Esclave de Mère - Ch. 01

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Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 08/05/2023
Créé 07/27/2022
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- Demain c'est ton anniversaire. Tu as 18 ans, autant d'années que je me suis occupée de toi. Maintenant tu es majeur, alors demain tu fais tes valises et tu vis ta vie. J'ai bien assez donné pour toi!

Ma stupeur est totale. Pas seulement d'être mis dehors ainsi du jour au lendemain par Mère. Mais aussi qu'elle trouve qu'elle se soit autant occupée de moi. Je pense, mais je manque d'expérience, que peu de mères se sont aussi peu occupées de leur enfant que Mère.

Elle avait 17 ans quand je suis né et les 7 premières années de ma vie je les ai passées chez ses parents, sans vraiment la voir. Le temps qu'elle fasse ses études. Puis ses parents sont tombés malades et elle m'a récupéré malgré elle. J'étais soulagé pensant que cela ne pouvait être pire comme éducation que mes grands parents qui étaient durs, violents avec moi, appliquaient encore le martinet, ne me laissaient rien faire ni rien dire. En fait ce fut pire d'une certaine façon. J'étais à peu près tout le temps laissé à moi-même, parfois plusieurs jours de suite, sans que Mère ne s'en inquiéta. Je n'avais le droit de rien, ou presque. Interdiction de nouer une amitié à l'école, de traîner à la sortie, de faire du sport, de sortir de l'appartement sans autorisation. Il est vrai aussi que je suis une petite nature : je suis né prématuré de deux mois, et mon système respiratoire est assez fragile.

Plus problématique je trouve, je me suis arrêté de grandir à 13 ans et 1m65, et je me trouve vraiment petit et malingre. C'est arrivé en même temps que j'ai mué et commencé une activité sexuelle d'une intensité assez incroyable. J'avais et j'ai toujours besoin de ma masturber 5 à 6 fois par jour, je suis obsédé par le sexe. Comme j'ai plein de temps libre, je passe mon temps sur l'ordinateur, à lire des histoires, regarder des photos et vidéos, et me branler encore et encore. Je n'ai rien d'autres à faire. Sinon quand même toutes les corvées de la maison. Mère ne fait rien mais me donne des listes de tâches ou de courses. Je n'ai pas un seul euro d'argent de poche, interdiction de m'acheter quoi que ce soit, et je dois rendre des comptes de l'argent qu'elle me laisse. Vu comment je suis corrigé quand je fais une faute (une robe mal repassée par exemple) l'idée même de désobéir ne me vient pas à l'idée.

J'ai découvert donc Mère à l'âge de 7 ans. Je dois l'appeler ainsi et la vouvoyer. Moi cela me semble naturel en fait. C'est une très belle femme je trouve, j'en suis fier. Pas une taille mannequin, loin de là, même tout l'inverse. Elle est bien plus grande que moi, large et puissante, avec une peau et une chair d'une douceur qui me fait rêver. Elle a de gros et beaux seins qui m'impressionnent quand je vois ses soutien-gorge, mais qui semblent en harmonie avec son corps, et un léger ventre que je trouve très sexy. Elle est directrice financière dans une clinique privée. Elle part souvent en week end, m'interdisant de sortir, et me laissant juste de quoi manger. Heureusement qu'Internet existe, sinon je ne sais pas ce que je ferais!

Je n'ai donc pas l'impression qu'elle s'est particulièrement occupée de moi. Mais faire mes valises comme cela du jour au lendemain! Pour aller où? Je n'ai pas d'ami puisque Mère ne veut pas que j'en ai, pas de famille, pas de connaissance. Je devrais dormir sous un pont. Je n'ai même jamais gagné d'argent. Je ne sais pas comment faire quoi que ce soit, je réalise. Les larmes me montent aux yeux. Depuis quelques mois je suis tellement sensible. Je pleure facilement, mais aussi je suis très sensible de la peau, c'est étrange et plutôt agréable.

- Mère, je ne sais pas où aller. Je vous en prie gardez moi auprès de vous, je n'ai que vous.

- Pour te garder, il faut que tu me serves à quelque chose et pas seulement à dépenser mon argent.

- Oui Mère, je ferai tout ce que vous voulez.

- Ce que je veux c'est que tu sois mon esclave à me servir.

- Vo... Votre esclave? Je ne comprends pas Mère, je fais tout ce que vous voulez tout le temps.

- Tu ne comprends pas?

- Non Mère, pardonnez-moi, je ne comprends pas.

- Tu me prends vraiment pour une conne. Je sais tout ce que tu fais quand je ne suis pas là dans l'appartement. Le temps que tu passes dans ma chambre à jouer avec mes jouets, à regarder mes photos! Le temps que tu passes sur Internet, les histoires que tu lis ou même que tu écris? Alors tu ne sais vraiment pas ce que je veux de toi?

Je deviens cramoisi d'un coup. Mère est au courant de tout, mais comment est-ce possible?

- Tu es vraiment naïf mon petit chien, l'appartement est complètement couvert par des caméras c'est ainsi que je te surveille. Je sais bien comme les garçons comme toi sont tous des obsédés sexuels.

Il faut un peu d'explications pour comprendre mon trouble extrême. Ou plutôt mon effondrement. Etant seul à la maison la plupart du temps, et toujours très excité, je me suis progressivement livré à des pratiques masturbatoires complexes et perverses. D'abord sur mon ordinateur où les sites porno me faisaient plutôt vomir, je détestais voir ces filles télécommandées et sans aucune sensualité. J'ai rapidement dérivé vers des sites où les femmes prenaient le dessus, des hommes soumis, voire même des hommes soumis à d'autres hommes. C'est cela qui me faisait triper. Et j'avais besoin de choses de plus en plus fortes et violentes.

Du coup je suis passé aux récits sachant que les vidéos ou les photos sont assez limitées pour les hommes soumis. En revanche les photos de Femmes dominantes sont nombreuses, je pouvais me caresser des heures dessus. Les récits c'était autre chose, une boule au ventre, une violence dans mes orgasmes dingue. Je suis passé aussi aux chats soit avec d'autres hommes soumis, ou des dominants, pour des échanges vraiment hards, des idées d'auto-supplices. Je disais avoir juste 18 ans et plus d'une était intéressé que je sois puceau et complètement vierge de tout.

Mais cela c'était encore raisonnable, car pendant ce temps là j'ai effectivement exploré tous ces plaisirs dans la souffrance. A faire le tour de la maison pour me remplir le cul de tout ce que je trouvais, de m'attacher le sexe et les couilles jusqu'à m'évanouir de souffrance, mettre des pinces sur mes tétons et j'en passe. Je me fixais des supplices et je m'y tenais, refusant absolument de me libérer avant l'heure programmée. J'ai passé tellement de nuits blanches ainsi enfermé dans mes souffrances!

Et puis j'ai découvert le coffre de Mère. Juste sous son lit, pas vraiment caché. Et des accessoires qui m'ont complètement bouleversé. Surtout il y en avait souvent de nouveaux, sans que je me demande pourquoi. La taille des godes et des plugs était croissante et je dormais souvent ainsi rempli, à souffrir toute la nuit, m'interdisant de me soulager. Des pinces avec des poids, très douloureuses, des cordes, des chaînes. J'ai même mis du temps à comprendre certains comme les plugs urétraux, le Hummer, ou les écrase couilles. J'allais sur internet essayer de comprendre et ensuite m'éclater avec. Je ne pensais vraiment pas que Mère était au courant. Je me disais que ce n'était pas grave puisque elle s'amusait bien ainsi.

C'est bizarre mais je réalise que je ne me suis jamais posé de question sur sa sexualité. Et pourtant comme elle m'attire et me donne envie. C'est pour moi la femme idéale.

Un jour je suis tombé à la cave sur un carton de livres qui ont fini de m'enfoncer. Je les ai montés et cachés dans ma chambre. Comme je fais toujours le ménage de tout l'appartement moi-même j'étais confiant que Mère ne le trouve pas. Beaucoup de romans, certains très vieux, d'autres tout récents, tous sur des hommes soumis ou esclave. Et puis des manuels pour aider les femmes à asservir leurs hommes, à les maintenir en chasteté, ou à les dresser. Je les ais tous lus des centaines de fois, ils étaient tout cornés. Certaines scènes me rendaient complétement fou.

Et, et tout cela sous l'œil de Mère. Qu'elle horreur! Pourquoi ne pas m'avoir puni avant pour cela, arrêté dans cette folie. J'ai toujours besoin de plus, plus de souffrance, plus d'humiliation, plus de perversité, plus de violence. Je suis pris dans cet engrenage et là...

- Je me suis souvent bien faite jouir en te regardant, tellement grotesque et pathétique. Encore la semaine dernière avec ce gode de 8 cm que je t'ai acheté. Oui c'est moi qui t'ai acheté tout cela! Pour que tu apprennes et découvre qui tu es! Et ce gode que tu t'es enfoncé si violemment, et attaché avec une corde pour qu'il ne sorte pas. Tu étais si minable à pas même pouvoir marcher normalement, à te coucher ainsi, et faire semblant de dormir quand je suis rentrée. Mais je t'avoue que je suis impressionnée que tu l'ai gardé ainsi 3 heures. Tu as une grande volonté dans la souffrance. C'est déjà cela.

- Mère, je suis désolé...

- Tu es une petite chienne perverse et masochiste, je le sais depuis que je t'ai vu. Tu es faite pour cela. Mais je devais attendre ta majorité que ce soit ta décision ou pas. C'est la seule décision que je te laisse.

- Oh Mère, mais comment je vais faire?

- Tu vas prendre ta nuit, et demain matin je te veux à genoux, nu, dans la cuisine, main dans le dos, et le petit déjeuner prêt pour moi seulement. Si tu es trop stupide pour comprendre la chance que je t'offre, tu auras dégagé et je n'entendrai plus jamais parler de toi.

- Mais vous ne m'aimez pas Mère?

- Mais ma petite chose, ce n'est pas le sujet, qu'est ce que tu imagines! On n'aime pas un esclave comme toi, on le possède, on l'éduque et on le dresse. Et ne me dis pas que tu ne sais pas ce qui t'attend, et que tu n'en as pas l'envie. J'ai lu tes histoires aussi, celles de garçons esclave de leur maman, cela ne te rappelle rien?

- Oui Mère, mais ce sont des récits

- Oui très réalistes, et les descriptions me correspondent bien. Tu t'es tellement branlé sur les albums de moi nue, tu te souviens. Comme c'était excitant de deviner les photos de moi qui te faisaient triquer. Pas celle ou mon sexe est ouvert, mais plus celles où je suis en pied, en colère, ou menaçante avec ma cravache. C'était drôle d'ailleurs, car j'avais mis des photos de Sandrine. Sandrine, tu te souviens, mon amie chirurgienne à la clinique? Eh bien tu n'en avais que pour moi, elle tu l'ignorais complètement. Elle va te le faire payer tu vas voir.

- Je ne comprends pas Mère?

- Sandrine? Cela fait des années avec Sandrine que nous jouons ce jeu avec toi, et que nous prenons un plaisir déjà très fort à te regarder évoluer. Sandrine est pleine d'idées pour toi, et pleine de ressources aussi, tu vas te régaler et moi aussi. Pourquoi crois-tu que tu sois si excité sexuellement tout le temps? Et que tu sois si petit et si peu viril malgré ton sexe infatigable? Les hormones jouent un grand rôle dans notre constitution. Et Sandrine maîtrise bien le sujet.

Je m'effondre en écoutant Mère. Je me mets à pleurer devant tant de perversité, et d'être ainsi aussi facilement manipulé. Je n'ai rien vu, rien compris. Et je sens mon sexe dur dans mon pantalon, je suis horrifié de me sentir excité par la situation et la manipulation de la femme que j'aime le plus au monde. Ce qui fait rire Mère. Oui je connais Sandrine, elle vient souvent dormir à la maison, je n'avais pas compris qu'elles avaient une relation! C'était un impensable pour moi. Mon dieu, que vais-je devenir. Je n'ai pas de choix et Mère le sais bien. C'est vrai que j'ai profondément ces désirs d'extrême en moi, que je suis profondément attiré par Mère et que je me masturbe souvent en rêvant qu'elle me fouette et me torture. Mais là c'est la réalité. Je suis sur un toboggan, je ne peux rien faire qu'espérer que l'arrivée ne soit pas trop violente. Sans grand espoir.

Toute la nuit je ne pense qu'à Mère. C'est tout mon univers. Et c'est vrai que je n'imagine pas une Maîtresse autre que elle. J'ai tellement envie d'elle, c'est fou. Comme si je n'en avais pas pris réellement conscience jusqu'à ce moment là.

A 7h00, je suis à genoux comme demandé. Je connais les désirs de Mère par cœur pour lui préparer ses petits déjeuners quand elle dort à la maison, tout est prêt. Mon sexe pointe entre mes cuisses tant je suis excité. Je ne me suis pas caressé de la nuit, je ne sais pas trop pourquoi, pris dans une fièvre de désir, voulant laisser cette fièvre m'emporter. Je me suis rempli des photos de Mère que j'ai copiées avec mon téléphone, je passe souvent des heures à la regarder. Et la nuit m'a révélé que c'était réel, que Mère me prenait vraiment pour esclave!

Lorsqu'elle arrive, je défaille. Sa chemise de nuit en dentelle noire est totalement transparente, la rendant encore plus indécente que nue. Malgré la proéminence de sa poitrine fantastique, je reste rivé sur son ventre légèrement rebondi qui m'émeut sans comprendre pourquoi. Ventre qui descend doucement sur son sexe complètement épilé, orné d'un tatouage que je connais sur les photos : Death Angel avec une tête de mort. C'est vraiment très gothique je pense. Je ne peux me retenir et j'embrasse ses pieds avec ferveur et passion. J'ai la boule au ventre.

- Je te trouve bien excitée ma chienne. Je suis satisfaite de comment tu m'accueille, au moins tu as compris où était ta place. Tu n'en as aucune autre. Je veux que tu sois rempli de dévotion et d'amour pour moi, qu'aucune autre pensée que moi, ou Sandrine, ne te remplisse l'esprit. Elle ou moi c'est pareil.

- Merci Mère de me prendre pour esclave, je vous aime infiniment, je suis tout à vous et je ferai toujours tout ce que vous voudrez. Je n'existe que par vous.

Je n'ai rien prémédité, les mots sont sortis ainsi tout seuls, je suis surpris même de les entendre.

- C'est bien ma chienne, je n'en attends pas moins de toi. Et je vais combler ton masochisme au-delà de ce que tu pourrais espérer.

L'emploi du féminin me trouble. Elle m'a toujours appelé son chien ou son chiot, mais chienne jamais. Déjà hier elle a parlé de moi au féminin. Je n'ai jamais trop exploré ce côté-là, mais de toute façon je ne puis décider de rien.

- Mmmhhh on va calmer cette excitation. Redresse-toi sur tes genoux.

Tandis que j'obéis, Mère envoi son pied chaussé de ses sandales entre mes cuisses. Elle vise exactement là où il faut et je m'effondre par terre en hurlant de douleur.

- Je t'ai dit je me suis bien entraîné, allez redresse toi. Encore deux coups pour sceller ton entrée en esclavage.

Je me redresse difficilement au 3ème coup, effondré de découvrir que mon sexe est encore plus dur si c'était possible. Mère me regarde avec un mépris qui me fait baisser les yeux. Elle s'assied, écarte ses cuisses et m'intime l'ordre de la lécher. J'en tremble d'anxiété. Je n'ai jamais vu un sexe de femme en réel. Le sien est si beau, je trouve. Elle écarte ses lèvres et je découvre son clitoris. Je sais qu'il ne faut pas le toucher tout de suite. Son vagin déborde d'excitation, j'en suis comblé. Je la lèche doucement. Elle prend ma tête, ma guide, se frotte contre moi, me donne des ordres, je lui obéis aveuglément. Elle m'insulte, j'adore cela, j'adore l'entendre, la sentir vibrer, pouvoir la toucher ainsi. Et quand elle jouit, je n'en reviens pas d'avoir pu faire jouir Mère. La vérité c'est qu'elle s'est faite jouir sur moi.

Maintenant ma tête elle m'ordonne de tout boire. Je suis tétanisé. Où donc le liquide va-t-il sortir. J'opte pour en dessous du clitoris et ne me trompe pas trop. J'avale à toute vitesse, ma respiration bloquée, je suis étouffé mais je continue à déglutir. C'est déjà fini, je suis soulagé, très peu a coulé. C'est alors que je réalise le goût acre qui ne m'est pas inconnu, j'ai déjà bu mon urine très souvent. Mais là c'est l'urine de Mère, je la remercie humblement et sincèrement. Elle me redresse, plonge son regard noir dans mes yeux et saisit mon sexe à pleine main. La première fois qu'une personne touche mon sexe. Je suis électrisé. Honteusement je ne peux rien faire que déjà je jouis sous son rire moqueur. Elle a la main plein de mon sperme.

- Ne fais pas le difficile pour avaler ton foutre ma chienne, je sais bien que tu en as déjà beaucoup dégusté. J'avoue que la fois où tu as gardé la production d'une semaine pour te faire un verre entier était particulièrement immonde. Tu t'en souviens ma petite pute n'est-ce pas?

Comment ne pas m'en souvenir? Je suis sa pute. Elle parle sérieusement? Je suis tellement honteux d'avoir jouis si vite. Mon sexe est toujours aussi dur. Mère me rassure, elle va s'en occuper ensuite. Je lèche sa main remplie de mon sperme, dont je goût m'est en effet familier. Je suis bien, à ma place.

- Bien viens là à côté de moi chienne. D'abord des premières règles, mais tu sais ce que j'attends d'un esclave, tu as tout lu. Tu ne parles que si je t'interroge. Tu ne t'assieds jamais sur un fauteuil, une chaise ou autre, tu es toujours au sol. Y compris pour dormir. Ta chambre sera une chambre d'ami, tu dors aux pieds de mon lit, ou dans la salle de bain la nuit. Tu ne bois plus que mon urine ou celle de Sandrine. Plus jamais autre chose. C'est un honneur pour toi! Evidemment tu obéis à tous les ordres et contraintes imposées. Tu nous vénères toutes les deux à chaque instant, je veux le sentir profondément en toi, tu comprends?

- Oui Mère, je comprends toutes ces règles. Je vous aime tant.

- Très bien. Tu ne manges que dans ta gamelle qui est maintenant là dans la cuisine, tu as du la remarquer. Tu as droit à une boite chaque jour, on verra ce qu'on prendra comme boîte, et éventuellement nos déchets. J'ai vu que tu aimais aussi la scato, tu es un gros cochon à manger ta propre merde! Je ne veux pas de cela, ce n'est pas sain et cela pue trop. Tu ne sors pas de la maison, tu n'utilises plus ton ordinateur ni ton téléphone, tu es en permanence à notre service ou à te remplir de nous deux.

- Aujourd'hui nous avons une journée chargée. Nous allons faire ta nouvelle garde-robe, puis salon de beauté. Ce soir Sandrine vient nous voire et nous allons commencer ton dressage. Tu vas avoir droit à plein d'expérimentation de Sandrine, tu ne les découvriras à chaque fois qu'en te réveillant de l'anesthésie, on s'est dit que c'était bien plus amusant que tu ne saches pas ce qui va t'arriver!

Tu vois je ne t'ai pas donné de contrainte pour ta masturbation. Tes besoins sont si élevés et ne vont pas diminuer. Même si cela fait 6 mois que tu avales des hormones féminines qui rendent ton corps si doux, commencent à faire pousser tes seins, tu as aussi ce qu'il faut de testostérone pour être très excité. As-tu remarqué que tu n'as jamais eu de poils? Tu peux remercier Sandrine et ses cocktails particuliers! Mais pas question de te laisser le sexe à l'air ainsi, je vais te préparer pour la sortie. Et quand on rentre on jette toutes tes affaires, un esclave ne possède rien.

Nous allons faire de toi une très jolie Sissy. Tu sais ce que c'est bien sûr. Très contrainte, cela va être un tel enfer pour toi, tu n'as pas idée! Je vais commencer tout de suite. Va me chercher des glaçons.

Lorsque je reviens, à 4 pattes, Mère tient une sorte de bourse en cuir noir que je ne connais pas. Elle ouvre la fermeture éclair pour me montrer l'intérieur couvert de fines pointes d'acier qui sont très impressionnantes. Tout mon paquet va être enfermé à clé dans cette torture. Ele m'explique que la moindre érection provoque des douleurs insupportables, et même le mouvement naturel des couilles sera un supplice permanent. Le sac est petit, et une fois mon sexe tout recroquevillé par les glaçons, Mère a du mal à le fermer. La douleur me transperce, je halète mais ne dis rien. Enfin la fermeture éclair est fermée, le sac est cadenassé. Pour vérifier que tout va bien Mère me masse le sexe au travers de la bourse cloutée, me faisant hurler de souffrance. Il me faut toute ma volonté pour ne pas bouger. Et l'horreur de sentir un début d'érection qui m'envoie rouler sur le tapis de souffrance.

J'apprends alors que j'ai le droit de jouir dans le sac, pas de souci, mais à quel prix, je n'ose l'imaginer. Même uriner sera très compliqué. Il ne sera ôté que dans 15 jours au plus tôt, je n'en crois pas mes oreilles. Je peux à peine marcher, la souffrance est terrible et permanente. Pour me faire plus fille, Mère attache une cordelette au bout du sac et le tire très fort entre mes fesses. Mon sexe disparaît littéralement entre mes jambes, et je ne risque plus de déformer une jupe ou une jupette. Mais la douleur est encore plus vive, et j'ai des éblouissements. Cela ne fait que quelques minutes que je porte la bourse et mes couilles et mon sexe sont tout à vif! Bienvenu en enfer.

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5 Commentaires
OdetteMasoOdetteMasoil y a plus d’un an

Édifiant.

Ce récit devrait être enseigné dans les académies gynarchistes.

Mais je suis inquiet pour la petite sissy : que va-t-il lui arriver ?

Sera-t-elle joliment habillée ou plus provocante, ses jarretelles dépassant de sa jupette plissée ?

Vivement la suite...

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Excellent, mais si possible détail plus la féminisation. Ces situations m'excite tellement.

AurailiensAurailiensil y a presque 2 ans

Tes histoires se suivent mais ne se ressemblent pas ! Bravo

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

On peut pas dire que l'amour maternelle soit son fort...

En fait elle a façonné son esclave depuis plusieurs années avec l'aide de son amie

OlivX

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Ouaaaa très impressionnant ce premier chapitre.

J'adore.

Rudy

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