Plaisir Monstrueux

Informations sur Récit
Une créature tentaculaire soumet les femmes légères.
2.1k mots
4.22
7k
3
0
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Rainett
Rainett
63 Admirateurs

Mélanie était fille unique. Ses parents la couvraient de sollicitude, mais leur éducation était extrêmement protectrice. Son papa, gendarme, avait souvent affaire à des jeunes à la dérive, et il exigeait de sa fille une droiture exemplaire. Bien qu'elle soit déjà majeure, Mélanie n'osait pas se rebeller contre l'autorité parentale. C'était une jeune femme de 18 ans, parfaitement normale, avec des désirs et des besoins. Ses parents surveillaient ses fréquentations, écartant toutes ses relations qui auraient pu dériver vers le sexe.

Du coup, elle n'avait aucun ami intime. Et ses pulsions sexuelles étant croissantes, son seul soulagement était la masturbation. Cela avait commencé à l'adolescence, mais maintenant c'était devenu un besoin pressant. Mais peu importe le temps qu'elle y consacrait, cela ne calmait pas le désir qu'elle ressentait lorsqu'elle caressait son corps nu pour se procurer de multiples orgasmes. Elle rêvait d'être avec un homme, de caresser sa queue pour le faire bander, puis de s'offrir à lui. N'importe qui, un type anonyme qui pourrait satisfaire ses besoins.

Il devenait de plus en plus difficile de trouver un endroit tranquille pour satisfaire ses besoins croissants. Elle a failli être découverte plusieurs fois. Elle a essayé de verrouiller la porte de sa chambre, mais son père a voulu savoir pourquoi elle s'enfermait. Sous la douche, sa mère lui a crié de se dépêcher, et de ne pas gaspiller l'eau. Sa frustration grandissante l'obsédait. Elle devait trouver un moyen sûr pour obtenir son soulagement sans être interrompue. Elle a dit à ses parents qu'elle voulait courir.

Il y avait de grands bois près de chez eux. Son père n'étant pas enchanté par cette idée, il l'a accompagnée les premières fois. Sa curiosité satisfaite, et voyant qu'elle courait sérieusement, il la laissa y aller seule. Bien sûr, il savait exactement combien de temps il lui fallait, et il a dit à Mélanie qu'il chronométrerait. Bien sûr, il lui a dit que c'était pour pouvoir quantifier ses améliorations.

Maintenant qu'elle courait seule, elle savait de combien de temps elle disposait. Elle avait même repéré un endroit discret, hors du chemin, où elle pourrait s'isoler. Elle partit en surveillant son temps au fur et à mesure. Arrivée à l'endroit adéquat, elle s'allongea à l'ombre d'un grand arbre. Ôtant rapidement son short et sa culotte, elle a commencé à se branler. Comme elle était très excitée, elle a joui très rapidement. Sans s'arrêter, elle s'approchait d'un deuxième orgasme quand elle entendit du bruit. Regardant dans la direction du bruit, elle vit une femme mûre sortant des buissons. Elle cria de peur.

« N'aie pas peur de moi, je ne veux pas t'empêcher de te faire plaisir »

Mélanie se rhabilla précipitamment.

« Je suis désolée de t'avoir interrompue, ma chérie, c'est si bon de jouir »

Mélanie ne savait pas quoi répondre. Mais la femme la pressait de question. Elle voulait comprendre la raison qui poussait Mélanie à venir se soulager ici. Mise en confiance par la sympathie que dégageait cette personne mature, Mélanie s'est ouverte et elle lui a expliqué ses problèmes, son manque d'intimité et son besoin de jouir.

« Oh, je comprends tes besoins, ma chérie, mais la masturbation n'est pas une solution satisfaisante. J'ai, chez moi, un animal de compagnie qui est beaucoup plus performant qu'un homme. Si tu as du temps, ma maison est toute proche, et je peux te montrer cet être extraordinaire »

Mélanie était perplexe. Elle consulta sa montre : « Je dois rentrer, mon père me chronomètre »

« OK » a répondit la femme « mais si tu veux vivre une expérience divine, quelque chose de bien meilleur que tes doigts, je vis dans cette villa que tu vois là-bas »

Mélanie a repris sa course et elle est rentrée chez elle : « Même temps qu'hier » a dit son père. Mélanie était songeuse en pensant à cette femme curieuse. Une femme entre deux âges, avec un gentil sourire, et une voix douce. Mélanie décida qu'elle pouvait lui faire confiance. Dès le lendemain, Mélanie partit à la recherche de réponses à ses questions. Qu'est-ce qui pouvait être bien mieux que ses doigts? Elle courut rapidement jusqu'à l'endroit où elle pensait trouver la femme. Il n'y avait aucun signe de vie autour de cette villa isolée. Mais juste au moment où Mélanie allait partir, elle est apparue.

« Te voilà de retour, ma chérie. Bienvenue dans ma modeste demeure » dit-elle. Mélanie hésitait. Son esprit était troublé. Comment poser la question? Sa confiance était vacillante, elle voulait repartir, lorsque la femme lui a demandé si elle était venue pour découvrir son secret, et ce qu'était cet animal de compagnie bien meilleur que tout ce qui existe sur terre. Mélanie s'est demandée si elle pouvait lire dans ses pensées? Mais ses pensées n'étaient pas difficiles à deviner. La femme a ouvert la porte de son logis.

« Entre, ma chérie, et tu auras les réponses à toutes tes questions » la femme l'a attrapée par le poignet pour l'entraîner à l'intérieur. Mélanie consulta sa montre. Encore beaucoup de temps. Elle suivit la femme dans un long couloir jusqu'à une porte : « Il vit ici. C'est la chambre de mon animal de compagnie »

Mélanie prit une inspiration profonde, et demanda : « Vous avez un chien? »

La femme lui a souri. Son sourire était doux, mais son regard brillait d'une flamme ardente : « Ce n'est pas un chien, ma chérie. C'est quelque chose de bien mieux. C'est mon animal de compagnie. Il est capable de satisfaire tous tes besoins, tous tes désirs, bien au-delà de ce que tu peux imaginer. C'est un être parfait. La réponse à toutes tes questions se trouve derrière cette porte. Déshabille-toi entièrement et entre »

Mélanie fixait la porte fermée comme si elle pouvait voir à travers. Quelle était cet animal dont la femme parlait? Comment pouvait-il satisfaire ses désirs, ses besoins? Cela semblait impossible, et pourtant :

« Je veux savoir » balbutia Mélanie.

La femme souriait toujours : « Déshabille-toi, ma chérie. Et prépare-toi à vivre l'expérience la plus fabuleuse de toute ta vie. Tu es si belle. Mon animal de compagnie va t'aimer ! »

Aussi étrange que cela puisse paraître, Mélanie a fait ce que la vieille femme lui demandait. Entièrement nue, Mélanie s'approcha de la porte, chaque seconde augmentant son anxiété.

« Entre, ma chérie. N'aie pas peur. Ouvre la porte et entre découvrir le plaisir »

Mélanie tourna lentement la poignée, et ouvrit la porte. La pièce était sombre. Elle hésita sur le seuil de la pièce. Elle entendit un chuintement, et sentit quelque chose s'enrouler autour de sa taille. Une sorte de lasso gluant qui l'entraînait à l'intérieur de la pièce. La porte a claqué derrière elle. Elle a crié et lutté pour s'échapper mais la force de cette chose était trop grande. Elle fut tirée au centre de la pièce et elle sentit d'autres cordes gluantes l'immobiliser. Il a fallu plusieurs secondes à ses yeux pour s'habituer à l'obscurité.

Mélanie se débattait tandis que d'autres cordes intensifiaient leurs étreintes en s'enroulant autour de ses membres. Mélanie se sentait impuissante. Elle commençait à distinguer dans la pénombre la forme de cette chose qui la dominait. Elle hésitait entre une araignée géante et une grosse pieuvre. Bizarrement, elle n'avait pas peur. Les cordes gluantes ressemblaient à des tentacules. La forme ovale ne semblait pas avoir de tête. Elle ne voyait ni bouche, ni yeux.

Puis une protubérance a jailli de cette forme bombée et s'est accrochée à son sein gauche. Elle a commencé à sucer le mamelon de Mélanie. Puis une autre s'est agrippée à son sein droit. Cela ressemblait vaguement à des bouches d'enfant, mais avec un pouvoir de succion beaucoup plus intense. Une sorte de liane visqueuse s'est faufilée entre ses cuisses. Impossible pour Mélanie de croiser les jambes, ou même de serrer les cuisses, les tentacules qui entouraient ses jambes les maintenaient écartées.

Le tentacule entre ses jambes s'est glissé jusqu'à sa chatte, avant de se muer en bouche suceuse. Aussitôt, une sorte de langue en est sorti pour explorer sa fente. Dès qu'il a trouvé l'ouverture, il s'est faufilé à l'intérieur de Mélanie. Grossissant rapidement, le curieux appendice s'est mis à coulisser d'avant en arrière, et il a déchiré le pucelage de Mélanie.

« Non » cria-t-elle, mais cela n'a servi à rien. Elle sentait le tentacule en forme de pénis se déplacer en elle en grossissant de plus en plus. Son cri d'angoisse se changea en gémissement de plaisir tandis que son corps acceptait l'intrusion. « Oh oui » gémissait-elle à présent.

Un autre appendice en forme de pénis est venu lui caresser les lèvres. Elle voulait protester mais il plongea dans sa bouche. Son instinct féminin a pris le dessus, et elle commença à le sucer. Celui dans sa chatte la baisait énergiquement. Elle perdait tout contrôle, agitait ses hanches et sa tête pour baiser et sucer les appendices gluants.

De nouveau, elle sentit une autre ramification se développer entre ses cuisses pour venir se frotter entre ses fesses. Elle voulait protester contre ces manières insolentes, mais les tentacules dans sa bouche et dans sa chatte avaient pris tellement d'ampleur et de vigueur, qu'elle perdait sa raison dans un tourbillon d'émotions.

Le nouveau venu a commencé à pousser contre son anus, avant d'entrer dans son canal anal. Elle poussa un râle lorsque son sphincter a capitulé. Une série d'orgasmes, de plus en plus violents, a secoué son corps au fur à mesure que la créature remplissait successivement ses orifices envahis. Satisfait, le phénomène l'a relâchée.

Mélanie, maintenant libérée et repue, tituba jusqu'à la porte. Son sourire montrait qu'elle avait apprécié cette séance d'initiation au plaisir. La femme vint la soutenir et la conduire jusqu'à la salle de bain. Mélanie était couverte d'une bave verdâtre, gluante et odorante. La femme l'a aidée à se laver, en profitant pour la tripoter un peu. En même temps, elle la complimentait sur ses formes parfaites.

Mélanie s'est rhabillée, et s'apprêtait à prendre congé, lorsqu'on a frappé à la porte. La femme a ouvert la porte d'entrée. Debout sur le seuil, il y avait la mère de Mélanie. Mélanie s'est statufiée, paniquée.

« Tiens, bonjour, Nathalie » dit la vieille femme. « Ça fait un moment que tu ne viens plus me voir »

« Qu'as-tu fait à ma fille, salope? » criait Nathalie. Mélanie restait tétanisée.

« Rien de plus que ce que tu venais faire chez moi autrefois, ma chérie. Telle mère, telle fille. Mélanie a adoré. Dois-je te préciser qu'elle n'est plus vierge? Sa bouche, son vagin et son anus ont été correctement déflorés, et abondamment utilisés »

Nathalie a dévisagé Mélanie et a pu constaté que sa fille avait, en effet, vécu ce qu'elle avait elle-même adoré à plusieurs reprises. Son regard épuisé, son corps courbaturé, montraient à l'évidence que la séance avait été rude et intense.

« Prends le temps de te déshabiller pour aller saluer mon animal de compagnie, il sera ravi de te revoir »

Nathalie n'hésita pas longtemps. Elle se souvenait à quel point c'était bon.

« Tu es vraiment une salope diabolique. Tu sais que je ne peux pas résister à ce monstre »

Elle se déshabilla prestement et fila directement dans la chambre de l'animal de compagnie. Mélanie a été choquée devoir sa mère ouvrir la porte, et s'engouffrer dans la chambre sans aucune hésitation, preuve de sa dépendance à cet extraordinaire monstre.

Un cri rauque s'est échappé de la pièce, puis des gémissements lorsque le monstre a pris possession de Nathalie. La vieille femme a entraîné Mélanie dans la pièce voisine et l'a faite asseoir sur un sofa. Elle l'a prise dans ses bras pour la caresser en lui parlant doucement.

Une heure après, Nathalie est réapparue, couverte de bave visqueuse, épuisée mais souriante d'une oreille à l'autre. Mélanie est sortie de sa léthargie, le chemisier largement ouvert, la jupe troussée, et la culotte sur les chevilles. La vieille femme l'a libérée de son emprise et elle s'est rhabillée rapidement.

Nathalie s'est engouffrée dans la douche comme sa fille avant elle. La vieille femme l'a suivie pour l'aider, comme elle l'avait fait pour Mélanie. La séance dans la douche a été un peu plus longue qu'avec Mélanie.

« Viens Mélanie, nous devons rentrer, ton père va s'inquiéter. Cela n'a que trop duré »

« Passez me voir de temps en temps » leur cria la femme depuis le pas de sa porte.

Chez lui, le mari de Nathalie était en effet inquiet : « Où étais-tu passée? » rugit-il sur sa femme.

« J'étais inquiète pour Mélanie, toute seule dans la forêt, alors je suis allée la chercher. Et nous avons fait un tour un peu plus grand »

« Oui, je comprends. Cette forêt est dangereuse. Je n'aime pas que Mélanie y aille seule »

« Eh bien, désormais, j'accompagnerai Mélanie à chacune de ses sorties, pour être tranquille »

Nathalie se tourna vers sa fille pour accompagner sa décision d'un clin d'œil complice. Aller se promener en forêt, mère et fille, allait être une distraction très amusante dorénavant.

Rainett
Rainett
63 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Une Princesse en Esclavage Une princesse et sa mère à la merci d'une bande.
Anglefrique 06: La famille Macfish. Une famille tombe aux mains des révolutionnaires.
Café Beyrouth Trois étudiantes ont eu tort de prendre de haut un Arabe.
Malmenée Dans La Dépanneuse Voiture en panne en pleine campagne.
La Sophie Qui perd gagne.
Plus d'histoires