Dorothée asservie - Partie 03

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Expériences multiples et plurielles.
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 10/11/2020
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Le jour suivant, arrivé volontairement un peu plus tôt, Antoine se rend immédiatement à l'atelier. Pénétrant sans bruit dans celui-ci, il constate avec satisfaction que sa vendeuse a commencé à remplir ses nouvelles obligations. Une scène assez surréaliste se déroule sous son regard malveillant : Kévin, habillé, mais braguette ouverte, dos contre un gros établi, les mains appuyées en arrière sur celui-ci, se fait tailler une pipe par une femme nue, accroupie devant lui, les cuisses largement écartées. Celle-ci, sans mot dire, hormis un bruit de succion, s'escrime sur la mentule qui envahi la quasi intégralité de sa bouche. Nul doute qu'il s'agit là de Dorothée. Son collègue, sentant l'orgasme approcher, lui intime de bien tout prendre dans sa bouche et d'avaler jusqu'à la dernière goutte de sperme.

Se rhabillant, alors que son patron s'est éclipsé rapidement, la fille se rend ensuite dans le bureau de celui-ci pour lui prodiguer le même type de gâterie. Cette tâche matinale terminant, elle s'en va servir au comptoir du magasin. Suivant la numérotation établie par son boss, elle porte aujourd'hui une robe de couleur chatoyante : un rouge vif taillée dans une matière très fine, qui permet de distinguer le contour de ses mamelons. Le corsage est coupé si bas que l'on peut voir son nombril. Le vêtement est vaguement drapé le long de ses seins, mais nul doute que le moindre mouvement ne manque pas d'exposer ceux-ci. La jupe, elle, est fendue jusqu'à la taille d'un côté. Elle est si serrée qu'elle reste ouverte sur plusieurs centimètres à hauteur de la hanche nue. Elle s'avère bien sûr honteusement courte. La journée s'écoule de manière horrible : la tenue est si raccourcie qu'à chaque fois que la jeune femme s'assoit, il lui est impossible de ne pas exhiber la totalité de son entrejambe. De même, lorsqu'elle se penche, elle expose systématiquement sa poitrine et est obligée de réajuster son haut, ce qui n'empêche nullement un sein de sortir de temps à autre, pour le grand plaisir des clients.

Avant de partir, elle doit à nouveau « satisfaire » son collègue et son boss, subissant respectivement avec le premier une pénétration vaginale et avec le second un rapport anal.

Elle est anéantie. Ce qui n'est rien à côté de ce qui se passe le lendemain. Après avoir tailler ses deux fellations matinales, suivant les consignes de son patron, elle quitte son comptoir pour aller placer sur la porte du magasin un écriteau sur lequel est écrit : « fermé pendant deux heures pour cause d'inventaire. Réouverture en début d'après-midi ». Elle se met en suite devant celle-ci et semble attendre.

L'ouvrier arrive à son tour : - Qu'est-ce qui se passe, chef? Un souci?

Antoine le regarde en souriant : - Du tout, Kévin! Je t'ai fait venir car je ne voudrais pas que tu rates le spectacle! Tu te souviens du McDo et de la façon scandaleuse avec laquelle Doro s'est exhibée devant ces quatre jeunes garçons?

- Oui, pour sûr, boss!

- Et bien, figure-toi que leur donner ma carte n'est pas été inutile car l'un deux m'a appelé hier soir sur mon portable. Il m'a dit combien il avait aimé la façon dont je mangeais et si c'était possible pour lui et ses copains de mieux connaitre notre amie ici présente. Ils viennent d'ici cinq minutes et j'ai demandé que le commerce soit temporairement fermé. Juste pendant deux heures, le temps que notre employée modèle aille les divertir dans la réserve. J'y ai installé un matelas, afin que cela soit plus confortable. Je me suis dit que tu aimeras certainement assister au spectacle...

- Evidemment, patron! lui répond avec enthousiasme le manutentionnaire.

La porte s'ouvre et la femme reconnaît immédiatement les quatre ados du drive-in. Ils doivent avoir entre quinze et seize ans. Dès qu'ils sont entrés, la fille verrouille la porte, sans même les regarder, avant de retourner derrière le comptoir. Tandis qu'elle marche vers celui-ci, elle s'apprête à devoir à nouveau réajuster son corsage, qui dévoile l'un de ses seins. Antoine lui intime de ne pas le faire :

- Non, Doro, ne touche à rien! C'est l'occasion de montrer ta belle poitrine à ces jeunes hommes! Le deuxième globe ne tarde pas à apparaître, sortant lui aussi du haut.

Le chef reprend la parole : - Maintenant, mets ta robe sur le comptoir! Garde juste tes chaussures à haut talon! Passe devant et montre-nous le chemin vers la réserve!

La vendeuse rougit, imaginant le spectacle qu'elle offre aux six hommes qui la suivent le mouvement obscène de ses fesses ondulant à chaque pas. Arrivés dans l'annexe, le patron poursuit ses instructions : - Allez les gars, il est temps de passer à la pratique! Doro, qui aime les jeunes et beaux mâles, se fera un plaisir de vous contenter!

Tous s'installent sur les couettes et le matelas de fortune. Tandis que les adolescents se déshabillent, l'un d'entre eux, qui semble être le meneur, est déjà assis sur l'une des couvertures et s'adresse tout de suite à l'employée : - Je t'ai vu sucé hier la bite de ton patron. Je n'ai pas arrêté de bander depuis. J'aime tes miches, ta chatte épilée et ton cul parfait. Moi aussi, je veux mettre ma queue dans ta bouche. Je ne connais pas ce qu'est une fellation et je souhaite que ce soit toi la première à m'en faire une! La femme, mortifiée, descend sur ses mains et ses genoux et, à quatre pattes, se hisse entre les jambes écartées du garçon. Elle regarde le sexe dressé une ou deux secondes avant de le prendre en bouche, puis de s'activer sur celui-ci. Pendant qu'elle agit ainsi, les trois autres jeunes les ont rejoints sur les couettes et commencent à explorer le corps de Dorothée. Six mains s'activent sur sa peau, caressent ses fesses, soupèsent ses seins, introduisent l'un ou l'autre doigt dans son intimité. L'un des garçons se met toutefois rapidement en position derrière elle et force ses lèvres vaginales avant d s'introduire pleinement dans sa vulve profanée. Bien que surprise d'être ainsi prise en levrette, elle continue son travail de langue sur la mentule qui lui touche quasi la glotte. Antoine lui ordonne alors : - Doro, n'oublie pas ce que je t'ai appris hier! Je veux que tu lui prodigues une gorge profonde! Consternée, l'employée commence à faire coulisser ses lèvres jusqu'à ce que ces dernières atteignent la base de la queue, son nez s'enfouissant dans les poils pubiens de son amant d'un jour.

- Une vulgaire pute, pense-t-elle en son for intérieur. Je suis devenue une vulgaire pute! La voilà pour la première fois de sa vie avec deux sexes virils remplissant en même temps deux de ses orifices. Manquant quelque peu d'expérience, les deux ados éjaculent rapidement. Mais voilà déjà que les deux autres prennent leur place et entament à leur tour des va-et-vient dans la bouche et la chatte de la malheureuse.

Là aussi, les nouveaux assaillants ne tardent pas de libérer des charges de sperme dans le corps mis à leur disposition. Une fois ce premier tour terminé, le patron, excité par le tableau offert, sort soudain son membre et commence à le faire durcir à l'aide de sa main, avant de s'adresser à ses invités : - Vous voulez voir quelque chose de chaud, les gars? Regardez! A peine ses paroles prononcées, il se saisit d'une poignée des cheveux de son employée et attire de cette manière le visage de celle-ci vers sa queue. Elle n'a d'autre choix que de l'enfourner.

Et Antoine, pendant ce temps, de poursuivre son monologue, mais à l'attention de son ouvrier : - Kévin, je t'avais promis le cul de la salope! Alors à toi de jouer!

Les yeux embués de larmes, le sexe de son boss toujours en bouche, la fille devine son collègue se placer derrière elle, puis le sent écarter ses fesses. Ce dernier commence de suite, suprême dégradation pour Dorothée, à lui lécher l'anus, faisant courir sa langue sur son petit trou rose. Quelques instants après, il emprunte l'étroit passage et s'engouffre de la manière la plus vigoureuse qu'il soit dans le rectum de la vendeuse. La pine enfoncée dans la gorge de cette dernière l'empêche de pousser des cris. Tout au plus entend-on des gémissements de douleur. Trop heureux du cadeau que lui fait son boss, Kévin ne ménage pas ses ardeurs, ruinant l'arrière-train de la belle en la pistonnant avec de grands coups de pine à la fois profonds et violents. Sous la puissance de la pénétration, la jeune femme est secouée d'avant en arrière, ses seins ballotant et remuant en tous sens.

L'ancien apprenti ne tarde pas à répandre son sperme dans les entrailles de sa victime. Le patron rappelle à Dorothée ses obligations : - N'oublie de bien nettoyer son sexe avec ta langue! Puis regardant les quatre garçons : - On ne peut malheureusement pas laisser le magasin fermé tout l'après-midi. Aussi, je vous propose de vous amuser une dernière fois! Aujourd'hui, la rondelle de notre chienne est « Open Bar ». Donc n'hésitez pas à l'enfiler par cette orifice- là! Elle commence à adorer!

Et les adolescents, à tour de rôle, de se vider dans les boyaux d'une fille submergée par la honte, l'épuisement et l'avilissement. Bien évidemment, elle est ensuite contrainte de rendre chaque sexe totalement propre à l'aide de sa langue. Tandis que tous se rhabillent, Antoine adresse aux étudiants de joyeuses félicitations : - Voilà les gars, vous êtes maintenant des hommes! J'espère que vous avez aimé autant que cela a plu à cette garce! Et qui sait, si je suis un jour de bonne humeur, peut-être vous donnerais-je l'occasion de la revoir et d'encore mieux la connaître.

Les jeunes prennent congé, le patron les escortant jusqu'à la porte d'entrée du commerce. Se retournant vers son employée, il lui dit simplement et avec une pointe d'ironie :

- Tu peux prendre congé le reste de la semaine, histoire de remettre de tes émotions! Six bites dans ton trou de balle! J'espère que tu n'auras pas trop mal ce soir pour t'asseoir!

Et Frédéric qui n'est jamais rentré dans un endroit où tout le monde passe maintenant! C'est drôle...

En pleurs, Dorothée rentre péniblement chez elle. Le soir, son compagnon revenu du travail, elle réussit quand même à masquze son état psychologique fragile suite aux nombreuses dégradations subies durant l'après-midi. Epuisée, elle s'endort après le dîner.

Les courtes vacances que lui a consenti son employeur ne sont qu'une parenthèse qui n'est même pas enchantée. La jeune femme ne cesse de ressasser mentalement ce qui s'est produit dans sa vie depuis quelques jours. Ces événements font désormais d'elle une esclave sexuelle à la merci de son boss, un être ignoble qu'elle déteste par-dessus. Mais à qui, elle le sait, elle doit désormais se soumettre.

Le retour au boulot, le lundi suivant, et les jours qui lui succèdent, n'est que la répétition des tâches auxquelles elle est à présent astreinte : matin et soir, avant l'ouverture et après la fermeture du magasin et de l'atelier, elle exécute ses nouvelles « responsabilités » en veillant, comme lui rappelle à chaque fois son chef, « au bien-être sexuel des travailleurs de l'entreprise, surtout au niveau de leur paire de couilles ». Cette expression le fait beaucoup rire et il en use et abuse d'ailleurs plus que de raison.

Le jeudi de la semaine qui suit, Dorothée, après avoir subi un nouvel assaut anal de la part de son patron, se voit obligée par ce dernier d'informer son fiancé qu'elle ne pourra être présente le lendemain en soirée et ne rentrera qu'assez tard dans la nuit, devant assister Antoine lors de la signature d'un contrat à l'exportation avec d'importants clients africains. Elle devra ensuite les accompagner au restaurant.

Devant le regard suspicieux de Frédéric, elle se sent obligée de se justifier. Affichant un sourire forcé, elle tente de faire passer cette situation comme étant normale et somme toute banale : - Voyons, mon chéri, tu en fais une tête! Ce n'est que du boulot et rien d'autre! Tu ne crois quand même pas que je m'envoie en l'air avec Antoine! On aurait tout vu! J'aime ce job et je n'ai pas envie de le perdre. Pour une fois qu'il me demande des heures supplémentaires --qu'il a promis de me payer-, je ne vois pas pourquoi je lui dirais non. Sauf si je veux être mal vue!

Rassuré, son amoureux s'excuse : - Désolé de mon attitude, mon amour! Ma réaction est stupide! Il est normal que tu t'investisses dans ton travail, comme je le fais moi-même dans le mien. J'irai sans doute boire un verre et faire un bowling avec des copains...

La maudite soirée arrive enfin. Tel qu'ordonné par son boss, elle s'est habillée avec la robe qu'il a choisie : par rapport à toutes celles qu'elle a déjà portées, celle-ci semble assez conservatrice. Elle est très courte, certes, comme toutes les précédentes, le dos est nu mais les seins sont couverts. Toutefois, à peine est-elle arrivée que son patron l'invite à se tourner et délie en partie la sangle située derrière son cou et qui permet de maintenir le vêtement en place. Dorothée écarquille les yeux pendant qu'il agit de la sorte car elle a compris ce qu'il faisait : le lien retient maintenant le devant de la tenue de manière plus lâche qu'avant, exposant ses seins de chaque côté du vêtement. Au même moment, la sonnette de la porte du magasin retentit. Antoine invite sa vendeuse à aller ouvrir : - C'est le livreur de sushis. J'ai pensé qu'avant de dîner avec nos invités, une légère entrée prise dans mon bureau détendrait l'atmosphère au moment de la signature du contrat.

Gênée au plus haut point par son accoutrement, elle s'exécute néanmoins, n'ayant guère le choix.

Alors qu'elle invite le coursier à pénétrer avec sa marchandise, elle devient blême en reconnaissant son jeune voisin, qui travaille comme étudiant chez le traiteur du coin.

- Di... Dimitri?

- Bonjour Madame! répond celui-ci avant de découvrir avec surprise la robe portée par l'employée et de poser son regard sur la poitrine à moitié découverte qu'elle lui présente.

- Vous vous connaissez? Je ne savais pas que vous étiez voisins, intervient immédiatement le patron. Peu importe! Il est temps d'aller dans mon bureau, afin de préparer le « nyotaimori ». Vous venez? termine-t-il, d'un ton qui ne souffre aucune discussion.

Une fois dans l'office, le boss ordonne sèchement à sa vendeuse de se déshabiller : - A poil, Doro! Et ne fais pas ta mijaurée! Habituellement, tu es moins prude!

Et devant le regard ébahi de Dimitri, elle défait, la tête baissée, la sangle qui maintient sa robe, ce qui a pour conséquence de faire tomber celle-ci par terre. L'adolescent ne manque pas de se repaître de ce corps splendide au sexe entièrement épilé.

- Les chaussures aussi! Maintenant, va t'allonger sur la table, sur le dos, et ne bouge plus! Puis s'adressant au livreur : - Vois-tu, mon jeune ami, un « nyotaimori » est une tradition ancestrale dans l'art culinaire japonais. Elle remonte à l'époque des samouraïs et consiste à manger des sushis présentés sur une femme nue et immobile. Mes clients arrivant d'ici une heure, tu as donc tout juste le temps de disposer ceux-ci sur la splendide plastique de notre repose-plat humain.

Essaie de faire quelque chose d'esthétique et de bien agencé. Quant au corps en question, je t'interdis de le tâter pendant que tu le décores. Doro a une fâcheuse tendance à être très vite excitée et risquerait de faire rapidement tomber toute la nourriture. Tu peux prendre une photo d'elle maintenant, c'est-à-dire avant que tu ne commences ton œuvre, et après, une fois celle-ci finie. Quand dis-tu, Dimitri?

- Oh oui, Monsieur! Merci bien! s'exclame l'adolescent, comme si l'on venait de lui offrir un nouveau jouet.

Durant près de quarante minutes, celui-ci s'active et termine son travail par une seconde photo. La femme est restée figée pendant tout ce temps, les yeux fermés, mortifiée par la scène dont elle est, sans le vouloir, l'actrice principale. -- Mon voisin, mon voisin, ne cesse-t-elle de se répéter. Si Frédéric l'apprend, ce sera terrible.

- Il est temps de partir, mon jeune ami! conclut Antoine. Mes acheteurs vont bientôt arriver. Je t'invite à ne pas montrer ces photos, Dimitri, et à les garder pour toi seul. Je suis sûr que Doro n'aimerait pas que son compagnon les voit! Il saurait alors à qui il a vraiment affaire! Non pas à une future épouse aimante, mais plutôt à une chienne perpétuellement en rut! Je pense que tu pourrais lui demander, en échange de ton silence quant à ce petit secret, de te rendre certains « services ». Par exemple, n'y a-t-il pas un après-midi de la semaine où tu ne dois pas aller aux cours?

- Le jeudi, Monsieur!

- Et bien que dirais-tu si, chaque semaine, ce jour-là, je donnais congé à Doro tout l'après-midi. Tu pourrais aller la voir chez elle, lui demander de s'habiller comme tu le souhaites, etc.

Tu es encore puceau?

- Heu... oui, Monsieur...

- A la bonne heure! Il te suffira d'exiger d'elle ce que tu veux et elle te le fera. Je te conseille sa bouche : elle suce de manière experte. N'hésite pas non plus à utiliser son cul : elle adore cela! Tu vois, les possibilités sont nombreuses. Tu vas bien t'amuser!

- Merci, Monsieur!

Toujours silencieuse, l'employée manque de s'évanouir à l'écoute de ce qui l'attend prochainement. A peine Dimitri est-il parti que deux nouveaux arrivants se font entendre :

- Mon dieu, Antoine, que vois-je là? Vous nous gâter, mon ami!

- Mon cher Eugène, je me suis dit que la signature de cet important contrat de fourniture de matériel méritait bien une attention particulière à votre égard. Je suis heureux que vous appréciez ma démarche! Je vous présente Dorothée, mais tous les hommes l'appellent Doro, mon employée. Celle-ci m'est dévouée corps et âme. Mais je parle et, dans mon empressement, j'ai oublié de saluer Albert, votre associé de longue date! Messieurs, il est temps de passer à table et d'accompagner, si vous êtes d'accord, cet amuse-bouche plein de fraîcheur par un délicieux vin blanc.

Pendant près de soixante minutes, les trois hommes discutent de tout et de rien, prenant plaisir à manger les sushis en les enlevant avec des baguettes du corps de la pauvre fille.

Ils ne manquent pas de commenter de manière grossière les formes ainsi dévoilées. La vendeuse pensait avoir touché le fond, mais il apparaît aujourd'hui qu'il n'en est rien. Lorsque le dernier sushi disparaît finalement dans la bouche du dénommé Eugène et que, dans la foulée, le contrat soit signé, le patron reprend la parole : - Si vous n'y voyez pas d'inconvénient, j'ai quelque peu changé le programme de la soirée. Plutôt que d'aller au restaurant gastronomique, je me suis dit qu'un agréable moment avec Doro dans une chambre d'hôtel avec « room service » et champagne serait plus appropriée si vous voulez découvrir, et surtout profiter, des charmes plantureux de notre amie si présente. Vous verrez combien elle aime le sexe...

... Surtout quand il est sale!

Sur ce, il invite la fille à se relever et à quitter la table. Alors qu'elle s'apprête à se « rhabiller », il la stoppe dans son élan et lui tend une autre tenue : - Celle-ci est plus appropriée, je pense.

Toujours tête baissée, la vendeuse enfile cette dernière. Ce n'est d'ailleurs pas à proprement parler un vêtement! La mini-jupe est si courte et si basse dans le dos qu'elle découvre le haut des fesses et le sillon de celles-ci. Le dessus, lui, est composé d'un top --ou plus plutôt d'une bande élastique- en dentelle tellement fine et transparente que les seins sont visibles dans leur intégralité. Antoine s'adresse à ces clients africains : - Elle a un goût prononcé pour la vulgarité. Avec ses talons, elle sera parfaite. Mais assez parlé, je suis sûr que vous mourrez d'envie de vous rendre à l'hôtel!

- Oooh oui! répondent en cœur les deux Blacks.

A peine arrivée dans la chambre, la subalterne est invitée à se désaper, alors que quelques instants plus tard, on frappe à la porte. -- Ce doit être le « room service » indique Antoine. Puis se tournant vers Dorothée, il lui intime d'aller ouvrir séance tenante.

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