Être vachue s'est merveilleux 06

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Stéphanie se réveille après sa première longue nuit.
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Partie 6 de la série de 22 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/16/2019
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Être vachue 6

  1. Le réveil

Cela fait déjà dix jours que Stéphanie est prisonnière à la ferme Au Bon Sein. Claude, le directeur de la laiterie, prend régulièrement des nouvelles sur l'évolution de sa nouvelle acquisition. Claudine, son assistance, le tient quotidiennement au courant de la transformation de la journaliste.

Stéphanie évolue bien, lui dit-elle, dans son bureau. Elle est toujours en phase de traitement. Elle reçoie périodiquement ses sédatifs, ses vitamines

Stéphanie ouvre un premier œil, et sort lentement de sa torpeur. Elle ouvre le second, mais n'arrive pas à reconnaître la pièce où elle se trouve. Elle tourne la tête dans tous les sens, mais rien du décor ne lui semble familier. Pourtant elle est allongée sur un lit. Elle veut porter sa main à son visage, mais elle se rend compte que ses poignets sont attachés à deux barres latérales du lit, avec des menottes du genre de celles que l'on trouve dans les sexes shop. Elles sont de couleur rose avec de longs poils. Ceci commence à l'inquiéter. Elle veut bouger ses jambes, mais là encore elles sont attachées par de menottes aux mêmes barres. Elle relève la tête et voit aussi qu'elle est toute nue à l'exception d'une culotte qui semble être en latex et qui ceint le bas de son corps. Intriguée, elle essaie de bouger son bassin. Elle sent que son bassin est tout mouillé dans la culotte en caoutchouc. - Je n'aurais pas fait pipi? Cela ne se peut pas, pense-t-elle -. Elle regarde sa poitrine qui lui paraît plus volumineuse. Et ce qui attire son attention ce sont deux petites ventouses fixées à ses tétons. Elle essaie de comprendre ce qui se passe quand soudain, elle ressent des vibrations dans son vagin. Cette sensation n'est pas désagréable, bien au contraire, mas elle est de plus en plus intriguée. Puis, maintenant une autre vibration est déclenchée dans son rectum. Les deux vibrations semblent être en résonnance, et elle commence à ressentir une excitation qui monte en elle et qu'elle ne peut contrôler, ce qui va la mener petit à petit, et contre sa volonté, à l'extase. Elle le sait, car même si elle n'a jamais ressenti de pareils attouchements internes en même temps, elle sait qu'elle ne va pas pouvoir leur résister et qu'elle devra irrémédiablement monter au septième ciel, contre sa volonté, et qu'elle va jouir intensément. Sa respiration s'accélère et son cœur bat de plus en plus fort.

Aaaaahhhh! Hoouuuu! OUI, HIIIIII!!!!!!!!

A ce moment précis la porte de la pièce s'ouvre et Claudine apparaît. Elle s'approche du lit de la jouisseuse et lui caresse les cheveux tout en se penchant pour l'embrasser sur le front.

Oui, jouie encore, ma belle, cela fait du bien et tu vas nous produire beaucoup de lait

Stéphanie ouvre les yeux en entendant Claudine lui chuchoter ces paroles.

Mais je ne veux pas produire de lait, laisse-moi partir, je ne dirai rien à personne.

Tu sais que cela n'est pas possible, chérie. Tu fais maintenant partie du cheptel de la laiterie. Il faut que tu le comprennes, ici on va très bien s'occuper de toi. Tu voies, tu as bien dormi, tu as même joui pendant la nuit avec le godemiché et le plug anal vibrants. Tu ne t'es pas trop rendu compte, mais ces appareils vont de faire produire du bon lait pour les enfants défavorisés, les vieillards sans défenses naturelles et nos clients assidus. C'est pour cela que nous t'avons mis une couche avec sa culotte en latex, car pendant tes jouissances, ta vessie se vidait et aussi tu éjaculais un peu comme les femmes fontaines. Tout ceci est normal à cause des produits que nous t'avons injectés. Ils favorisent la montée de lait, augmentent ta libido et accroissent ta sensibilité à la jouissance. Tu vas aimer passer beaucoup de temps sur la trayeuse que nous t'avons réservé et aussi avec les bons soins que Léa, Amandine, Amélie et toutes les autres allons te donner. C'est de l'amour, du vrai amour charnel. On est toutes passées par là et je t'assure qu'aucune de nous ne veut retourner dans sa vie antérieure. Tu auras aussi l'occasion de rencontrer nos clients, ceux qui achètent notre lait, et qui ont aussi d'autres besoin que nous savons satisfaire. D'ailleurs prochainement nous avons la visite de la comtesse qui voudra te rencontrer. Je t'expliquerai une autre fois.

La porte s'ouvre et Véronique, l'infirmière, revient avec un petit chariot métallique.

Bonjour Stéphanie, As-tu bien dormi? Je pense que oui, tu as dormi 15 heures d'affilé. Maintenant, tu dois avoir la gorge sèche. Je vais te faire boire un petit jus de fruit.

Elle lui approche un biberon avec une grosse tétine qu'elle met dans la bouche entre-ouverte de la jeune journaliste. Stéphanie a effectivement la gorge sèche et, assoiffée, commence à téter le liquide à travers la tétine, qu'elle suce comme le sein de sa mère. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que le jus de fruits, en plus de contenir des éléments favorisant la production de lait, contient aussi un puissant relaxant qui place Stéphanie dans un état second de relâchement de tous ses muscles. Le premier effet est pour sa vessie qui décharge encore son contenu. Stéphanie avait essayé de retenir son fluide interne lorsqu'elle a découvert qu'elle portait la culotte en latex. Le deuxième effet, est qu'elle ne peut plus résister aux traitements que vont lui infliger ses gardiennes. Elle se laisse manipuler au bon gré de la préparation à une production laitière abondante. Claudine, d'abord, retire les deux ventouses adhérées à ses tétons. Ceux-ci sont gonflés par le vide créé par la succion constante des ventouses aspirantes qu'elle a porté toute la nuit. Claudine roule doucement les tétons de Stéphanie entre ses doigts.

Ils sont beaux, dit-elle à Véronique, ils vont bien s'adapter aux téterelles de la trayeuse. Regarde, ils pointent tout seuls. Ils vont être bons à sucer.

Elle s'approche du mamelon droit et l'aspire d'un coup. Stéphanie ouvre la bouche et émet un petit cri de plaisir. Claudine suce le téton durci par le traitement nocturne d'aspiration forcée, par petits à coups, ce qui fait passer un courant électrique dans le corps de Stéphanie, qui descend des mamelons, à travers son ventre, pour terminer dans son vagin. Ses muscles pelviens se contractent et se détendent en parfaite harmonie avec les succions de Claudine.

Aaaahhh!!!!, je vais encore jouir, suce c'est tellement bon. Aspire fort, mord-le Aaaaahhhhhhh!!!

Véronique caresse le ventre de Stéphanie, et pose sa main droite sur la culotte en caoutchouc en appuyant sur le bas-ventre. Ce geste force Stéphanie à vider sa vessie dans la couche qu'elle porte sous la culotte plastique. Ce geste l'excite encore plus. L'orgasme monte à son paroxysme.

Aaaaahhhh, Oouuuhhh! Oooouuuuiiiiiiii.

Bien, elle jouit, elle va éjaculer abondamment. Je vais lui enlever sa couche et nous pourrons aller lui faire prendre son bain. Après on l'emmènera au réfectoire pour son petit déjeuner.

A ce moment, Léa entre dans la pièce et sourit en voyant le spectacle qui s'offre devant elle. Elle s'approche du lit. Claudine se relève embrasse sur la bouche la nouvelle arrivée.

Véronique retire la culotte et la couche remplie des jus de Stéphanie : son urine et sa mouille. Elle retire le godemiché multiple du vagin et de l'anus de la jeune femme. C'est un appareil muni de deux vibrateurs reliés par une lanière en caoutchouc, et qui sont contrôlés par le réseau sans-fil, à partir de la salle de contrôle de la laiterie, où sont aussi installés les écrans de télévision qui permettent de vérifier toutes les chambres des vachues. Véronique déboutonne la lanière qui retient la couche imbibée des sucs de Stéphanie. Elle approche la couche à son nez pour humer les arômes et dit:

 Elle a bien joui. Cela sent fort, mais le parfum est doux et très sensuel. Tiens, sens-le

Elle passe la couche à Claudine qui acquiesce d'un signe de tête. Stéphanie surprise regarde la scène. Véronique, pendant ce temps, prend deux seringues et injecte le contenu dans chacun des seins de Stéphanie qui n'est pas encore revenu complètement de son état extatique. Elle ne sent rien, car elle est toujours dans son petit nuage de plaisir, et aux bons soins de l'onguent analgésique que Véronique a auparavant passé sur la zone concernée.

Allons aux douches maintenant, dit Claudine.

Avec Léa elle détache Stéphanie et toute les deux la relèvent pour la mener vers la douche. Elles enlèvent leurs blouses et toutes nues les trois femmes se mettent sous le jet d'eau chaude. Elles se savonnent toutes les trois. Stéphanie sourit et apprécie les caresses que lui imposent ses deux geôlières. Après le rinçage, elles se frictionnent avec des serviettes sèches. Puis Léa et Claudine commencent à habiller Stéphanie. Elles lui placent un soutien-gorge ajouré au niveau des seins qui pendent et y appliquent deux petites ventouses de succion qui s'emboîtent parfaitement à l'ouverture du soutien-gorge. Une fois les embouts fixés, elles appliquent une petite pression qui crée un vide, qui aspire les deux mamelons de Stéphanie. Elle passe aussi une petite culotte string qui pénètre l'entre-fesses de Stéphanie. La culotte est ajourée au niveau du sexe, ce qui laisse la porte ouverte à toute intrusion de plaisir, au niveau du vagin et aussi du clitoris. Pour finir l'habillage, elle lui passe une couche-culotte et par dessus la culotte en latex de protection, puis elle lui enfile une blouse semi-transparente. Une fois habillées, les trois femmes se dirigent ensuite vers le réfectoire. Stéphanie est toujours soutenue par Léa et Claudine. Elles s'approchent à une table et s'assoient. D'une autre table, Caroline se lève et vient embrasser Stéphanie. Celle-ci lui rend le baiser langoureux, reconnaissant la vachue qu'elle avait rencontré la veille, dans la première salle de traite. Caroline en profite pour passer la main sur le sein gauche de Stéphanie.

 Hummm, celle-ci va devenir une bonne productrice, à voir le volume de ses mamelles.

 Oui, répond Claudine. Nous aurons une très grande productrice qui va nous régaler avec tous ses jus. Depuis hier le volume de ses mamelles a augmenté. Tout se déroule comme prévu. Tiens, apporte-lui un plateau pour débutante, et tu pourras lui donner la becquée.

Caroline ne se fait pas prier, et ramène un plateau où il y a une soucoupe de céréales, une autre avec des fruits, et quelques pilules en complément. Elle prend le plat de céréales et approche une de ses mamelles qu'elle presse de la base vers le téton, qu'elle étire, pour en faire sortir son lait. Un jet imposant et dru sort de son mamelon et arrose abondamment les céréales. Stéphanie regarde la scène médusée. Elle sourit et sort la langue pour humecter ses lèvres en prévision du festin qu'elle va recevoir. Caroline lui présente ensuite la cuiller et Stéphanie ouvre la bouche et absorbe la céréale humectée du lait de la jeune fille. Elle se délecte du nectar offert. Le petit déjeuner se poursuit ainsi entre bouchées, baisers et caresses de Caroline. Une fois les plats terminés, Claudine revient chercher Stéphanie.

Viens Caroline, nous allons préparer notre nouvelle recrue pour sa petite sieste et séance de conditionnement

Stéphanie est une peu engourdie par les pilules qu'elle a avalées, des tranquillisants, relaxants musculaires, inducteurs de lait, produits pour augmenter la libido et l'excitation et enfin des vitamines pour favoriser l'allaitement. Les deux jeunes femmes la soutiennent et l'amènent dans sa chambre pour l'assoir sur un fauteuil muni d'appui-tête, d'appui-bras et un appui-jambes avec étriers ajustables. Elles fixent les membres inférieurs de Stéphanie avec des courroies rattachées à l'appui-jambes. Puis elles procèdent de même avec ses bras. Claudine approche des téterelles reliées à la machine à traire et, après avoir retiré le soutien-gorge de Stéphanie, applique les téterelles sur les tétons gonflés. Stéphanie est déjà presqu'endormie et ne sent pas le traitement que lui infligent les deux collaboratrices. Caroline apporte un butt-gode qu'elle insère dans l'anus de l'endormi, et une sexe-machine dont le godemiché pénètre aisément dans le vagin tout mouillé de Stéphanie. La sexe machine est d'un type mini, c'est à dire que son moteur est minuscule, relié directement au godemiché qui va pénétrer par mouvements de va-et-vient et commandé par un boîtier sans fil. Elle met en route la machine et Stéphanie émet un gloussement sourd de plaisir. En dernier lieu, Claudine approche une ventouse-poire au sexe de la jeune femme. Elle lui écarte les lèvres vaginales et recherche le bouton de plaisir. Elle applique la ventouse sur le clitoris dégagé et exerce une pression sur la poire afin de créer le vide qui aspire le petit bout de jouissance. Pour compléter son attirail, elles lui mettent un couche culotte adaptée pour inclure les phallus insérés dans les trous de la nouvelle vachue, et terminent en lui enfilant une culotte en latex.

 Bien, laissons-la dormir. Nous reviendrons dans une paire d'heures, elle sera alors réveillée.

Les deux femmes quittent la chambre en éteignant la lumière. Une petite veilleuse baigne la pièce, ce qui permet à Véronique, l'infirmière, de vérifier de temps à autre le sommeil de l'endormie, directement depuis son écran d'ordinateur installé dans le laboratoire. C'est comme ça qu'elle peut surveiller ses vachues en tout temps. Elle sait lorsque celles-ci se masturbent, ou se retrouvent ensembles dans la chambre d'une des productrices, pour passer un bon moment de jouissance, entre-elles.

Au bout de deux heures, Léa et Claudine reviennent chercher Stéphanie, qui au bruit de l'ouverture de la porte de sa chambre, s'éveille lentement.

 Comment as-tu dormi, chérie? Demande Claudine, tout en caressant la chevelure de Stéphanie.

 Bien, répond celle-ci. Mais je crois que j'ai encore joui énormément. Je sens ma culotte toute mouillée.

 Oui, comme je te l'ai dit, c'est normal. Nous allons nous en occuper, et te nettoyer. Ensuite nous ferons un tour dans le reste des installations que tu n'as pas visité hier.

Léa et Claudine détachent leur nouvelle recrue et débranchent des différents appareils branchés sur et dans son corps. Puis elles procèdent à retirer la couche-culotte de Stéphanie et la nettoient avec un linge imbibé d'alcool. Elles lui passent ensuite de l'huile pour bébé et talquent ses fesses et son sexe tout en profitant pour la faire jouir avec doigté. Elles lui incèrent un plug dans l'anus, et lui enfilent ses vêtements, soit le soutien-gorge ajouré, muni de ses ventouses d'aspiration, un nouveau string, une nouvelle couche et la culotte en latex. Enfin elles lui passent la blouse semi-transparente. Elles aident Stéphanie à marcher le long d'un corridor et lui montrent la partie du bâtiment qu'elle n'avait pas encore vu. Claudine dit alors :

 Ici ce sont les chambres des vachues en production régulière. Toi tu es encore, tout comme Sylvie, la jeune vachue rousse, en préparation. C'est pour cela que tu réside dans les chambres proches de l'infirmerie et des salles de traite. Une fois que ta production sera amorcée ont t'assignera une chambre que tu partageras avec une autre vachue. Ce sera probablement avec Sylvie qui a l'air de bien t'apprécier.

En continuant dans le corridor, elles passent devant une porte avec un écriteau indiquant : NID D'AMOUR.

Stéphanie surprise demande :

 Et ici qu'est-ce que c'est.

 Ça c'est notre chambre pour les visites particulières. Ici tu pourras passer une nuit d'enfer avec les visiteurs ou visiteuses qui t'auront choisi. C'est là que tu recevras la visite de la comtesse, dont je t'ai parlé auparavant. Vous serez ensembles toutes la nuit, et je peux te dire, pour l'avoir vécu plusieurs fois que tu n'oublieras pas ta nuitée. Je te le garantis.

 Mais qu'est-ce qu'il y a dans cette chambre?

 Il y a un lit et des instruments de plaisir pour satisfaire toutes les envies et demandes de nos visiteurs. Je ne t'en dis pas plus, tu le verras par toi-même.

Stéphanie, un peu déçue, reste sur sa faim, mais ne bronche pas. Elle a confiance en Claudine qu'elle ne connaît que depuis deux jours, mais cette femme transmet par sa voix et ses gestes, et avec aisance, une sécurité et une paix qui calmerait à tout hystérique en crise.

Les trois femmes continuent la visite et pénètrent dans la salle d'embouteillage. Une énorme embouteilleuse enfermée dans une cage en verre marche à fond de train, laissant filer des contenants en carton d'un demi litre de lait.

 Aujourd'hui nous embouteillons le lait amélioré. Demain ce sera le lait nature. Le lait provient des gros réservoirs en inoxydable situés ici derrière nous. C'est là que nous stockons de lait qui provient de nos mamelles. Il est réfrigéré et il ne se passe pas plus de trois jours entre l'extraction des mamelles et l'embouteillage -- en disant cela elle prend le sein droit de Stéphanie et exerce une légère pression comme pour en extraire le délicat sérum, ce qui a pour effet de faire passer un léger courant électrique dans le corps de Stéphanie, qui sourit à son interlocutrice -.

Les deux accompagnatrices prennent la main de Stéphanie et la dirigent vers la salle de conditionnement du lait en poudre. Dans cette salle, de grosses machines que Stéphanie n'avait jamais vu auparavant ronronnent et produisent une poudre blanche dans un récipient transparent hermétiquement fermé.

 Voici la dernière salle de production. Le lait est pulvérisé dans ce gros réservoir sous vide ce qui l'évapore instantanément et il est recueilli dans ce réservoir transparent. Ensuite il sera conditionné avec les ajouts nécessaires pour compléter ses propriétés alimentaires et sera mis en sacs sous vide. Voilà tu as vu toutes nos installations. L'entreprise va s'étendre de ce côté-ci pour augmenter sa production et pouvoir recevoir plus de 200 vachues additionnelles. Tout ceci est en préparation et nous espérons que le tout sera prêt d'ici un an. Bon, maintenant allons souper et je te préparerai pour la nuit.

Stéphanie se laisse conduire comme lorsque toute petite, elle se faisait guider par sa mère vers son lit après le souper. Ces souvenirs d'enfance remontent dans sa tête, et la met en confiance, elle commence à apprécier la présence des ces femmes qui la cajolent, s'occupent si bien d'elle, et ce lieu qui ne lui semble plus rébarbatif.

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