Être vachue s'est merveilleux 07

7. Première montée de lait

Cela fait déjà dix jours que Stéphanie est prisonnière à la ferme Au Bon Sein. Claude, le directeur de la laiterie, prend régulièrement des nouvelles sur l'évolution de sa nouvelle acquisition. Claudine, son assistance, le tient quotidiennement au courant de la transformation de la journaliste.

 Stéphanie évolue bien, lui dit-elle, dans son bureau. Elle est toujours en phase de traitement. Elle reçoie périodiquement ses sédatifs, ses vitamines et produits d'induction à la production mammaire. Ses mamelles ont pris du volume, et nous continuons à affermir ses pis.

 Bien, répond Claude, je vais prévenir Pierre que tout marche comme prévu. Il sera ravi. Tu fais un bon travaille, Claudine, et j'irai te récompenser personnellement un peu plus tard dans ta chambre.

Claudine sort du bureau avec un large sourire. Mais dans sa tête, sa récompense c'est plutôt Stéphanie. Elle trouve cette nouvelle vachue très à son goût et pense bien s'occuper d'elle. Elle se dirige vers la salle de contrôle à l'infirmerie, pour retrouver Amandine, l'infirmière. Il est de bonne heure, mais elle sait que l'infirmière est déjà à pied d'œuvre. Elle aime son travail, et tout comme Claudine, sa vie de vachue à la laiterie lui sied parfaitement.

Stéphanie se réveille avec une drôle de sensation à sa poitrine. Ses seins sont très gonflés. Elle ressent les tétons durcis et érigés dans les ventouses aspirantes qu'elle porte toujours pour dormir. Ces ventouses sont conçues pour étirer et affermir les mamelons, afin qu'ils puissent prendre complètement la place dans les téterelles des trayeuses lors de la traite de production. Stéphanie ressent aussi une légère douleur dans les seins, comme s'ils allaient éclater. Ce n'est pas vraiment douloureux, mais c'est tout de même une petite gêne. Cela lui rappelle l'époque de sa puberté, lorsqu'elle a commencé à avoir ses règles. Ses seins d'adolescente lui faisaient ressentir des petits courants électriques. Ce n'était pas douloureux, mais elle était intriguée par ces petits chocs. En plus à chaque passage du courant, elle avait aussi la sensation que quelque chose se passait dans son sexe. Il se contractait et se détendait à chaque décharge électrique qui traversait son corps. Sa mère lui avait alors expliqué que cela était normal. Elle s'était aussi renseignée auprès de ses copines au collège. Quelques-unes avaient le même problème. Leurs poitrines avaient aussi grossi. Celles qui n'avaient presque pas de seins se mettaient du coton dans le soutien-gorge pour donner du volume à leur poitrine. Cela les faisait paraître plus âgée et elles attiraient ainsi plus facilement le regard des garçons, mais Stéphanie n'avait pas besoin de ce stratagème, sa poitrine avait grossie, et même beaucoup plus que celles de ses copines. Le soir, dans son lit, elle se passait la main sur son vagin, dont la toison pubienne ne faisait que commencer à poindre. Et petit à petit, en se caressant le sexe, elle ressentie une étrange sensation, quelque chose de merveilleux qui transperçait son corps. Elle ne le comprit pas au début, mais elle venait de ressentir son premier orgasme par masturbation. Ses muscles alors se relâchèrent complètement, et elle s'endormit heureuse et relaxée suite à cette découverte merveilleuse. A partir de ce jour-là, elle se masturba régulièrement, tous les soir dans son lit, avant de s'endormir. Aujourd'hui elle revit un petit peu la même sensation de découverte. Les petits courants qui transpercent aujourd'hui son corps, ressemblent à ceux de son adolescence. Comme elle continue à dormir avec les poignets et chevilles attachées, elle ne peut pas soulager cette démangeaison qui grignotent son corps. Elle gigote son sur son lit en bougeant ses fesses d'un côté et de l'autre. Dans la salle de contrôle, Amandine, regarde les moniteurs et se rend compte du petit manège de Stéphanie. Elle appelle Claudine pour lui montrer le moniteur de la chambre de Stéphanie.

 Je pense qu'aujourd'hui notre nouvelle vachue va avoir une surprise, lui dit-elle. Regarde, elle est comme ça depuis au moins une demi-heure. Je crois que ses mamelles sont prêtes et que nous pourrons goûter à son lait.

 Oui, en effet! Allons la voir et nous en aurons le cœur net. Un bon massage de sa poitrine va tout de suite nous renseigner.

Les deux femmes entrent dans la chambre temporaire des nouvelles vachues en préparation. Sur le lit à côté du sien, Sylvie, l'autre jeune recrue dort encore. Elle n'a plus les membres attachés, comme Stéphanie. Sa production est déjà amorcée. Elle ne produit pas encore assez de lait, mais les piqûres journalières d'Amandine lui permettront d'augmenter le volume de lait qu'on lui extrait quotidiennement avec la trayeuse.

 Bonjour Stéphanie, disent les deux nouvelles arrivées. As-tu bien dormi?

 Oui, bien, mais je ressens une petite gêne au niveau de la poitrine.

 Bon, lui dit Amandine, ta production est maintenant induite. Nous allons pouvoir passer à une autre étape de ta préparation.

???

 Oui, lui dit Claudine. À partir de maintenant, tu passeras par la trayeuse, quatre fois par jour, tout comme Sylvie, afin d'augmenter ta production, et nous ne serons plus obligées de t'endormir pendant la séance. Tu vas pouvoir maintenant jouir du plaisir de te faire traire, comme une vraie vachue, que tu commences à devenir. C'est une sensation merveilleuse. Et tu sentiras plusieurs orgasmes pendant la petite heure que tu passeras sur la trayeuse. Les succions alternées de tes pis vont te faire vivre des mini-orgasmes. C'est très, très agréable! tu verras!

 Ah! Bon! répond Stéphanie qui voit dans la face d'Amandine, le bonheur du travail bien fait. Celle-ci sourit largement et lui envoie des petits baisers, qu'elle lui adresse de sa main en soufflant dessus.

Claudine et Amandine s'attardent à détacher les membres de Stéphanie ; ôtent les ventouses de succion de ses tétons, et avec une crème rafraîchissante, commencent à enduire ses mamelles et à rouler les deux pis avec leurs doigts.

 Aaahh!! souffle Stéphanie

 Cela te fait mal? demande Amandine

 Un peu. C'est surtout mes seins qui me dérangent

 Tes mamelles!!, corrige aussitôt Claudine. Nous n'avons plus de seins ici, mais de merveilleuses mamelles qui nous donne du lait et beaucoup de plaisir.

 Oui! oui! je sais, mais pour l'instant elles sont un peu douloureuses. On dirait que la douleur augmente continuellement

 Ne t'en fais pas, c'est normal! nous allons régler ce problème.

 Faites vite, car je sens qu'elles vont exploser.

 Mais non! Patience et tu vas même en jouir

Amandine prend alors deux coupelles de succion transparentes, munies chacune, d'une grosse poire et d'un contenant gradué. Elle en donne une à Claudine. Les deux femmes appliquent les ventouses sur chaque pis, qui maintenant se sont allongés et mesurent quatre centimètres de long. Ils ont aussi grossi et ont la taille d'un gros pouce. Elles pressent alors la poire, qui crée un vide dans la coupelle, permettant ainsi d'aspirer les pis. Au bout de deux minutes, une première goutte de liquide translucide apparaît dans chaque coupelle et tombe dans le contenant gradué. L'opération continue pendant une demi-heure et Claudine et Amandine, appuient sur un bouton associé aux poires, pour relâcher le vide, et pressent à nouveau sur la poire pour recréer le vide dans la coupelle. Ceci a pour effet d'étirer et de détendre, alternativement, les pis. En plus elles se synchronisent pour que l'aspiration soit alternée entre le pis de la mamelle gauche, et le pis de la mamelle droite. Lorsqu'un pis est détendu, l'autre est étiré. C'est ce qui imite le plus < l'expression manuelle alternée>. Stéphanie, sent ses seins se vider graduellement. La jouissance monte petit à petit, et pour faciliter la tâche, Claudine lui dit :

 Passe ta main sur ton sexe, et caresse-le, cela va te permettre de te détendre, et tu vas en jouir

 Mais j'ai encore ma culotte en caoutchouc sur moi

 Cela ne fait rien, presse dessus et masturbe toi sur le latex. La sensation du contact de ta main avec le matériau est très agréable aussi. Presse dessus, tape légèrement sur ton pubis, tout ceci et le bruit du crissement du latex vont t'exciter.

Stéphanie s'exécute et caresse son bas-ventre avec des mouvements circulaires. Effectivement, le bruit de sa main glissant sur le latex, la pression sur le tissu synthétique, les caresses qu'elle s'inflige, la succion sur ses mamelons, tout associé ensemble, augmentent sa libido. Elle sent que l'extase approche, avec aussi les baisers que Claudine et Amandine lui donnent sur le front, sur son cou, sur ses oreilles, sur ses lèvres. Ce petit jeu dure une demi-heure, où Stéphanie subit plusieurs mini-orgasmes. Amandine regarde alors les deux contenant gradués.

 On en a tiré 150 ml chacune. C'est un bon début dit-elle. Il faut refaire ça plus tard, pour inciter tes mamelles à produire beaucoup plus.

Les deux femmes retirent les coupelles des pis de Stéphanie, et approchent leurs bouches pour sucer chacune un mamelon. Elles y passent la langue en la faisant glisser autour de chaque téton durci et gonflé par la succion des poires. Puis chacune mordille le bout en aspirant fort. Un restant de colostrum arrive sur leurs langues. Claudine et Amandine se relèvent alors et par petit coups de langue dégustent le liquide. Elles en évaluent sa richesse et sa consistance. Stéphanie regarde ébahie, on dirait deux œnologues qui évaluent la qualité d'un bon vin, pense-t-elle.

 La qualité y est, dit alors Claudine.

 Oui, Je vais amener les contenants au labo pour y faire une série d'analyses

 Bien, répond Claudine. Vas-y, moi je m'occupe de Stéphanie

Amandine sort de la chambre avec les précieux récipients, tandis que Claudine s'approche de Stéphanie et lui passe une main sur le ventre.

 Bravo, ma belle et bienvenue dans le merveilleux monde des vachues. Comme récompense, je vais m'occuper de toi, mais surtout de ton corps

Elle retire alors la culotte en latex, et la couche qui est imbibée du liquide urinaire nocturne.

 Pourquoi est- ce que j'urine la nuit sans m'en rendre compte.

 Je te l'ai déjà dit. Les vachues que nous sommes, et comme toutes les femmes qui allaitent des enfants ou des adultes...

 Adultes???

 Oui cela s'appelle <Allaitement pour adultes>, ou en anglais <Adulte Breast Feeding>. Toi aussi tu vas apprécier t'accrocher sur une mamelle qui donne du lait. Tu l'as déjà fait avec moi. Donc pour revenir aux besoins de la vachue, nous devons compenser la perte de liquide en buvant beaucoup. En plus, des vitamines et autres additifs sont ajoutés dans nos boissons. Enfin dans ton cas, nous avons aussi ajouté des relaxants pendant ta période de préparation. Il est donc normal que ta vessie se décharge sans que tu ne t'en rendes compte. Ton sphincter vésical se détend, et tu urines sans le savoir. Mais cette sensation est aussi très agréable et te permet d'avoir des rêves érotiques. Bon! maintenant je vais te nettoyer et te cajoler.

Elle prend un chiffon imbibé de solution nettoyante, et une serviette, et s'occupe de la région vaginale de Stéphanie, qui se laisse faire comme un bébé. Ensuite, elle prend un vibrateur lapin qu'elle insère dans le vagin de Stéphanie en appliquant les oreilles du lapin sur le clitoris de l'ex-journaliste. Elle appuie sur le bouton mettant en vibration le phallus. Elle se penche ensuite sur la mamelle droite de la jeune femme et aspire fortement le mamelon érigé. Elle commence à téter ce sein nourricier par aspirations profondes. Le lait pénètre sa bouche et Claudine l'avale avec avidité.

 Hum! fait-elle, qu'il est bon! Tu vas nous régaler.

Stéphanie Regarde la scène amusés, et passe sa main droite dans la chevelure de ce nourrisson-adulte. Elle est subjuguée par l'image de sa nouvelle amie, tétant son sein, le fait aussi de produire du lait, et la sensation de soulagement à chaque tétée. Elle ferme les yeux et subit alors une nouvelle excitation montante. Elle sait qu'elle va encore jouir, mais cette fois-ci l'intensité des sensations érotiques est plus forte. Un sentiment maternel puissant apparaît, elle adore que cette jeune femme, Claudine, qu'elle ne connaît que depuis quelques jours, s'accroche à ses seins et par ce geste érotique, soulage la tension créée dans sa poitrine, par se première montée de lait.

 Aaaahhhh!!!! c'est bon!! Tu vas me faire jouiiiiiiirrrr!!!! Oouuuuiiiii! Continue! j'adore! J'aime ce que tu me fais ressentir. Oouuuuiiii! Mon Dieu que c'est bon!

Son orgasme est cette fois-ci extrême et dure plusieurs minutes. Puis exténuée par la forte sensation d'extase. Claudine lui présente une de ses mamelles.

 Bois, maintenant. Tu l'as mérité. C'est à ton tour de boire. Suce mon pis, accroche-toi à ma mamelle!

Stéphanie s'accroche au pis offert et aspire le lait nourrissant. Son ventre se gonfle du bon liquide chaud et nutritif.

 Aller! Bois mon bébé! C'est bon!

Après plusieurs grosses gorgées, elle relâche satisfaite le téton dur et érigé de Claudine.

 Huuummm! rèpond Stéphanie, Oui! J'aime ça! Je crois que je resterai collée sur ton sein toute la journée. En plus comme ton téton est dur et allongé!

 Mon pis et ma mamelle, tu veux dire. Tu dois t'habituer à appeler les choses par leurs noms, sans avoir honte! Maintenant nous sommes des vachues! Et oui! je sais, j'ai beaucoup travaillé pour faire ressortir mon pis comme ça. Il me donne beaucoup de plaisir. Tu verras aussi que mon clitoris est très allongé lorsque je suis en excitation. Je te l'ai dit, ici c'est merveilleux de vivre et de jouir. Stéphanie se fait des images dans sa tête, aspirant le clitoris allongé de sa bienfaitrice. Elle se perd dans ses pensées, elle se voit allongée à côté de son amie, dans son lit, toute nue, se laissant porter par les plaisirs du saphisme. Claudine, la voyant rêveuse lui dit :

 Allez, réveille-toi! Maintenant habille-toi, nous allons prendre le petit déjeuner. A partir d'aujourd'hui on va vous changer de chambre à coucher toutes les deux, montrant de la tête l'autre vachue encore endormie. Tu vas crécher dans une autre chambre plus spacieuse, avec Sylvie. Vous pourrez ainsi faire connaissance plus intimement. J'irai aussi vous voir! C'est très agréable de passer une nuit complète à trois. Elle embrasse Stéphanie sur la bouche et se lève pour aider la nouvelle vachue à s'habiller. Les deux femmes se dirigent ensuite vers le réfectoire des vachues de la laiterie.