Elodie Réalise Ses Fantasmes 04

Elodie continue de raconter

Le lendemain matin après avoir dormi avec le tanga de ma Maîtresse, à chaque pas qui me rapproche de mon lieu de travail, je sens ma chatte se liquéfier et mouiller son tanga qui est trempé, mélangeant nos miels.

Je rejoins mon bureau, me doutant qu'elle va m'appeler ou que son assistante va le faire.

Je ne connais pas la nature de leur relation et si son assistante est au courant des relations intimes de la Directrice.

La matinée me semble interminable à travailler à mon bureau avec ma collègue à quelques mètres, en espérant que les effluves intimes de mon tanga ne vont pas jusqu'à elle.

En fin de matinée, l'assistante de direction me demande de monter. En arrivant dans son bureau, elle m'indique avec son menton la porte du bureau de ma Maîtresse avec un sourire narquois.

Après avoir frappé, je passe la porte et attend au milieu du bureau les mains dans le dos, les yeux baissés. Elle continue à travailler, m'ignorant totalement pendant plus d'une demi heure, avant de lever la tête. Elle vient vers moi, impassible.

- C'est toi, qui sens comme ça? Comment est mon tanga?

- Votre tanga est trempé de mes liqueurs, Maîtresse

- Remonte ta jupe et montre moi!

- Tu n'as pas honte d'être excitée en permanence? Tu es vraiment une salope en chaleur. Retire le et lèche tes saletés.

J'obéis et sans aucun dégout, je lèche le fond de notre tanga, avec un mélange de nos deux saveurs.

- A partir de demain matin, tu viendras travailler avec des hauts talons, bas et sans culotte sauf la mienne quand tu seras autorisée à la salir avec ta liqueur. Interdiction de porter une jupe aussi longue que celle ci. Ta jupe ne doit pas dépasser la moitié de tes cuisses. Choisis une jupe sexy, pas une jupe de pute. Tu auras tout de temps de porter une robe aux ras des fesses.

Elle me fait coucher sur ses genoux avant de me fesser.

- Ne crie pas trop fort, sinon mon assistante va savoir que tu te fais fesser comme une gamine. Remarque, cela va bien l'amuser.

Une fois les fesses rougies, elle m'indique le coin.

- Va te mettre à genoux au coin, les mains sur la tête face au mur. Espère que personne ne viendra frapper à ma porte.

Mon cœur bat à tout rompre. Ma Maîtresse se remet au travail en m'ignorant totalement.

Quand elle me demande de venir se mettre à genoux derrière son bureau, j'ai l'impression que cela fait plusieurs heures que j'attends au coin. En fait, à peine une demie heure.

- Viens remercier ta Maîtresse, J'ai besoin de me détendre.

Elle me fait mettre sous son bureau à genoux, elle relève sa jupe et enlève son string pour me le faire sentir avant de le mettre dans un tiroir et rapproche son fauteuil jambes écartées pour m'offrir sa chatte à lécher. Selon toute attente, elle recommence à travailler, passe plusieurs appels téléphoniques avec quelques blancs dans sa conversation, submergée par la jouissance, me remplissant la bouche de plusieurs jets de mouille que j'avale.

- Au moment où quelqu'un frappe à la porte, elle me dit de continuer avant de répondre « entrez ».

A la voix, c'est son assistante qui vient lui proposer plusieurs courriers à signer. Elle abrège la conversation très rapidement.

- Tu es une sacrée lécheuse de chatte et je suis sûre que tu as redoublé d'effort pour me faire jouir devant mon assistante. T'es vraiment une vicieuse. Tu me plais, ma petite salope. Mon assistante va vite comprendre où tu étais quand elle est venue quand tu vas ressortir. Elle ne dira rien mais elle ne sera pas dupe.

Quand je ressors, elle ne semble pas surprise et m'adresse un sourire narquois.

En fin de semaine, son assistante me demande à nouveau de monter dans le bureau de notre Directrice.

Je m'attends à ce qu'elle me demande à nouveau de m'occuper d'elle. Au lieu de ça, debout devant son bureau, yeux baissés et mains dans le dos, elle m'annonce qu'elle a appelé mon Maître et qu'à partir de la semaine prochaine je lui appartiendrai totalement.

- Je me suis mise d'accord avec lui. Il va t'appeler pour profiter de toi ce week-end. Ce sera la dernière fois.

Avant de partir ce soir, range tes affaires personnelles et emmène les. Lundi, quand tu arriveras, tu monteras voir mon assistante, elle t'indiquera ton nouveau bureau à cet étage. J'ai besoin de toi pour des dossiers particuliers. Tu vas travailler directement avec moi. Il s'agit de communication et de relation client. Te connaissant, je suis sûre que tu vas réussir à convaincre certains clients à signer de gros contrats avec nous.

Moi aussi, la connaissant un peu mieux depuis plusieurs semaines, je me pose beaucoup de questions sur ce nouveau job.

Sur le moment, je me dis que je vais échapper au port d'une ceinture de chasteté comme le voulait mon précédent Maître, mais je me trompe. Et je suis loin de me douter de ce que va impliquer cette promotion.

Le dimanche matin, Elodie décide de faire la grasse matinée et de prendre soin d'elle.

La soirée du samedi a été particulière puisque c'est la dernière fois que son Maître a pu profiter d'elle. C'est une nouvelle vie qui commence avec cette femme, qui est désormais à la fois son boss et sa Maîtresse. Elle n'aura aucun moment de répit.

Trois coups de sonnette rapides aux alentours de 11h. Elodie sait que c'est ainsi que sa mère s'annonce quand elle vient la voir. Ne s'y attendant pas, elle sort précipitamment de la douche, enroule une serviette autour de sa poitrine et va lui ouvrir.

Arrivée devant la porte, elle s'aperçoit que la serviette lui arrive juste au milieu du pubis et que sa mère va s'apercevoir qu'elle est totalement épilée. De toute façon, elle ne pourra pas lui cacher à l'infini son changement de vie.

- Tu es très sexy, avec ta serviette, lui dit sa mère en l'embrassant avec un grand sourire. J'espère que personne d'autre sonne trois petits coups comme moi, sinon il risque d'être surpris. A moins que ce soit ton nouvel amoureux.

Elodie répond à sa mère par un sourire et reste les fesses et le minou à l'air pendant les quelques minutes que sa mère passe avec elle. Une fois partie, Elodie se dit qu'elle va devoir parler à sa mère plus rapidement que prévu. Elle est fière de sa nouvelle vie, et ne veux pas lui mentir en laissant sa mère croire qu'elle a un amoureux.

Le lendemain, Elodie propose à sa mère de passer la prendre chez elle pour aller faire une promenade en forêt l'après midi sous prétexte du beau temps. Tout au long de la promenade, ni l'une ni l'autre n'aborde de sujet intime. Elodie ne sait pas comment lui annoncer, jusqu'à ce qu'elles rentrent et que sa mère lui propose une tasse de thé dans le salon. Face à elle, assise dans un des fauteuils, elle sait qu'avec sa mini jupe, sa mère va s'apercevoir de son absence de petite culotte.

- J'ai besoin de te parler, maman. J'espère que ce que je vais te dire ne va pas te choquer. Je veux être franche avec toi et ne pas te laisser croire que j'ai un amoureux. Je te demande juste de ne pas m'interrompre, sinon je ne vais pas arriver à aller jusqu'au bout.

Sans s'arrêter, Elodie lui raconte son aventure avec le voisin de sa mère, puis l'épisode chez l'esthéticienne, et enfin le début de son aventure avec sa nouvelle Maitresse.

Alors qu'Elodie s'attendait au minimum à de la stupéfaction, elle est surprise que sa mère lui sourit et ne semble pas indignée.

- Cela veut dire, lui dit sa mère, que sous ta mini jupe, tu ne portes aucun sous vêtement sur ordre de ta Maîtresse et que si tu t'avises de ne pas respecter son ordre, tu seras punie, fessée, ou fouettée? D'ailleurs ce matin, quand tu t'es retournée, je me suis aperçue que tu avais des traces rouges sur le bas des fesses. J'ai tout de suite pensé que c'était les marques d'une cravache, sans trop y croire.

- Oui Maman, c'est exactement cela, lui répond Elodie qui ouvre un peu plus les genoux, permettant à sa mère de vérifier que sa chatte épilée est bien visible. Et les marques sont bien celles d'une cravache. Je n'ai aucune honte à te dire que j'aime être fessée et fouettée. A chaque fois, Elle me fait jouir.

- Et à voir comme tu sembles détendue, je suis certaine que tu es heureuse d'être soumise à une Dominatrice. Tu as trouvé la vie que tu souhaitais avec une femme.

Après avoir répondu par l'affirmative à sa mère, celle ci lui dit qu'elle aussi à une révélation à lui faire.

- Telle mère, telle fille, ma chérie. Je n'ai jamais osé t'en parler, mais moi aussi j'ai eu une aventure pendant plusieurs années avec une femme qui me dominait. Je me suis toujours caché, ne voulant pas te choquer. La seule personne à qui j'en ai parlé, c'est Jean, que je tu connais comme un ami de la famille. Il est mon Maître depuis de nombreuses années. Les seuls moments où je suis autorisé à porter un sous vêtement, avec son accord, c'est avec toi. Je ne voulais pas risquer de te choquer. J'ai été de nombreuses fois punie, avec comme prétexte le port d'une culotte. Désormais, je vais pouvoir vivre « ma vraie vie de soumise » sans me cacher quand tu es là.

Elodie voir alors sa mère se lever, remonter sa jupe sous laquelle elle porte jarretelles et bas, et enlever un tanga rouge puis aller le déposer sur la table avant de se rasseoir face à sa fille et ouvrir plusieurs boutons de sa jupe pour montrer sa fente totalement épilée et fermée avec 2 petits anneaux.

- Jean aussi m'a ordonné d'être toujours épilée et je connais bien le salon dans lequel tu as été. Ce sont deux lesbiennes très connues dans le milieu S/M, je te le confirme.

- Et les deux petits anneaux?

- Jean m'a fait poser ces anneaux soudés pour que sa soumise ne puisse plus prendre de plaisir avec sa fente. Il passe par l'autre côté.

Au moment de se quitter, les deux femmes s'embrassent. Pour la première fois, Elodie embrasse sa mère sur la bouche. Celle ci ne la repousse pas et introduit sa langue dans la bouche de sa fille pour lui monter qu'il n'y a plus de tabou entre elles.