Être vachue s'est merveilleux 14

Informations sur Récit
Une journée au bureau.
3.3k mots
4.5
7.7k
0

Partie 14 de la série de 22 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/16/2019
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Une journée au bureau

Cela fait maintenant plus de trois semaines que Stéphanie a quitté la laiterie. Elle arrive tant bien que mal à extraire le lait de ses seins, mais elle n'obtient pas l'extase qu'elle subissait là-bas. Elle a beau frotter son clitoris avec vigueur, utiliser ses godemichets avec attention, rien ne fait. Elle s'en désole fortement, se bat pour ne pas penser aux merveilleux moments passés avec ses compagnes, mais elle n'a pas l'intention de retourner dans la laiterie. Elle se fait force pour résister aux désirs que son corps demande avec insistance : retourner vivre les moments de jouissance maximum. Son seul problème est qu'elle doit extraire son lait au plus toutes les deux heures, sinon la douleur devient intolérable. Les jours passent ainsi, avec ses luttes internes, ses extractions périodiques avec le tire-lait appliqué sur ses mamelons. Chaque séance, pour vider ses gros seins, dure au moins vingt minutes. Ce qui la contrarie le plus, c'est qu'avec ses tire-laits aux embouts trop courts, la pointe de ses tétons cogne sur le fond des téterelles, bloquant ainsi l'extraction aisée du lait. Il faut qu'elle fasse attention de ne pas boucher l'orifice de succion relié à la petite pompe à vide de l'appareil. À la laiterie, les téterelles sont plus allongées, comme celles des trayeuses pour vaches, empêchant que leurs pis ne bloquent la succion.

Stéphanie a repris son travail au journal. Elle a retrouvé son bureau, qui heureusement n'a pas de fenêtres extérieures. Elle peut donc fermer sa porte et toutes les deux heures s'employer à extraire le lait que ses seins produisent avec profusion. La technique n'est pas parfaite, car elle doit utiliser le tire-lait manuel, l'autre étant trop bruyant, mais au moins cela lui permet de soulager les douleurs internes produites par l'accumulation du lait produit. Elle s'attache alors à écrire son article, celui que Pierre lui avait demandé quelques mois auparavant, mais maintenant en y ajoutant son expérience personnelle. Elle veut dénoncer, dans son papier, les à-côtés de cette industrie, subventionnée par le gouvernement. Au bout d'un travail acharné, elle est satisfaite de son article. Et un soir, elle le présente à Pierre qui lui dit :

Ah! tu as fini ton enquête. Laisse-le là. Je vais le lire ce soir chez moi et demain on en parlera.

Ah? Fait Stéphanie, un peu déçue de ne pas avoir une approbation rapide de Pierre

Oui! Il faut que je le lise à tête reposée. Rentre chez toi et ne t'inquiète pas demain on pourra l'envoyer à l'impression.

Stéphanie laisse le document dans les mains de Pierre et se dirige vers son bureau pour prendre ses affaires et rentrer chez-elle. Arrivée chez elle, elle se prépare un bon bain d'eau chaude, enlève ses vêtements et se laisse glisser dans l'eau douce et invitante, tout en connectant le tire-lait électrique sur ses mamelons. C'est la meilleure façon qu'elle a trouvé pour faciliter l'extraction de tout le lait qu'elle porte dans sa poitrine. Après un souper frugal, elle se met au lit et s'endort.

Le lendemain, elle part au bureau de bonne heure. Elle veut rencontrer Pierre à première heure et avoir son approbation pour l'article qu'elle a écrit, dénonçant les agissements dans les laiteries de femmes vachues, la tolérance des autorités et l'utilisation de ces lieux par le gouvernement, pour éduquer les orphelines ou pour punir les délinquantes au nom de leur utilité pour la société. Pierre entre dans son bureau.

Bonjour Stéphanie. Nous allons revoir ton article. Viens dans la salle de réunion, nous serons plus tranquilles. Je dois aussi te dire qu'il y a déjà un fonctionnaire du gouvernement. Il veut lire ton article avant que nous l'imprimions.

Ah? et pourquoi ça?

Et bien parce que le gouvernement subventionne ces institutions et qu'il a droit de regard. Ne t'en fais pas, en général il ne voit pas de problèmes à ce que nous écrivions sur les bienfaits de cette industrie.

Stéphanie, désappointée de lève pour suivre son patron. Elle aurait voulu avant extraire du lait de ses seins, car cela fait plus d'une heure qu'elle ne l'a pas fait. Tous deux pénètrent dans la salle, où un homme d'une trentaine d'année est debout devant la fenêtre. C'est un beau garçon, svelte et bien musclé. Il a les yeux clairs, mesure 1, 75 mètres et porte une barbe bien taillée. La vision de ce bellâtre réconforte Stéphanie. Elle pense qu'il n'aura pas d'objections sur son travail. Par contre la salle de réunion est une peu surchauffée, ce qui, l'interpelle un peu. Heureusement qu'elle s'est vêtue légèrement, puisque la saison est en plein été. Elle porte un corsage léger, et une jupe évasée de mousseline.

Stéphanie, je te présente Richard. Il travaille pour le ministère de l'élevage et l'agriculture. Il va nous aider à vérifier les arguments que tu détailles dans ton article.

Bonjour Stéphanie. Je suis enchanté de faire votre connaissance. Pierre m'a bien parlé de vous et de votre entière implication dans le sujet qui nous intéresse. C'est rare de rencontrer des journalistes qui s'engage totalement dans les thèmes qu'ils traitent dans leurs articles.

Bien asseyons-nous maintenant et commençons, dit Pierre.

Stéphanie prend une chaise, et Pierre et Richard s'assoient de chaque côté d'elle. Chacun ouvre le dossier qui se trouve devant eux.

Est-ce que tu boirais quelque chose Richard? demande Pierre.

Oui, je prendrai bien une bière. Il fait assez chaud et nous ne sommes qu'à la mi-été.

Je nous amène alors trois bières

Stéphanie aurait préféré un verre d'eau, mais Pierre est déjà sorti de la salle. Richard se tourne alors vers Stéphanie et lui dit :

J'admire votre dévotion pour votre travail. Je crois que vous avez passé trois ou quatre mois dans une de nos institutions, pour vous pénétrer pleinement dans la peau d'une candidate. C'est très louable à vous.

Stéphanie ne peut pas avouer qu'elle a été forcée à le faire, et pour ne pas perdre la face, elle acquiesce avec un large sourire. Pendant ce temps, Pierre revient avec trois grands bocks de bière fraîche.

Trinquons pour le succès de cette rencontre et pour l'article de Stéphanie, dit-alors Pierre.

Chacun prend son verre et tous trois trinquent et boivent une bonne gorgée de liquide frais.

Bien regardons de plus près ce que vous avez écrit, Stéphanie, dit-alors Richard. Le premier paragraphe est tout à fait correct. Vous décrivez très justement les installations, leurs conforts et aménagements. C'est parfait. Regardons maintenant le deuxième qui fait références aux candidates. Lorsque vous dites que le gouvernement profite des délinquantes en les envoyant là, ce n'est pas l'objectif. Nous leur permettons de se réinsérer dans la société en substituant leur peine de prison par une action favorable à la société et de reprendre le droit chemin. De même, votre référence aux orphelines .........

L'analyse de l'article continue dans le détail, point par point, pendant une bonne heure. Stéphanie commence à ressentir le besoin d'aller à la salle de bain. Sa vessie commence à se remplir, grâce à la bière qu'elle ingurgite. En plus ses seins commencent à être un peu trop chargés et sont douloureux. Cela fait presque trois heures qu'elle n'a pas extrait le liquide nutritif qu'ils produisent. Pour cacher son désarroi, elle commence à se dandiner légèrement sur la chaise, à frotter ses cuisses l'une contre l'autre, à bouger les épaules afin de soulager la pression de ses seins sur son soutien-gorge. Richard remarquant le manège lui :

Est-ce que tout va bien Stéphanie? Je te vois un peu troublée. Je peux te tutoyer, n'est-ce pas?

Non tout va bien, mais il faudrait que j'aille aux toilettes

Non, ce n'est pas le moment, nous sommes en pleine évaluation de ton article. Je vois aussi que tu sembles dérangée par ton soutien-gorge!

Richard passe sa main sur la poitrine de Stéphanie, soulevant délicatement le sein droit prisonnier dans ses vêtements.

Ouhhh! Mais ces seins sont très durs et gonflés. Cela doit te faire mal! Laisse-moi te montrer comment te soulager sans trop te faire remarquer. Lève-toi, et je vais te montrer comment les masser.

Stéphanie se lève et Richard se place derrière elle. De ses deux mains il masse doucement les glandes mammaires. Cela soulage effectivement la jeune femme. Il a la méthode et sait ce qu'il fait. Pierre qui se trouve devant Stéphanie, commence à déboutonner son corsage. Il dégage le vêtement sur les épaules de sa collaboratrice et laisse apparaître le soutien-gorge qui supporte les deux mamelles. Richard continue de masser les glandes, puis dégage les bretelles du sous-vêtement permettant ainsi à ses mains de rentrer en contact avec la peau de Stéphanie. Pierre dégrafe le soutien-gorge par la fermeture qui se trouve entre les deux bonnets, ce qui a pour effet de dégager les deux seins gonflés à bloc par le jus qu'ils contiennent. Ceci soulage Stéphanie, qui ne peut réagir, vu la rapidité à laquelle se sont déroulés les évènements. Richard continue le massage en faisant glisser ses mains chaudes de la base des seins vers les mamelons. Des gouttes de lait perlent sur le bout des tétons.

Oh!!! fait-il, il faut extraire le lait le plus tôt possible, car je suis sûr qu'ils deviennent douloureux.

Je vais demander à Claudine d'amener l'équipement que tu as apporté avec toi, répond Pierre.

Stéphanie est surprise d'entendre que Claudine est là. Cela fait un temps qu'elle ne l'a pas vu. Elle s'en réjouit à l'intérieur, mais elle trouve que la situation est plutôt embarrassante. Claudine entre dans la salle de réunion en poussant un charriot, qui ressemble plus à une table de traite, comme celles que Stéphanie a utilisé à la laiterie. Elle embrasse Stéphanie et lui dit :

Bonjour Stéphanie, cela fait un bail que nous ne nous sommes vues. Je vois que tu vas bien, mais, en regardant ta poitrine il me semble qu'il est urgent que nous en extrayions le lait. Viens, monte sur la table. Cela ne prendra que quelques minutes et tu seras soulagée.

J'ai besoin d'aller uriner gémit Stéphanie.

Pierre passe alors la main sous la robe de Stéphanie et l'applique sur la culotte de sa collaboratrice. Il la ressort toute mouillée. Il l'approche à ses narines et sent l'odeur qui s'y dégage.

Oui, c'est vrai, cela sent l'urine, mais en plus on sent le jus de l'excitation. Tiens! sentez. Il approche sa main et Richard et Claudine reniflent l'effluve qui en émane.

Oui, disent-ils, cette petite est en train de s'exciter. Cela sent fortement la cyprine. Il faut vite faire quelque chose.

Non! il faut avant que j'aille aux toilettes, répond Stéphanie.

Ne t'en fais pas lui dit Claudine, sur cette table tout est prévu. Allez monte!

Stéphanie, aidée par les deux hommes se positionne à quatre pattes, sur deux coussinets surélevés fixés le long de la table, qui ont la forme des jambes. Ses genoux sont calés dans le creux des coussinets. Claudine en profite pour boucler les lanières avec velcro, retenant et immobilisant ainsi les jambes et les poignets de Stéphanie. Richard pendant ce temps a enlevé le corsage de la jeune femme et retiré son soutien-gorge, laissant pendre les deux mamelles gorgées de lait. Les veines bleues courant le long des seins dénotent la quantité de lait emmagasiné dans les glandes. Richard reprend alors le massage des mamelles, tandis que Claudine approche deux téterelles allongées, reliées à la trayeuse, installée sous la table. Pierre branche l'appareil à la prise de courant située sur un mur proche et démarre la pompe à vide. Les deux pis de l'ex-vachue pénètre profondément dans les tunnels laissant déjà sortir des jets continus de lait. L'alternance des succions soulage les mamelles de Stéphanie, tout en la contentant complètement. Cela lui rappelle ses agréables séances de traite à la laiterie. Pierre se place derrière Stéphanie et relève sa robe jusqu'aux hanches, laissant apparaître le string rouge de la jeune femme.

Je vois que tu aimes toujours porter des strings. Le cordon du vêtement passant entre tes fesses frictionne ton œillet anal lorsque tu marches, et cela te plaît, n'est-pas?

Stéphanie, trop occupée à retenir le liquide de sa vessie, ayant en plus les jambes écartées, ne répond pas, mais rougit, ce que remarque aussitôt Richard. Pierre sort alors une paire de ciseaux de sa poche et coupe la cordelette du string, laissant à découvert l'anus de Stéphanie. Il prend ensuite un tube de lubrifiant qu'il avait placé dans sa poche au préalable et enduit les contours du petit trou. Il insère ensuite son doigt pour bien graisser le colon. Stéphanie essaie de bouger ses hanches, mais étant retenue par les lanières à velcro, se rend vaincue et laisse le doigt rentrer profondément et faire son travail, ce qui lui donne tout de même, une certaine satisfaction sensuelle. Elle émet un léger soupir de contentement. Pierre sort ensuite un plug de son autre poche et le place juste à l'entrée de l'œillet. Il pousse lentement et laisse pénétrer l'instrument profondément dans le canal anal. Stéphanie soupire plus fortement. Les souvenirs de son passage à la laiterie refont surface. Sa respiration s'accélère de plus en plus. Claudine place entre les cuisses de Stéphanie un récipient allongé, en forme de haricot, comme ceux utilisés dans les hôpitaux, puis elle dit :

Maintenant, laisse-toi aller! largue ton pipi, il n'y a pas de danger que tu nous mouilles.

Stéphanie, qui ne pouvait plus se retenir, laisse sortie un jet puissant d'urine qui coule dans le récipient.

C'est bien! Dit Richard. Tu fais exactement ce que les vaches font lorsqu'on les traite! Elles pissent avec abondance. Il paraît que ça leur donne un certain plaisir. C'est une vétérinaire de notre ministère qui me l'a dit. D'ailleurs je suis sûr qu'elle aimerait bien être ici. C'est une spécialiste des vaches et elle va aussi dans les laiteries des vachues. Elle m'a dit aussi que pouvoir expulser tout leurs jus en même temps, facilite ensuite l'accouplement avec un reproducteur. Je pense qu'on va pouvoir en faire l'expérience ici avec une femme qui se sent entièrement vache comme toi Stéphanie.

Il fait un clin d'œil à Pierre et à Claudine, avec un large sourire narquois.

Claudine se place alors devant Stéphanie et tout en ouvrant la veste qu'elle porte, laisse apparaître ses deux mamelles gonflées elles aussi de lait. Elle en prend une d'une main et l'approche de la bouche de Stéphanie. Celle-ci qui a vu toute la scène, ouvre instinctivement la bouche et aspire avidement le téton allongé et dur de son amie. Elle commence à téter goulument l'appendice qui laisse sortir le lait tiède et crémeux. Elle avale le liquide comme un nourrisson glouton. Quelle satisfaction de ressentir à nouveau toutes ses sensations intenses qu'elle a abandonné en quittant la laiterie. Pierre retire le récipient rempli d'urine de Stéphanie et le pose sur la table. Il desserre la ceinture de son pantalon qu'il laisse tomber à ses pieds et montre à Stéphanie son membre érigé. Celle-ci, toujours en tétant le sein de Claudine, regarde ce membre dressé avec convoitise. Pierre monte sur la table et s'allonge sous la vachue, qui est surélevée par les coussinets, lui laissant suffisamment de place pour disposer le gland de son sexe juste devant l'ouverture vaginale de Stéphanie. Celle-ci abaisse le mieux qu'elle peut son bassin pour laisser entrer la verge qui s'offre à sa porte. Pierre hausse son bassin et Richard lui place un coussin sous les fesses pour faciliter la pénétration du sexe de son ami dans le vagin de Stéphanie. Celle-ci commence à émettre des sons de plaisirs, tout en continuant la succion régulière du pis de Claudine qu'elle tient fermement dans sa bouche. Ce lait tiède est tellement bon, et en plus avec une verge dure et érigée remplissant son sexe. Quel délice! Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'avait pas de pièce de chair dans son vagin. Richard monte sur un piédestal situé à l'arrière de la table de traite et se place face aux fesses de Stéphanie. Il retire lentement le plug anal inséré dans l'anus de la jeune femme, qui glousse en désapprobation sentant son canal orphelin de l'intrus qui le remplissait. Richard jette le plug par terre et regarde, fasciné, le trou béant laissé par l'instrument de plaisir. Il positionne sa verge face au trou élargi, et pousse de son bassin pour pénétrer profondément dans le gouffre. Stéphanie glousse de contentement, son colon retrouvant un occupant chaud l'envahir. Elle lâche le pis de Claudine et émet des cris de jouissance. Ça y est, elle retrouve tout le plaisir qui lui faisait défaut depuis plus d'un mois.

Aaaaahhhh! Ooouuuiiiiiiii!!! Son corps se met à trembler au fur et à mesure que les deux phallus la prennent alternativement, faisant ainsi monter la réjouissance charnelle.

Tu aimes ça lui dit alors Claudine. Ça te manquait, n'est pas?

Oui!! Répond sourdement Stéphanie

Plus fort, lui dit Claudine, nous n'avons pas entendu!

OUI! répond Claudine

Oui quoi?

Oui, j'aime ça.

Ça te manquait hein?

Oui dit sourdement Stéphanie

Tu en avais besoin?

Oui, j'en aie besoin! Fait-elle an sanglotant

Tu as besoin de quoi? demande Claudine

J'ai besoin d'être empalée dans toutes mes ouvertures. Sentir la chair chaude envahir mes entrailles, faire monter en moi les plaisirs de l'extase.

Tu es une vraie salope, hein?

Oui, je suis une vraie salope qui demande plus de sexe, et qui veut découvrir ses limites de plaisirs. Aaaaahhhh! je vais jouir!!! fait-elle en laissant échapper des sanglots plus vifs et forts.

Claudine lui caresse les joues et dit :

Oui chérie, jouie de tout ton corps. Ce sont des larmes de plaisir que tu nous donne! Nous sommes là pour que tu t'aider à ressentir tous les plaisirs de ta chair. Allez viens! Fais-nous sentir ta volupté, ton bonheur d'être une vraie vachue, une femme au service des jouissances, laisse-toi aller.

Aaaaahhhh! Aaaaahhhh! C'est si bon répond Stéphanie en laissant couler de chaudes larmes sur ses joues.

Oui, je sais, c'est ce que tu attendais, ce dont tu as besoin, c'est vital pour toi.

Pleurant à grandes larmes Stéphanie répond :

Oui, ça me manquait. Recommencez, s'il vous plaît. Faites-moi monter au septième ciel.

NON! Répond de façon autoritaire Pierre. La seule façon que tu puisses jouir pleinement ta sexualité, c'est que tu retournes à la laiterie! Que tu redeviennes une vachue!

Veux-tu revenir chez nous lui demande Claudine

Stéphanie, en pleurant susurre :

Oui! je le veux!

Plus fort! lui dit Pierre

OUI! ..... JE LE VEUX! dit alors Stéphanie, honteuse d'avoir à reconnaître qu'elle que c'est une vachue née.

Ah! C'est bien ça, dit alors Claudine. Enfin tu comprends que ta vraie place est là-bas, parmi nous!

Elle embrasse Stéphanie sur la bouche et débranche la trayeuse, laissant pendre les deux mamelles de la vachue. Pendant ce temps, les deux pénis, insérés dans leurs réceptacles respectifs, éjaculent abondamment. Après quelques minutes, afin de reprendre leurs souffles, les deux hommes se retirent des trous qui les avaient accueillis. Claudine se déplace derrière Stéphanie et prend un plug anal, plus gros que le premier, de sous la table de traite. Elle l'approche de l'orifice anal de Stéphanie, dilaté par les bons soins de Richard. Après une légère résistance, Claudine arrive à le faire pénétrer complètement. Stéphanie ne bronche pas, étant toujours dans son nuage de jouissance et sanglotant sans freins.

12