Emprise - Uber Sex (01)

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La Confrérie a construit un immeuble à 3 étages.
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UBER-SEX

Après avoir plongé dans les arcanes de la série "Emprise sur la Ville", coécrite par Verdu et moi-même, j'ai le plaisir de vous offrir une troisième extension de cet univers à travers la description d'un lieu iconique de la saga.

J'ai déjà commis une 'Histoire d'Aïké' et une 'Histoire de Leila'. A présent, préparez-vous à renouer avec certains visages familiers de la série principale et des extensions déjà développées.

* Emprise sur la Ville

* Emprise : Histoire de Aïké

* Emprise : Histoire de Leila

Il est vivement conseillé d'avoir lu l'ensemble des textes et plus particulièrement Histoire de Leila.

Bonne lecture! ATTENTION SCÈNE ÉPROUVANTE. Public non averti, abstenez-vous.

Emprise - Uber Sex (Chap 1 : Donjon)

Dans le cœur de la cité de Porte Real, émergeait une bâtisse à l'allure imposante, telle une sentinelle discrète veillant sur les secrets enfouis de la Confrérie au double anneau (cf. Empire sur la Ville). L'immeuble, dont l'architecture à la fois élégante et austère trahissait une histoire trouble, s'élevait majestueusement sur trois étages. Sa façade de pierre grise témoignait des mystères enfouis au sein de ses murs.

Au sous-sol, dans les profondeurs ténébreuses, résidait le cœur palpitant de la Confrérie. Un dédale de couloirs étroits et sombres s'étendait tel un labyrinthe secret, abritant les quartiers confidentiels où les membres de l'organisation se réunissaient dans un mélange d'ombres et de murmures. Des portes discrètes, ornées de symboles énigmatiques et le fameux double anneau que chaque membre arborait, cachaient les donjons et cellules où des plans machiavéliques étaient ourdis, où des secrets inavouables se dissimulaient.

Au rez-de-chaussée, un halo de lumière tamisée émanait des fenêtres. C'était le sanctuaire médical de la Confrérie, un lieu où l'on promettait le soulagement des maux physiques et psychologiques. L'immense cabinet médical accueillait les habitant de Porte Real. Les médecins, tels des prêtres de la santé, officiaient dans des cabinets modernes, leurs compétences dissimulant des desseins bien plus sinistres. Les médecins manipulaient les corps et les esprits. Les psychologues jouaient souvent sur des partitions troubles. Les murmures des patients, l'odeur subtile d'antiseptique et l'écho des pas dans les couloirs conféraient à ce rez-de-chaussée une atmosphère à la fois rassurante pour les profanes et troublante pour les victimes.

Au premier étage, des pas légers résonnaient sur un sol carrelé, accompagnés de rires perlés et de murmures complices. C'était ici que résidaient les étudiantes des diverses universités de la ville, enveloppées d'un voile d'insouciance et d'apprentissage. Des portes colorées s'ouvraient sur des chambres modestes, empreintes de jeunesse et d'innocence, où régnait l'excitation des découvertes et des amitiés naissantes. La résidence universitaire, réservée exclusivement à la gente féminine, suscitait une demande considérable. Les lettres de motivation s'entassaient sur le bureau du directeur, membre éminent de la Confrérie, qui s'attribuait le privilège de sélectionner les étudiantes sur des critères physiques et ethniques afin de constituer un vivier pour les dessins obscures de la Société Secrète.

Les deuxième et troisième étages, quant à eux, étaient empreints d'une ambiance plus anonyme. Les chambres à louer pour une heure offraient un refuge à ceux qui utilisaient la révolutionnaire application : Uber Sex. Les portes anonymes s'ouvraient sur des espaces impersonnels, où les échos des prostituées de la Confrérie s'estompaient dans le silence feutré des corridors.

Ainsi se dressait cet immeuble au sein duquel se tissaient des destins entrelacés, des complots ourdis et des passions effrénées. Sous son apparence banale, il recelait les secrets les plus sombres de la Confrérie, un théâtre d'ombres où les masques tombaient et où les jeux de pouvoir se jouaient avec une cruauté calculée. Chaque étage était une pièce de l'échiquier où les pions se déplaçaient, ignorant souvent le véritable dessein de ceux qui tiraient les ficelles.

***

**

*

Dans l'obscur sous-sol de ce bâtiment, un aménagement unique évoquait l'atmosphère mystérieuse d'un donjon médiéval. Les bougies LED disséminées ici et là jetaient des reflets scintillants, créant des jeux de lumière et d'ombre dans les coins les plus sombres. Un parfum d'encens envoûtant flottait dans l'air, ajoutant une touche exotique à cet espace insolite.

Le sous-sol, métamorphosé en un donjon à l'aura inquiétante, se dressait comme le sanctuaire intime où les membres de la Confrérie s'adonnaient à leurs sombres rituels. Les murs étaient parés de tapisseries opulentes, véritables tableaux érotiques où les scènes de luxure et de soumission s'étalaient avec une esthétique troublante d'une référence au double anneau d'or et d'argent. Les sols étaient jonchés de tapis somptueux semblables à des labyrinthes narratifs évoquant des récits obscurs et interdits.

Au cœur de la pièce principale, un autel de bois noble s'élevait, orné d'artefacts ésotériques et d'emblèmes mystiques. Des chandelles, tremblantes au gré des ombres dansantes, projetaient une lueur vacillante et énigmatique sur les murs, donnant vie aux recoins les plus obscurs du donjon. C'était ici, dans cette enclave infernale, que se jouaient les désirs les plus pervers, où les esclaves soumises se perdaient dans un tourbillon de plaisirs tourmentés, et où les âmes en quête d'absolution se trouvaient piégées dans les rets d'un enfer.

Enchâssée dans le mur séparant les deux donjons principaux, la journaliste d'origine ukrainienne (cf Emprise sur la Ville - acte 6) Larysa Pokirnyy demeurait là depuis son enlèvement. Elle n'était plus la combative d'autrefois. Juste un patin. Dom Pietro, le parrain de la pègre, avait conçu un plan de vengeance inhumain pour la journaliste qui avait tenté de le faire tomber pour proxénétisme. Dans la grande pièce principale, à travers l'un des murs porteurs du sous sol, un trou d'environ 30 centimètres de diamètre emprisonnait la taille de Larysa Pokirnyy. En fait, le mur avait été construit autour de la taille de l'esclave ukrainienne, la laissant en permanence dans une position à la fois inconfortablement droite et arquée : nue, debout sur des talons hauts d'un côté du mur de béton et légèrement penchée de l'autre. La grande blonde autrefois pugnace ne pouvait plus espérer s'échapper à cette torture. N'importe quel membre de la Confrérie pouvait baiser son cul ou sa chatte sans qu'elle puisse voir.

La lanière du fouet claquait sur la peau blanche de Larysa et le bruit était suivit d'un hurlement de l'esclave. Tous les jours son enfer ; subir ce traitement. La folie la guettait mais les membres de la Confrérie cessaient pendant quelques jours pour qu'elle serve à nouveau leur dessein maléfique. Ils la maintenaient sur le fil de l'espoir et de la déshumanisation.

Jacques Mousatir tenait le fouet et chauffait la peau de l'ukrainienne. L'homme de soixante ans, aux cheveux blancs, visait à chaque coup une zone différente. Au bout de dix coups, c'est le notaire Martial Bascoul qui enculait la journaliste blonde. Derrière le mur, la pauvre esclave ne savait jamais qui la torturait. Elle ne voyait que l'espace du second donjon. Son cerveau ne pensait plus. Telle une bête, juste la douleur et le soulagement comme existence.

La queue du notaire de soixante-cinq ans, entrait durement dans l'anus pourtant habitué de l'esclave. Il coulissait pendant quelques minutes et laissait à nouveau son confrère fouetter la journaliste.

- Bonjour Messieurs, lança Jules Duras qui sortait de l'ascenseur avec Fodé, un jeune black encore étudiant (cf. Emprise sur la Ville-acte 2).

Le médecin qui travaillait dans le centre médical de l'immeuble, aimait descendre de temps en temps pour se défouler sur l'une des esclaves de la Confrérie.

- Jules, Fodé, content de vous voir. J'ai un truc à vous montrer, lança Jacques qui fouettait à nouveau la journaliste qui n'en pouvait plus.

Martial et lui torturaient la jeune ukrainienne depuis presqu'une heure. La pauvre ne tenait plus que soutenue par les arêtes arrondies du mur dans lequel elle était prisonnière. Jacques Mousatir accrocha son fouet et tapota gentiment la fesse de l'esclave en la laissant là, seule dans la solitude de son enfer.

- Nous avons reçu le film ce matin, annonça l'homme aux cheveux blancs qui précédait les trois autres vers une petite pièce qui servait de bureau et de salle de réunion.

- Le film de qui? demanda le jeune Fodé qui ne savait de quoi parlait son Frère de perversion.

- De Leila! répondit Martial Bascoul en ajustant son costume après la petite séance d'enculade.

Une des esclaves de la Confrérie avait tenté de s'échapper, mais une fois rattrapée, elle subit une punition des plus abominables. (Cf. Histoire de Leila) Elle fut vendue à un Émir, qui l'acquit dans le but funeste de réaliser ses sombres desseins.

Le notaire s'installa dans un fauteuil à côté du médecin, Jules Duras. Fodé, le plus jeune des quatre, prit un tabouret et, tous les quatre regardèrent le film que Jacques projeta sur le mur après avoir branché le vidéo projecteur.

Sur le mur blanc :

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"L'étalon imposant à la robe blanche éclatante, se tient fièrement dans son box au sol en ciment. Son regard calme et serein, empreint de confiance, se pose sur la beurette complètement nue qui est à ses côtés, caressant avec douceur son flanc droit. La présence de Leila apaise le cheval, créant un lien de complicité entre l'animal majestueux et la jeune maghrébine.

Un palefrenier attentif tient fermement la bride de cuir, assurant la sécurité. Les muscles des pattes arrières de l'étalon se déploient avec puissance et harmonie. Chaque mouvement est une symphonie de force, soulignant la puissance athlétique de l'étalon.

Comme le lui ont appris les palefreniers depuis qu'elle a été achetée par l'Émir, Leila colle son corps nu à l'étalon. Ses seins s'agacent sur les poils durs de l'animal. Les muscles fléchisseurs, tendus et définis, témoignent de son agilité et de sa capacité à bondir avec une aisance remarquable.

Les petites mains de Leila longent le corps de l'étalon à la robe blanche. Les jarrets solides, recouverts d'un fin duvet, renferment une puissance insoupçonnée, prêts à propulser le cheval avec une énergie débordante."

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Jacques Mousatir a déclenché un bouton sur l'accoudoir de son fauteuil. La porte du bureau s'ouvrit et une magnifique esclave noire et chauve entra portant un plateau avec quatre verres de Cognac. Aïké fut suivie par Slampa Lämnats, une soumise d'origine suédoise que la Confrérie avait remodelé physiquement à leur convenance (Cf Emprise sur la Ville - acte 7) . La blonde aux yeux verts, secrétaire dans un office notarial, affichait deux énormes obus refaits qui se maintenaient fièrement. Les deux femmes étaient totalement nues perchées sur des escarpins vertigineux. Elles servirent les Maitres et, à genoux sur le tapis épais devant les fauteuils, elles s'occupèrent chacune de deux hommes.

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"Le box où se tient l'étalon et où Leila lui prodigue ses caresses est un espace sobre et fonctionnel. Les murs en bois robuste et la paille au sol témoignent de la présence équine dans cet endroit. Au sol, un revêtement en ciment lisse offre une surface stable. Des copeaux de paille jonchent le sol, ajoutant une touche de confort. Une banquette assez haute est rangée dans un coin.

Leila, vêtue de sa légère tenue d'Eve, le sexe glabre, les seins dressés comme des pointes, se tient aux côtés de l'étalon avec une frêle assurance. Ses mains s'affairent à caresser les flancs et l'encolure de l'étalon. Son visage exprime la peur. La jeune beurette a été pourtant préparée pour honorer l'étalon préféré de l'Émir.

Le bruit apaisant des hennissements des chevaux voisins et les doux sons de leurs pas résonnent dans le box, créant une symphonie équine qui berce Leila dans sa tâche. C'est un moment intime, où la connexion entre la femme et l'animal s'exprime."

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- Je la regrette un peu cette salope de beurette, avoue Jacques dont la queue raide était branlée lentement par son esclave noire.

- Elle est vraiment bandante... Je ne l'ai baisé qu'une fois, sourit le médecin, Jules Duras.

Le médecin de 35 ans au corps filiforme, soupesait un des seins de la soumise suédoise qui suçait le jeune Fodé. Les tétons de la blonde étaient des petits cylindres très étirés et très durs. Fixé sur les images projetées sur le mur du bureau, Martial Bascoul était fasciné par la fragilité du jeune corps de leur ancienne soumise face à la puissance de l'étalon. Aïké avalait sa verge jusqu'au fond de sa gorge et enduisait toute la longueur de sa salive.

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" Avec précaution, Leila frotte fermement le flanc de l'animal, ses doigts glissant avec aisance sur les poils blancs. Elle s'approche de l'étalon blanc majestueux, dont la robe immaculée brille sous la lumière tamisée de l'écurie. Le souffle puissant et régulier témoigne du calme de la bête. Ses mouvements circulaires faisant glisser les poils soyeux sous ses doigts délicats. Elle remarque l'expression de plaisir qui traverse le visage du cheval, ses yeux sombres exprimant une forme de béatitude.

Poursuivant son travail, elle déplace sa caresse le long de l'encolure musclée de la bête, caressant chaque centimètre avec une attention méticuleuse, tentant de retarder l'inévitable. Ses gestes précis révèlent son apprentissage à entretenir ces majestueuses créatures. L'étalon se laisse aller à la sensation agréable de la caresse qui détend ses muscles tendus.

Le grasset du cheval, puissant et robuste, attire l'attention de Leila. Elle se rapproche avec prudence, sachant que cette zone est plus sensible. Elle effleure délicatement les courbes du grasset, consciente de l'appréhension. Le cheval, cependant, semble comprendre son intention et reste immobile, appréciant le contact attentionné de la jeune beurette nue.

Leila poursuit son traitement en se penchant vers le ventre de l'étalon. Ses seins se gonflent sous la gravité et sa respiration se fait plus profonde, témoignant de son inquiétude. Elle sait que c'est une zone plus délicate, où les chevaux peuvent être plus sensibles. Avec une légère hésitation, elle approche sa main avec douceur, caressant le ventre avec une précaution extrême. Elle remarque que la bête réagit avec une confiance tranquille, lui offrant sa confiance malgré les appréhensions de Leila.

C'est dans ce moment d'échange silencieux entre la jeune femme et le cheval, mêlant plaisir et appréhension, que l'équilibre fragile de la confiance se construit. Leila trouve du réconfort dans la réaction sereine de l'étalon blanc, lui permettant de surmonter ses craintes et de poursuivre son nouveau travail avec une assurance grandissante."

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- Elle prend tout son temps cette salope! balança Fodé qui pinçait l'un des énormes tétons de Slampa qui gémissait.

La blonde suédoise suçait à présent Jules Duras sur toute la longueur de sa tige. Leila et sa fragilité, la puissance de l'étalon, l'opposition fascinait toujours Martial Bascoul, le notaire, qui sodomisait Aïké tandis qu'elle léchait les testicules de Jacques qui attendait le dénouement du film.

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" Avec une infinie délicatesse, la musulmane déplace sa main avec précaution sur le ventre. Ses doigts effleurent doucement la peau sensible, cherchant à approcher le plus délicatement possible de l'objet de sa quête. Elle applique une légère pression, suffisante pour prodiguer un soulagement.

Leila ressent les battements de cœur de l'étalon sous sa paume, l'harmonie entre l'animal majestueux et elle-même s'établissant dans un silence complice. La poitrine nue de la beurette s'accorde au rythme de la bête. Elle ressent la confiance du cheval, même dans sa vulnérabilité, ce qui la pousse à effleurer le prépuce avec une détermination renouvelée. Elle le longe doucement et parvient aux énormes testicules.

L'étalon souffle dans ses naseaux mais tout de suite le palefrenier tend légèrement la bride pour indiquer à l'animal de se tenir calme. Le pénis, dans son prépuce, gonfle et commence à s'allonger. Le cylindre sort de sa poche de peau. Sous les yeux ébahis de Leila, le sexe grossit du triple de sa taille et s'étend sous l'abdomen."

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Dans le bureau du donjon de l'Uber-Sex, les quatre hommes furent fascinés par le spectacle qui était projeté sur le mur. Aïké était maintenant enculée par Jacques tandis que le notaire, Martial Bascoul se faisait branler par l'esclave chauve. A côté, Slampa Lämnats fut également sodomisée par Fodé et elle suçait le jeune médecin trentenaire qui s'était déshabillé.

- J'ai une révélation, s'exclama le notaire. Je vais entraîner les jumelles à baiser avec un cheval.

- Quoi? s'étonna Fodé qui, malgré sa méchanceté et sa perversité, avait un faible pour les deux petites-filles de Maître Bascoul. Tu crois que Clémence et Cassandre t'obéiront pour cela!

- Oui, pourquoi pas, jugea Martial.

- On pourra demander à Pierre de les prendre en consultation hypnothérapeuthique pour favoriser leur obéissance qui est déjà appréciable, dit Jules Duras.

Les jumelles et leur mère, Éléonore consultait auprès du médecin pour les examens périodiques. Il appréciait toujours pouvoir se faire payer en nature par les grandes sœurs blondes encore étudiantes.

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" Avec une attention méticuleuse, Leila fait glisser ses doigts le long de l'énorme pénis équin, découvrant chaque centimètre de peau avec une précaution infinie. Elle masse délicatement, avec des deux mains le milieu du cylindre, exerçant une pression pour stimuler l'étalon déjà bien excité. Chaque geste est précis, chaque mouvement est empreint d'un apprentissage préalable.

Alors que la maghrébine insiste sur la zone pénière, elle sent le corps du cheval se tendre peu à peu. La bête semble comprendre que Leila est là pour s'occuper exclusivement de lui.

La beurette demeure concentrée, laissant ses mains guider son attention vers les moindres détails de l'anatomie équine. La verge du cheval se termine à l'extrémité du gland en saillie dans la fosse urétrale. Son extrémité libre est enveloppée par le tissu érectile du gland, fortement renflé, avec une couronne marquée.

C'est là que Leila branle l'étalon à présent. Le cheval bouge sur place. Il hennit. Sa queue fouette l'espace derrière lui. Le palefrenier, qui s'était installé sur la haute banquette dans le coin du box, se lève et tient la bride très serré. "

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- Putain, c'est dément, lâcha Martial Bascoul en fantasmant sur ses petites-filles à genoux sous son propre cheval. Elles masturberaient la bite énorme de mon propre étalon.

Aïké s'empalait sur le pieu de Jacques qui était également fasciné par le film. La suédoise aux yeux bleus délavés, qui avait subi moultes opérations commandées par Joséphine Cherline (Emprise sur la Ville - Acte 7), s'allongeait sur le tapis épais. Fodé lui écarta les cuisses et la pénétra. Très rapidement, Slampa gémit. L'une des modifications physiologiques avait consisté à rendre son clitoris extrêmement sensible. Dès qu'il était à peine effleuré, le plaisir irradiait dans tout le corps de la blonde aux courbes de Barbie. Slampa servait de machine à orgasmes et Fodé aimait bien l'entendre couiner pendant des heures. Le médecin se branlait entre les deux globes mammaires énormes tout en regardant l'écran.

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"La petite langue de la jeune femme léchait l'extrémité du pénis qui était vigoureusement masturbé par les deux mains de Leila. Le palefrenier maintenait le calme à l'étalon qui appréciait les sollicitations féminines.

L'esclave de l'Émir branlait vivement le long cylindre et tentait d'avaler la couronne à l'extrémité tout en l'agaçant avec sa langue."

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Les quatre spectateurs observaient leur ancienne soumise faire l'amour à un magnifique cheval. Le contraste entre la musculeuse stature de la bête et la frêle jeune femme n'ajoutait que de l'étonnement.

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