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Chloé n'en peux plus de tous ces porcs qui la matent.
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Ils étaient là, comme chaque soir, assis sur leurs scooters, le casque à la main, d'autres appuyés contre la rampe d'accès du Monoprix, le dernier assis dans les marches.

N'avaient-ils rien d'autre à faire de leurs soirées que de rester plantés devant un supermarché à mater les gens qui passent?

Chloé pouvait sentir leurs regards alors quelle allait acheter les quelques courses qui lui manquait. Elle pouvait sentir leurs regards chaque soir. Elle savait qu'en sortant du métro, systématiquement, elle aurait le droit à ces regards indécents, elle aurait le droit à leurs yeux voyeurs cherchant à capter le moindre morceau de peau qu'elle laisserait entrevoir...

Aucun ne dirait rien, ça non, ils ne disaient jamais rien, bien trop lâches. Mais les regards parleraient pour eux..

Ce soir il lui manquait 2-3 trucs pour le repas, la voila donc partie pour une double dose: dévisagée à l'entrée et se faire mater le cul à la sortie...Ces mecs ne se gênant absolument pas.

C'était presque trop prévisible alors que sortant du supermarché, elle se retournait pour les voir regarder son jean...bande de pervers.

Posant ses courses sur la petite table de bar de son studio, elle se jeta dans le canapé, et déboutonnant son jean, commença à se toucher après l'avoir poussé à ses genoux. Elle les imaginait tous ses porcs, en train de la reluquer.

Frottant son clitoris avec hargne, elle les voyait tous ces connards, observant ses formes, s'imaginant la baiser, se voyant déjà la mettre dans leur lit... elle les détestait.

Ne parvenant à rien comme chaque soir, elle remontait son jean, frustrée, les haïssant un peu plus que la veille alors qu'elle rangeait ses compotes dans le frigo. Préparant son diner. Elle les détestait jusqu'à aller se coucher devant sa série Netflix du moment.

Le lendemain était encore pire, elle était sortie du métro et tous trop occupés à mater une femme au moins 15 ans plus vieille qu'elle portant un chemisier blanc légèrement échancré, seul un d'eux l'avait regardé. Ils n'étaient que des espèces de robots détecteur de chair, le moindre bout de peau leur suffisait, peu importe la qualité, putain d'animaux.

Elle n'avait même pas envie de se toucher ce soir là, elle savait que ca ne servirait à rien, mais elle le fît tout de même, frustrée avant même de commencer et encore d'avantage après. Elle broyait du noir alors qu'une fois de plus elle tentait d'oublier. Trainant devant la dernière saison de sa série alors que son téléphone affichait 2h du matin, se retournant sans trouver le sommeil dans son lit pendant encore de longues minutes après.

Aujourd'hui c'était décidé, elle sortirait de cette boucle infernale, elle ne laisserait ces salops envahir sa journée, contrôler son plaisir. Elle enfilerait ce joli décolleté qu'elle n'osait jamais et l'associerait à ce pantalon blanc qui laissait transparaitre la forme de sa culotte mais sous lequel elle enfila un petit tanga rouge qu'elle réservait habituellement aux rendez-vous pour lesquels elle avait une seconde intention.

Ces adaptations firent leur effet, et toute la journée elle voyait ses hommes dont le regard se perdait entre ses petits seins et sur ses fesses, certains moins discrets que d'autres.

Dans le métro l'un d'eux avait même semblé hypnotisé, se perdant complètement dans sa poitrine. Oubliant l'alliance qu'il portait, voila que ce porc la matait ouvertement, oubliant également qu'au sommet de ses petits seins trônaient une personne, et que cette personne c'était elle, équipée d'une paire d'yeux qui voyait son regard de pervers.

Lorsque ce crétin s'en rappela, elle lui jeta un regard glacé, qu'il se sente honteux de sa façon d'être. Et alors que la queue entre les pattes il regardait ses chaussures, elle n'avait eu qu'à rajuster un peu son soutien pour que directement, d'un geste automatique, ses yeux plongent à nouveaux sur son décolleté. Putain d'animaux...

Devant le Monoprix, le groupe de puceaux la regardait avec insistance, mais cela ne lui faisait plus rien, qu'ils se fassent plaisir à regarder, elle s'en fichait. Achetant ses tomates et une mozza, elle pris même une petite bouteille de Prosecco et leur lança un sourire satisfaite leur souhaitant une bonne soirée alors qu'ils étaient tous braqués sur elle à la sortie du supermarché.

"Bonne soirée Mademoiselle"

Victorieuse, elle regagna son appartement. Mettant le Prosecco au frais, elle enleva son pantalon et sa culotte, et posant ses talons sur la canapé ou elle venait de s'assoir, commença à se toucher les jambes bien écartée.

Elle repensait à tout ses hommes qui l'avaient matée aujourd'hui, qui l'avait regardé comme un bout de viande, qui voulait cette petite chatte qu'elle seule caressait en ce moment, comme ils aimeraient l'avoir... Elle se caressa longuement, intensément, et même si elle ne réussit pas à jouir, c'était tellement bon. Elle se sentait déjà bien mieux et c'est un peu plus tranquille même si toujours insatisfaite qu'elle remis sa culotte par dessus son sexe trempée avant de préparer le diner.

Etait-ce le Prosecco ou ses caresses? Toujours est-il qu'elle dormit comme un ange sans même le besoin d'allumer la tv.

Au réveil, Chloé se sentait prête à attaquer la journée avec une énergie qu'elle n'avait plus eu depuis un moment. Un petit top blanc sans soutien combinant parfaitement avec sa jupe devrait lui permettre de reproduire l'effet de la veille.

C'était effectivement le cas, et à la fac ce n'était pas seulement ses collègues mais même certains profs qu'elle avait surpris à observer la pointe de ses tétons se dessinant contre son vêtement. Ils étaient tous si obsédé par deux simple mamelons dessinant une forme sur tissue, espérant en voir mieux les détails. Tous des porcs assoiffés de ses seins, même ce professeur qui ne devait plus bander depuis bien longtemps ne cessait de jeter des regards...

Quand sa collègue de classe l'invita à les accompagner boire un verre après les cours, elle accepta contrairement à ses habitudes. Elle perdrait certainement le regard des loser du supermarché mais aujourd'hui elle voulait sortir un peu et profiter de sa bonne humeur.

Elle sortie donc mais pas trop tard. Il était à peine minuit quand elle s'excusa, s'inquiétant de la fermeture du métro. Titubant un peu jusqu'à sa station, elle se rendit compte qu'il était de toute façon temps pour elle de rentrer, le dernier verre ayant joué sur son sens de l'équilibre plus qu'elle ne l'avait imaginée.

Sans surprise les jeunes du Monoprix n'étaient plus là, ils avaient du partir à la fermeture et les rues étaient presque vides. Deux jeunes sans-abris allongés sur des cartons fumaient et la regardèrent passer sans un mot.

Tournant dans sa rue, pensant à ce qu'elle regarderait ce soir, elle entendit comme sorti de nulle part : "Hééé mademoiiiselle".

Il avait beuglé au travers de la rue comme un sauvage et arrivait en courant vers elle. Il venait de passer devant son appartement et fonçait dans sa direction, elle n'avait nul part où se réfugier.

Son coeur s'accélèra, elle aurait voulu courir mais ne savait ni où ni comment, ses jambes semblaient avoir arrêté de fonctionner.

La panique l'envahit, elle ne voulait pas qu'il lui fasse de mal, elle ne voulait pas que ses idées se réalisent.

Son coeur allait lacher, sa gorge se serrait, il n'était plus qu'à quelques métres et elle ne parvenait même pas à respirer.

Devait-elle hurler à l'aide? Au secours? Non ce n'est pas vrai, ca ne pouvait pas arriver, pas ici, pas comme ça...

"Savez où est le métro? ca fait 10 minutes que je cherche, j'vais louper le dernier!"

Ne parvenant même pas à parler, elle tendit son bras en direction de ce dernier, et tout en ayant un rapide regard sur ses tétons pointants au travers de son haut, la remercia et parti.

Dans l'ascenceur, elle tremblait comme jamais, elle ne pouvait croire ce qui venait de se passer... Elle était passée à deux doigts de se faire violer...

Un peu ivre et encore palpitante, elle se jeta dans son canapé, baissant à peine son pantalon elle glissa sa main entre ses jambes et se caressa énergiquement, pensant à son agresseur. L'imaginant la toucher au milieu de la rue, l'attrapant par la gorge et la menaçant si elle émettait le moindre bruit.

Elle le voyait la forcer à taper le digicode de son immeuble avant de la jeter au sol dans le hall de son immeuble, ces genoux heurtant violemment le carrelage. Elle l'imaginer, agrippant ses cheveux d'une main alors qu'il déboutonnait son pantalon de l'autre, la forçant à le sucer avant de lui arracher son haut, exposant ses seins, les empoignant fermements.

Elle se caressa encore un peu plus fort quand elle le vit relever sa jupe et lui enlever sa culotte pour s'insérer en elle, la prendre contre le mur avant de la jeter au sol à nouveau, s'étalant au dessus d'elle et la pilonnant contre le carrelage froid jusqu'à ce qu'il la remplisse de sa semence non désirée...

Un long râle retentit dans son appartement alors que dans un jet de plaisir violent elle jouissait pour la première fois depuis des semaines, sa petite chatte se transformant en fontaine alors que ses jambes tremblait frénétiquement sous l'effet du plaisir.

Elle y était arrivée, enfin.

...

Reprenant doucement ses esprits sur le canapé trempé, elle rejoignait la douche, le corps en sueur et les jambes fragiles et humides.

Sous l'eau chaude elle pouvait enfin se détendre, elle savait qu'un jour ce ne serait pas ses doigts qui la satisferait mais la bite bien dur d'un total inconnu qui l'abuserait.

Ce soir, elle dormirait la porte ouverte...

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6 Commentaires
gdiabologdiaboloil y a 8 mois

Cela mérite une suite ! A force d'allumer le mâle il faudrait que son imaginaire devienne réalité.

AnonymousAnonymeil y a 8 mois

Pourquoi pas? L'histoire est bien amenée, par contre un peu trop de fautes d'orthographe : salops au lieu de salauds, tissue au lieu de tissu, etc.

Plaisirs54Plaisirs54il y a 8 mois

Une belle évolution des tenues choisies, Chloé semble résolue à franchir une étape...Mais pour l’heure, seul le plaisir solitaire couronne ses tentatives: à suivre ?

dicordobadicordobail y a 8 mois

Merci pour cette histoire , j'ai adoré.

Peut-être y aura t'il une suite alors que la porte est restée ouverte.

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 8 mois

Tres bon début qui donne l'eau à la bouche pour la suite !

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