En Perdition Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Déjà la voici descendue du lit, je suis un peu frustré, le plaisir a été assez fugace, certes sans aucune douleur! Sans doute un arrêt technique car la voilà déjà de retour, dans la même position. Je devine tout de suite que le pieu n'est plus le même. C'est un euphémisme. Océane appuie fortement pour enfoncer simplement le bout, je me sens écartelé, j'ai le souffle coupé. Elle fait de petits allers et retours qui m'envoient des décharges dans tout le corps, je ne sais si c'est de plaisir ou de douleur, mes pieds me tirent, je me sens bizarre. Chaque fois elle s'enfonce plus profondément, me traitant de belle enculée, prenant maintenant appui sur mes épaules pour s'enfoncer pleinement en moi, si loin, j'ai l'impression qu'elle traverse tout mon ventre, que je ne suis plus qu'un cul soufrant et défoncé. Les sensations dans mon sexe sont indescriptibles, je le sens couler sans que je ne puisse rien contrôler, alors qu'elle se met à me limer avec une vigueur folle.

Je couine, je gémis, je me tords, transpercé à chaque instant, elle me perfore, se moque de moi, me dis que je suis faite pour cela. Toujours l'utilisation du féminin pour me faire bien comprendre qui est l'homme du couple. Je perçois son excitation dans la voix! D'un seul coup elle sort de moi, saisit la cravache et l'abat à toutes volées sur mes fesses offertes que je ne peux protéger. Surpris je crie, je supplie, elle arrête, revient en moi, me défonce à nouveau, me faisant l'implorer, je pleure, puis elle recommence, les coups me semblent d'une violence folle, ils déchargent en moi la tension de cette sodomie sauvage qui reprend aussitôt. J'ai la tête qui tourne, les prochains coups sont presque du bonheur, je lui en demande plus, provoquant son ire que je parle, et m'assénant une violente succession qui me fait hurler, mendier, et tout lui promettre.

Elle revient me baiser plus lentement, mes fesses brûlent. Ses ongles déchirent mon dos, elle joue avec le sang qui coule, me lacère encore, comme si elle n'arrivait pas à se rassasier! Je n'en peux plus, je suis épuisé, je n'ai pas joui mais c'est tellement plus, tellement fort. Enfin elle sort de mon cul, s'absente pour revenir détacher une cheville et la rattacher à l'autre. Je suis libre de me mettre sur le ventre. Elle se couche à côté de moi, me caresse, m'embrasse la bouche, je me laisse pénétrer par sa langue, elle semble apprécier, me traite de bon garçon, me demande si je veux lui appartenir?

- Je... je ne sais pas, cela veut dire quoi?

- Que tout en toi m'appartient, ton corps, ton plaisir, ton âme, ta vie, ton temps, tu ne contrôles plus rien, tu ne vis que par moi, que pour moi, tu m'idolâtre, tu me vénères, tu m'obéis en tout et pour tout.

Je prends le temps de bien intégrer tout cela, tellement cela semble fou. Mais quelle autre réponse puis-je lui faire, sinon lui donner mon accord.

- Parfait, profite de ta dernière nuit de liberté, je reste dormir avec toi.

Et sans plus d'effusion, elle met la couette sur moi et s'endort à mes côtés. Je sombre aussitôt, épuisé.

A mon réveil j'ai la première surprise d'avoir une main libérée, elle n'a pas voulu recommencer la même chose, j'en suis soulagé. Je tâte le grand lit, vide, j'en suis désolé. Je m'enhardis à enlever les scotchs sur mes yeux, collés par la nuit. Ma vue est un peu floue, mais je vois que les lumières sont éteintes, que je suis seul. Je me débarrasse de mes menottes, puis des attaches de mes chevilles. Mon corps me fait mal partout, je me détends, j'ai envie de me soulager et c'est un peu chancelant que je vais aux toilettes.

Mes marques sont à peine visibles dans le miroir, sauf sur les fesses qui sont violettes et gondolées. Quant à mon dos, les traces sanguinolentes sont elles, spectaculaires, je suis fasciné par ces marques qui brûlent terriblement sous la douche chaude que je savoure. C'est en sortant que je découvre le paquet avec l'enveloppe laissés intentionnellement pour moi sur la table de la chambre.

« Ma petite chienne,

Hier tu m'as indiqué vouloir m'appartenir, après que je t'ai bien décrit ce que cela signifiait. Es-tu toujours dans cet état d'esprit? Je pense que tu peux être la petite chienne que je cherche et n'ai pas encore trouvée. Le chemin est long, plein d'émotions, tu verras, mais c'est à toi de te décider.

Si tu veux continuer, je veux que tu portes le cadeau que je te fais. Envoie-moi une photo de toi ainsi équipé pour mon plaisir. Je reviendrai alors vers toi pour la suite de notre relation. Sinon, ne t'inquiète pas, j'ai passé une jolie soirée et je te souhaite une jolie femme pour ton plaisir.

O. »

Je me masturbe en lisant son message, c'est dire à quel point ma décision n'a pas bougé. Je ne me souviens pas nécessairement de tous les termes qu'elle a employés, mais j'ai compris que c'était une appartenance totale et absolue. Je me dis que de toute façon je garde toujours mon libre arbitre, cette privation de liberté me semble très limitée. J'ouvre ainsi le paquet, extrêmement curieux, pour découvrir une ceinture de chasteté en chaîne et métal, qui semble de très grande qualité, à son poids et à ses finitions. La notice me semble plus qu'utile pour comprendre comment la mettre. Je note tout de suite l'absence de clé, une fois fermée, c'est Océane qui pourra m'ouvrir.

C'est drôle, je ne réfléchis pas, j'adore qu'elle ait pensé à cela, en fait jamais une fille ou une femme n'a fait le quart de ce qu'Océane me propose. Je sens une très grande attention de sa part, une volonté de m'emmener, et je me dis que j'ai de la chance. Je passe la ceinture autour de la taille, elle a une forme ergonomique, couverte de silicone, plutôt douce. Un peu serrée, mais je suppose que c'est normal. Mes hanches la retiennent, elle ne peut pas tomber. Deux chaîne passent sur le côté et doivent se refermer sur la cage une fois installée. Je fais coulisser un anneau à la base de mon sexe, comme indiqué, une couille, puis l'autre, le pénis enfin. L'anneau circule à peine, la notice indique que c'est ainsi que cela doit être.

Vient le gros morceau de métal en forme de pénis dans lequel je dois insérer le mien. La difficulté vient d'abord de cette tige en métal qui émerge au centre. Je comprends que je dois l'insérer dans mon méat, et que cela garantit l'hygiène parfaite de la cage pour de longs séjours. C'est bizarre de sentir cette tige progresser en moi au fur et à mesure où je rentre mon sexe dans la cage. Je découvre que mon méat passe sur la partie basse de mon sexe, ce que j'ignorais complètement. Je dois jouer un peu avec l'anneau pour que le bout de la tige entre plus profondément, à peine un centimètre au-delà de l'anneau. C'est étrange, mais je dois avouer que je ne la sens pas du tout. Mon sexe est complètement enfermé, et seul une ouverture en bout est visible, correspondant à la tige enfoncée en moi.

Je dois enfin jouer avec la peau de mes testicules pour approcher la cage de l'anneau et verrouiller l'ensemble à la ceinture et fermer tout cela avec le cadenas. Mon sexe est pressé dans la cage, je me détends pour le faire débander, j'essaie de ne pas me pincer, et une fois certain que tout est en place, je ferme le cadenas avec un clic fatidique. Ce n'est qu'à cet instant que je réalise vraiment ce que j'ai fait, comprenant que la ceinture ne bouge pas d'un millimètre, l'anneau et la cage sont complètement solidaires et sécurisés par les deux chaines plates qui passent sur mes fesses, je suis réellement prisonnier. Mon érection contrainte est douloureuse, ce qui m'excite encore plus. J'adore sa perversité, c'est si rare chez une femme.

Je me prends en photo dans la glace, l'effet est assez excitant, comme si je n'avais plus de sexe, c'est sauvage.

« Je suis tout à toi »

La réponse fuse presque instantanément.

« Parfait, je vais pouvoir commencer à m'amuser. J'espère que tu sens bien ton cul, je vais faire de toi une belle femelle, tu seras la plus heureuse crois-moi! »

Toujours ce féminin, mais je ne pense pas qu'il y ait un désir de féminisation. Je suis d'aspect viril et serait un piètre candidat, même si la perspective m'aurait beaucoup excité.

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Anonymous
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7 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Très excitant, quelle belle perverse !

AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Merci pour ce nouveau récit.

Très prometteur.

Rudy

Ezoe31Ezoe31il y a 4 mois

Une nouvelle histoire. Merci 🤩

AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Hâte de découvrir ce que sa nouvelle Maîtresse prévoir pour le dressage de sa petite chienne

AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Toujours aussi excitant et sadique. Vivement la suite.

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