Être vachue s'est merveilleux 12

Être vachue c'est merveilleux. Chapitre 12 par Lemaringouin

12. Le cas de conscience.

Après quelques heures de relaxation sur le futon de la chambre Rose, Stéphanie reprend peu à peu ses esprits. Depuis le départ de ses visiteurs, elle a revue en image toutes les scènes vécues, ressenti dans tout son corps tous les émois de chaque plaisir sensuel qu'elle a subi. Toutes les parties sensibles de son corps ont été honorées : ses seins avec ses mamelons ultra sensibles, son sexe gourmand de volupté, son œillet anal, qu'elle a découvert comme source de plaisir intense, sa facilité à éjaculer pour se convertir en vraie femme-fontaine, bref, toutes les cellules de son corps qui, en harmonie absolue, lui ont fait éprouver le bonheur parfait, la jouissance universelle. Toutes les images qu'elle se remémore font couler ses secrétions vaginales le long de ses entre-cuisses. Le liquide chaud mouille son périnée et dégouline sur son anus. Cet état post-orgasmique dure une bonne heure. Les effets de l'aphrodisiaque commencent à s'estomper.

Reprenant petit à petit ses esprits, Stéphanie se lève. Elle aperçoit alors une liasse de billets placés sur le futon. La taille de cette liasse est encore plus imposante que celle laissée pour Sylvie sur la table de nuit. Du coup des larmes mouillent ses yeux. Des sanglots incontrôlables secouent sa poitrine. Elle se sent souillée. ''Je ne suis pas une prostituée'' se dit-elle.'' J'aime les plaisirs sexuels, mais pas pour l'argent. Seulement parce que je suis très sensible, et que le plaisir charnel m'est indispensable''. Elle prend la liasse de billets et sort de la chambre Rose. Elle court alors dans le corridor pour aller se réfugier dans sa chambre. Lasse et déçue, elle se jette sur son lit en larmes. Sylvie qui se réveille à peine, est surprise par l'attitude de sa compagne de chambre. De gros sanglots secouent tout le corps de Stéphanie. Sylvie se lève et s'approche du corps en convulsion.

 Que se passe-t-il lui demande-t-elle doucement

Elle n'obtient pas de réponses. Inquiète, elle se couche à côté de la vachue en pleurs

 Voyons chérie, que t'arrive-il? Tes partenaires t'ont mal traité? Ils t'ont fait mal?

 Non! Répond Stéphanie entre deux sanglots.

 Mais alors pourquoi tu pleures?

Stéphanie ne répond pas, mais au contraire gémit encore plus fortement. Sylvie déconcertée, lui caresse les joues. Elle pense que Stéphanie est désenchantée de sa partie de fesses. La partouze ne l'a peut-être pas satisfaite. Elle n'a pas atteint l'orgasme qu'elle s'attendait. Elle a besoin de plus de câlins pour faire jaillir tous ses émois charnels. Elle se met alors a lui donner des baisers tendres et délicats sur les joues. Puis elle embrasse sa compagne sur les paupières mouillées des larmes de la vachue. Elle se lèche les lèvres pour gouter au liquide salé de sa compagne. Puis elle essaie de l'embrasser sur les lèvres. Stéphanie, toujours en sanglots, la repousse sèchement. Interloquée Sylvie lui demande :

 Qu'est-ce qui t'arrive? Normalement tu ne me rejettes pas comme ça. Explique-toi s'il te plaît.

Après quelques minutes où Stéphanie arrive enfin à contrôler ses impulsions, elle lui dit :

 Moi aussi j'ai reçu des billets de banque. Les visiteurs m'ont payé. Tu comprends? Je ne suis pas une fille de joie! J'aime être vachue, mais je ne suis pas une prostituée!

 Mais bien sûr que non! Nous ne sommes pas des débauchées. Nous sommes ici pour une raison sociale : produire du lait pour le bien être d'autrui : des enfants, des mères qui ne peuvent pas allaiter. C'est une très belle action. En plus s'est agréable lorsque les trayeuses nous extraient notre jus nourricier. N'est-ce pas?

 Oui! Je sais!

 Comme en plus nous sommes hypersexuées, nous profitons des avantages de notre conditions pour nous faire plaisir. Tu aimes lorsque les autres vachues s'occupent de tes parties sensibles, n'est-ce pas?

 Oui! Bien sûr!

 Tu as apprécié ta soirée avec la comtesse. Elle t'a fait découvrir de nouvelles sensations, de nouveaux plaisirs charnels, tu as découvert que tu pouvais éjaculer et tu es devenue une vraie femme fontaine, à notre grand plaisir à toutes. Donner du plaisir aux autres, c'est aussi merveilleux. Tu aimes nous cajoler, nous faire crier d'extase. Le faire avec nos clients, c'est pareil, voyons. Tu leur donne ton amour, comme à nous, et eux ils jouissent aussi. Donc c'est leur façon de te remercier. Ils nous laissent des cadeaux en argent, ce qui nous permet de nous acheter ce que nous voulons. Si tu ne veux pas le dépenser maintenant, tu peux le garder pour le futur, pour tes vieux jours. Tiens, justement, l'autre jour je me suis acheté un nouveau vibromasseur par Internet. Il est sensationnel.

Sylvie se tourne vers la table de nuit et en ressort l'objet de plaisir du tiroir. C'est un objet avec plusieurs godemichés, pouvant satisfaire le vagin, le point G, l'anus et le clitoris de l'utilisatrice, en même temps. Elle s'approche de Stéphanie et s'apprête à l'insérer dans les trous sensuels de Stéphanie.

 Non! Pas maintenant. Je suis comblée du côté sexuel. Mes partenaires m'ont vraiment gâté, et je suis complètement satisfaite. Laisse-moi reprendre mes forces. Nous pourrons jouer ensembles plus tard, mais maintenant je veux me reposer et réfléchir.

 Tu sais que si tu ne veux pas de cet argent, tu peux le donner à Claudine pour le remettre à l'orphelinat où j'ai été élevée et qui m'a préparé pour la vie d'adulte. En sortant de l'orphelinat, j'ai mal tourné, mais heureusement le juge m'a donné la possibilité de me racheter avec la société, en m'envoyant ici à la laiterie. Si quelqu'un m'avait donné de l'argent à la sortie de l'orphelinat, je n'aurais pas commis tous les larcins qui m'ont envoyé devant le juge.

 Oui! D'accord, je vais y penser.

Sylvie laisse sa camarade de chambre pour aller se faire traire. Stéphanie, plus calme, se met à penser à tous les évènements qui se sont dérouler depuis qu'elle a été forcée à se convertir en vachue. Après quelques minutes elle s'endort, exténuée.

Deux heures plus tard, Sylvie revient dans la chambre. Elle trouve Stéphanie, assise sur son lit, sérieuse et dubitative. Ayant un caractère plutôt enjoué, Sylvie se doute que dans la tête de Stéphanie, les pensées se bousculent.

 Tu réfléchies toujours à ce que tu m'as dit tout à l'heure?

 Oui! Je cherche toujours à comprendre la situation.

 Écoute! Au lieu de te creuser la tête, pourquoi tu ne profites pas de nos conditions de vie ici. On est logées, nourries et en plus on profite des plaisirs qui sont mis à notre disposition. Côté santé, Véronique est là pour nous soigner. Côté alimentation, la nourriture est très bonne. Le logement est agréable. Tu as des amies ici qui t'apprécient et te cajolent et en plus tu peux satisfaire tes impulsions sexuelles homo et hétérosexuels quand tu le veux. Que veux-tu de plus? Ne trouve-tu pas merveilleux de sentir dans ton corps, le lait qui monte? Le lait qui arrive au bout de tes tétons? Le lait qui jaillit à grosses giclées lorsque la trayeuse aspire tes mamelons? La jouissance d'être sur la table de traite et sentir le courant électrique passer du bout de tes tétons, courir le long de ton ventre pour atterrir dans ton vagin? Sentir la mouille couler le long de tes cuisses? Et même, pouvoir profiter de tous les instruments de plaisir mis à notre disposition? Le contact avec les autres vachues?

 Si! Si! je sais tout ça!

 Veux-tu un conseil? pourquoi ne vas-tu pas parler avec Claudine! Elle t'apprécie énormément et te sera de bon conseil.

 Oui! je vais lui en parler.

Sur ce, Sylvie s'allonge sur le lit de Stéphanie, et l'accrochant par le cou, l'oblige à s'étendre à côté d'elle. Elle lui caresse les cheveux et avec une main essuie les larmes de ses yeux.

 Tu es belle, et je suis chanceuse de partager cette chambre avec toi. Je ne veux pas que tu partes! J'ai déjà été abandonnée dès l'enfance. J'ai trouvé en toi une vraie amie, une sœur, que dis-je une mère. Tu te préoccupes de moi. Tu veilles sur moi. J'ai besoin de toi.

Des larmes commencent à mouiller les yeux de Sylvie et coulent le long de ses joues. Stéphanie regarde le beau visage de cette jeune vachue, qu'elle a prise sous ses ailes. Elle aime sa chevelure rousse feu, ses yeux bleu foncé, son regard de petite fille, sa poitrine très développée. Elle comprend que cette jeune fille a besoin de soutien. D'être guidée pour ne pas tomber à nouveau dans le mauvais chemin. Elle prend la tête de Sylvie et la tire vers elle, pour l'embrasser. Sylvie commence à sangloter.

 Ne pars pas s'il te plaît! J'ai besoin de toi, de tes conseils, de la chaleur de ton corps, de ton amour inconditionnel.

 Shhuuuuttttt! Lui susurre doucement Stéphanie.

Puis elle l'attire pour lui faire poser sa tête sur sa propre poitrine. Sylvie se laisse guider et s'allonge perpendiculairement à Stéphanie, appuyant sa tête sur le sein gauche de son amie. Toujours en pleurs, elle regarde Stéphanie dans les yeux qui lui sourit tendrement. Instinctivement, Sylvie, qui sent le téton de Stéphanie se raffermir, habitué à durcir par tous les traitements infligés, sur sa joue droite, attrape le mamelon avec la bouche et se met à téter le lait qui déjà rempli la glande mammaire. Stéphanie regarde cette face angélique qui tète son lait comme une petite fille affamée. Elle caresse les cheveux de la jeune fille, comme une mère caresse son enfant pendant l'allaitement. Elle sait que cette petite, qui est très sensible, a besoin d'elle. Elle lui donne de doux baisers sur le front tout en caressant ses joues. Sylvie continue à téter à grandes gorgées. Elle savoure le chaud liquide qui sort de la mamelle de son amie. Stéphanie commence à ressentir le fourmillement qui part du bout de son tétons, traverse son ventre et termine sa course au niveau de son clitoris. Elle halète doucement pour ne pas perturber la petite vachue, mais elle ressent, elle aussi, les mini orgasmes qui se traduisent par ses contractions pelviennes. Sylvie ouvre alors les yeux et sourit, comprenant fort bien ce qui chambarde tellement son amie. Le plaisir sexuel de donner son sein. Puis elle remarque une petite goutte de lait au niveau du sein gauche de Stéphanie. Cette petite goutte se convertie rapidement en petits jets, expulsés vers le devant de la vachue nourricière. Stéphanie, dans sa transe, ne remarque pas le fait. Sylvie prend alors le bout du pis avec ses doigts et dirige le jet de lait sur son sexe. Stéphanie ouvre les yeux et sourit à la petite rouquine. Elle l'embrasse à nouveau délicatement sur son front. Sylvie prend alors la main droite de Stéphanie et la dirige sur son clitoris. Celle-ci comprend immédiatement ce que la jeune vachue requière : un massage circulaire sur le petit gland, humide et durcit par la tétée. Elle sourit et commence à faire tourner son index en appuyant fermement sur le gland recouvert de son capuchon. Le geste précis fait que le bout de chaire apparaît en dehors de sa protection. Elle masse le bouton de plaisir ce qui se traduit par une tétée plus intense de la jeune vachue, qui exprime son contentement avec des sons sourds de satisfaction tout en augmentant la déglutition du nectar nourricier. Après quelques minutes de manipulations précises, Sylvie lâche le pis, car elle ressent l'orgasme s'approcher inexorablement.

 Aaaaahhhh!!! Je viens. Ooouuuiiiiiiii!!!! C'est bon! Je vais jouiiiiiirrrrr!!!!

Ses membres se mettent à trembler. L'extase est à son comble! Stéphanie ressent aussi par contagion, l'orgasme transpercer son sexe. Les deux femmes jouissent en même temps. Toutes deux ont les yeux fermés et émettent des sons de gratification. Les deux mamelles de Stéphanie continuent de couler pendant encore quelques instant, le temps que dure l'état extatique des deux vachues. Puis exténuées de tant de plaisirs sexuels, s'affaissent ensemble sur le lit. Elles s'endorment entrelacées, un large sourire aux lèvres. Leur somme dure une bonne demi-heure, puis Stéphanie ouvre les yeux et embrasse Sylvie sur les lèvres. Ce geste amical réveille la petite vachue qui ouvre ses yeux à son tour. Les deux vachues se lèvent et se préparent pour aller au réfectoire, prendre leur repas. Sylvie est prête la première et quitte la chambre. Stéphanie, plus lente, avec toujours ses réflexions dans la tête, la suit une demi-heure plus tard. En arrivant dans le réfectoire, elle remarque que Sylvie est en pleine conversation avec Claudine. Elle n'y prend pas plus d'attention et va chercher son repas, puis s'assoit à une table. Claudine s'approche d'elle et lui dit :

 Sylvie me dit que tu voudrais me parler. Viens après dans mon bureau, on sera plus tranquilles. Puis elle quitte la salle à ses occupations journalières.

Stéphanie n'en veut pas à Sylvie d'avoir bousculé les choses, mais elle doit impérativement mettre de l'ordre dans ses pensées. Elle quitte le réfectoire et va dans sa chambre méditer. Au bout d'une heure elle décide d'aller voir Claudine. Elle cogne à la porte de son bureau.

 Entre! lui dit Claudine. Qu'est ce qui ne va pas.

 J'ai un problème avec ce qui se passe ici. J'ai reçu de l'argent après avoir passé l'après-midi d'hier avec nos clients. Je pensais que ce que nous faisions était pour le bien de la société. Donner notre lait, satisfaire nos clients.

 Oui, je comprends ce que tu ressens, mais parfois, nos clients, en guise de satisfaction, veulent plaire à nos partenaires. Ils te laissent de l'argent pour te montrer qu'ils ont passé un bon moment avec toi.

 Oui, peut-être, mais ils m'ont dit qu'ici c'était un club sélect, un club échangiste.

 En effet, certains clients viennent avec leurs femmes, mais ne veulent pas passer leurs moments de détente ensembles. Ils choisissent leurs compagnons de jeux sexuels.

 Tu m'as dit que nous les vachues ont était pas obligées de rester dans l'institution. Que je pourrais partir quand je veux

 Effectivement. Nous n'attachons personne ici. L'arrivée des vachues est peut-être forcée au début, mais c'est pour leurs biens, pour qu'elles puissent jouir après quelques sessions, de tous les avantages de rester parmi nous, d'exalter leurs besoins de plaisirs charnels avec des jouissances sans bornes. Faire ressortir leurs fantasmes, leur faire prendre conscience de leurs potentiels à recevoir et à donner du plaisir, tout en faisant avec leurs corps du bien pour la société en général. Mais personne ici t'oblige à rester parmi nous. Tu peux reprendre ta vie antérieure, personne ne te retiendra. Ce sera ton choix. Ici nous t'offrons toutes sortes de services, en retour toi tu donnes ton lait pour les plus démunis, et tu profites des plaisirs que nous donnons aussi à nos clients.

 Mais c'est presque de la prostitution

 Mais non! Tu n'offres pas ton corps dans la rue ou dans un bordel, comme les filles de joie, tu profites de la volupté que nos clients viennent chercher parmi nous. Tu ne fais pas semblant! tu rentres dans leurs jeux sexuels et tu en jouies. Ce n'est pas la même chose. Je pense que tes idées sont confuses. Le mieux c'est que tu prennes un peu de temps pour réfléchir à tout ça et si tu veux demain tu peux m'en parler. Allez! retourne dans ta chambre et pense à tout ce que je t'ai dit, et demain tu me donneras ta réponse.

Stéphanie sort du bureau de Claudine et retourne dans sa pièce, Allongée, seule sur le lit, elle commence à réfléchir. Que faire, rester dans cette institution? Profiter des plaisirs qu'elle partage avec les autres vachues, ses compagnes? Elle s'est faite de nouvelles amies! Elle aime les rapports charnels qu'elle vit avec toutes les vachues avec qui elle a passé des moments de plaisirs, de jouissance! Elle aime donner son lait. Se faire traire. Sentir le lait monter dans ses seins, se diriger vers ses mamelons qui sont aspirés alternativement par la trayeuse. Sentir le délicieux picotement qui se manifeste du bout de ses tétons, traverse sa poitrine, et se dirige, en passant par ses entrailles pour rejoindre le point le plus sensible de son corps, son clitoris. Sentir l'orgasme monter en elle et traverser le point de non-retour. Elle adore les moments de volupté qu'elle passe avec les autres vachues. Leur donner du plaisir, même de l'amour et en recevoir à son tour. Découvrir de nouvelles passions chez elle : le sexe anal qu'elle n'avait jamais abordé de cette façon-là, le plaisir d'éjaculer sans retenue, sans pouvoir se retenir : la jouissance extrême. Claire, qui l'a prise un peu sous son aile. Sylvie, vulnérable, qu'elle cajole comme si elle était sa petite fille.

D'un autre côté, devoir satisfaire des clients, des inconnus. Ce n'est pas que cela lui déplaise d'entrer dans leurs fantasmes sexuels, d'être un peu leur jouet. Mais elle ne veut pas recevoir en retour de l'argent, Se sentir souillée. Même si ces gens profitent de ses atouts corporels, de son inexpérience parfois, de sa vulnérabilité. Elle se sent prise dans un engrenage, qui ne lui déplait pas, bien au contraire, mais qui est déroutant! C'est contre certains principes qui proviennent de son éducation. Elle retourne toutes ces idées, dans tous les sens et passe l'après-midi à creuser ses méninges. Le soir n'ayant toujours pas de réponses elle se couche su lit. La nuit porte conseils dit-on! Sylvie ne viendra pas car elle passe la nuit avec Anaïs, la dernière vachue arrivée dans la laiterie. Au petit matin, Stéphanie se réveille. Ça y est, elle a résolu son problème. Elle sait ce qu'elle va dire à Claudine. Elle sort de la chambre et d'un pas décidé se dirige vers le bureau de l'assistante de Claude. Elle cogne à la porte.

 Entrez, entend-elle

Elle ouvre la porte, Claudine est assise dans son bureau. Claude est auprès d'elle, penché sur des dossiers que lui montre Claudine. Stéphanie referme la porte.

FIN

Épilogue : Chère Lectrice, Cher Lecteur :

Ici s'achève mon histoire avec Stéphanie la Vachue. À vous maintenant de reprendre le flambeau. Que fait Stéphanie : elle quitte l'institution? reprend sa vie antérieure, sa carrière professionnelle? ou bien, au contraire, elle reste dans la laiterie Au Bon Sein? reprend les plaisirs charnels sans limite d'être une vachue?

À vous de continuer mon histoire et de me faire parvenir, si vous le voulez bien, vos textes et réflexions.

Merci d'avoir participé avec moi aux aventures de Stéphanie La Vachue, car Être Vachue c'est MERVEILLEUX!