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BÊTA PUBLIQUE

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19h24 : Mets-toi à croupis mon chien, les cuisses écartées, et recueille avec ta main le sperme qui est au fond de toi.

Je voulus protester, mais j'en étais incapable. J'obéis donc, sentis un peu de liquide couler dans ma main. J'introduisis un doigt dans mon anus, trouvant la souplesse de celui-ci très agréable, et recueillant un peu plus de semence. Sans même avoir besoin d'un ordre, je la portais à ma bouche et maîtrisant mon dégoût, je l'avalais sans respirer pour ne pas en sentir le goût. Pour faire bonne figure, je léchais bien ma main devant la caméra.

19h31 : Tu comprends bien, tu vois que tu es fait pour cela. Tu es un esclave au plus profond de toi. Je suis contente j'ai de magnifiques images de toi te faisant prendre par tes deux trous. Tu es une parfaite salope en plus avec ton sexe encagé. Il faudra prévoir des bas et un serre taille, tu seras ainsi parfait en salope.

19h33 : Merci Maîtresse, je suis heureux de Vous avoir satisfait.

19h34 : demain, tu vas venir te présenter à moi. D'ici là, tu ne manges toujours rien, je te veux affaibli. Tu continues de m'envoyer un sms toutes les heures, même cette nuit, je ne veux pas qu'il y ait plus de 59 minutes entre deux messages, sinon gare.

19h36 : Bien Maîtresse, je ferais ainsi Maîtresse.

19h38 : Bien sûr, ce n'est pas comme si tu avais le choix. Pense bien à ta Maîtresse, je vais t'envoyer des photos de ma soirée, comme cela tu sauras ce que je fais, et tu pourras t'exciter à me contempler à loisir, sans pouvoir te toucher, tu vas voir, c'est merveilleux.

19h40 : Oh Maîtresse, c'est trop bon de Votre part, j'ai hâte de Vous découvrir.

Je suis arrivé au bureau dans un état d'épuisement que je n'avais jamais connu. Je devais faire peur car les collaborateurs que je croisais baissaient les yeux et rasaient les murs. Même Sylvie mon assistante baissa les yeux sentant que je n'étais pas d'humeur. La soirée et la nuit avaient été très éprouvantes. Ces sms qui me maintenaient éveillés en permanence, ponctué par des dizaines de photos que ma Maîtresse m'avaient envoyées, qui m'avaient très excité je devais me l'avouer. Et cela ne manquait pas de me troubler. Je m'étais à peine remis de cette expérience homosexuelle, que je me sentais m'ouvrir à bien d'autres envies.

J'avais été fasciné par des images d'hommes travestis en corset de dentelle, le sexe encagé comme le mien dorénavant, le corps tatoué de lettrines que je devinais être celle de ma Maîtresse. L'un des deux avait une poitrine très opulente qui m'avait troublé, tandis que se devinaient des marques de cravache sur ces chairs si sensibles. Mais plus que tout, c'était le regard, l'attitude de ces deux hommes qui me faisait frissonner : ils étaient en totale dévotion et dépendance, je le sentais si fortement. Je découvrais aussi les formes de ma Maîtresse, provoquant une érection bien inutile et douloureuse dans ma cage trop étroite.

Elle était vraiment superbe, non pas dans les canons filiformes de notre époque, mais avec une lourde poitrine, des hanches très marquées, et un sentiment de puissance qui se dégageait de chacun de ses gestes. Son sexe était lui-même épilé et orné des mêmes lettrines. J'avais très envie de prendre ses lourds seins dans mes mains, et je découvrirais que le prix à payer pour la toucher était toujours exhorbitant.

C'est rempli de toutes ces images que je m'étais installé derrière mon bureau, continuant à envoyer les sms demandé, et incapable de faire quoi que ce soit de construit. Aussi je m'attelais uniquement à des tâches administratives. A 11h Sylvie m'informa que mon rendez-vous de 11h était là. Je n'avais pas de rendez-vous mais Sylvie me dit que Madame Sévère était là pour un rendez-vous privé lui avait-elle dit. J'étais contrarié, je ne me sentais pas capable d'un rendez-vous, mais déjà cette dame entrait dans mon bureau, Sylvie toujours présente :

« Eh bien tu fais attendre ta Maîtresse. Qu'est-ce que c'est cette éducation?

- Je suis désolé, Sylvie laissez-nous. J'étais rouge pivoine, totalement perdu, Maîtresse était venue me voir alors que je croyais aller la voir le soir. Ma secrétaire disparu plus vite que l'éclair, très gênée d'avoir assisté à cette entrée en matière.

- C'est comme cela que tu salues? A genoux mon esclave et plus vite que cela, tu embrasses mes chaussures et tu ne te relèves que quand je te l'ordonne, avec interdiction de croiser mon regard, tu n'es qu'une merde, et une merde ne regarde pas une femme comme moi. Compris?

- Oui Maîtresse mais Sylvie... Une claque monumentale arrêta ma phrase.

- Où que ce soit, dans quelque circonstance que ce soit, tu te mets à genoux et tu m'embrasses les pieds, c'est compris?

- Oui Maîtresse, pardon Maîtresse, j'étais perdu et à genoux à ses pieds, les lui embrassant avec ferveur et un certain épuisement. Quelque chose lâchait en moi. Je ne me battais plus. Elle me laissa ainsi au moins 5 minutes avant de m'indiquer de me relever.

-

Elle me fit mettre debout, les mains dans le dos, interdiction de lever le regard, mais interdiction de baisser la tête. Et elle me gifla à toute volée, longuement, chaque joue alternativement, le bruit était explicit, le feu me montait au visage, je restais stoïque, des larmes coulant sur mes joues écarlates, je me sentais réduit à néant, nié.

Je n'avais jamais été giflé ainsi. Lorsqu'elle cessa, elle m'ordonna d'appeler mon assistante et de lui commander deux cafés. Sylvie entra très gênée, ne manquant pas de remarquer tous les détails de la scène et surtout mon visage marqué par ces gifles qu'elle avait sans doute entendu. Elle revint très vite avec les cafés et je la vis s'exprimer avec déférence auprès de ma Maîtresse, même devant elle son aura devait être perceptible. J'étais toujours debout, les mains dans le dos, n'osant lever le regard même sur Sylvie. Ma Maîtresse lui indiqua de poser les deux cafés sur la table de réunion qui était dans mon bureau et de s'y asseoir après avoir fermé la porte du bureau, un des deux cafés était pour elle.

J'étais terrifié, je n'osais bouger, cela allait trop vite, j'étais perdu mais j'étais incapable de réagir, je me sentais détruit par cette femme puissante et décidée.

« Sylvie, je voudrais me présenter que vous ne vous posiez pas de question. Je m'appelle Elisabeth et je suis la Maîtresse de votre patron. Pas que nous couchons ensemble, cela n'arrivera jamais, mais il m'obéi et m'appartiens. Pas vrai esclave?

- Si Maîtresse, répondis-je misérablement.

- Et pourquoi nous ne coucherons jamais ensemble esclave?

- Parce que je ne vous mérite pas Maîtresse?

- Oui bien sûr, mais aussi parce que tu ne peux pas physiquement.

- Non Maîtresse

- Montre à Sylvie pourquoi? Mort de honte, et terrifié par la gêne que subissait Sylvie muette, je baissais mon pantalon montrant ainsi mon sexe encagé à mon assistante médusée.

- Laisse ton pantalon baissé, cela illustre bien comme tu es ridicule et sans intérêt. Bien Sylvie je comprends que c'est un choc. Elle lui prit doucement les mains. Alors voilà il y a maintenant deux possibilités : vous avez envie que votre vie change, d'avoir un patron qui vous obéis et qui fait ce que vous voulez sous mon contrôle, avec un salaire qui est doublé immédiatement? Je vous promets que vous allez découvrir toute la puissance de la domination féminine et vous éclater comme jamais. Ou bien tout cela ne vous intéresse pas, et nous en resterons là.

- Je ne sais quoi vous répondre Madame.

- Elisabeth s'il te plaît, Madame c'est pour les mecs

- Merci Elisabeth, mais je dois vous répondre quand?

- Maintenant, tu sais c'est un choix très simple, ou bien tout cela te dégoute et t'effraie et tu rentres chez toi, ou bien tu sens quelque chose, une envie de pouvoir, de contrôle sur ta vie, et là ma chère, l'aventure commence vraiment. Elle était passée au tutoiement pour se rapprocher.

- Mais concrètement cela veut dire quoi?

- Esclave vient lui masser les pieds. Sans réfléchir, je ne le pouvais pas, je me retrouvais à 4 pattes à déchausser mon assistante, et lui masser doucement les pieds, toujours empétré dans mon pantalon. Et bien sur un salaire doublé. Et si tu as des courses à faire, ton patron te les fera pendant sa journée de travail, ou le soir quand je n'aurais pas besoin de lui.

- Et je ne risque rien?

- Si bien sûr, tu risques de prendre beaucoup de plaisir, et de vouloir un esclave à temps plein rien que pour toi, tu vas voir cela vient très vite, imagines plus aucune corvée, un chauffeur toujours disponible, et tous les amants que tu veux quand tu veux.

- Je veux bien, oui, dit Sylvie d'une petite voix.

- Parfait, je t'ai bien sentie alors, j'en suis ravie. Tu te souviens de la première photo que tu avais reçue?

- Oui j'étais très gênée mais un peu excitée.

- Tu vois cela t'ira très bien. Esclave relève toi, les mains dans le dos. Sylvie, pour clore cette première mise en domination, je te propose que tu gifles ton patron, autant que tu en auras envie, laisse toi aller à tout ce qu'il t'en a fait baver. »

-

Sylvie s'approcha de moi, je ne pouvais la regarder cela aurait été impossible. La première gifle me surprit, je l'attendais douce ce fut comme un coup de poing me faisant vaciller. Les gifles se suivirent encore plus nombreuses que celle de ma Maîtresse. Je croyais qu'elle m'adorait comme patron.

Enivrée par son nouveau pouvoir, Sylvie acheva par un coup de genoux dans les couilles qui me fit tomber au sol de douleur. Elle me tira par les cheveux pour me redresser et me redonner un coup encore plus fort, j'avais le souffle coupé, elle perdait le contrôle mais ma Maîtresse ne faisait rien pour l'arrêter. Elle m'ôta ma veste, déchira ma chemise et se mit à griffer mon corps, pinces mes tétons, elle voulait me faire mal de toutes les façons, j'étais paniqué, perdu, pourtant je ne faisais rien pour me défendre, n'y pensant même pas.

« Oh j'ai envie de jouir! Ma prude assistante avait carrément pété un cable. »

Elle s'assit sur mon fauteuil, descendit ses collants et sa culotte, les enlevant complètement, m'arrachant presque les cheveux pour me coller à son sexe qui débordait d'excitation, je n'avais jamais vu cela. J'essayais de la lécher comme elle semblait le souhaiter mais elle utilisait ma tête comme un coussin pour se caresser, et je le senti se raidir en m'aspergeant le visage, avant de retomber épuisée, enfin dans le fauteuil, moi à ses pieds essayant de retrouver mes esprits.

« Bien je crois que vous avez bien trouvé votre place chacun, esclave tu lui obéis aveuglément, sauf si un ordre est en contradiction avec le mien, tu m'appartiens, c'est clair Sylvie?

- Oui Elisabeth, c'est très clair, je serais ton bras armé au travail

- Et plus peut être si tu as envie d'aller plus loin?

- Je crois oui dit Sylvie en riant, totalement abasourdie par sa réaction.

- Bon tu m'as donné envie, esclave donne-moi ta ceinture, penche-toi sur ton bureau, les fesses bien soulevées. »

Comprenant ce qui allait m'arriver dans mon bureau, je ne fis rien pour m'y opposer, et remis la ceinture à ma Maîtresse, totalement nu, et je du compter les coups qu'elle asséna avec une force me coupant le souffle à chaque fois. A 100 coups, j'étais passé dans un autre état, comme en ébriété, sentant la douleur atroce mais la ressentant avec plaisir, mon pénis essayant inutilement de gonfler.

Ma Maîtresse fatiguée donna la ceinture à Sylvie qui prit le relais, bien plus maladroitement, et m'en asséna 100 de plus. Mes fesses n'étaient plus qu'une plaie très douloureuse, je ne pourrais pas m'asseoir sans doute de la journée. Je dus les remercier toutes deux en embrassant leur main puis leur pied. Maîtresse pour montrer à Elisabeth me fit lécher ses semelles de bottines qu'elle voulut nickel. J'étais dégouté mais l'idée même de me reprendre m'avait quitté, et je découvrais que sans doute à jamais, j'avais perdu le contrôle, j'étais paniqué, mais en même temps je me disais que plus rien n'avait d'importance, que j'étais mort, que je pouvais enfin commencer à vivre ma vraie vie.

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Anonymous
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3 Commentaires
Sium38Sium38il y a plus d’un an

Fantastique comme d'habitude. Tout y est. Un régal !

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Vraiment superbe, merci . J'espère lire une suite .

dieter40sndieter40snil y a plus d’un an

sehr geile Story..danke.

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