Émilie Participe Au Massage

Une excitation retrouvée

Ma séance de massage chez Nadia et Jacques avait boosté ma libido.

J'étais dans le bus qui m'amenait au collège, je portais à présent ma grossesse comme un atout de séduction,

Nadia avait totalement raison lorsqu'elle avait expliqué à nos deux jeunes collègues Fred et Joris que les femmes enceintes étaient à coup sûr hyper-bandantes, je m'en rendais compte à présent au travers des regards des hommes qui étaient assis sur la banquette en face de moi.

Les croisements ou décroisement de mes jambes leur donnaient l'occasion de voir ma courte robe rouge vif, remonter à mi-cuisse . Je les surprenais même, de jeter un œil furtif sur ma culotte de satin noir lorsque j'écartais mes jambes.

J'étais excitée et à la fois troublée. Ceux qui suivent les récits de notre couple savent qu'avec mon mari Daniel nous pratiquons le candaulisme, mais cette fois-ci j'étais enceinte et chacun à ses tabous et je l'avoue je n'avais pas cru bon devoir informer mon mari de mon aventure au salon de massage.

La pause de midi

Comme d'habitude je retrouvais mes collègues le duo de jeune Joris et Fred, et le couple mur Nadia et son époux Jacques qui m'avait gratifiée d'une sodomie dont la simple évocation humidifiait encore aujourd'hui mon intimité.

Le repas se déroulait comme d'habitude, les conversations alternant anecdotes de boulot et blagues en tous genres et souvent porté sur les rapports hommes femmes.

Je souriais car comme d'habitude, quelques élèves de troisième lançaient des regards sous notre table l'objectif non dissimulé étant d'être le premier à annoncer au copain la couleur des culottes des profs.

J'étais sorti de ma rêverie par Joris

- Alors Émilie, cette séance de massage semble t'avoir fait du bien, tu es resplendissante,

- Tu as raison Joris, un massage appuyé et profondément relaxant.

Fred se sentait obligé de mettre son grain de sel

- Alors massage en petite tenue, ou dans la tenue d'Eve ?

- Tu es bien curieux, demande à Nadia et Jacques, et puis tu pourrais peut-être solliciter un massage pour toi ou ta copine histoire de découvrir non.

- Pourquoi pas, je me ferais bien masser effectivement.

Jacques lui répondit

- Aucun problème, tu peux venir samedi prochain, tu peux même faire la route avec Émilie qui vient pour sa deuxième séance à 15 h.

J'étais prise au dépourvu, car je n'avais rien programmé du tout et au moment ou j'allais répondre, la main de Nadia s'était glissé sous ma robe et ne pouvait que constater une humidité naissante entre mes cuisses. Son doigt d'ailleurs ne se privait pas de caresser la fente que dessinait ma culotte satinée en renforçant l'invitation

- Tu vois Joris je suis même certain que Fred serait ravi de se joindre à vous pour lui aussi bénéficier d'un massage.

- Tout à fait, je suis partant. Émilie tu connais le chemin tu pourrais passer nous prendre non ?

- OK je passe vous prendre et nous seront tout trois au rendez-vous vous verrez, le thé de Jacques et Nadia est exceptionnel et leur maison sublime.

Un délicieux thé pour une aventure inédite

Nous étions dans le salon à déguster le thé et je ne pouvais m'empêcher d'être intriguée par le sourire de Jacques et Nadia en regardant Fred et Joris.

Nadia me souriait lorsqu'elle lança à nos deux jeunes

- Allez messieurs, nous allons passer aux choses sérieuses Jacques va vous accompagner au vestiaire et vous vous installerez sur les tables de massage. Une précision tout de même, pendant votre massage vous aurez un masque de repos sur les yeux et un casque vous diffusera une musique relaxante. Mais Émilie à du vous le dire.

- Pas du tout, Émilie à bien gardé le secret mais au fait tu seras avec nous ma chère Émilie ?

Jacques répondit ne rêvez pas les garçons et suivez-moi. Je restais seule avec Nadia qui me resservait alors une tasse de thé et me dit :

- Alors ma chérie, je vois que tu as répondu favorablement à notre invitation, c'est que tu as apprécié ta première séance.

- Oui Nadia je n'ai cessé d'y penser, j'ai tellement joui, mais aujourd'hui..

- Aujourd'hui est un autre jour, es-tu prête à nous suivre pour découvrir d'autres plaisirs.

- Oui dis-moi ce que je dois faire.

- C'est très simple tu vas me suivre et tu seras ma photocopieuse, tu répliqueras chacun de mes gestes de mes mouvements de mes actes. Dans un silence total, j'ai bien dit total tu es d'accord.

- Ouah, je suis excitée au plus au point.

- Bien alors quitte ta robe et ton soutien gorge garde simplement ta culotte et tu restes pieds nus

Nadia venait de faire de même et nous étions seins nus et en petite culottes

Dans la salle de massage :

Je venais de pénétrer dans la salle de massage, je découvrais médusé Fred et Joris installés sur les deux table de massage disposés côte à côte. Ces jeunes hommes étaient en slip allongé sur le ventre.

J'avais du mal à détacher mon regard de leurs petits culs rebondis et leurs jambes légèrement écartés laissaient deviner un sous-vêtement généreusement rempli.

Jacques était également en slip. Silencieux il regardait sa femme en souriant et me prenant par le bras me guidait vers la table de Joris, Nadia elle était à présent à côté de Fred.

Le massage et plus encore:

A présent, je devenais le double de Nadia, je m'approchais de Joris :

Mes mains huilées massaient ses plantes de pieds. Je remontais à présent ses mollets, je voyais à présent Nadia se pencher en avant ses seins touchaient les mollets de Fred et ses mains massaient ses cuisses jusqu'à la naissance du slip.

Je faisais de même en prenant garde que mon ventre rond ne soit ressenti par Joris qui laissait échapper de timides gémissements.

Copiant chaque geste de Nadia, j'étais à présent passée sur le côté et je saisissais le foulard de soie que me tendait Jacques dont le slip était tendu par une érection plus que naissante.

Caressant ses épaules puis ses bras je me saisissais des poignets de Joris les réunissant sur ses reins, à présent je les attachais délicatement ensemble empêchant par la même tout mouvement de mon adorable prisonnier volontaire.

À présent je descendais lentement son slip découvrant ce magnifique petit cul qui me saluait d'une chaire de poule naissante.

Je me reculais et comme Nadia je m'accroupissais. Je pouvais à présent distinguer le sexe et les testicules de mon jeune ami qui pendait dans l'espace ou une semaine plus tôt j'avais glissé mon ventre.

Il était clair que nos deux apollons n'avaient pas, à ce moment-là, que les yeux bandés. Leurs sexes commençaient à se raidir sous nos caresses.

Relevée, les mains à nouveau huilées, je caressais à présent les deux globes ferme du joli cul de Joris dont les gémissements se mêlaient à ceux de son camarade Fred.

J'écartais à présent ses fesses pour titiller de mon index l'étoile brune de son anus. J'enfonçais à présent l'intégralité de mon doigt me permettant de masser le renflement de sa prostate.

Les gémissements raisonnaient dans le silence de la salle.

Jacques à ce moment s'était délesté de son slip, et son sexe était tendu à l'équerre. Il me souriait, se calant dans mon dos sa main droite me présentait à présent un godmiché qui était la réplique incroyable de son sexe.

Il venait de me baisser mon slip, et je sentais le gland de sa queue contre mon anus. A cet instant il me soufflait à l'oreille.

- Ma petite Émilie, encule notre beau Joris au même rythme que moi

D'une poussée rectiligne, je pénétrais l'anus de Joris qui poussait un ah suivi d'un ho qui ressemblait vraiment à un gémissement de jouissance.

Après plusieurs allers-retours je laissais le god enfoncé à fond dans le fondement de Joris.

Jacques laissait mon anus béant, et tout comme sa femme je me glissais sous la table, j'embouchais le sexe suintant de Joris et lui administrait une tendre fellation.

Quelques secondes après j'abandonnais cette caresse buccale pour de nouveau agiter le gode dans son cul.

Suivant les ordres de Jacques, après deux trois allers-retour j'écartais d'une main la fesse qui me permettait de voir l'élargissement de cet anus.

C'est alors que n'en croyant pas mes yeux, je voyais à présent le sexe de Jacques investir l'anus ouvert de notre ami.

Il enculait à présent à grand coup de reins Joris qui tendait son cul vers un plaisir qu'il soulignait de oui..ho...oui..oui.

Jacques venait de se retirer et avait de nouveau enfoncé la copie de son sexe au plus profond du puits de plaisirs de Joris.

Il venait de me glisser deux doigts dans l'anus et me chuchotait à l'oreille :

- Suce-le jusqu'à la jouissance pendant que je vais enculer son ami

Je tremblais de partout, mais je m'exécutais. De nouveau sous la table j'administrais alors une gorge profonde à la longue queue bandée au maximum de mon jeune collègue.

Ne pouvant résister plus longtemps Joris gratifiait ma gorge et ma bouche de cinq longues giclées d'un sperme épais.

Je reprenais ma place derrière la table, comme Nadia je libérai l'anus de Joris.

Nadia me prenait par le bras ramassant ma culotte et m'emmenait dans une petite pièce qui jouxtait le vestiaire ou nous nous changions. Elle tirait alors un grand rideau et j'apercevait médusé le vestiaire.

Elle me dit alors

- Tu sais le grand miroir ou tu t'admirais, c'est une glace sans tain donc tu vas voir et entendre ton Joris et mon mari un bon moment crois-moi.

Les deux hommes pénétraient alors dans la vaste cabine

- Alors Joris ce massage avec ma femme comment ça c'est passé ?

- Franchement Jacques ton épouse a un talent incroyable, une douceur et un profondeur de massage extraordinaire.

- Oui elle est très douée, un jour un homme qu'elle a massé m'a dit « je n'ai jamais autant joui » c'est dire.

- Mais c'est ambigu cette déclaration, tu ne te poses pas de question, un brin de jalousie.

- Tu es jeune et stupide mon ami moi je prends ça comme un compliment et si ma femme fait jouir un homme en le massant, je ressens moi aussi une certaine jouissance. Bon mais c'est pas le tout habilles toi on se retrouve au salon.

Je vous laisse imaginer le retour au salon de nos deux jeunes collègues. Ils regardaient pour ne pas dire dévoraient des pieds à la tête Nadia cette femme exceptionnelle qui les avaient fait jouir comme jamais.

Je souriais alors que j'avais encore le goût délicieux des jets brûlants que Joris m'avait offerts.