Esclaves au Travail... 01

Je m'appelle Clémence, trente-cinq ans. Blonde, plutot jolie. Je suis en couple avec Benoit depuis 2 ans. Ce jour la, j'étais excité comme une puce. J'avais enfin décroché un entretien d'embauche. Après 3 ans de galère à pointer à Pôle Emploi. Je suis titulaire d'un diplôme d'une grande école de commerce mais je n'avais exercer que des petits boulots. Aussi j'avais sauté de joie quand enfin une Start-Up avait répondu à mon CV. La Start-Up en question s'appelait Africa Creativ est elle importait d'Afrique des vêtements traditionnelles qui était proposer dans des boutiques en France principalement dans les banlieues à des pris abordables. Ils avaient besoin d'une directrice commerciale. Je m'étais renseigné sur Internet sur la Start-Up et j'avais découvert qu'elle avait été crée par trois jeunes issues d'une banlieue difficile. Et qu'elle marchait bien. J'attendais cet entretien d'embauche avec anxiété et impatience....

Le jour J, je me présentais à Africa Creativ à l'heure pile. J'avais voulu faire bonne impression et j'étais vêtue d'un tailleur blanc dont la jupe s'arrêtait juste au dessus du genoux. Mes jambes gainées de bas blancs satinées était mis en valeur par les talons aiguilles de mes escarpins. Je me présentais à l'accueil et demandais à voir la directrice des ressources humaines.

Je m'assis en l'attendant croisant les jambes ce qui eut pour effet de remonter la jupe de mon tailleur devoilant mes cuisses. Je m'aperçu que l'hotesse d'accueil, une black, me matait du coin de l'oeuil...

Une femme, très grande, très belle, d'origine africaine, les cheveux coupé court et avec un air autoritaire sur le visage vint me chercher.

Elle me tendit la main se présentant. Elle s'appelait Jalia. C'était la DRH. Je me levais et la suivait dans son bureau. Ell était vetue d'un pantalon en cuir moulant une croupe comme seule les africaines en ont. Ses talons aiguilles me semblaient encore plus grand que les miens. Je remarquais en passant devant les bureaux que l'essentiel du personnel était d'origine africaine ou maghrébines. Normal finalement, les patrons eu même issues des banlieues voulait donner leur chance aux jeunes issues des banlieues....

L'entretien se passa bien et Jalia me tutoya tout de suite en précisant que dans Africa Creativ tout le monde se tutoyait. Même les patrons. A ma grande surprise, Jalia me proposa de passer l'entretien dans le canapé qui était dans son bureau. Celui ci était profond et je sentais ma jupe remonter de plus en plus. Jalia me lançait par moment un drole de regard et je me sentit rougir sous son regard inquisiteur.

Elle se leva et me demanda si je voulais quelque chose à boire.

J'acceptais un café.

Elle prit son téléphone et demanda un café.

Une jeune fille brune, blanche, a peu près mon âge entra, portant un plateau. Je fus étonné par sa tenue, une minijupe noire lui arrivait en haut des cuisses devoilant des jambes superbes gainées de collant noir. Elle portait des sandales noires à très haut talons. Mais c'est le décolleté plongeant et très échancré qui me choqua le plus. Quand elle se pencha en avant pour poser le café sur la table , j'eu une vue plongeante sur ses seins qui était depourvu de soutient-gorges. Je remarquai que Jalia ne se privait pas de regarder non plus.

- Je vous présente Julie, notre secrétaire de direction. .

Je fus étonnée qu'une secrétaire de direction apporte des cafés mais je ne dis rien. Je vis Julie rougir en entendant les paroles de Jalia.

Julie s'en alla et je constatais une fois de plus que Jalia matait ses fesses moulés par la minijupe. Je me demandais alors si elle n'etait pas lesbienne et si cela allait poser problême.

Je suis aux anges. Jalia a décider de ne pas attendre plus longtemps et de poursuivre notre entretien. Le CV lui convient. Je suis donc embauché à Africa Creativ. On me présente au personnel. J'aperçoit rapidement le patron de la boite, Moussa Kalinté. Un grand black très impressionnant d'au moins 1m95!Le crâne rasé, il me serra la main fermement.

Une des secrétaires prénommée Leila me montra mon bureau. Il se trouvait justé à coté de celui de la DRH.

Je visitais les locaux et rentrai chez moi. Je commençait dés le lendemain.

Le lendemain matin , j'arrivais à Africa Creativ pour prendre mes fonctions. Je commençais à prendre contact avec divers potentiels clients. Dont beaucoup était en Afrique.

J'allais donner des photocopie à faire à Leila. J'aperçut Julie, toujours vetue aussi court, qui partait dans le bureau de la DRH. L'hotesse d'accueil me croisa et me fit un compliment sur ma tenue. Je me sentie rougir comme une collégienne. Comme le temps était printannier, j'était vétue d'une robe fleurie avec un blazzer bleue. Mes jambes gainées de collant couleur chair était affinées par les talons de mes escarpins à bride couleur pastel.

Je revenais à mon bureau et j'entendis des petits cris qui semblait venir du bureau de Jalia.

Curieuse, je m'aprochais et découvrait que la porte était entr'ouverte.

Je risquais un œil.

La scène que je découvris me laissa sans voix.

Julie, debout sur ses talons aiguilles, haletait sous les caresses de Jalia. Celle ci était derriere elle et elle lui triturait les seins dégagés de son décolleté. La black avec un sourire mauvais tirait sur les pointes des seins faisant couiner Julie. Elle tapais dessus par moment. Sa main descendit et elle releva la minijupe. Elle tapotta la vulve de Julie. La pauvre jeune femme ouvre la bouche et gémit. Elle poussa soudain Julie qui se retrouva penchée en avant sur le bureau de Jalia. Sa minijupe tirebouchonnée autour de la taille. Elle ne portais pas de string et Jalia lui enfonça son index et son majeur dans sa fente la faisant gémir. Quand elle criait, Jalia lui assenait une violente claque sur les fesses qui rougissaient sous les coups.

Horrifiée, je regardais la directrice des ressources humaines humiliée la pauvre Julie. Elle l'insultait la traitant de grosse chienne.

- T'aime ca petit salope! Te faire doigter.

Celle-ci se tordait sur le bureau mantenant sous les caresses de Jalia. Elle c'était accroupi et elle donnais de grand coup de langue sur la fente de Julie tout en lui titillant le clitoris avec ses doigts.

Je commençait à trouver cette situation de voyeuse tres excitante. Malgré moi, je sens ma fente qui s'humidifie.

J'ai une envie irrépressible de me masturber. Julie continue de gémir en se mordant les lèvres. Jalia lui bouffe la chatte avec entrain. La DRH s 'interrompit soudain arrachant un cri de déception à la secrétaire de direction. Jalia se dirigea vers son bureau et elle prit dans son tiroir un gode qui me parut énorme. Je sentis un flot de mouille couler dans mon string.

Jalia lui montra le gode.

- Tu vois Julie, ton gode va te faire jouir, tu veux jouir salope?

Les yeux ronds, je vois Julie se masturber avec ses doigts attendant sa récompence.

- Que pense tu de Clémence? Elle pourrait faire une bonne recrue?

- Oui!!! Hurla Julie qui eut un orgasme qui la laissa essouflée.

Je suis suffoquée d'entendre Jalia lui parler de moi.

- Son air de petite bourgeoise m'excite beaucoup, je suis sur que sous ses airs de sainte nitouche c'est une soumise et une salope qui s'ignore.

Tout comme tu l'étais avant qu'on t'embauche...

Je suis horrifiée par ces paroles mais je ne peux m'empêcher de me caresser à travers ma robe. Je n'en peux plus et je soulève, après avoir verifier que personne ne pouvait me surprendre, ma robe. Je me masturbe énergiquement à travers mon collant en plein milieu du couloir. Julie gémit en se faisant défoncer à coup de godes par Jalia qui l'agite vigoureusement dans la fente de Julie. Je l'entends gémir et crier. Le corps de Julie s'arqua soudain sur le bureau et elle poussa un cri. J'agite ma main sur mon clitoris me mordant les lèvres. J'eu soudain un orgasme qui me laissa essouflée, les joues rouges. Jalia obligea alors Julie à lui lecher la chatte. J'observe un instant ma collègue donner de grands coups de langue sur la vulve de la DRH qui la tient en la tenant par les cheveux. Je la vois onduler du bassin en bafouillant des mots sans suite. Elle eut soudain un orgasme qui la laissa pantelante.

Je pensais le calvaire de Julie terminée mais j'avais tord. Jalia la courba en avant et lui enfonça malgré ses supplications un plug dans son trou du cul.

- Pour t'habituer à l'avoir ouvert ma grande, Moussa va bientôt te l'élargir!

Je rabattis précipitemment ma robe et courut rejoindre mon bureau.

Quelques minutes plus tard, je vis passer Julie titubante sur ses talons aiguilles marchant maladroitement, le visage crispée à cause du plug....