Emprise - Uber Sex (02)

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Après avoir plongé dans les arcanes de la série "Emprise sur la Ville", coécrite par Verdu et moi-même, j'ai le plaisir de vous offrir une troisième extension de cet univers à travers la description d'un lieu iconique de la saga.

J'ai déjà commis une 'Histoire d'Aïké' et une 'Histoire de Leila'. A présent, préparez-vous à renouer avec certains visages familiers de la série principale et des extensions déjà développées.

* Emprise sur la Ville

* Emprise : Histoire de Aïké

* Emprise : Histoire de Leila

Bonne lecture!

Emprise - Uber Sex (Chap 2 : Cabinet médical)

Résumé du chapitre 1 : Où l'on découvre le sous-sol du bâtiment avec ses donjons. Quelques membres y jouissent et visionnent un film dans lequel, une ancienne soumise, Leila est au prise avec un étalon.

***

**

*

Au cœur de Porte Real, se dressait une imposante bâtisse, semblable à une sentinelle discrète veillant jalousement sur les mystères de la Confrérie au double Anneau.

Sous les fondations, dans les profondeurs ténébreuses du sous-sol, résidait le cœur battant de la Bête. Les portes discrètes, ornées du célèbre double anneau, dissimulaient des donjons et des cachots où des plans machiavéliques se fomentaient.

Au rez-de-chaussée : le sanctuaire médical de la Confrérie. L'immense cabinet médical accueillait les habitants de Porte Real, offrant aux profanes un semblant de réconfort, tandis que dans l'ombre, le corps médical pouvaient servir des desseins bien plus sinistres.

Au premier étage, une résidence pour des étudiantes, venues des différentes universités de la ville. La résidence universitaire suscitait une demande considérable. Les lettres de motivation s'accumulaient sur le bureau du directeur, un membre éminent de la Confrérie, qui avait le privilège de sélectionner les étudiantes selon des critères physiques et ethniques, formant ainsi un vivier pour les dessins obscurs de la Société Secrète.

Les deuxième et troisième étages : Des chambres à louer pour une heure offraient un refuge à ceux qui se servaient de l'application révolutionnaire.

***

**

*

Jules Duras, un médecin au tempérament jovial, sortit de la salle de consultation après avoir terminé la visite médicale d'Aurélie Robin, une ancienne obèse dont la transformation physique était admirable. Elle avait retrouvé sa taille étroite mais, profonde, continuait sa soumission à la Confrérie et surtout à Marie Mousatir et Isabelle Labrosse, la pharmacienne (Emprise sur la Ville). Jules Duras auscultait régulièrement toutes les soumises qui se prostituaient à l'Uber Sex aux deuxième et troisième étages. Il se dirigea vers le bureau de la secrétaire médicale, Sophie Rybuat, pour discuter des détails de cette consultation.

- Bon après-midi, Sophie, salua Jules avec un sourire chaleureux. La visite de S-118 s'est très bien passée. Elle a énormément maigri depuis que Isabelle Labrosse a inversé sa drogue qui l'a faisait prendre du poids.

- Oui Maitres, dit la secrétaire soumise. Mme Robin est très belle aujourd'hui.

- Effectivement, S-91.

La secrétaire médicale tiqua. Ayant été tatouée comme toutes les soumises de la Confrérie, elle n'avait pas encore accepté d'être juste un numéro.

- Tu vois ce qui pourrait t'arriver si tu désobéissais!

- Oui Maitre!

Sophie Rybuat était tombée sous les griffes de la Confrérie quelques années auparavant. Elle était maintenant secrétaire médicale au cabinet de l'Uber Sex, petite, lunettes rondes, le cul un peu large, des petites jambes, des seins en gant de toilette après ses trois grossesses, cheveux châtains mi-longs, yeux bleus. Pas un canon de beauté! Mais Jules aimait bien la tourmenter gentiment. Son plaisir : l'enculer quand elle parlait avec son mari au téléphone. Elle restait une demie-heure tous les midis pour échanger avec son époux, une demie-heure où son anus était fourragé.

Pendant qu'ils échangeaient avec sa secrétaire, une jeune femme d'origine coréenne, Jia (Emprise sur la Ville - Acte 8), entra dans le cabinet médical. D'une petite taille, elle dégageait une aura de douceur et de tranquillité qui attirait l'attention de tous ceux qui la croisaient.

- Ah, bonjour Jia! s'exclama Jules en l'apercevant. Comment te sens-tu aujourd'hui?

Jia lui adressa un sourire timide.

- Je vais bien, merci, docteur Duras. Rien de particulier à signaler depuis ma dernière visite.

Le médecin hocha la tête avec satisfaction. Sophie observait la scène avec intérêt. Elle savait que Jules était intéressé par la petite asiatique aux lunettes rondes. Jia suivit le médecin dans son bureau.

- Déshabille-toi S-127! dit-il tranquillement en se retournant sur l'étudiante après avoir fermé la porte.

- Oui Maitre, répondit-elle en baissant ses yeux finement bridés.

Sans poitrine, sans fesse, la jeune étudiante coréenne que Fodé avait soumise, était l'archétype de la petite asiatique. Sa taille si mince que ses petites hanches semblaient larges excitait le jeune médecin filiforme qui s'approcha.

- Tu as baisé combien de fois cette semaine au deuxième étage?

- Dix fois, Maitre!

- Bien. Pas de problème?

- Non Maitre. Juste une fois un vieux monsieur à essayer d'enfoncer sa main dans mon sexe.

- Je t'ai déjà dis de dire 'chatte' à la place de 'sexe', S-127! gronda Jules Duras en pinçant durement le petit téton.

Jia se tordit de douleur mais ne pouvait pas bouger.

- Aïïeee, Oui Maitre.

Elle s'en voulut d'avoir oublié. Elle savait que résister ne servait à rien. Juste accepter et se soumettre aux règles et aux ordres. Le médecin allongea la coréenne sur la table d'auscultation, les pieds dans les étriers et, le spéculum en main, il contrôla le petit vagin. Et comme tout allait bien, il commença à masser la zone G comme à chaque consultation.

- Tu vas jouir, S127!

- Oui Maitre, répondit Jia en écartant ses lèvres avec ses petits doigts comme on lui avait appris.

- Je vais t'aider mais tu n'auras que quinze secondes aujourd'hui, annonça Jules Duras en continuant à malaxer le point G.

Le médecin posa un petit appareil sur le clitoris dégagé qui l'entourait. L'objet vibrait et aspirait en même temps le bouton qui s'érigea tout de suite.

- 15, 14, 13, 12, 11, Jules Duras décomptait tranquillement en actionnant son doigt dans la petite chatte et en maintenant l'action de l'appareil sur le clitoris.

- Mmmm, aaaahhh, la jeune coréenne entrainée à chaque consultation à jouir sur commande répondait déjà aux stimulations.

- 8,7,6,5...

- Maitre! Est-ce que je peux jouir? S'il-vous plaît.

- Attends encore. 4,3,2,1.

Les petits yeux de l'asiatique s'ouvrirent grands pour fixer le médecin qui tardait à l'autoriser à se libérer. À chaque fois la jeune fille ressentait un vertige. Suspendue à sa résistance muette aux abominations qu'elle subissait et à ce besoin d'exulter qui devenait de plus en plus prégnant, Jia résistait pour ne pas accepter complètement son statut de soumise. Jules lui sourit tranquillement.

- Vas-y S127. Jouis comme une pute et une salope que tu es maintenant!

Jia hurla de sa petite voix et éjacula pour la première fois sur la blouse du médecin qui en fut ravi.

***

Dans la pénombre feutrée de son cabinet au rez-de-chaussée de l'Uber Sex, le psychologue Pierre Munharif attendait l'arrivée d'Éléonore Bascoul et ses deux filles, Clémence et Cassandre âgées de vingt-deux ans. Elles avaient été envoyées par leur grand-père, Martial Bascoul, un homme au tempérament autoritaire, afin de les soumettre à surmonter leurs réticences à baiser le cheval de la famille.

La mère de quarante-six ans, les accompagna. Elle était partagée entre sa soumission envers son beau-père et sa propre inquiétude quant à la sécurité de ses filles. Dans un souci de combler le désir d'un membre éminent de la Confrérie aux Deux Anneaux, elle avait accepté de les amener chez Pierre Munharif. Ce gros psychologue, à l'hygiène incertaine s'occupait des soumissions les plus délicates au sein de la Confrérie.

Pierre accueillit les trois femmes avec calme. A la fin de la séance, quant Clémence et Cassandre se réveillèrent de leur état hypnotique, elles étaient nues, allongées sur le sofa tandis que leur mère suçait le gros psychologue.

- S-128, S-129, vous vous réveillez enfin. Votre mère paye la consultation comme il se doit avec sa bouche de salope. Venez là, que je rende la monnaie!

Sans réfléchir, les deux grandes jumelles blondes aux yeux bleus vinrent s'agenouiller aux côté de leur maman. Bien entraînées, les deux jeune femmes malaxeur doucement les testicules du psychologue tandis qu'elles s'embrassaient amoureusement comme leur grand-père leur avait apprit.

- Putain, ça vient! cria le gros. Les filles prenez tout et n'en perdez pas une goutte.

Éléonore recula et ses deux jumelles se mirent en face du pénis qui éjaculait. Elles burent et léchèrent le sexe.

Au fil des séances, Pierre Munharif travailla avec Clémence et Cassandre pour leur implémenter la confiance nécessaire pour s'occuper du cheval de leur grand-père. Éléonore, quant à elle, ne venait plus aux séances. Au fur et à mesure, les jumelles commencèrent à s'ouvrir à l'idée de s'occuper du cheval. Elles avaient toujours été attirées par les animaux, mais leurs peurs et les attentes écrasantes et perverses de leur grand-père les avaient inhibées jusqu'alors. Pierre utilisa des techniques d'hypnothérapie pour renforcer leur soumission en elles-mêmes, les encourageant à visualiser des scénarios où elles masturberaient l'étalon avec plaisir. Petit à petit, les barrières de l'appréhension commencèrent à se fissurer. Bien évidemment, les filles suçaient le psychologue à la fin de chaque consultation et l'honoraient d'un joli et incestueux spectacle lesbien.

Finalement, le jour où elles se rendirent chez leur grand-père pour s'occuper du cheval arriva. Clémence et Cassandre étaient résolues. Elles embrassèrent leur grand-père et se déshabillèrent. Martial était toujours fasciné par la beauté de ses petites-filles au corps parfait.

Les deux blondes, en tenue d'Eve, avec juste un petit liseré blond pour couvrir leur pubis, entrèrent dans le box où l'étalon attendait. Comme deux petites folles excitées, elles rirent quand l'animal banda. Éléonore observait de loin. Elle avait réalisé qu'en se soumettant aux désirs de son beau-père, elle avait ouvert une porte pour que ses filles se soumettent et malheureusement s'épanouissent.

***

La secrétaire médicale, la cinquantaine passée, consultait le carnet de rendez-vous de Jules Duras. Sophie Rybuat, alias S-91, constata qu'une nouvelle patiente venait pour la première fois.

- Docteur! dit-elle dans l'interphone. Madame Stupatro vient d'arriver dans la salle d'attente.

Sofia Stupatro sourit quand elle entendit son nom mal prononcé par la secrétaire médicale. L'italienne de trente-deux ans s'installait à Porte Real. La brune aux cheveux courts croisa ses longues jambes gainées dans des bas des plus fins. Elle regarda la vieille aux petites lunettes rondes l'appeler dans la salle d'attente. La belle italienne se leva en rajustant sa jupe portefeuille très serrée et passa devant la secrétaire médicale qu'elle jugea des plus désagréable esthétiquement. La patiente trouva saugrenue le petit tatouage sur le poignet de la dernière : S-91.

- Madame Stupatro! Bonjour.

- Bonjour Docteur, répondit Sofia en constatant avec joie l'aménagement du cabinet. Vous avez beaucoup de goût. J'aime les tableaux et vos sculptures de femmes. Elles sont très belles.

- Je vous remercie, madame, dit Jules Duras en s'asseyant derrière son bureau. Vous venez pour un bilan gynécologique, c'est ça?

- Oui Docteur, dit l'italienne légèrement gênée derrière ses grands yeux noirs que de longs cils dévoilaient.

- Comme vous êtes nouvelles, je vais devoir prendre quelques informations.

Jules duras resta très professionnel en posant un tas de questions qui lui permit de la cerner : italienne, célibataire, indépendante, pas de problème de santé, hétérosexuelle, pas d'enfant.

- Déshabillez-vous madame Stupatro! Passez dans la salle d'auscultation.

Sofia se leva par réflexe mais l'ordre péremptoire la gêna. L'italienne aux cheveux coupés à la garçonne laissa le médecin dans son bureau et pénétra dans la petite salle où une table d'auscultation trônait. Elle accrocha ses vêtements sur le porte-manteau sans se rendre compte que les caméras dissimulées filmaient et que Jules Duras la détaillait : Longues jambes bien galbées, poitrine normal en forme de poire avec de larges aréoles, petite taille, hanche large, sexe à la pilosité noire entretenue, cul large mais bombé.

Jules composa un message sur son smartphone :

" Viens. J'ai une nouvelle patiente. Elle est à croquer ;)"

"Dans 5min. Je soumets Carla."

"Dépêche-toi Fodé."

Jules Duras entra dans la salle d'auscultation où Sofia Stupato attendait nue, debout devant la table les bras légèrement sur sa poitrine.

'Cette conne est comme les autres. Elle enlève même le haut. Toutes des salopes... on leur dit de se foutre à poil... et voilà ', pensa-il.

Sans prendre la peine de s'adresser à elle, ni de la regarder, le médecin sortit ses outils sur une petite tablette en inox et passa des gants de latex.

- Vous pouvez vous allonger! dit-il sèchement.

'Décidément ce médecin n'est pas très agréable!' se dit Sofia en s'allongeant. Elle leva ses jambes pour passer ses chevilles dans les étriers.

Entre ses cuisses écartées, Jules regarda la belle italienne qui cilla des yeux comme soudain vulnérable. L'homme lui sourit gentiment et l'assura de sa douceur. Sofia trouva cela rassurant et, quand le médecin mit son masque sur son visage, elle le trouva en plus très professionnel. Elle se sentait un peu fébrile comme à chaque fois qu'un homme se plaçait entre ses cuisses.

Jules Duras s'assit sur un tabouret et admira la magnifique vulve bien ouverte devant lui. Il pressa un bouton sur une télécommande rangée dans la poche de sa blouse. Un gaz inodore et invisible s'échappa du haut de la table, près de la tête de la patiente. Et le médecin enduit ses doigts de vaseline pour préparer le vagin. Il releva la tête pour vérifier que la femme était endormie. L'efficacité du gaz étonnait encore le médecin qui l'utilisait assez souvent. Son doigt pénétra malaxa légèrement la rosette brune toute serrée. ' Toi! Tu ne t'ais jamais fait sodomiser! '

La vue imprenable sur la vulve et l'anus excitait toujours Jules Duras qui aimait l'idée de violer tous les orifices sans que la patiente ne le sache. Il travailla l'étoile et tout doucement gagnait quelques millimètres. Ce n'était pas un pressé cet homme. Une sorte d'esthète du viol. Alors qu'il avait brisé la résistance du sphincter en le détendant, Fodé entra dans la salle.

- Alors cette Carla? Demanda le médecin en enfoncant son majeur.

- Une belle garce qui résiste un peu, rit le jeune black. Elle ne sait pas qu'elle a envie d'être une salope. Elle en crève d'envie mais son éducation catholique... tu sais...

- Si tu la travailles avec autant de patience que je travaille cet anus, tu en feras ce que tu veux...

- Elle a des putains de nibard! En fait, dès qu'elle résiste trop, je la laisse. Elle me rappelle dans les 12h en me suppliant.

- Bon, tu me raconteras plus tard. La patiente est prête. Encule-la.

Fodé baissa son pantalon et sa grosse queue veinée se posa sur l'anneau dilaté. Il poussa et s'enfonça. Jules aimait regardé ses patientes se faire violer devant lui. Il caressa les jolis seins dont les tétons durcissaient. Le cylindre noir coulissait tranquillement dans le boyau pendant que Fodé caressait les jolies cuisses toutes douces.

Ces séances avec Jules Duras, étaient leur récréation. Juste baiser, sans violenter. Juste tremper leur queue, en toute quiétude. Juste enfiler des cons et des culs, sans soucis de maintenir leur dominance.

Le jeune étudiant décula tout à fait satisfait. L'anus serré comprima agréablement sa grosse bite. Du bout de son gland, il joua avec les lèvres, les écartant, les frottant.

- C'est curieux, dit-il à Jule qui léchait un tétons dressé en passant sa queue sur le visage endormie. Elle mouille.

- Comment ça? s'exclama le médecin qui s'approcha.

Il enfonça deux doigts dans la chatte pour constater qu'en effet, la patiente italienne avait le vagin lubrifié. Fodé la pénétra bien profondément pour sentir le fond de sa matrice.

À ce moment-là, Sophie Rybuat, la secrétaire entra.

- Madame De Charette est arrivée Docteur, annonça t elle en regardant la patiente prise dans la chatte et dans la bouche.

- Mon ancienne prof est là! rit Fodé en sortant du vagin.

Comme la secrétaire au gros cul continuait de regarder :

- S-91, tu aimerais que je te prenne avec ma belle queue de black?

Sophie rougit. Soumise à la Confrérie depuis de nombreuses années, il était rare qu'on l'utilise sexuellement. Jules Duras observa d'abord sa secrétaire puis le jeune black tandis qu'il enfonçait sa queue dans le fond de la gorge de Sofia Stupatro. La secrétaire aux lunettes rondes allait répondre quand Fodé la coupa.

- Non ne rêve pas sale monstre. T'as vu comment t'es gaulée?

La cinquantenaire cessa de respirer. Des larmes s'accumulaient dans ses yeux. Pourtant habituée aux rebuffades, la petite femme n'y était toujours pas perméable.

- Regarde cette patiente comme elle est baisable. Son visage est magnifique. Son corps est à tomber. Toi... je t'ai vu nue plusieurs fois. T'as un gros cul flasque, des seins en gant de toilette, des cheveux gras...

Fodé jouissait de son effet sur la soumise qui pleurait.

- Je me tape des jeunes étudiantes dont tu n'as jamais eu la plastique. Des morceaux de choix, fermes, souples, bombée où il faut. Et toi, grosse truie. Qui voudrait te baiser? Tu es d'accord avec moi?

- Oui Maitre.

- Oui quoi? insista Jules Duras en se rhabillant.

- Oui je suis laide, pleurait la secrétaire médicale derrière ses lunettes rondes. Je suis moche. Je suis grosse. J'ai un cul énorme et des cuisses comme des jambonneau. Je n'ai pas de poitrine, j'ai de la peau mammaire qui vomit sur les bourrelets de mon ventre flasque.

Sophie Rybuat s'effondra intérieurement car tout cela était vrai. Elle regrettait ses viols et elle en nourrissait une honte qui corrodait ses boyaux. En sortant du bureau, Fodé passa à côté d'elle en lui murmurant qu'il lui passerait dessus une prochaine fois.

*

Assise, la blonde aux cheveux longs regarda son ancien élève arriver devant elle dans la salle d'attente du cabinet médical. Fodé sortit sa queue.

Nettoie, je viens d'enculer.

La femme du maire, se pencha et, sans l'ombre d'une hésitation, emboucha la queue à demie molle.

(À suivre)

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Toujours super, mais un peu cours surtout avec les jumelles.

AurailiensAurailiensil y a 7 mois

J'adore... avec une diversité de situations qui me comble. Trop court !

Yokebed83Yokebed83il y a 7 mois

Toujours un plaisir merci !

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