Le Projet

Informations sur Récit
Introcution et premier couple.
3.1k mots
4.39
10.6k
3

Partie 1 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 04/13/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Cela a été un long projet

Nous voulions trouver 2 maisons adossées, sur un terrain assez grand, isolé mais proche de la ville.

Nous sommes deux couples, Alicia et moi-même Pierre, Julien et Kate. Nous nous fréquentons depuis un peu plus d'une année et c'est donc en pleine connaissance de cause que nous voulions vivre les uns à côté des autres.

Je ne sais combien d'agences nous avons contactées, combien de visites nous avons faites, et ce sans succès. Il est vrai que satisfaire aux exigences de deux couples n'est pas chose aisée. Enfin, pas vraiment deux couples puisque seuls Alicia et Julien ont leurs mots à dire.

Pour rester bref sur le sujet, une agence nous a finalement proposé deux maisons séparées par 5 mètres de distance, mais dans un environnement parfait (distance de la ville, discrétion). Un très beau jardin pour l'une, une piscine pour l'autre. Julien a contacté un architecte et sans grandes difficultés nous avons pu construire une cour intérieure qui reliait les habitations, avec en façade une grande baie vitrée munie d'un film anti-regard côté extérieur. Un volet rétractable pour couvrir en cas de pluie, une porte vitrée de chaque côté, nous avions réunis les deux maisons. Quelques aménagements dans les caves et à l'intérieur, un grand abri de jardin, une fosse à compost et après trois mois de travaux nous avons pu nous installer. Je dois préciser que l'aspect financier n'était pas un obstacle : j'ai très (très) bien vendu ma boîte informatique il y a quatre ans et Julien possède une société avec un important portefeuille immobilier.

Qui sommes-nous? Deux couples avec des intérêts communs (musique, voyage, sport, lecture, cuisine pour les principaux) mais surtout un gros point commun : dans chaque couple il y a un maître et un soumis. Julien (45 ans) est le maître, Kate (35 ans) la soumise. Alicia (47 ans) est la maîtresse, moi (47 ans aussi) je suis le soumis. Et Kate et moi-même devons obéir aux deux maîtres, sans distinction. Cette soumission est volontaire : Kate et moi sommes naturellement des personnes qui ont besoin d'obéir, d'être humiliés, de souffrir dans la douleur des punitions. C'est comme cela que nous sommes heureux. De leurs côtés Alicia et Julien ont cette autorité naturelle qui en font des leaders, qui en ont fait des maîtres dans nos couples.

Mais derrière cela il y a beaucoup de respect les uns envers les autres et un amour réel au sein de chaque couple.

Alicia est assez grande, cheveux châtains mi-longs, un beau corps de femme mûre avec des formes mais de la fermeté, une paire de seins généreux, en légère forme de poire, avec de jolis mamelons et de larges aréoles. J'ai toujours été attiré par les seins de femme, et ceux de ma maîtresse peuvent me rendre fou. Alicia le sait, bien entendu, et a tout le loisir d'utiliser cette faiblesse.

Julien est certainement un bel homme. Grand, svelte, un corps d'athlète qu'il entretien avec ténacité. Des yeux bleus qui peuvent vous transpercer, parfois une légère barbe très élégante, selon son humeur. Un sexe puissant, sans être d'une taille effrayante mais qui se dresse comme un mât à la moindre érection.

Kate est assez fine, blonde avec les cheveux coupés très courts. Des jolis seins qui pendent franchement, jamais de soutien-gorge et de nombreux étirements de ses tétons percés par deux gros anneaux. Un anneau qui lui perce aussi la cloison nasale et qu'elle porte en permanence quand nous sommes entre-nous. Les grandes lèvres de son vagin sont aussi percées. Elle porte au niveau du pubis un tatouage représentant une paire de menottes. Cela peut paraître une caricature de la fille maso, et elle est maso mais Kate, c'est beaucoup plus que cela. Elle est aussi généreuse, disponible, attentive aux autres. Et c'est aussi une grande sportive ayant pratiqué les arts martiaux à un haut niveau.

Moi je suis assez quelconque. Ni ceci, ni cela ....Un jour j'ai demandé à mon épouse pourquoi avoir accepté de m'épouser. Je travaillais comme un fou pour développer ma boîte informatique, rarement à ses côtés, et elle pouvait avoir les plus beaux mâles dans son lit. Elle me répondit qu'elle avait toujours apprécié mon courage, mon ardeur et qu'elle avait intuitivement perçu que, quand elle le déciderait, j'accepterais de vivre à ses pieds. C'était cela le mari qu'elle cherchait. Pour le sexe, il y avait d'autres possibilités. Je le comprends d'autant mieux que depuis 3 ans je porte une cage de chasteté et qu'elle, bien entendu, a toute liberté pour satisfaire sa libido.

Donc il y a quatre ans, je décide d'accepter une offre incroyable pour ma société d'informatique. De quoi me permettre d'arrêter de travailler et de très bien vivre simplement sur les intérêts de notre capital et les dividendes de nos placements. Et nous pourrons ainsi laisser un beau cadeau à notre fille, et unique enfant, Valérie.

Valérie a 28 ans, brillante avocate, membre d'un important bureau d'avocats d'affaires. Toujours célibataire. Elle a quitté le giron familial en entrant à l'université et a gardé son indépendance, tout en nous rendant fréquemment visite et en contact presque journalier avec sa mère.

Bien entendu j'avais parlé de cette opportunité de me retirer à mon épouse et elle m'a tout de suite encouragé à la saisir. Comprenant bien que j'allais hésiter à vendre mon bébé, elle a même fait un peu de forcing en me disant qu'il était temps que je pense plus à elle et que je sois enfin disponible pour notre couple. Ce dont elle avait parfaitement raison. Ce que je ne savais pas c'est qu'elle voulait que je ne pense plus qu'à elle et que je sois 100% disponible pour ses besoins, et pas tellement pour le couple.

Pendant les quelques mois qui ont suivi la vente, elle m'a laissé du temps pour organiser la gestion de cette nouvelle fortune, mettre en ordre pas mal de retard dans mon administration (le processus de vente ayant pris l'entièreté de ma disponibilité pendant une assez longue période, et il fallait continuer à faire tourner le business). Et puis, petit à petit, elle a commencé à serrer la vis.

Elle m'a demandé de nettoyer ceci ou cela, de vider une cave, d'aménager des rangements dans le garage ...tout à fait normal me direz-vous. Oui mais ce n'était pas « tu ne voudrais pas ..... », c'était « je veux que ...et aujourd'hui ». Je laissais tomber, elle avait raison sur le fond et j'acceptais la forme. Je dois avouer, pour être honnête et mieux faire comprendre la suite de notre histoire, que cette autorité nouvelle ne me laissait pas indifférent. Quelque part j'aimais que ma femme se montre autoritaire, prenne les choses en mains. Cela venait du fait qu'après tant d'années à diriger et gérer dans ma vie professionnelle, j'avais certainement besoin psychologiquement de passer la main. C'est une réaction classique et attendue. Mais plus inattendu, cela m'excitait. Oui, quand ma femme me donnait un ordre un peu sèchement, cela me faisait bander.

Mais j'avais encore du mal à l'accepter. Vieux réflexe macho primitif de quelqu'un qui a passé une grande partie de sa vie à diriger les autres. Et c'est ainsi qu'un jour arriva l'incident qui allait tout précipiter. J'avais déjà fait ce jour-là je ne sais combien de fois le trajet entre la cave et les autres pièces de la maison pour, encore une fois, faire du rangement. Je m'assieds enfin dans un fauteuil et prends mon journal que je n'avais toujours pas eu le temps de finir depuis ce matin. A cet instant précis Alicia arrive et me dit : « va chercher le linge sale dans la salle de bain et descends le mettre dans la machine à laver ». J'en ai ras le bol et je lui réponds : « vas-y toi, je viens de m'asseoir et je ne bouge plus ». Sans hésiter un quart de seconde, elle se dirige vers moi, arrache mon journal, le jette par terre et me donne une violente paire de gifles. J'étais abasourdi par sa réaction, pourtant je savais que je devais réagir : répondre, partir ou accepter.... et ce dans l'instant. Je suppose que c'est un moi profond qui a pris le dessus sur l'autre alternative. Je me suis levé, je lui ai dit : « je te demande pardon ma chérie, je m'en occupe directement. » et je suis parti chercher le linge, la queue entre les jambes comme on dit. En passant devant elle, j'ai pu voir un sourire méprisant mais triomphant. Mon sort était scellé, une nouvelle vie allait commencer.

Quand je suis remonté de la cave, j'ai vu qu'Alicia avait jeté mon journal à la poubelle... Elle m'a dit de lui servir un verre et d'en prendre un pour moi, que j'en aurai bien besoin, et de la rejoindre dans le salon. Confortablement installée dans le canapé, je ne pouvais manquer de remarquer son chemisier entre-ouvert ; elle ne portait plus son soutien et je suis certain qu'elle l'avait il y a dix minutes. Plus de la moitié de ses seins étaient visibles, de quoi me troubler directement.

-Ecoute bien parce que je ne me répéterai pas et je t'interdis de m'interrompre. Oui, c'est bien le verbe interdire que j'ai employé.

Pendant toutes ces années durant lesquelles tu dirigeais ta société, et fort bien je te le concède, je me suis occupée de tout à la maison. En plus d'élever notre fille. Même le week-end je te laissais souffler ou te divertir sans rien te demander. Je ne faisais qu'attendre le moment où ce serait toi qui prendrais le relais. Maintenant c'est arrivé, même plus vite que prévu. Alors, pour être brève et directe, voici les nouvelles règles : le ménage, les courses, le nettoyage, etc... bref toutes les corvées c'est pour toi. J'en profite pour te dire que Julia m'a demandé pour ne plus venir qu'un demi-jour par semaine et nous avons convenu qu'elle ne s'occuperais que du repassage, ce que tu n'es pas, du moins pas encore, capable de faire correctement. Si ces tâches ne sont pas exécutées correctement, tu seras puni : punitions corporelles ou privation de liberté. Sois certain que je vais être très créative sur ce sujet. Petit à petit tu subiras d'autre contraintes, tu les découvriras au fil du temps. Et moi pendant ce temps je ferai ce que je voudrai. Tu vas devenir mon serviteur, dans un premier temps...

Si Valérie vient à la maison, elle trouvera un couple de parents normaux dont l'époux est très attentionné. Et dans un premier temps, ta nouvelle fonction ne sera connue que de moi seule. Nous sommes vendredi, je te laisse tout le week-end en paix pour y réfléchir. Si cela peut aider ta réflexion, sache que depuis longtemps je connais les sites internet que tu aimes visiter. Et où la domination féminine est un thème récurrent. Ton choix est simple : tu acceptes ou tu dégages. Nous pouvons entamer une procédure de divorce, j'y suis prête et je suis certaine que nous pourrons trouver un arrangement équitable. Bon samedi mon chéri, je pars chez maman et je rentrerai dimanche soir pour entendre ta réponse.

Sur ce elle s'est levée, a pris un sac dans le vestiaire et sa voiture pour rejoindre sa mère qui habite à une cinquantaine de kilomètres en pleine campagne. Tout ceci avait donc été préparé, Alicia ne serait jamais partie chez sa mère sans l'avoir prévenue, ne fut-ce que pour s'assurer qu'elle serait bien chez elle. Alicia savait qu'en me poussant un tant soit peu, elle aurait cette réaction macho dont elle avait besoin pour mettre son plan à exécution. Et moi, naïvement, je n'ai rien vu venir.

Où suis-je? Qui suis-je? Où vais-je? Voici les questions qui se posaient devant moi et auxquelles je devais répondre.

Où suis-je? Visiblement à un tournant de ma vie. Je dois oublier le passé, il n'est plus relevant. Alicia est prête à tout effacer. Je ne doute pas un instant que l'hypothèse du divorce n'est pas du bluff, ce n'est pas son style. Elle y est certainement prête. Ce sera avec elle selon ses règles ou sans elle.

Qui suis-je? J'ai toujours été attiré par les femmes autoritaires. Une attitude hautaine, un regard perçant créent chez moi un trouble certain. Un jour j'ai vu une femme humilier un homme, sans doute son mari, en pleine rue. Elle était superbe, pantalon de cuir skinny , blouson perfecto de grande qualité porté à même la peau, boots bordeaux. Il la suivait, les bras chargés de sacs, la tête basse. Visiblement elle était en train de l'engueuler. Soudain elle se retourne et lui envoie une paire de gifles avant de lui cracher au visage. Et de reprendre sa marche comme si de rien n'était, le malheureux essayant tant bien que mal de la suivre. Mais était-il si malheureux? Je me souviens que je me suis dit que j'aurais sans doute voulu être à sa place. En tout cas je bandais.

Où vais-je? De toute façon vers quelque chose de nouveau : un divorce et une nouvelle vie à rebâtir ou une aventure que je ne vais absolument pas maîtriser. Je n'ai pas envie de divorcer, de trouver des explications foireuses pour le justifier, de diviser et partager toute une vie, de devoir renoncer à certains amis... J'ai peur de me soumettre à Alicia car je ne sais pas où cela va m'amener. C'est sortir vraiment très loin de ma zone de confort. Mais je ne peux pas laisser cette occasion de vivre une relation où ma place sera celle que secrètement je rêve tant d'occuper. C'est vrai que je passe pas mal de temps à surfer sur le net et regarder des sites ayant trait à la domination féminine : forums, photos, vidéos. J'ai aussi téléchargé de nombreux textes et des livres : presque uniquement des récits où le mari est devenu l'esclave de sa femme. Jusqu'à ce jour c'est toujours resté un fantasme. Cela pourrait devenir une réalité...

Je me doutais bien qu'Alicia avait connaissance des sites que je visitais. Secrètement j'espérais même qu'elle aie envie de parler de ce sujet avec moi, et petit à petit de l'amener à prendre en charge notre couple avec autorité. Je n'ai jamais eu le courage de lui en parler, trop lâche. J'espérais craintivement que cela viendrait d'elle. Finalement elle en a parlé, en me disant que cela m'aiderait à prendre ma décision de savoir qu'elle était au courant. Et c'est vrai que cela fait pencher sérieusement la balance. Elle connait mon intérêt pour une relation femme dominante / mari soumis et au travers des textes, images et vidéos qu'elle a pu elle aussi voir, tout ce que cela peut comporter. Moi j'espérais depuis longtemps qu'une telle relation s'installerait dans notre couple. Alors pourquoi hésiter?

Ma décision était pour ainsi dire prise quand je reçois un email de mon épouse me disant qu'elle était bien arrivée chez sa mère et que cette dernière m'embrassait. Etrange car elle ne m'a jamais porté dans son cœur, toujours persuadée que je n'accordais pas assez d'attention à sa fille. Mais cet email comportait aussi la phrase suivante : « Attention, si tu choisis de rester en tant que serviteur c'est pour toujours. Il n'y aura pas de période d'essai ni de marche arrière possible. La seule sortie ce sera pour toi de faire tes valises ».

Pourquoi m'envoyer cela? Pourquoi me faire hésiter de nouveau alors que ma décision était prise? Il est vrai que dans un coin de ma tête je me disais que si cela ne marchait pas, si c'était invivable pour moi, il serait possible de faire marche arrière. Je prendrais en charge plus de tâches ménagères, je consacrerais plus de temps à mon épouse, je lui laisserais prendre plus de décisions mais nous continuerions de mener une vie de couple assez normale. Mais cela elle n'en voulait pas et elle me le faisait clairement savoir.

Je décidai d'aller me coucher, d'essayer de dormir et repenser à tout cela demain matin, à froid. Bien entendu je ne faisais que me retourner dans mon lit sans pouvoir vraiment fermer l'œil.

A 2 heures du matin nouveau email : « N'oublie pas que tout manquement sera sanctionné : punition corporelle ou privation de liberté ».

A 4 heures : « Quant à moi, j'aurai toute liberté de faire ce dont j'ai envie. Et avec qui je veux »

A 6 heures : « Ne t'inquiète pas pour moi, je dors très bien. J'ai programmé ces messages hier soir. J'ai discuté avec maman. Je ne lui ai pas tout dit, bien entendu, mais j'ai partagé avec elle que je souhaitais que tu t'occupes beaucoup plus du ménage et de moi-même. Elle m'a dit que j'avais bien raison (ce qui ne pas va t'étonner) et que si cela ne te plaisait pas de t'envoyer promener. Cela m'a fait plaisir car ainsi elle ne sera pas surprise si tu décides de partir. Je vais me lever vers 9 heures. A ce soir... »

Mais bon sang pourquoi tous ces emails? Et maintenant sa mère qui s'en mêle, même si c'est sans le savoir. Je n'en peux plus. Physiquement épuisé par une nuit blanche, mentalement épuisé par mes doutes, mes questions sans réponse, je me sens vraiment faible. Et il en sera ainsi de toute la journée, aucune activité ne parviendra à me distraire. Je n'avais envie de voir personne, j'ai à peine réussi à grignoter un morceau de pain, je me suis interdit de boire un verre sinon je risquais de m'écrouler. Je voulais juste qu'Alicia revienne et que nous puissions parler.

20 heures, un sms : « je viens de dîner avec maman et je pars. Serai là vers 21 heures. Trop envie de t'entendre ».

Et moi de te parler. Pour que tu me rassures, que tu me dises que tout ira bien, que tu m'aimes, que je suis important pour toi. Pour que je te dise que je veux être près de toi, même à tes pieds. Que je voudrais juste quelques réponses.

« Coucou chéri, je suis là. Oh la la, quelle petite mine...on dirait que tu n'as pas fermé l'œil. Moi j'ai super bien dormi, j'adore le calme de la campagne. Maman t'embrasse, froidement mais tout de même. Bon, prends une bouteille de vin et viens me rejoindre au salon que nous puissions avoir notre petite discussion ».

Je suis allé déboucher une bouteille de Graves, un de ses Bordeaux favoris. Pour lui montrer que c'est déjà à elle que je pensais.

A peine le temps de nous servir et de m'asseoir en face d'elle. Elle avait pris un des fauteuils, visiblement elle ne voulait pas partager le canapé avec moi, elle préférait avoir une certaine distance.

- Alors, tu restes à mes ordres ou tu pars?

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
6 Commentaires
color69color69il y a plus d’un an

Toujours un grand plaisir de te (re)lire !

AnnalalevretteAnnalalevretteil y a environ 2 ans

Intéressant, descriptif très détaillé cela donne envie de lire la suite

AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

Très intéressant, j'ai hâte de découvrir la suite de cette histoire

OlivX

AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

Démarrage très bien présenté. Ainsi la suite sera totalement claire.

Bravo pour le coup de plume et pour l'originalité du "décor".

Merci

Rudy

Montre plus
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Le Projet Ch. 02 Partie Suivante
Le Projet Info Série

Histoires SIMILAIRES

En Perdition Ch. 01 Je rencontre une femme perverse qui m'envoute.
Projet de Fin d'étude (Partie 01) Une étudiante place son coloc dans une cage de chasteté.
Erika : Dresseuse De Couple – Ch. 01 Un homme marié rencontre une femme mystérieuse dans le train.
L'entretien Histoire d'un entretien un peu particulier.
Première Journée avec RANIA Première journée inoubliable entre ses cuisses.
Plus d'histoires