Être vachue s'est merveilleux 13

Stéphanie a enfin pris sa décision. Elle se dirige vers le bureau de Claudine et frappe à la porte

 Entrez, lui répond une voix de l'intérieur

Elle ouvre la porte du bureau de Claudine, et rencontre l'intéressée avec Claude. Les deux sont penchés sur un dossier de statistiques de productions des vachues. Elle leurs annonce alors sa décision de quitter la laiterie.

 Tu sais que tu es libre et que tu peux partir quand tu veux, lui dit Claude

 Oui, je sais, répond Stéphanie

 Cela nous fait de la peine que tu nous quittes, tu es une de nos meilleures productrices, lui dit-elle.

 C'est surtout à Sylvie que tu feras de la peine, dit alors Claudine.

 Oui, et je vous demande de bien la traiter. C'est une petite merveilleuse, dit Stéphanie

 Je vais prévenir Pierre pour que tu puisses reprendre ta place au journal, lui informe Claude

 Merci dit-alors Stéphanie en embrassant les deux responsables de la laiterie.

Elle sort du bureau et se dirige vers les dortoirs pour prendre les quelques affaires personnelles qui lui appartiennent. Elle profite de l'absence de Sylvie pour quitter les lieux. En arrivant dans le hall d'entrée, Martine, la réceptionniste qui l'avait reçu le premier jour, lui dit

 Tu vas nous manquer, tu sais. J'espère qu'on se reverra. Je t'appelle un taxi. Puis elle se lève et embrasse Stéphanie.

Stéphanie est donc retournée dans son appartement. Elle retrouve alors ses meubles, ses affaires et son environnement. Mais l'urgence est de se procurer un tire-lait, car ses seins commencent à se remplir de lait, et cela commence à la gêner. Elle se rend alors dans une pharmacie proche de chez elle. Le pharmacien, qui l'a déjà vu auparavant, a peine à la reconnaître tellement sa poitrine a augmenté de volume. Il pense que la jeune femme s'est fait faire une chirurgie avec des implants mammaires. Il la dévore des yeux, mais ne bronche pas. Lorsque Stéphanie lui demande le meilleur tire-lait, il comprend qu'elle a dû avoir un bébé. Il lui propose plusieurs modèles, dont un manuel du type avec une poignée que l'on presse pour créer le vide. Stéphanie l'achète. Elle retourne chez elle et s'attarde aussitôt à l'utiliser.

''Je vais devoir m'habituer à cette méthode d'extraction'', pense-t-elle.

Hélas, ce n'est pas facile de changer de méthode. Son hyper sexualisation n'est pas satisfaite. Elle installe un grand coussin à la tête de son lit. S'allonge dessus avec ses sous-vêtements. Dégrafe son soutien-gorge. Ses deux seins, gorgés de lait pointent devant elle. Elle place son tire-lait sur le sein gauche, et appui sur la détente. Un petit jet sort du mamelon, et coule dans le récipient vissé sous l'appareil. Elle répète l'opération et à nouveau un autre petit jet coule lentement dans le flacon. Comme elle ne ressent pas la jouissance qu'elle vivait avec la trayeuse, elle glisse sa main sous sa culotte et approche son index sur les grandes lèvres de son vagin qui est à peine humide. Ne trouvant pas suffisamment de jus vaginal, elle ressort son doigt et le met dans sa bouche pour y appliquer sa salive. Puis elle glisse à nouveau le doigt mouillé sous sa culotte et enduit son clitoris. Elle répète l'opération trois autres fois. Satisfaite, son clitoris bien mouillé, elle commence un mouvement circulaire autour du bouton érigé, tout en continuant l'extraction de son lait. La méthode est peu efficace. La montée de jouissance tarde à venir. Elle a beau s'appliquer à exciter son clitoris, l'orgasme n'est pas ce qu'elle s'attendait. Rien à faire, l'extase n'est pas au rendez-vous. Désillusionnée elle laisse le tire-lait de côté, et s'affaire à se masturber plus vigoureusement. Au bout de cinq minutes, un petit orgasme fait surface. Malheureusement il n'est pas très intense, et ses effets disparaissent presque immédiatement. Elle étend sa main vers le tiroir de la table de nuit et en ressort son godemiché qu'elle insère dans son vagin, presse sur le bouton pour le mettre en marche. L'appareil se met à vibrer. La tension monte en elle petit à petit, mais rien de comparable aux sensations vécues à la laiterie. L'orgasme tant attendu qui pourrait satisfaire pleinement son corps n'a pas la même intensité. Seulement quelques frissons traversent son corps. Qu'elle déception. Son lait ne sort presque pas. Les petits courants électriques qui traversent habituellement ses mamelles ne se reproduisent pas. Déçue, elle enlève le godemiché de son vagin. Elle commence à sangloter désappointée de ne pas ressentir toute la jouissance qu'elle ressentait à la laiterie. Elle se sent insatisfaite. Il faut qu'elle trouve le moyen de satisfaire son appétit de volupté. Elle en a besoin, et surtout il faut qu'elle retrouve tous les plaisirs, la passion, l'extase que son corps lui demande à bras tendus, et qu'elle puisse soulager ses seins qui offrent toujours une grosse montée de lait insistante et abondante.

'' Il faut que j'aille m'acheter un tire-lait électrique à double effet'' se dit-elle.

Elle se rhabille et sort de chez-elle, vers la pharmacie. Le pharmacien qui lui avait vendu le premier tire-lait est occupé avec une cliente. Reconnaissant Stéphanie il lui dit que sa technicienne va s'occuper d'elle.

 Alice, peux-tu t'occuper de mademoiselle?

Une jeune technicienne, bien moulée dans une blouse blanche, la reçoit avec un large sourire.

 Que puis-je faire pour vous, demande Alice, tout en ayant les yeux fixés sur la poitrine de Stéphanie

 Je voudrai un tire-lait électrique à double effet, SVP, demande-t-elle à l'employée qui est derrière le comptoir. Je suis venue acheter un tire-lait manuel, mais l'appareil ne me donne pas satisfaction. Avez-vous un appareil comme ceux utilisés à l'hôpital?

 Vous avez réellement de gros seins, et ils ont l'air d'être bien remplis, lui dit-elle.

Stéphanie rougit. Elle a peur que l'employée se rende compte qu'elle est une vachue. Mais l'employée, fait mine de rien tout en se léchant machinalement les lèvres.

 Venez avec moi dans l'arrière-boutique, je vais vous montrer les différents modèles que nous commercialisons.

Les deux femmes se dirigent vers l'arrière du magasin et Alice fait entrer Stéphanie dans une petite pièce sans fenêtres. C'est un petit entrepôt où sont ranger différents articles. Elle sort d'un rayon plusieurs modèles de tire-laits électriques à double succion.

 Enlevez votre corsage et dégrafez votre soutien-gorge, nous allons essayer ces deux marques de tire-lait.

 Pourquoi voulez-vous que je les essaye ici?

 Il faut déterminer la taille adéquate des embouts de téterelles pour qu'ils soient parfaitement ajustés à vos mamelons.

Stéphanie est gênée, mais devant l'insistance de l'employée, elle enlève son corsage et son soutien-gorge. Alice est médusée par la vision des deux seins gonflés par le lait. Elle remarque aussitôt sur ses mamelons des petites gouttes de liquide blanc qui perlent le bout des tétons.

 Ouaaahhh!!! Qu'ils sont beaux fait l'employée. Est-ce que je peux les toucher?

 Oui, mais faites attention, ils sont très douloureux répond Stéphanie.

L'employée approche délicatement son doigt, tendu, vers le sein droit de Stéphanie, et retire une goutte de liquide pour la mettre aussitôt sur ses lèvres. Elle passe sa langue et déguste le nectar avec approbation. Tout en souriant elle dit

 Votre lait est délicieux! Agréablement sucré! Je me procure parfois du lait maternel produit dans une laiterie qu'un de mes amis fréquente. C'est un client fervent. Il y va régulièrement. Il m'a dit que les femmes là-bas habitent dans l'établissement et qu'elles sont toutes volontaires et très bien traitées. Il veut qu'un jour je l'accompagne pour visiter les installations. J'ai hâte de faire cette visite. Connaissez-vous cette laiterie? Avec la taille de vos seins vous pourriez leur fournir du lait. C'est pour de bonnes œuvres m'a t- il dit.

Stéphanie reste bouche bée. Elle est surprise de voir cette jeune femme intéressée à la laiterie des vachues. Elle se demande même si par hasard elle n'aurait pas croisé son ami dans les couloirs de l'institution. Alice voit la réaction de Stéphanie, médusée par son silence. Elle pense en elle-même -- Cette femme doit sûrement connaitre ce lieu, par sa réaction je suis sûre qu'elle le fréquente assidûment.

 Bon maintenant je vais vous montrer plusieurs modèles, dit-elle.

La jeune femme prend un des modèles qu'elle déballe ainsi que quelques accessoires.

 Tout d'abord il faut choisir la téterelle adéquate.

Elle prend des deux mains le sein gauche de Stéphanie et le soupèse. En pressant la glande, un jet dru est projeté droit devant Stéphanie et atterrit sur la blouse de l'employée. Celle-ci ouvre la bouche pour absorber un second jet qui sort du sein de sa cliente, après y avoir exercé une autre pression. Le jet atterrit sur sa langue. Elle le savoure avec avidité.

 Huuummmm! C'est délicieux fait-elle

Et avant que Stéphanie ne puisse répondre, la jeune femme accroche sa bouche sur le téton éjecteur du nectar. Elle se met à téter avec vigueur. Stéphanie ressent le liquide sortir de son sein à chaque tétée. Elle ressent aussi un émoi qui s'installe profondément dans son corps. Cela lui rappelle son passage à la laiterie et au lieu de repousser l'employée, elle prend sa tête de ses deux mains pour mieux l'orienter sur sa mamelle.

 Aaahhh! C'est bon, continue, cela me soulage! Dit alors Stéphanie.

La jeune téteuse continue à extraire le délicieux liquide, tandis que Stéphanie lui caresse la chevelure avec douceur, comme le ferait une mère avec son enfant. Après plusieurs minutes de tétées, l'employée se dégage du téton et dit :

 Assieds-toi sur le fauteuil ici et je vais continuer à m'occuper de ces merveilleux seins.

Elle pousse doucement Stéphanie sur un vieux canapé qui se trouve dans la pièce. Stéphanie s'assoie et Alice s'allonge de tout son long sur les cuisses de Stéphanie. Elle applique alors sa bouche sur l'autre sein et continue la tétée. Stéphanie relève la tête en arrière en signe d'approbation. La pression dans le sein diminue à chaque tétée, la soulageant de la douleur qui s'était installée dans sa poitrine. Elle commence aussi à ressentir une douce chaleur qui envahit tout son corps : c'est l'excitation qui monte petit à petit. Elle place alors sa main sur la poitrine d'Alice qui acquiesce les caresses de l'ex vachue. Stéphanie se rend compte que l'employée ne porte pas de sous-vêtements. Alice déboutonne sa blouse tout en continuant sa tétée. Une fois la blouse toute déboutonnée, Stéphanie peut alors apprécier le corps svelte de la jeune employée. Elle a une belle paire de seins fermes qu'elle caresse lentement, et deux tétons pointant sous le contact de sa main. Après quelques massage experts Stéphanie déplace sa main vers le bas ventre d'Alice, qui écarte ses cuisses pour mieux laisser cette main explorer son bas-ventre. Stéphanie caresse le sexe offert et remarque l'humidité qui s'est installée sur les grandes lèvres du vagin d'Alice. Elle frotte délicatement le sexe de la jeune femme allongée de tout le long sur ses cuisses, et qui tète habilement son sein, la soulageant de la pression interne. Elle retire alors sa main et approche ses doigts à son nez pour humer le doux parfum de la mouille d'Alice. Cela lui rappelle une nouvelle fois les arômes de ses partenaires d'occasion, et ceux de ses camarades vachues à la laiterie. Elle suce ses doigts pour mieux déguster la sécrétion de cette nouvelle conquête occasionnelle. Alice lâche le téton nourricier et embrasse Stéphanie sur la bouche. Les deux jeunes femmes interchangent leurs salives et font marcher leurs langues vigoureusement. Après quelques minutes de contact, les lèvres se désaccouplent et Alice sourit amoureusement à Stéphanie. Celle-ci lui rend le sourire. Les deux jeunes femmes se regardent dans les yeux un bon moment en signe d'acquiescement. Elles sont toutes les deux sur la même longueur d'onde. L'excitation monte des deux côtés. Alice déplace alors sa main vers la jupe de Stéphanie, qu'elle relève lentement. Elle l'applique sur la culotte déjà mouillée de Stéphanie. Avec assurance elle déplace le tissu et caresse le sexe de l'ex vachue. Ses doigts s'imbibent de sécrétion vaginale. Elle retire sa main et l'approche de sa bouche tout en fixant son regard sur celui de Stéphanie. Elle suce délicatement son annulaire, puis présente son majeur à la bouche de Stéphanie. Celle-ci gobe le doigt mouillé de sa propre sécrétion. Alice sourit en regardant Stéphanie savourer son propre jus. Puis elle s'agenouille devant les cuisses de Stéphanie, qu'elle écarte lentement. Celle-ci, sans objection, soulève ses fesses afin qu'Alice lui retire sa petite culotte. Alice fait glisser le sous-vêtement vers les pieds de Stéphanie, tout en souriant et en ne quittant pas Stéphanie du regard. Puis baissant ses yeux, elle admire la vulve humide de cette conquête toute inespérée. Elle approche alors sa bouche vers le sexe luisant et applique sa langue sur la commissure du vagin de Stéphanie. La langue pénètre les grandes lèvres et suit le chemin qui l'approche au clitoris gonflé de sang de Stéphanie. Celle-ci ferme les yeux et émet un gloussement de satisfaction. Elle avait besoin de cet attouchement. Tout son corps le demandait avec désespoir. Alice fait bouger sa langue sur le gros pédoncule et l'aspire avidement.

 Aaaaahhhh!!! C'est si bon! glousse Stéphanie. Continue!

Alice continue son opération par aspirations intermittentes, menant Stéphanie vers un premier orgasme. Puis elle retire sa bouche et approche sa main, laissant pénétrer deux doigts dans le vagin dégoulinant de mouille. L'introduction est aisée. Elle recroqueville ses phalanges et se met à masser la partie rugueuse supérieure du vagin. Par mouvements secs elle excite le point G. Stéphanie se mord les lèvres pour ne pas émettre de cris. Elle sent sa jouissance monter. Au bout de plusieurs minutes de manipulation, un jet dru d'éjaculat sort de son sexe. Alice ouvre grand la bouche et absorbe le liquide chaud projeté grâce à ses manipulations. Stéphanie tremble de tous ses membres. Elle est sur un nuage de luxure. Elle émet des petits sons de plaisirs qu'elle essaie d'étouffer le mieux qu'elle peut afin de ne pas éveiller de soupçons chez le pharmacien qui se trouve dans le magasin. Celui-ci ne voyant pas son assistante revenir pénètre dans la pièce. Il voit les deux femmes attablées à leurs ébats. Il s'approche de Stéphanie tout en baissant la fermure éclair de son pantalon, et en ressort son phallus flasque, et le place face à la bouche de Stéphanie.

Celle-ci, les yeux écarquillés, ouvre machinalement sa bouche, et laisse le membre y pénétrer. Par mouvement de va-et-vient la verge durcit progressivement dans la bouche de l'ex vachue. L'action se poursuit quelques minutes, et Stéphanie sent le sperme envahir sa bouche. Elle l'avale tout entier d'un coup. Le pharmacien se retire lentement, referme sa braguette et quitte la salle, sans rien dire, un large sourire sur les lèvres, laissant les deux femmes seules dans la pièce. Alice, qui s'était appliqué pendant se temps à masturber le sexe de Stéphanie, retire sa main et lui dit :

 Maintenant fais-moi jouir. Elle lui présente une ceinture gode et aide Stéphanie à se la fixer autour de sa taille.

Stéphanie se place derrière Alice qui s'est penchée appuyant ses mains sur le dossier du fauteuil et pénètre graduellement la jeune assistante. Après plusieurs coups de rein Alice atteint elle aussi l'orgasme. Les deux femmes se séparent et reprennent ensemble leurs souffles. Elles s'embrassent avec fougue. Leurs langues s'entremêlent et leurs salives se mélangent intimement. Puis elles se séparent et Alice remet sa blouse. Elle dit-alors :

 Bien, regardons maintenant ce dont tu as besoin.

Je pense qu'en fonction de tes aréoles et la taille de tes mamelons, cette téterelle fera l'affaire.

Elle applique sur le sein de Stéphanie, un embout avec coussin masseur de taille extra-grand. En temps qu'experte, elle ajuste l'objet et vérifie qu'il s'applique convenablement sur toute la masse de chair.

 Oui, celui-ci s'ajuste parfaitement. Il ne laissera pas passer l'air lors de la séquence d'aspiration. Tu vois! Avant de l'appliquer tu dois humidifier l'aréole, puis tenir la téterelle parfaitement horizontale et exercer une certaine pression sur la glande. Bien, maintenant nous allons essayer le tire-lait.

Après avoir essayé les différents modèles, Alice recommande le deuxième.

 Il est un peu bruyant, mais c'est celui qui tire le mieux. Nous allons l'essayer.

Elle place les téterelles aux boyaux du tire-lait, les applique à nouveau sur les seins de Stéphanie et met en route le tire-lait. Celui-ci aspire les deux mamelons de façon alternée en laissant le lait couler vers les récipients associés.

 Est-ce que cela va? Demande Alice. On voit qu'il tire bien. Je pense que c'est le meilleur pour satisfaire tes besoins et soulager ainsi tes montées de lait.

 Bon, je l'achète, dit alors Stéphanie, qui se rhabille. Les deux femmes retournent dans la pharmacie, et Stéphanie paye sa nouvelle acquisition.

Elle retourne chez-elle et se met aussitôt à la tâche. Son nouveau tire-lait arrive à extraire un volume de lait un peu plus important que l'autre, mais ne peut se comparer aux trayeuses de la laiterie.

'' Bon tant pis! Pense-t-elle. Je devrai m'habituer à ce changement de vie. Par contre au bureau, il faudra que j'utilise le tire-lait manuel. Celui-ci fait effectivement trop de bruit.