EVG Chez Gégé et dépucelage - 02

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Rugbymen, viol et révélation fortuite de ma sexualité.
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L'enterrement de ma vie de garçon "Chez Gégé" et mon dépucelage

- Chapitre 2 -

Rugbymen, viol et révélation fortuite de ma sexualité

La main d'Alain redescend sous mes fesses, les caressant délicatement, puis ses doigts s'insinuent entre les deux lobes pour effleurer ma raie du cul, toujours aussi délicatement.

Presque tendrement...

Mon dieu, ces doigts qui caressent ma raie, c'est troublant... c'est agréable.

Avec mister brouteur qui m'a léché le périnée jusqu'à mon petit trou, toute ma raie est humide, et les doigts glissent facilement sur toute cette région...

Je sens un des doigts d'Alain venir toucher mon anus et s'y attarder. Il passe et repasse son doigt dessus, appuyant légèrement.

Le jeune alterne toujours entre me sucer ma petite queue et me lécher la rondelle.

Alain abandonne mon sillon fessier et approche son majeur de ma bouche, ouvrant mes lèvres. La surprise me fait légèrement baver, il ressort son doigt mouillé et redescend vers mon périnée.

Aidé par toute cette salive, le majeur d'Alain appuie un peu plus sur mon anus, et je sens que... millimètre par millimètre, il s'y introduit.

Saperlipopette, j'ai un doigt d'homme dans le cul et un autre homme qui me suce la bite...!

Le doigt d'Alain sort doucement, puis rentre de nouveau délicatement, glissant sur cette humidité, dedans, dehors, dedans, tout doucement.

Il ressort, et sous mes fesses je le sens ouvrir la braguette de son pantalon et sortir sa queue raide comme un piquet depuis tout à l'heure.

Malgré les brumes de l'alcool, j'ai un sursaut de lucidité, ma tenue, ces hommes...

Je crains que ça se dirige tout droit à "passer à la casserole" : je tente de me lever un peu pour tirer ma robe sur mes cuisses et stopper cet enchaînement que je ne voulais pas.

En vain, les mains qui m'enserrent les cuisses, les fesses et me pelotent les seins, ne me laissent aucune chance.

Je regarde dans la direction du bar et de Gérard pour chercher de l'aide, mais ne le vois plus.

- "Non, s'il vous plait... Je n'ai jamais... ... Laissez-moi... ..."

Ces paroles à peine terminées, Alain me relève les jambes très haut, me basculant en arrière tout contre son torse, mon bas-ventre présenté à la vue de tous, le trou du cul visible, quasiment "offert".

Mon brouteur de queue, me lèche de nouveau l'anus, d'abord doucement, puis avec vigueur, il force l'entrée avec sa langue et me met de la salive partout sur le trou de balle, et même dedans.

Je manque vaciller, les jambes en l'air, gainées de bas et talons aiguilles, le cul trempé de salive, je ne sais pas ce qui m'arrive, je suis en train de devenir dingue.

Mon brouteur se retire, Alain m'emprisonne les jambes avec son bras gauche et je le vois cracher dans sa main droite.

Il étale sa salive sur son gland, le reste sur ses doigts avec lesquels il me badigeonne l'anus, y réintroduit son majeur tout mouillé puis...

IL M'ENFILE SA BITE D'UN SEUL COUP DANS LE CUL!

Je sens son sexe chaud envahir mon petit trou - la surprise et la douleur me font lâcher un cri, qu'étonnamment je trouve très aigu :

- "AAIIIIIIIIIÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏIIIIIIIIIIIIIIIEEE!!!..."

Assaillie par un supplice intense et vif en sentant le gland forcer mon sphincter et entrer en moi, la désormais plus pucelle que je suis souffle et râle :

- "AaIIIIÏÏÏÏÏÏIIIIEE EAIIÏÏÏÏIIAA HaAA AAA HaA aAA AïÏÏÏÏÏÏïïh Haaaaa....."

Alain me fait taire en me roulant une pelle...

Je suis réduite au silence, investie d'un côté par sa queue qu'il a insérée dans mon intimité et de l'autre par sa bouche dont la langue me galoche les amygdales.

Mais après l'instant de surprise, je comprends ce qu'il fait, il m'habitue à cet accouplement en me faisant me tenir tranquille :

après avoir rentré son gland de 4 ou 5 centimètres dans mon trou, il garde sa queue dans mon cul sans la bouger, sans mouvement durant une bonne minute, pendant que sa bouche fouille la mienne, de moins en moins violemment, et finalement tendrement.

- "Détends -toi ma belle, tu vas aimer, tu verras" me dit Alain.

Je me décrispe petit à petit. Effectivement je m'habitue à cet incroyable corps étranger qui visite mes intestins.

La douleur initiale s'estompe, effacée par une incroyable sensation de "plein", de cage à pétole possédée par un sexe viril et durci comme jamais ; je peux presque sentir les veines du chibre bouger sous la pression du sang qui durcit le mandrin d'Alain, tellement cette pénétration élargit mon étroit canal.

Je suis en train de me faire baiser...

Mes fesses accueillent une bite et c'est en train de me plaire, de me rendre fou - ou folle, je crois bien!

Je viens d'être dépucelée et violée par un rugbyman.

La dimension mentale de me sentir ainsi saillie, le choc psychologique d'être violée et accouplée à un mâle sont aussi perturbants qu'excitants, et se mélangent dans un tourbillon de sensations bien physiques elles, bandantes et délicieuses d'avoir cette queue masculine qui a pris possession de mon intimité.

Qui m'a déflorée avant de me farcir comme une dinde, s'introduisant dans mon croupion.

Le plaisir a complètement remplacé la douleur.

Alain le sent.

Je lui rends des baisers passionnés et langoureux, je n'ai plus que des petits cris de "fille", des gémissements de plaisir.

Guidant mes fesses, il commence alors à imprimer doucement à mon bassin de petits mouvements d'avant en arrière et de petits mouvements rotatifs pour m'ouvrir peu à peu sur son sexe, à mesure qu'il me "descend" sur son membre.

Ces ondulations, mes sphincters relâchés et la lubrification de la zone font que je sens "la chose" glisser petit à petit et s'engloutir progressivement à l'intérieur de moi.

Je sens la chair se frayer un passage centimètre par centimètre, sa queue disparaît lentement et naturellement dans mes fesses et me remplit de plus en plus.

Je sens littéralement le membre me pénétrer à mesure que mon anus s'enfonce dessus et l'avale avec une facilité déconcertante.

- "Ah putain, quel doux petit cul tu as".

Je n'y connais rien en sodomie, mais je trouve qu'il sait y faire.

C'est progressif, et délicieusement bon.

C'est donc ça que ressentent les gonzesses quand elles se font baiser...?!

Maintenant je suis totalement remplie.

J'ai une queue de 20 centimètres plantée dans mon cul.

Le bout de mon sexe se met à couler de petites gouttes de liquide séminal.

Je sens le phallus tout au fond de mon boyau ; mes chairs élargies serrent la tige sur toute sa longueur en petits spasmes. J'ai l'impression d'être "percée" mais c'est incroyablement agréable.

J'ignorais que des sexes pouvaient être si gros en érection (ce n'est pas comme si je m'y connaissais en queues d'hommes! lol), si longs et si épais - avant, je n'avais jamais vu que le mien.

- "J'adore ton délicieux petit trou serré. Je ne veux plus en sortir!"

Alain m'a maintenant fourrée complètement.

Il commence à coulisser sa bite doucement, la faisant ressortir un peu avant de la replonger jusque tout au fond de mes fesses.

Je crois défaillir, c'est irréel, tellement la sensation est merveilleuse.

Dans un état presque second, je glapis de volupté :

- "AAH! HAAA... HMMMMMMM... HMMM!"

- "C'est ça bébé, couine pour moi, tu vois comme c'est bon. Je veux t'entendre couiner."

Ma petite queue d'éphèbe bande, et ce salaud est en train de me faire jouir par mon cul de femelle.

Il est littéralement en train de faire de moi une femelle...!

Les deux rugbymen du bar sont venus rejoindre leurs collègues, ne ratant pas une miette du spectacle hallucinant auquel ils assistent. Et auquel ils vont participer, ça ne fait aucun doute...

Gérard est là aussi, et... il prend des photos!

En fait, il mitraille de photos. Sous tous les angles.

Mais je suis dans un autre monde, je suis dans un rêve, un rêve cauchemardesque ou un cauchemar rêvé.

Enivré d'alcool certes, mais enivré de sexe, de désir, d'excitation lubrique, enivré d'envies de femelle cochonne, un rêve sexuel, baisée par une bande de mâles virils, dans une arrière-salle de bar...

J'écarte les jambes au maximum et me laisse aller.

- "Les gars, elle serre ma bite si fort, je pense qu'elle veut que j'aille plus loin!"

Empalée jusqu'à la garde par l'énorme verge d'Alain, qui glisse maintenant avec régularité dans mes entrailles.

Comme si ça avait toujours été sa place.

Avec ses puissantes mains sous mes fesses, il me fait monter et descendre sur sa tige comme si cet accouplement avait pris son rythme de croisière.

Et chaque "presque" sortie de sa queue me donne l'envie qu'il me la renfile rapidement, vite, loin, comme un manque.

Chaque fois qu'il me fait redescendre, son sexe me rouvre en deux, chaque enfilade est comme un percement de bonheur, une prise de possession de mon ventre.

Ce pieu de chair profondément planté en moi me fait tressaillir et me procure des sensations jusqu'alors inconnues et incroyablement délicieuses.

Moi je ne vois rien, mais je n'ai aucune peine à imaginer ce qu'eux voient :

une petite créature en lingerie fine, au pénis en érection, enculée jusqu'à la garde, le cul offert et ouvert à ce membre coulissant à un rythme régulier...

Ça doit être bandant au possible.

Mieux qu'un film porno, et en plus en direct live.

Complètement délirant.

Moi je découvre la sodomie, j'ai le trou de balle en feu, les jambes écartées pour mieux avaler cette bite qui me possède puissamment et jusqu'au fond de mes intestins.

Ma petite queue est toujours tendue, son bout est mouillé par les montées de pré-sperme qui s'en échappent par moments.

C'est divin et je gémis de contentement.

- "Tu aimes ça, hein petite pute, tu aimes ma grosse queue dans ton cul" me dit Alain.

- "Putain de merde, la gamine mouille de la bite, regardez, elle adore ça tu veux dire!" renchérit un des gars.

Alain me remet son majeur dans la bouche, y imprime de petits va-et-vient, me faisant le suçoter.

- "C'est ça, suce-le, ouvre ta bouche et suce-le."

Les autres enlèvent leur pantalon, certains ont leurs verges déjà dures, d'autres bandant à moitié.

Ils s'approchent de moi.

J'attrape le premier sexe à ma portée et le branle.

Alain ressort son doigt de mon palais, le gars avance son membre vers mon visage.

Spontanément je le lèche, avant d'ouvrir ma bouche et le sucer avec vigueur.

Mentalement je tente de me convaincre que je me comporte ainsi pour éviter d'être violentée, mais cette mauvaise foi cache juste le fait que le trouble de la situation est en train de me plaire. Que je suis en train d'aimer ce qui se passe...

Que je suis vêtue un peu comme une pute, et entourée d'hommes, à qui manifestement je fais un effet de fou... Je me sens salope.

Et une salope, ça suce les bites!

Je m'applique donc à faire aussi "bien" et aussi salope que j'ai vu dans les films...

D'ailleurs, jamais je n'avais fait ça, jamais je n'aurais pensé le faire - et pourtant c'est venu et ça vient machinalement, presque "naturellement".

J'ai envie de ces queues, envie de sucer ces verges et les sentir en moi.

Dire que 20 minutes avant je n'avais jamais touché un pénis d'homme à part le mien, et maintenant j'en ai un dans le derrière et j'ai envie de sucer tous ces magnifiques chibres durs et luisants tendus vers moi.

Je sens le désir monter de plus en plus, chez moi, chez eux, et je suce plusieurs sexes en érection avec passion, avec un appétit de putain lubrique, pendant qu'Alain me lime toujours et que les autres me caressent tout le corps.

Ces membres, je les gobe, je les lèche, je les suce, je les enfourne et les avale aussi loin et profondément que je peux, y laissant ma salive, mon rouge à lèvres détruit, dans ma faim soudaine de queues d'hommes.

- "C'est bien petite pute, lèche bien, goûte-les nos bites... Comme ça c'est bien, t'aimes ça hein, elles sont bonnes..."

- "C'est comme si elle était née pour sucer de la queue, cette petite..."

Le jeune Michel va et vient lentement dans ma bouche.

Il accélère jusqu'à frapper mon palais, avant d'éjaculer au fond de ma gorge.

J'avale toute la semence avec délectation, le suçant jusqu'à la retombée du sexe.

- "C'est ça, lèche bien et avale tout, gourmande... T'es bonne..."

- "T'es vraiment une petite pute, sous tes airs de timide et ta tenue d'allumeuse" me dit un autre pendant que Michel se retire.

Victor prend sa place, je le gobe aussitôt et lui aussi jouit dans ma bouche.

Alain est toujours en moi, me besognant depuis tout à l'heure.

- "Bébé, ta chatte est si chaude et serrée... Comme ça glisse! Putain je ne peux pas croire à quel point c'est bon! Je vais jouir... Ooh bébé!"

Je sens à l'explosion de chaleur - et de liquide gluant - qui envahit mon ventre, qu'Alain vient de venir à son tour.

Dans mon cul...!

C'est une étrange sensation de recevoir ce jus d'homme en moi, ça devrait me dégoûter, mais non, ça m'excite.

J'écarte les cuisses au maximum, jambes toujours relevées, et serre légèrement les fesses afin de sentir au mieux l'homme qui est en train de me violer.

J'ai du sperme d'homme dans mon ventre! Pour la première fois. J'adore.

Je flotte dans une sorte d'extase.

Un état second, l'esprit perturbé de la sensation d'avoir l'anus ensemencé.

Tout en laissant sa queue encore dure dans mon fondement rempli de son foutre, Alain me roule une galoche très cochonne, que je lui rends en mettant la langue.

Puis il se retire, mon cul dégouline de sperme...

Deux autres m'attrapent, me remontent mon body-guêpière jusque sous la poitrine, dévoilant mon ventre plat et le provocant porte-jarretelles.

Cette vision affriolante est un électrochoc et perçue comme autant de promesses émoustillantes.

A leur décharge, vu la tenue, je peux comprendre que ce soit une incitation au viol...

Je vois dans leurs regards que ma lingerie de pute aguicheuse fouette leur appétit, que mon petit cul est comme un joyau mis en valeur dans un écrin qui attise leur libido.

Ils me font m'accroupir et me présentent leurs sexes, me les rentrant dans la bouche.

Je dois les sucer et les branler. Les sucer encore et encore.

Ils bandent comme des taureaux et me fourrent jusqu'à la gorge.

- "C'est ça, suce, ouvre bien ta bouche et suce, petite. C'est bien, comme ça oui, avale... Avale tout!"

Je manque m'étrangler tant ils me labourent la bouche comme si c'était une chatte.

Mais ça m'excite.

Savoir que c'est moi qui leur fais cet effet, que ces tiges sont gonflées de l'excitation que je leur provoque et du désir qu'ils ont pour moi, ça me rend dingue je crois, ça me rend salope et insatiable.

Je mouille ces membres turgescents avec ma langue, les lèche et bave dessus avec autant de gourmandise que tout à l'heure.

- "Bordel de merde, je ne pensais pas qu'elle pouvait le faire! Elle vient d'avaler ma bite en entier!"

- "Si tu ne pensais qu'elle y arriverait, pourquoi tu l'as enfoncée dans sa bouche?"

Quelle sorte de question est-ce?...

C'est ma première fois, ma première fois avec des hommes, ma première fois "en femme", ma première fois que je suce et me fais sodomiser...

Après un début franchement douloureux - mais rapidement jouissif quand même - j'ai maintenant envie que tous me saillissent, que tous abusent de moi et viennent fourailler ma bouche et mon petit trou.

La bouche toujours investie, je me surprends à me caresser la raie et l'anus, avant de m'introduire un doigt dedans...

Mon trou en a envie, tout mon corps en a envie en fait, de sentir ces bites durcies dans mon ventre, de sentir l'excitation de ces mâles alphas.

Les faire douter de leur sexualité comme il me font douter de la mienne.

J'ai envie qu'ils me pénètrent tous, l'un après l'autre, encore et encore, longtemps et profondément!

Ah ces salauds, ah là là comme j'aime ça!

J'ai envie de leurs énormes queues, qu'elles me défoncent le trou du cul, qu'elles me remplissent de sperme... J'ai envie que ces huit bites me liment et me fécondent.

Qu'elles me fassent bander en même temps que je jouis des fesses, ma rosette remplie de leurs chairs, mon intestin inondé de leurs semences.

Ils me mettent à plat ventre sur le billard, m'enlèvent le body-guêpière par le haut en me laissant le soutien-gorge.

Me donnent quelques claques sur les fesses.

Reluquent mon derche ainsi exposé, admirant la vue ;-)

Ils m'écartent les cuisses, me lèchent la raie du cul et me lubrifient l'anus (comme s'il y en avait encore besoin... je suis trempée) avec leur salive.

Ils me pelotent partout, me caressent la taille et les jambes, me lèchent la pastille et commencent à forcer l'entrée avec leurs doigts.

- "On va te féconder le cul, putain!"

Une queue appuie contre mon petit trou, et me pénètre. Mmmmmmmmmmmmmm!

Ils me prennent à tour de rôle.

Jambes écartées, je me fais investir par les huit gaillards l'un après l'autre.

- "J'aime comme son petit cul serre ma bite... Et j'aime comme elle couine!"

Ils me fourrent ainsi contre la table de billard en me pelotant les seins et les jambes, et moi je gémis de bonheur.

- "Putain comme ça fait du bien! Son cul est comme du velours, si chaud et glissant à l'intérieur..."

- "Nom de dieu, c'est meilleur qu'une gonzesse..."

On me retourne à nouveau, sur le dos cette fois, jambes en l'air sur le billard.

Mes deux orifices sont pris en même temps, une queue dans les fesses et une autre dans la bouche.

- "MMMMMMMMHHHHHUu uuHhMMM uUUUHMMmm UhhuuUUUUUUUHMMMMM..."

- Tu la sens ma bite? T'aimes ça hein! C'est ça, suce mon pote, avale tout pendant que je te baise!"

- "UUUhuuuu HMMuuuuUUUUmmmmm..."

La bouche totalement remplie, je ne peux pas parler.

Je sens leurs aller-retours au fond de mes intestins, de plus en plus forts.

Chaque coup coup de rein, chaque centimètre de membre viril qui me remplit le ventre, me lance une décharge de jouissance anale.

Dans cette position, ouverte et offerte, je peux voir leurs bites durcies entrer et sortir de mon cul, je vois l'excitation sur leur visage et l'effet que je leur fais.

- "Bordel, aucune chatte ne m'a jamais serré comme ça... Elle est trop bonne!"

Je sens leurs couilles taper contre mes fesses à chaque coup de butoir, leurs bites élargir ma rondelle et grossir à l'intérieur de mon rectum.

- "J'adore te baiser, petite! Ton cul est chaud et délicieux! Tu me fais jouir!"

Je devine Pascal au bord de l'orgasme, et son jus blanchâtre se répand tout au fond de mon popotin qui en redemande.

Il y a des queues tout autour de moi, elles sont énormes, je passe de l'une à l'autre pour les sucer pendant qu'on m'encule.

Ils me poutrent sans discontinuer, l'un après l'autre, comme la salope qu'ils ont fait de moi.

- "Putain de merde, ton cul est le meilleur que j'ai jamais baisé!"

Tringlée en missionnaire, les jambes écartées et levées sur leurs épaules, j'ai une bite dans le derrière, une dans chaque main et une dans la bouche, parfois deux.

Je les branle, je leur caresse les couilles, je les lèche avec gourmandise, je suce leurs sexes pendant que je me fais fouiller le trou de balle.

Ils me pistonnent ainsi un bon moment, allongée sur la table de billard et prise des deux côtés.

Après ça ils me font m'asseoir sur leurs chibres.

C'est bien, ça me permet de contrôler les mouvements, de monter et descendre en engloutissant leurs tiges dans mes fesses à mon rythme.

Mais je crois que mes pénétrations, même si elles sont profondes, ne sont pas assez "énergiques" pour eux vu l'état d'excitation dans lequel ils sont rendus...

Ils me culbutent alors à toute vitesse, telle une menue poupée rebondissant violemment sur leurs queues.

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