Être vachue s'est merveilleux 08

Informations sur Récit
Première production de Stéphanie.
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Partie 8 de la série de 22 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/16/2019
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  1. Première production

Les jours passent à la laiterie Au Bon Sein. et Stéphanie, qui a amorcé sa production, passe maintenant à la phase 2 : augmentation de la production. On a réussi à lui soutirer dernièrement un demi litre de lait, mais l'objectif est d'obtenir 3 litres par jour. Pour cela il faut entraîner les mamelles, augmenter les lobules et les canaux galactophores dans les glandes mammaires. La ferme a donc un programme spécifique pour que ses vachues produisent en quantité et en qualité. Ce programme inclus des séances de traite, agrémentées de périodes d'excitation et de satisfaction sexuelle, jusqu'à l'obtention d'orgasmes prolongés et répétés durant toute la période de traite et d'extraction du précieux liquide nourricier. Forcément, le programme est très apprécié par toutes les vachues logées à l'institution, que sont les jouissances constantes durant toute la session de traite. Mais ce qui les élèvent le plus au septième ciel, ce sont les nuits d'enfer qu'elles passent ensembles. Avec trois sessions de traites journalières et les additifs aphrodisiaques qu'elles ingurgitent durant leurs repas, elles sont en excitation continuellement. Cela les incite à des jeux sexuels, qu'elles continuent à s'adonner dans leurs chambres. La laiterie leur met à disposition toutes sortes de jouets sexuels pour satisfaire leurs libidos, extrêmement développées. D'ailleurs chaque table de traite possède ses propres instruments de plaisir. Leur utilisation durant la traite permet d'augmenter la production de lait, que l'entreprise fournit à ses clients. Le lait est riche et très nutritif. Si vous n'avez jamais gouté directement au lait d'un sein, lorsque la femme qui vous le fournit est en extase, essayez-le, je vous le recommande fortement. Il permet de satisfaire tout en-cas.

Aujourd'hui Stéphanie est toute nue, à quatre pattes sur une de ces tables de traite, dans la Salle Numéro 2, salle des débutantes, qu'elle avait visité le jour de sa visite professionnelle en tant que journaliste. Elle se souvient de cette salle où elle a rencontré pour la première fois Sylvie, sa compagne de chambre à coucher, maintenant depuis quelques jours seulement. Elles n'ont pas encore eu le temps de faire connaissance intimement, mais cela ne devrait pas tarder. Elle le sait! Cette petite l'attire énormément. Mais entretemps, son traitement doit continuer pour augmenter sa production, afin de devenir une vraie vachue. Son esprit est partagé, entre le besoin de devenir une bonne vachue.et celui de revenir à sa vie antérieure. Cette bivalence antagonique provient de son amour pour sa profession -- le journalisme -, et son amour pour toutes les tentations et besoins sexuels très développés par la présence de ces nouvelles compagnes, par les additifs ajoutés dans sa nourriture, par sa soif de découvrir de nouveaux plaisirs sexuels, par la joie de vivre des sensations extraordinaires.

Léa, la responsable de cette salle, l'a donc aidé à s'installer confortablement sur la table de traite. Stéphanie est impatiente, car elle a vu ce que Sylvie avait vécu lors de sa première rencontre.

Bon, Stéphanie, je vais commencer par tes lavements. Il faut nettoyer ton l'intérieur, pour t'insérer les différents phallus, qui vont t'aider à augmenter ta production.

Stéphanie est impatiente de commencer sa session. Elle veut ressentir les bienfaits de la séance, et surtout jouir à l'extrême, comme Sylvie, le jour où elle l'a rencontré pour la première fois. Elle n'a jamais eu de lavement auparavant, et veut donc voir ses effets. Léa prend des gants en caoutchouc, et avec une crème hydratante, applique l'onguent sur l'œillet anal de Stéphanie. Puis elle insère son doigt dans l'orifice, pour bien graisser le canal. Le doigt huile toute la paroi intérieure. Stéphanie apprécie cette intrusion. Ensuite elle ressent un objet plus dur qui la pénètre. Il est assez long, pour pénétrer le canal en profondeur. Il est bien plus gros et bien plus long que le thermomètre que sa mère lui incérait pour prendre sa température, lorsque petite fille, elle avait de la fièvre. Ensuite elle ressent une pression interne dû au liquide de lavement qui coule dans son rectum. Elle n'avait jamais ressenti ce phénomène auparavant. Léa garde une main sur ses fesses pendant l'injection du liquide de lavement, pour qu'elle ne puisse bouger et faire ressortir la canule. De son autre main, elle masse le clitoris en faisant des cercles tout autour. L'effet est immédiat, et Stéphanie commence à ressentir l'excitation monter de son vagin vers les mamelons. Ses muscles vaginaux se contractent et se détendent au rythme de la pression que le doigt de Léa exerce avec soin sur son bouton de plaisir, qui durcit de minute en minute. Sa respiration devient haletante, et Léa s'en rend rapidement compte. Elle a de l'expérience, en tant que responsable de la salle de traite numéro 2. Après une dizaine de secondes, le liquide injecté se retire brusquement, par aspiration soudaine. Stéphanie a un léger frisson, la sensation est bizarre, mais non désagréable. Le processus est répété trois fois de façon automatique et continue.

Bon maintenant que tu es propre, tu vas pouvoir t'asseoir sur ce petit chevalet que je place entre tes cuisses. C'est une machine à jouir, type Sybian, avec un phallus pour ton sexe et une surface rugueuse vibrante pour ton clito. Je vais te guider pour qu'il pénètre en profondeur. Sa forme est conçue pour titiller ton point G, et sa vibration t'amènera au bord du précipice du plaisir charnel : la jouissance et l'orgasme.

Léa guide alors Stéphanie pour lui insérer le godemiché adéquatement, en tenant ses fesses pour la bonne orientation de l'instrument de plaisir. Stéphanie sent le jouet érotique la pénétrer graduellement. Il est plus gros et plus long que le vibrateur qu'elle utilisait chez elle. Il prend toute la place dans son vagin et touche son utérus.

Maintenant, je vais attacher tes membres à la table de traite. Ceci par mesure de sécurité, car selon le fabriquant, les vachues qui jouissent avec ce chevalet-gode, peuvent s'affaisser lourdement, et manquer de tomber de la table.

Mais, je n'ai pas vu Sylvie attachée, lorsque je suis venu la première fois dans cette salle.

En effet, elle n'était pas attachée, car elle n'était pas montée sur ce chevalet. Te souviens-tu? En fait, ce chevalet-gode est notre nouvelle acquisition. Claude nous l'a amené hier, et tu es la première à en faire usage.

Ah bon?

Après avoir attaché les poignets et les chevilles de Stéphanie aux crochets prévus à cet effet sous la table de traite :

Bien, maintenant je démarre la fonction vibration pour vérifier son bon emplacement et contact avec ton clitoris.

Stéphanie sent la vibration de la membrane sur cet appendice de plaisir, et cela commence à la réchauffer. Léa démarre lentement la machine à jouir pour vérifier que l'objet prend toute la capacité volumique interne du vagin et que sa membrane vibrante s'appuie bien sur les lèvres du vagin de Stéphanie, qu'elle a pris soin d'écarter, afin de libérer le clitoris de la vachue.

Aaahhh!!!, c'est bon.

Est-ce que cela va? Demande-t-elle à l'ex- journaliste

Oui, Il n'y a pas de problèmes. Il est plus gros que celui dont j'étais habituée, chez moi, mais sa texture est plus agréable.

Attend, tu vas encore aimer plus! Je vais compléter avec ce plug. Elle montre à Stéphanie un énorme plug rose, galbé et allongé.

Hein? Tu veux m'insérer ce machin-là? Où?

Et bien dans ton anus! Il faut l'élargir, ouvrir la porte d'entrée!

Pourquoi faire?

Pour compléter ta préparation avant de placer les tèterelles sur tes pis. Ne t'inquiète pas, tu vas aimer. Le plug va comme ça diriger le gode vibrant dans ton vagin pour toucher les surfaces sensibles. Je vais y aller doucement. L'orifice est déjà graissé, il va donc pénétrer facilement. Puis elle place le bout du plug sur l'œillet anal et par petits mouvements de pression graduelles, fait pénétrer tout l'instrument dans l'anus, qui s'offre complètement. Elle appui un bouton sur sa tablette tactile de contrôle. Le plug se gonfle lentement.

Ooohhh! Fait Stéphanie. Tu vas faire éclater mon colon!!!!!

Non! pas de craintes. Je vais maintenant le faire vibrer.

Stéphanie, empalée, ressent le plug vibrer dans son canal anal, associé à la membrane vibrante. Léa place le curseur de sa tablette en position lente pour habituer la vachue à ces nouvelles intrusions.

Huuummmm! Je les sens dans mon for intérieur, et je vais bientôt jouir. Aaaaahhhh!

Bien, mais ne te presse pas, on a encore beaucoup à faire.

Léa se dirige alors vers la porte de la salle qui se trouve derrière Stéphanie. Celle-ci ne voit pas qui vient de rentrer. Elle entend quelques bribes de ce que dit Léa au nouveau venu, mais ne comprend pas leur conversation.

' Oui, ça y est, elle est prête! ' Arrive-t-elle à entendre

Stéphanie, intriguée, et à moitié dans ses vapeurs érotiques, se demande à qui Léa informe sur son état. Est-ce Claudine? Elle entend des pas qui s'approchent. Elle voit alors devant elle un pantalon d'homme. Effrayée elle lève les yeux et voit le large sourire de Pierre son ancien patron.

Bonjour Stéphanie, je vois que tu apprécies le traitement que Léa te fait subir. Je t'avais dit que je reviendrai te voir.

Il se baisse et donne un baiser sur le front de la vachue.

Que fais-tu ici? Fais-moi sortir, je veux retourner chez moi.

Mais non! Tu sais bien que cela n'est pas possible. Tu es maintenant une vachue de notre cheptel!!!

Notre cheptel?

Et oui, je suis aussi actionnaire de cette industrie, avec Claude que tu as déjà rencontré, et une charmante femme, qu'ici les vachues aiment appeler la comtesse. Ce n'est pas vraiment une noble, et elles ne connaissent pas son vrai nom. Elle ne veut pas qu'on la reconnaisse, car elle est très connue dans son milieu. D'ailleurs elle a très hâte de te rencontrer. Cela ne saurait pas tarder. Mais entre-temps nous devons augmenter ta production. Nous devons nous occuper de tes mamelles! Tu le sais! Tu as toutes les qualités pour être notre meilleure vachue. Ta poitrine, très développée, en a maintenant besoin, si tu ne veux pas souffrir le martyre.

Sur ce, il prend de ses mains les deux seins qui pendouillent librement sous le poids pesant des glandes grossies par le volume de lait qu'ils renferment. Il les soupèse, les tâte en appuyant légèrement au milieu des glandes.

Regarde comme ils ont grossi. Ce sont de vrai mamelles prêtes à produire le lait que nous allons vendre à très bon prix. Maintenant je vais m'occuper personnellement de toi, comme je le fais régulièrement avec los nouvelles recrues. Cela les met en ambiance! Et après elle ne peuvent s'en passer, t elles en redemandent que je viens à la laiterie.

Avec ses doigts placés au-dessus des aréoles, il masse les glandes en exerçant une pression tout en déplaçant ses doigts vers les tétons allongés, qu'il étire délicatement en les pinçant. Ce geste permet au lait de se diriger vers les pis. Quelques gouttent de lait en sortent.

Aaahhh! Arrête! Tu me fais mal, s'insurge Stéphanie.

Non! C'est comme ça que nous amorçons la production. Ce petit geste facilite la montée du lait.

Il prend alors le sein gauche de ses deux mains et le masse gentiment en les faisant glisser de la racine vers l'aréole. Il répète le mouvement trois fois, puis répète l'opération avec le sein droit. Du liquide blanchâtre sort par petits jets et par à-coups.

C'est bon comme ça, n'est-ce pas?

Oui! Cela me soulage de la pression interne!

Ensuite, après avoir massé les mamelles de Stéphanie, plusieurs fois, il prend les tèterelles de la trayeuse que lui présente Léa, et les applique sur les pis de Stéphanie. Léa, de sa tablette de contrôle démarre la succion. Stéphanie ressent alors ses deux tétons, allongés, pénétrer profondément dans les téterelles appliquées. Cela augmente son excitation, mais en même temps cela décharge des petits jets de lait. La succion permet l'expression du lait sans douleur. L'action de la trayeuse excite Stéphanie tout en la soulageant. Après quelques minutes, le lait sort à jets plus soutenus.

Aaahhhh!!!!, je vais jouir

Et oui, c'est le but. Plus tu jouies, plus tu vas produire, et une production abondante est notre objectif. Mais attend avant de jouir, je vais m'assurer que tout est en place pour que tu puisses apprécier encore plus les orgasmes que tu vas subir, dit alors Pierre.

??????

Il se déplace alors derrière Stéphanie, qui expose son arrière-train, muni du plug, et du godemiché qui continu son action vibrante sur le bas-ventre de Stéphanie. Il retire lentement le plug de l'anus de la vachue. L'extraction du plug fait un bruit, que Stéphanie entend, ahurie. PLOC!

Aaahhhh!! Non! Laisse-le!!! je suis sur le bord d'un orgasme!!!

Attend un peu la suite, tu vas aimer, ce sera ta fête.

Pierre regarde le trou béant résultant de l'extraction du plug. Il passe son doigt à l'entrée de la l'orifice. Il suit le contour du trou béant, l'insère délicatement dedans pour voir la réaction du sphincter, puis en regardant Léa, il lui dit :

C'est un peu juste, mais cela fera l'affaire!

Oui! Répond Léa, tu a toujours un bon doigté pour ce genre de situation

Stéphanie écoute leur conversation, mais ne comprend pas un mot de ce qu'ils veulent dire. Pierre revient alors face de Stéphanie et abaisse la fermeture éclair de son pantalon. Léa s'agenouille devant lui, et sort la verge à moitié érigée de Pierre. Puis elle l'approche de sa bouche, et avale le membre semi dur, avec avidité. Elle le lèche, le suce en l'aspirant comme s'il s'agissait d'une sucette pour enfant. Ses joues se creusent par le fait de la succion. Avec sa main droite qui entoure le membre, elle le dirige dans le fond de sa gorge et le retire pour passer la langue sur le gland gonflé par le sang, dont le prépuce est retiré. Elle continue ce petit manège, pendant plusieurs minutes. L'image qui s'offre aux yeux de Stéphanie, augmente son excitation. Au bout d'un moment, Léa retire le membre de Pierre, complètement érigé, et tous les deux se dirigent derrière la jeune femme, attachée à la table, qui expose son arrière train, avec son orifice anal béant, dilaté par le plug anal qui habitait son intérieur, quelques instants auparavant. Léa présente alors le membre durci, face à l'orifice ouvert de la nouvelle vachue.

Pierre, que vas-tu faire?

Shut! Lui dit alors Léa qui s'est replacé devant Stéphanie. Relaxe et laisse-toi aller. Tu vas apprécier le traitement de Pierre. C'est le meilleur de tous ici, pour satisfaire une femme sodomisée. Tu vas adorer!

Sodomisée??? Mais non!!!! Je ne veux pas! On ne m'a jamais fait ça! Je suis vierge de ce côté-là! Il paraît que ça fait mal! Je ne veux pas!

Mais pas du tout, répond Léa, cela ne fait pas mal! laisse-toi faire, c'est le Nirvana. Des explosions d'orgasmes continuels! En plus nous avons préparé ton orifice. Relaxe! Détends-toi! Tu vas apprécier! Pierre est un expert en la matière, je peux te l'assurer personnellement!

Pendant ce temps, Pierre présente lentement sa verge devant l'orifice ouvert, qui attend l'intrusion sans résistance, car le sphincter dilaté ne réussit pas à se refermer pour empêcher l'intrus de s'introduire. Même si Stéphanie réunit toutes ses forces pour serrer ses fesses, le sphincter ne réagit pas et laisse l'ouverture complètement ouverte. Le canal étant déjà bien graissé, le gland de Pierre pénètre facilement la première porte de l'anus. Stéphanie veut bouger son arrière train afin d'empêcher le membre érigé de Pierre de s'introduire dans son anus, mais Pierre prend alors de ses deux mains, les cuisses de la jeune femme, afin de bien guider sa verge dans l'orifice. Léa, qui se trouve à nouveau face à la jeune vachue, lui prend la tête de ses deux mains. Stéphanie la supplie des yeux afin d'empêcher cette intrusion. Mais Léa approche ses lèvres à celles de la suppliante et lui donne un baiser langoureux. Pierre profitant de ce moment, pousse doucement, par petits à coups, son bassin, obligeant le gland à pénétrer plus profondément dans le tunnel. Stéphanie, paniquée, ouvre grand les yeux et émet des petits sons sourds.

Hum! Huuuugghhhh! Hummm!

Pierre continue de pousser plus à fond, obtenant l'insertion de la moitié de sa verge. Puis, lentement, il articule son bassin de façon à ce que son bas-ventre vienne toucher les fesses de la vachue sodomisée. Commence alors un petit mouvement de va-et-vient, de façon à ce que tout son pénis pénètre entièrement et se retire à moitié de l'anus de Stéphanie. Léa, qui a fini d'embrasser la jeune femme, lui caresse les oreilles en lui chuchotant.

C'est bon, hein! Maintenant tu vas connaître l'extase extrême, avec un orgasme que tu n'oublieras plus jamais.

Effectivement, le glissement du membre de Pierre, par mouvements lents et fermes, dans son anus, la vibration de la membrane sur son clitoris, la pression du phallus du chevalet- Sybian sur son point G, la succion de ses mamelons avec sa libération de lait, par jets alternés, toute cette combinaison de sensations, lancent Stéphanie dans un feu d'artifice, une succession d'explosions de multiples orgasmes puissants, quelque chose qu'elle n'a jamais vécu auparavant. L'extase suprême que toute femme voudrait et devrait subir. Stéphanie, crie, râle, injure, tellement le plaisir est sublime.

AAAaaaahhhhhh! Putain! Que c'est bon, Ooouuuuuiiiii!!!! Encore!! Merde!! Encore!!! AAAaaaaahhhhh!!!

Elle n'a pas l'habitude de jurer, mais cette fois-ci, c'est plus fort qu'elle. Pierre sourit en l'écoutant.

Elle subit des spasmes puissants, ses cuisses tremblent de manière incontrôlée, Ses bras, qui tremblent aussi commencent à fléchir. Léa la retient par les épaules et la laisse glisser sur ses avant-bras, appuyés sur la table de traite, les poignets toujours attachés par les menottes. Pierre se retient ainsi pendant vingt minutes, laissant la jeune femme subir ses orgasmes continuellement. Tout le corps de Stéphanie se met à trembler de plaisir. Elle continue à meugler de toute sa gorge. Léa, qui est placée devant elle, lui caresse les joues, lui frotte les oreilles, et lui lisse les cheveux. Puis, d'un seul coup, Stéphanie part en sanglots chauds. Des larmes lui coulent de ses yeux, et s'étirent le long des joues. Léa, qui connaît cette réaction, tout à fait naturelle, d'une femme comblée par la jouissance extrême, lui passe les mains sur les yeux et sur les joues pour assécher ses grosses larmes. Stéphanie sanglote à vive voix.

Booouuuhooouu!!! Booouuuhooouu!!!

Oui! chérie, pleure, cela fait du bien. Ce sont des larmes de joie!

Tout le corps de Stéphanie est pris de spasmes et de tremblements saccadés, qu'elle ne peut contrôler. Pierre, de son côté, éjacule dans l'anus chaud de la vachue. Celle-ci sent le liquide séminal l'envahir, et se met à pleurer encore plus fort. Pierre continue son mouvement de va-et-vient, et Stéphanie ressent les soubresauts verticaux de la verge qui éjacule de puissants jets de sperme dans son colon. Après quelques minutes, Pierre retire son sexe de l'anus de la vachue et le passe dans l'entre-fesses de Stéphanie, pour essuyer les dernières gouttes de sperme. Stéphanie s'affaisse complètement sur la table de traite, en poursuivant ses pleurs de plaisirs. Pendant encore cinq bonnes minutes, son corps est sous l'influence des spasmes. Léa, lui a mis les mains sur le dos et caresse ses épaules. Ses mains descendent le long de sa colonne vertébrale, vers ses fesses, et terminent le trajet sur l'ouverture béante de son anus. Elle lui passe alors une crème rafraîchissante en introduisant l'index dans le canal anal, puis en contournant l'œillet dilaté. Ensuite, elle arrête la trayeuse et le chevalet vibrant, en touchant sa tablette de contrôle. Elle se baisse pour relever le contenant de lait.

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