Entre Filles

BÊTA PUBLIQUE

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Une idée terrifiante m'est venue à l'esprit. Qu'est ce que Victoria allait faire de cette vidéo? J'espère qu'elle n'allait pas se retrouver sur un de ces sites internet pour pervers. Si monsieur Grignac tombait dessus, par un malencontreux hasard, qu'allait-il penser? Je l'imaginais, dans son office notarial, ébahi par la découverte... Non, ça ne pouvait pas arriver! Et si c'était Marcieux qui tombait dessus? J'étais certain que ce looser passait la moitié de sa vie sur ce genre de site (en même temps, au vu de la silhouette de sa femme...). La nouvelle ferait le tour de la ville en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Quelle image cela allait-il donner de mon couple?

Malgré mon évident dégoût, je me suis astreint à continuer le visionnage. La bouche béante, médusé, j'ai gardé mes yeux fixés sur l'écran dans ma main droite. La télé avait du finir par se mettre en veille, car mon smartphone était devenu la seule source lumineuse de la pièce. Ma main gauche, pour m'aider à gérer ce trop-plein de colère, sans doute, trouvait de son côté son chemin vers ma braguette restée ouverte. Malgré le choc que lui avait fait la découverte d'Alyx, je sentais déjà ma virilité se regonfler ... mais la vigueur avait fait place à la servilité. Comme je commençais à haleter, en synchronisation avec ma femme dans la vidéo, j'ai vu les doigts de l'inconnue se relever brusquement au-dessus de la vulve de ma femme, et arrêter leur massage. Les yeux de Justine se sont ouverts, presque paniqués. Je me suis interrompu moi aussi de mon côté. Justine a pris la parole, essoufflée :

_ Pourquoi... Pourquoi vous arrêtez- vous? J'ai fait une bêtise?

La déesse a souri, et j'ai tressailli en entendant sa voix, très grave pour une femme, qui me disait quelque chose :

_ Dis-moi, Justine. Depuis quand n'as tu pas joui avec ton Mari?

Justine a répondu au tac au tac :

_ Ce n'est jamais arrivé.

Jamais arrivé? Qu'est ce qu'elle racontait? Je la voyais jouir à chaque rapport, systématiquement emballée par mes prestations. Même lorsqu'elle n'était initialement pas très motivée, d'ailleurs. À chaque fois, elle avait un orgasme digne, sans démonstrations exagérées, mais visiblement très satisfaisant, et ce après quelques pénétrations vigoureuses. Je suis très capable de reconnaître un orgasme quand j'en vois un, vous pouvez me croire! Je m'y prenais si bien que je n'avais jamais eu besoin de m'abaisser à toucher son clitoris, d'ailleurs. Ma Justine n'avait aucun intérêt pour ce genre de chose, pas plus que pour les préliminaires. En connaisseur, je lui avais très vite montré à quel point ce genre de pratiques étaient superflues à son plaisir. Elle ne jouissait vraiment que par mon pénis, avec pudeur, comme d'ailleurs toutes les femmes bien élevées. Alors qu'est ce que c'était que ces fadaises?

L'inconnue continua :

_ Et combien de fois je t'ai fait jouir, ce soir, Justine?

_ Deux fois.

Deux fois? Ma femme aurait joui deux fois? En une seule soirée? Impossible. Elle était toujours prise d'épuisement aux premiers rapport. Jamais elle n'avait été si portée sur ce genre de chose... Je me suis senti personnellement attaqué par cette soi-disant révélation.

_ Et veux-tu jouir une troisième fois?

_ Oh oui...

_ oui qui?

Ma femme lança à l'amazone un regard débordant de fierté.

_ Oui maîtresse Alyx.

Seule dans mon salon, mon pantalon sur les mollets, avec mon écran pour tout éclairage, j'ai senti mon monde s'effondrer. Alyx était... Cette femme? Absurde. Je ne me serais pas laissé voler ma femme par... par une autre femme? Impossible. Et pourtant, quand je regardais cette géante rousse manipuler ma compagne, la caresser de ses gestes précis... Je pouvais l'imaginer. Ma main gauche à repris lentement ses vas et viens.

Et là, Alyx à susuré ces mots à l'oreille de ma femme :

_ Good girl.

J'ai vu Justine sourire comme si c'était le plus beau compliment qu'elle ait jamais entendu. Dans la vidéo, les doigts de la géante avaient retrouvé sa vulve, et les ondulations de ma femme étaient reparties de plus belle. Elle se mit à pousser des soupirs de plus en plus lourds, réguliers, intenses. Les yeux fermés, elle devait se mordre les lèvres pour ne pas crier.

J'ai réalisé qu'une seconde voix se joignait aux gémissements de Justine : je devinais aux mouvements de la caméra que Victoria, sans cesser de filmer, devait se masturber allègrement. Mais quelle tordue! Quel genre de cochon se masturberait en regardant un être cher se faire manipuler par une inconnue? Cette garce devrait avoir honte. L'alcool me montait au visage. J'ai continué de regarder la vidéo, ma respiration saccadée se faisait plus rauque à chaque mouvement de la main.

Comme les gémissements de Justine augmentaient en intensité, j'ai vu sur l'écran les traits de son visage se serrer. Et puis d'un seul coup, son corps s'est raidi entre les mains de sa maîtresse, et elle a ouvert les yeux en grand. Elle a poussé un cri cristallin, en tremblant comme une possédée, fermement maintenue en place par les bras puissants d'Alyx. Elle a hurlé à pleins poumons, comme je ne l'avais jamais vu hurler, comme je ne l'en croyais même pas capable. Son corps m'a semblé parcouru de décharges électriques, et elle a crié le nom de sa maîtresse à s'en casser la voix. À ce moment, je le reconnais, j'ai senti ma propre jouissance remplir mon pantalon, puis éclabousser mon bas ventre et mon canapé.

Dans un grand rire de Victoria, la vidéo s'arrêta enfin.

J'étais abattu. Jamais je n'avais vu ma femme hurler comme ça. Qu'est ce que ça voulait dire? Pourquoi me faisait-elle ça? Était-ce un deep fake? Un seul moyen de le savoir. Buvant une goulée de rhum directement à la bouteille, je me suis affalé sur mon canapé pour reprendre la vidéo à son début, afin d'y chercher un détail qui me prouverait sa fausseté.

Un message en provenance du téléphone de Justine apparut sur mon écran.

"Alors, tu passes une bonne nuit, monsieur cocu? :) "

Je ne savais pas qui, des trois femmes, avait envoyé ce message. Ivre, je m'en foutais. J'ai relancé la vidéo, sans pouvoir me retenir de me masturber. Une première fois. Puis une seconde... J'ai fini par perdre le compte. À chaque cri de jouissance de Justine, ce mot, cocu, me revenait en tête.

Je imaginais Alyx empoigner la tête de ma femme par les cheveux, et l'enfoncer entre les cuisses de cette garce de victoria qui gémirait de plaisir. Ou saisir les deux femmes par la nuque et mener fermement leurs langues jusqu'à la pointe de ses seins, pour profiter de leurs lèchements dociles. J'imaginais encore Alyx diriger ma femme dans un très long cuni, la félicitant à chaque amélioration... mais claquant ses fesses nues d'un coup de martinet à chaque imprécision. Ces punitions lui arrachaient des gémissements de douleur et de plaisirs. Et enfin ma femme jouirait, comme une putain, en hurlant à quel point c'était meilleur avec ces deux femmes qu'avec son inutile de mari.

À ces idées, je me touchais de plus belle, en me caressant le torse, et branlant mon petit membre, si insuffisant face à la terrifiante Alyx, qui savait tellement bien s'occuper de ma femme. J'ai fini par perdre conscience, affalé sur mon canapé, le corps couvert de sperme séché, la bouteille de rhum vide roulant au sol rejoindre celles de bière. Mon téléphone posé devant mon visage jouait en boucle la vidéo maudite.

Quand je me suis réveillé, le lendemain matin, le soleil était haut dans le ciel. J'étais à moitié débraillé, le pantalon souillé descendu au niveau de mes mollets, et le polo relevé jusqu' au cou. Mon torse, mes mains et mon canapé étaient maculés de sperme et d'alcool, restes dégoûtants de mon orgie solitaire.

La soirée de la veille m'est revenue en mémoire et, pris d'un sursaut, je me suis redressé pour vérifier que les rideaux étaient bien tirés. Il n'aurait plus manqué qu'un voisin me surprenne dans cet état! Mais non, j'étais à l'abri. Je me suis saisi de mon téléphone pour regarder l'heure, mais il s'était éteint par manque de batterie. Il faudrait que je le recharge pour pouvoir le rallumer.

En me rhabillant, j'ai repensé aux événements de la nuit. Mon téléphone éteint, tout cela avait l'air totalement irréel. Justine n'était pas une dévergondée, enfin! J'avais dû boire un verre de trop et faire un mauvais rêve, voilà tout. Un très très mauvais rêve, mais rien de plus. D'ailleurs le souvenir de cette Alyx me semblait si surnaturel... Je me suis senti frémir rien que d'y penser.

Une fois un peu plus présentable, je me suis levé pour aller jeter les bouteilles d'alcool vides dans le bac de tri, à la cuisine. Sur l'horloge du four, j'ai vu qu'il était un peu plus de dix heures. D'un coup d'œil au jardin, j'ai vérifié que la voiture de ma femme avait retrouvé sa place, devant la porte du garage. Il fallait que je recharge mon téléphone pour relire mes messages et faire la lumière sur les événements de la nuit.

Comme je le dirigeais vers la chambre pour y trouver mon chargeur, la porte de la salle de bain s'est ouverte en grand, et Justine en est sortie, emmitouflée dans un peignoir immense d'une blancheur immaculée. En me voyant, ses traits se sont illuminés d'un grand sourire, et elle s'est jetée dans mes bras, comme elle aimait le faire lorsqu'on se retrouvait.

_ Mon amour! Bien dormi?

Je la serrai dans mes bras, Incrédule. Comme je ne répondais pas, elle continua.

_ Je suis rentré un peu tard, j'ai vu que tu dormais dans le salon. Je n'ai pas voulu te déranger. On prend le petit déjeuner?

Elle m'a embrassé sur la joue et, en me prenant la main, m'a entraîné vers la cuisine. Je ne comprenais rien. Tout avait l'air si... normal! J'aurais vraiment rêvé? Je me serais fait un film? Avec l'alcool, j'avais dû m'embrouiller entre la réalité et les vidéos que je voyais sur ma tablette en cachette. Il faudrait, après le petit déjeuner, dès que je pourrais recharger ma batterie, que je vérifie le contenu de mes messages pour en avoir le cœur net.

Comme je m'apprêtais à m'asseoir, Justin m'a dit d'un ton rieur de lui préparer le repas. L'occasion idéale de reprendre mes esprits en mettant en action quelques automatismes. Sans trop me poser de question, en bon mari, je me suis exécuté et j'ai commencé à m'affairer alors qu'elle me regardait, confortablement installée sur une chaise. J'en ai profité pour la questionner discrètement sur la soirée :

_ Alors, comment ça s'est passé... Hier soir?

_Oh, c'était super. Une amie de Victoria s'est jointe à nous!

Mon sang n'a fait qu'un tour et ma main a laissé échapper la dosette de café dont je venais de me saisir.

_ Ah bon?

_ Oui, une femme impressionnante! J'en suis encore toute chamboulée. On a fini la nuit chez Vic, tranquille.

J'ai frémi, me retenant in extremis de bégayer la suite. Ayant repris une apparente contenance j'ai continué, dans un souffle :

_ une bonne soirée, donc?

_ c'est ça. Une bonne soirée entre filles.

J'ai apporté le café, le jus de fruits et la brioche grillée sur la table, et nous avons commencé notre repas en bavardant avec entrain. Même si c'est surtout Justine qui faisait la conversation. Tout était incroyablement normal. Elle ne m'a fait lever que deux fois, pour lui faire un œuf au plat puis pour lui apporter son téléphone. Comme je la regardais consulter ses messages en silence, et alors que mon regard se perdait à l'extérieur, j'ai réalisé à quel point c'était une belle matinée. Justine s'adressa à moi :

_ Un message d'Alyx. Elle me dit qu'on refait une soirée avec elle et Vic le week-end prochain.

_ Ah bon?

_ Elle m'ordonne de trouver une convive supplémentaire... Je me demande laquelle de mes amies serait la plus appréciée.

_ Je... je comprends, mon amour.

Sans bien savoir quoi penser de ce drôle d'échange, je me suis empressé de débarrasser la table, laissant Justine se concentrer sur son téléphone. C'est à ce moment que jolie tache de couleur rose, à l'extérieur, à attiré mon attention. C'était Madame Grignac, qui passait dans la rue en faisant son footing du matin. Incroyable, le temps que cette jeune femme arrivait à consacrer à son corps! En la suivant du regard, je n'ai pas pu m'empêcher de me dire que j'aurais aimé l'assister dans cette tâche. Brusquement, j'ai réalisé que j'étais en train de mater éhontément cette fille, devant ma propre femme, sans même avoir pensé à me cacher. Justine a toujours été gentille, mais un peu possessive. Elle était encore capable de me faire une scène. Rouge de honte, je lui ai jeté un œil anxieux pour voir à quel point j'étais dans l'embarras. Ce que j'ai vu m'a soufflé.

Justine était elle-même occupée à déshabiller la Joggeuse des yeux, en se mordant la lèvre, comme si elle pensait à quelque chose de très compliqué. Ou d'intense. En croisant mon regard, elle a eu un sourire presque moqueur, avant de lâcher sur son ton guilleret :

_ Elle est pas mal, la nouvelle femme de Grignac. Tu vas te débrouiller pour m'avoir son numéro de téléphone. D'accord?

Surpris, je me suis empressé de répondre :

_ Bien sûr Justine. Mais... heu... Pourquoi?

_ Qu'est ce que tu crois? Pour la faire venir à notre prochaine soirée entre filles!

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6 Commentaires
MalmortMalmortil y a environ 1 moisAuteur

Merci Beaucoup, FrenchAngelique et nimbus131. Je n'avais pas envisagé de suite, mais, sait on jamais... Si vous désiriez lire une suite, dans quelle directions souhaiteriez vous qu'elle parte ?

nimbus131nimbus131il y a environ 1 mois

Excellente histoire, très différente de ce qu'on a l'habitude de lire, mais vraiment très bien.

J’espère qu'il y aura une suite

FrenchAngeliqueFrenchAngeliqueil y a environ 1 mois

Joliement racontée. Une suite est elle prévue? Il lui semble connaitre la voix d Alyx, et cette derniere de son attitude semble ouvrir d autres portes? Bien qu en soit, l incertitude puisse etre le but et se suffire a elle meme

amimaxamimaxil y a environ 1 mois

merci pour cet belle histoire j'espère bientôt une suite

MalmortMalmortil y a environ 2 moisAuteur

Merci du compliment, Aurailiens !

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