profité de moi, on me retourne de nouveau et m'attache à plat ventre à une des tables, les fesses en l'air face au comptoir.

Ils en profitent pour me reclaquer les fesses, pas trop fort, mais néanmoins une bonne petite fessée, alternant avec des doigts dans mon derrière.

Un doigt, puis deux doigts dans le fion, hop une claque, deux doigts, deux claques, puis trois doigts me fouillent le ventre, et encore des claques...

Ils s'amusent à tour de rôle à venir me doigter, à me fouiller le trou à plusieurs doigts, pendant un moment. Je sens qu'ils me relèchent le trou de balle, alternant avec les doigts et les claques.

Aidés du sperme qu'il y a dedans, de leurs léchages et de leurs allers-retours de plus en plus insistants et de plus en plus profonds, je sens régulièrement entrer et sortir quatre doigts regroupés.

Ils poussent et je devine bien qu'ils aimeraient en mettre cinq, ces salauds...

Mes fesses me brûlent, dehors et dedans, mais je ne dis rien, soumise et demandeuse.

Je vois Gérard sortir de la cuisine, tenant un gros seau dans la main. Quand il arrive vers moi, je peux lire "Graisse de noix de Coco" sur le seau.

Je sens qu'on me colle contre le trou du cul un objet plutôt froid et dur - on dirait du verre.

Gérard me dit :

- "Ecoute petite, tes amis sont tous partis, fatigués ou bourrés, ce qui n'est pas anormal avec les somnifères que nous avons mis dans leurs boissons. Même ta greluche, tu vois, n'est pas revenue, elle a du s'endormir chez vous.

Pendant que tu t'éclatais comme une bête, j'ai pris un paquet de photos, et tu auras beaucoup de mal à faire croire à qui que ce soit que tu n'étais pas consentante, vu tes cris de plaisir et l'ardeur mise à l'ouvrage.

Comme tu nous suçais et redemandais à sucer, et comme tu ouvrais ton cul à nos bites!

Alors on va continuer à s'amuser, puis on te ramènera chez toi, puisque ta pute n'est pas revenue.

Mais tu as encore du temps devant toi.

En plus de fermer ta gueule, tu viendras une fois par semaine nous vider nos couilles.

N'oublie pas qu'on a fouillé ton sac à main, on sait où tu habites et où tu travailles - si tu ne veux pas que tous tes voisins et collègues voient les photos!"

Il me balance deux bonnes claques en pleine figure et je me mets à pleurer.

Pas très longtemps, car je sens de nouveau le truc pousser contre mon trou de balle.

C'est le culot d'une bouteille de bière.

Un des gaillard essaie de forcer, je crie, mais évidemment vu la grosseur du truc, ça ne rentre quand même pas comme ça.

Gérard dit :

- "Laisse, Victor, j'ai amené ce qu'il faut" en prenant le fameux seau de graisse de noix de coco.

Il ouvre le couvercle, trempe sa main dedans et me badigeonne le cul, toute la raie fessière, avec l'épaisse graisse végétale qu'il a ramenée de sa cuisine. Le truc bien gras, mais évidemment grandement lubrifiant.

Il me fourre quatre doigts dans le cul, force avec le cinquième, il les fait coulisser, ce qui a pour effet de remplir mon orifice avec la graisse de coco.

Victor décapsule la bouteille de bière et me l'enfonce dans l'anus complètement dilaté. Ça rentre comme dans du beurre, comme on dit, et pour cause vu la dose de graisse de coco dans mon cul.

Et puis aussi finalement il me l'a enfoncée par le côté goulot : drôle de sensation que cette bière froide qui envahit mes intestins.

Il s'applique à de longs va-et-vient ; j'écarte les jambes au maximum, au début pour limiter la souffrance, ensuite pour qu'il puisse l'enfoncer complètement dans mon cul.

A chaque aller et retour, la bière gicle, puis il alterne avec son sexe, un coup la bière, un coup sa queue. Ensuite une fois la bouteille de bière vide, il la ressort et me sodomise pendant que les autres réinvestissent ma bouche.

Et me voila repartie avec un désir fou que je ne peux réprimer.

Il éjacule en moi et je sens son sperme gicler contre mes parois intestinales.

Il ressort de mes reins, et un autre gars, Norbert, s'empare de la bouteille de bière. Il me rebadigeonne abondamment le trou de balle avec la graisse de coco, j'ai le sphincter complètement ouvert, plein de sperme et de coco, et Norbert vient ajuster la bouteille contre mon trou, mais cette fois du gros côté, celui du culot...

Il pousse, ça fait mal, je ferme les yeux, mais ces salauds m'ont rendue dingue, en fait j'ai envie de ce gros truc dans mon ventre :

depuis que j'ai eu leurs queues en moi, que j'ai ressenti cette incroyable sensation d'avoir le cul rempli par un membre, j'aime ça, j'en ai envie.

J'écarte les jambes et "pousse" pour m'ouvrir à cette intromission.

La bouteille finit par glisser, centimètre par centimètre, aidée et graissée par l'abondante lubrification.

Oui, c'est encore plus gros que la plus large et la plus épaisse de leurs queues!

Mais bon dieu que c'est bon!

Les 6 centimètres de diamètre de la bouteille de bière élargissent ma rondelle comme jamais, ça brûle et ça me remplit complètement, c'est un peu douloureux, mais jouissif, beaucoup!

Le bonhomme pousse jusqu'au maximum avant le rétrécissement de la bouteille, puis entame un va-et-vient, très lentement : jésus-marie-joseph, c'est délirant et délicieux!

- "Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... mon dieu, ahhhhhh!"

- "C'est ça, crie ma belle, t'arrête pas de crier, ça nous excite! T'aimes ça, on va te faire crier."

J'ai le fion complètement investi, rempli et dilaté par la bouteille, et les allers-retours me font vriller de plaisir.

Je me mords la lèvre, tellement c'est bon.

Et je bande.

Au bout d'un moment de ce traitement, ils me ressortent la bouteille du fion, dans un "plop" dont je suis à la fois honteuse et à la fois fière (...!).

Mon anus doit être béant, un choux-fleur sentant la baise et le foutre, mais j'ai quand même "avalé" un machin de 6 centimètres de diamètre!

Ils se branlent, je suis toujours à quatre pattes le cul en l'air.

Ils reviennent m'enfiler, l'un après l'autre.

Saillie des deux côtés, je suce sept bites à tour de rôle ou parfois deux ou trois en même temps.

Ils me labourent et me remplissent, Philippe et Michel se lâchent dans mon côlon, Norbert et Alain dans ma gorge - je suis à nouveau inondée de semence de partout.

Ils me forcent à soigneusement lécher toutes leurs queues jusqu'à la dernière goutte de sperme.

Je lèche tout, goulument, certaines ont un tout petit goût de caca, mais rien d'insurmontable, et puis c'est l'odeur de mon caca à moi après tout.

Je fais reluire ces tiges comme des sous neufs avec ma langue, léchant et avalant jusqu'à la dernière goutte de foutre.

L'effet de l'alcool commence à se dissiper, et je mesure maintenant la réalité de la situation.

Les hommes me laissent un peu et vont se resservir quelques cocktails au comptoir.

Je suis toujours attachée à la table, à moitié à poil - à vrai dire en soutif, porte-jarretelles, bas et sandales à talons, le cul offert.

Un cul dégoulinant de sperme, de graisse de coco, de bière, et encore de sperme.

Une bonne demi-heure se passe avant que la joyeuse troupe accoudée au bar ne s'intéresse de nouveau à moi.

Maintenant j'ai peur, j'ai honte et n'ose rien dire.

De toute manière, ils ont mes papiers, mon nom et mon adresse, l'endroit où je travaille, ils ont des centaines de photos de moi avilie, en train de me faire mettre, enculée et suçant des bites.

Qu'aurais-je pu dire, et quand bien même, huit solides gaillards face à une espèce de garçonne efféminée de 59 kilos, attachée à une table en lingerie de pute, encore enivrée d'alcool : résister est inutile, pleurnicher tout autant - avec la certitude de me reprendre des paires de baffes, voire me faire passer à tabac, pour de toute façon finir violée quand même.

Les coups en plus.

Et puis, je serais bien hypocrite de me plaindre, parce que oui ils m'ont violée, oui ils ont abusé de moi, mais j'ai aimé ça, j'ai aimé me faire pilonner l'oignon, j'ai aimé être traitée comme une salope, une traînée qu'on baise par tous les trous.

J'ai adoré avoir ces queues en moi et sentir leurs explosions de foutre remplir mon intimité.

Alors est-ce encore un viol?

(A suivre au chapitre 3)

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Les Bijoux de Florence NICOLE et les bijoux de florence.
Quand J'oublie Mes Affaires de Gym Je récupère mes affaires de gym dans le vestiaire.
Passeport Pour Le Plaisir Un couple d'Américain doit passer la douane.
La Cage Ch. 02 et fin La relationd e couple change complètement.
Moco Le Chauffeur de Taxi Le chauffeur de taxi
Plus d'histoires