En Bas de La Rue Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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- Laisse-moi t'aider à te relever !

Je la tire sur ses pieds puis chacune de mes mains saisit un de ses seins et tire dessus comme si je voulais les arracher. Je pince chaque téton et je les tords fermement. May hurle dans un mélange malsain de douleur et de plaisir. Je la fais taire en l'embrassant.

Après un profond baiser, je m'éloigne en caressant ses cheveux.

- On dirait que cette salope aime que l'on joue brutalement avec ses seins.

- Oui Monsieur, j'aime ça ! Soupire-t-elle en faisant un signe de tête embarrassé.

Je la tire ensuite vers le canapé et je la pousse sur le dos. En la regardant fixement dans les yeux, j'enfonce ma bite dans sa chatte.

- Oh putain, que ta chatte est bonne ! Dis-moi que tu as envie que je te baise !

Elle supplie alors :

- Allez-y Monsieur ! S'il vous plaît, j'ai besoin de votre grosse bite dans ma chatte !

Je m'enfonce autant que je peux dans sa grotte humide et la la baise en accélérant le rythme à chacun de ses cris. Elle gémit à chacune de mes profondes poussées. Elle semble appréciée d'être dominée.

- Tu aimes ça, salope ?

Elle se contente de hurler de plaisir alors que je la pénètre et que je me retire sans pitié. Elle commence bientôt à pousser ses hanches à ma rencontre. Nous prenons du plaisir tous les deux, je le vois bien. Elle a un orgasme alors que je me prépare à éjaculer à nouveau, ce que je fais dans sa chatte. Tout ce que je réussis à dire alors que nous avons terminé ous les deux c'est :

- Très bien en effet !

A la fin de l'après-midi, nous avons tous les trois bien baisé les deux mères de famille. C'est alors que Bob rappelle aux femmes :

- N'oubliez pas de raser vos chattes ce soir ! Et revenez ici demain à 10 heures. Ne soyez pas en retard.

- Et pendant que vous y êtes, donnez-nous vos numéros de portable. Dit Jake.

- Pourquoi en avez-vous besoin Monsieur ? Demande May en haussant les sourcils.

Jake la gifle durement :

- Tu me questionnes, salope ?

- Non Monsieur, je voulais juste savoir. Je ne donne pas mes informations personnelles.

- Écoute bien salope ! Si on a des envies, on t'appelle. Et quand on le fait, tu as intérêt à répondre. Et ne nous raconte pas de conneries comme ton mari est là ou n'importe quoi. On s'en fout et si tu ne réponds pas tu seras punie. Tu auras intérêt à avoir une bonne raison. Compris ?

- Oui Monsieur ! Répondent-elles à l'unisson.

Karen se lève et remonte son short sur ses jambes.

- Mais comment suis-je censée rentrer chez moi sans haut ? Demande-t-elle en brandissant un morceau de tissu en lambeaux qui était autrefois son chemisier.

Jake hausse les épaules.

- C'est ton problème. Espère que les gens pensent que ton soutien-gorge est un haut pour faire du sport.

Sur ces derniers mots, les deux femmes se précipitent hors du garage en claquant la porte. Bob éteint la musique et a un rire vicieux.

- Ces deux-là vont être amusantes à humilier et à soumettre. Elles vont très bien s'intégrer dans notre petit harem.

- Je vous vois demain les gars ! Dis-je en remettant mon short et en faisant glisser mon tee-shirt sur ma tête.

*****

Quand je passe devant la maison de May, elle et Karen sortent. Elles portent toutes les deux des tee-shirts.

- Hé John, peux-tu venir ?

Je m'approche :

- Bien sûr, que puis-je faire pour vous ?

May commence à parler :

- John, tu ne vas pas dire à quelqu'un ce qu'il s'est passé, hein ? Surtout pas à Dave ou Tim ?

Je suis surpris et je réponds :

- Bien sûr que je ne dirais à personne que vous êtes nos jouets. Pourquoi diable le ferais-je ?

Karen hoche la tête.

- Nous ne retournerons jamais dans ce garage.

Elle fait un faible haussement d'épaules.

- De toute évidence, nous aurions dû écouter les rumeurs. On ne peut même pas s'adresser à la police ou autre à cause de la vidéo.

- Écoutez, vous êtes deux salopes et à partir d'aujourd'hui vous leur appartenez. Ne faites pas l'erreur de les sous-estimer à nouveau. Ils laisseraient cette vidéo être diffuser partout et ils ruineraient vos vies. Dis-je en gloussant.

Waouhhh, je ne crois pas avoir déjà été autant agressif. C'est comme si aujourd'hui, un côté sauvage de ma personnalité avait été libéré. Je suis surpris de voir à quel point j'aime dominer.

- De toute façon votre situation n'est pas étonnante quand on voit que vous venez de faire une autre erreur.

- Je suppose qu'on aurait dû écouter quand on nous a dit de rester en dehors de leur garage. Ça nous a attiré des ennuis. Et je suppose que nous allons devoir suivre leurs instructions et obéir jusqu'à ce qu'ils en aient marre de nous. Dit Karen avec une mine renfrognée en tapant du pied.

- Attends : Qu'est-ce que tu as voulu dire en parlant d'une autre erreur ? Me demande May.

Je la regarde et je m'assure que personne ne soit dans les parages. Puis je donne une grosse claque à chacune d'elles.

- Vous avez oublié de m'appeler « Monsieur », grosses salopes. Rappelez-vous, ne pas suivre les règles signifie seulement que ça va être plus dur pour vous. Mais je vais laisser passer pour cette fois. Compris ?

Le visage de May se fige. Elle est horrifiée en me répondant :

- Oui Monsieur !

Karen dit alors avec un regard d'horreur :

- Mais vous êtes l'ami de nos fils. Nous ne devrions pas faire ça.

Je lève la main, alors elle ajoute très vite :

- Monsieur !

- Oui je suis l'ami de vos fils, mais je vous ai aussi baisées toutes les deux. Je vous rappelle donc la règle. Vous nous appellerez « Monsieur » où que vous soyez et peu importe qui est là.

Elles me regardent toutes les deux. j'ai l'impression qu'elles vont pleurer.

- Oui Monsieur ! Disent-elles.

Je décide d'être un peu souple.

- Bon, on va faire un marché : Quand vos familles seront là, vous n'aurez pas à m'appeler «Monsieur ». mais à la place, vous ne porterez pas de soutien-gorge. Je veux vois vos seins rebondir sous vos hauts. Vous serez humiliées en sachant que tout le monde verra vos seins rebondir aussi. C'est la seule option que je vous laisse.

J'ai l'impression qu'elles sont un peu soulagées. Elles répondent :

- Absolument Monsieur !

- Suivez les instructions. Je sais pertinemment que Bob et Jake ont quelques autres femmes du quartier avec lesquelles ils s'amusent. Vous ne savez pas qui elles sont, elles préfèrent faire profil bas. Vous serez sûrement bien occupées avec eux au début, mais ensuite ils passeront à autre chose ou trouveront d'autres femmes.

Je rigole et j'ajoute :

- Maintenant vous faites partie de leur harem ! Et de la rumeur aussi, j'adore ça ! Vous pouvez toujours essayer de croire que ce n'est pas vrai pour vous.

May et Karen se regardent. Je ne sais pas pourquoi, mais je suppose que ça n'a pas d'importance.

- Et puis j'ai pu constater qu'en bonnes putes, vous avez vraiment apprécié leurs bites et que vous en voulez encore. Bob et Jake vont bien vous gâter.

- A demain Monsieur ! Dit Karen.

A suivre...

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Anonymous
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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 2 mois

Super récit. Moi je les aurais bien vu plus humilier ces femmes. Au lieu de les baiser, leur passer à chacune la chatte au cirage.

chdecrivainchdecrivainil y a plus d’un an

Merci Trouchard pour ce choix de texte judicieux et la patience de le traduire pour nous. Vivement la suite.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Superbe récit, hâte de lire la suite pour voire ce qu'ils vont faire subir aux filles.

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Encore un bon choix ! Merci Trouchard Quelle belle description du processus de soumission de ces 2 belles. Tout ce que j'aime !

milfoliviamilfoliviail y a plus d’un an

Il a l'air sympa ce quartier!

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