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BÊTA PUBLIQUE

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« C'est une bonne chienne. Je ne cherche pas un soumis, mais un esclave, et je vais te dresser en esclave. Je vais faire de toi le plus parfait des esclaves, que mes copines m'envieront.

- Oui Madame. Je ne savais quoi répondre.

- Parfait ma chose. Tu restes ainsi jusqu'à ce que je t'ordonne le contraire. Si tu as besoin de pisser, tu sais comment faire. Une chienne comme toi se pisse dessus. »

La conversation s'arrêta et je me retrouvais à nouveau seul à genoux, sous l'œil de la caméra, un plug au fond de moi. Je repensais à ce que j'imposais à mes soumises, et la douleur grandissante me fit mieux comprendre leurs réactions, d'autant que celui-ci était bien petit par rapport aux plugs que je prenais plaisir à leur infliger. Il était plus d'une heure du matin, quand épuisé je vis qu'Elle se reconnectait :

« Bien tu peux aller te libérer. Tu nettoies le plug, puis tu vas te coucher. Demain tu te lèves à 6h, je veux un SMS de ta part tous les 1/4 d'heure jusqu'à neuf heures, puis un toutes les demies heures, dans lesquels tu exprimes ton désir de soumission, que tu seras mon esclave, et que je suis ta Reine. Est-ce que je suis claire?

- Oui Madame, je comprends

- Bien ne réfléchis plus à la situation, c'est du passé, maintenant tu m'appartiens quoi que tu fasses, tu dois bien en être certain.

- Oui Maîtresse. Le mot m'avait échappé, venant de mon subconscient.

- C'est très bien mon esclave. Va vite dormir demain ta journée sera chargée tu verras. »

Le réveil à 6 heures fut assez difficile, je me réveillais dans un brouillard et me précipitais pour envoyer mon premier SMS. N'ayant pas trop le temps de réfléchir, j'envoyais le premier qui me vint à l'esprit :

« 6h00 : Bonjour Maîtresse, Votre esclave se réveil d'une nuit trop courte, encore tout rempli de Votre vision et espérant être Votre esclave appliqué.

6h15 : Madame, je vais aller prendre une douche et me rendre tout propre. Je Vous remercie de bien vouloir Vous occuper de moi.

6h30 : Maîtresse je renouvèle mon désir de Vous appartenir et que Vous m'éduquiez à Votre service. Je Vous remercie de préserver ma vie sociale et professionnelle.

6h45 : Votre esclave est excité Madame et il voudrait bien se soulager. Il a l'habitude de se soulager ainsi tous les matins Madame. Je ne sais si j'ai le droit, dans le doute je m'abstiens et ainsi je suis tout tourné vers Vous.

7h00 : Je Vous remercie Madame de bien vouloir me prendre à Votre service et m'asservir ainsi à Vous. Je ne suis qu'un soumis parmi d'autre pour Votre service.

7h15 : Madame, je n'ai à peine le temps de me préparer pour Vous envoyer tous ces messages. Je suis happé par Votre volonté, je crains de ne pas répondre assez bien à Votre attente, pardonnez moi si c'est le cas, je dois apprendre.

7h30 : Maîtresse, je Vous écris à genoux, je Vous implore de bien vouloir m'épargner et me laisser une liberté qui m'est chère. Je saurais Vous remercier de la façon qui Vous plaise. Je ne sais ce que Vous désirez mais je ferais tout ce que Vous voulez Maîtresse.

7h45 : Maîtresse, je réalise que je ne connais que Votre pseudo, pas même Votre prénom. Je n'ai pas même une photo de Vous, peut être accepterez Vous que j'en possède une pour m'imprégner de Vous?

8h00 : Maîtresse, j'ai oublié de Vous dire qu'hier mon assistante a vu Votre email. J'ai été anéanti, cela fait des années que je travaille avec elle, mais en même temps c'est une sensation très forte que de subir cette humiliation, je crois bien avoir eu une érection malgré mon abattement. Je comprends que Vous êtes très sérieuse et que je dois Vous obéir en tout et pour tout.

8h15 : Maîtresse c'est difficile de Vous écrire ainsi sans avoir de retour de Votre part. Dormez Vous? Me lisez Vous? Je Vous appelle Maîtresse, je pense que cela Vous semble naturel et évident.

8h30 : Je vais bientôt partir, je suis déjà épuisé par ma trop courte nuit et par les émotions, et surtout l'angoisse que vous me procurez. Je sais que Vous avez accepté de m'éduquer et de me dresser, mais peut être ne suis pas digne de Vous? Si Vous souhaitez me laisser je saurais Vous en remercier.

8h45 : Pardonnez moi Maîtresse, mes messages vont dans tous les sens, je le sens bien, je suis déjà perdu, j'ai envie et je suis terrorisé de Votre contrôle et de Votre chantage.

9h00 : Maîtresse toute puissante, je vais partir à mon travail. Comme Vous me l'avez ordonné je Vous envoie un message toutes les heures »

J'étais totalement épuisé, perdu, je ne savais plus quoi penser et d'ailleurs je n'arrivais plus à penser quoi que ce soit. J'étais effaré par la vitesse à laquelle j'avais perdu tout contrôle. Mes deux complices soumises s'interrogeaient sur mon absence, je prétextais un voyage d'affaires. J'arrivais au travail plus tard que d'habitude, et dus subir le regard appuyé de mon assistante, à qui je souris un peu gêné. J'allégeais à nouveau ma journée, déportant sur mon équipe de direction de multiples réunions, sans trop savoir à quoi m'attendre de la part de cette mystérieuse Femme.

10h00 : Maîtresse, j'ai allégé ma journée pour que Vous puissiez en disposer si Vous le souhaitez, je ne sais pas ce que Vous attendez de moi.

Je reçu son premier message peu après :

10h12 : Je me réveille mon esclave. Je suis un peu déçue de tes messages, ils manquent vraiment d'emphase. Fais mieux, tout de suite, montre-moi ta dévotion, donne-moi envie de me caresser sur tes mots. Sinon j'envoie une nouvelle série à Sylvie. Je suis certaine que cette fois-ci elle les gardera.

Je fus instantanément en sueur. Pas tant que la menace curieusement, mais que l'idée de Lui avoir déplu. Bien sûr que je n'avais pas exprimé totalement ma dévotion, j'étais déchiré entre des sentiments opposés.

10h32 : Maîtresse toute puissante. C'est tout rempli de Vous que Votre esclave s'est réveillé ce matin, léger et heureux d'avoir la chance et l'opportunité de Vous appartenir, de pouvoir être dressé suivant Votre bon plaisir au détriment du mien, dans une vie de service, de contrainte, de souffrance que Vous voudrez imposer à Votre esclave pour Votre plaisir supérieur et sadique qui mérite tous les honneurs. J'ai hâte de pouvoir me prosterner à Vos pieds, subir Votre loi et rentrer dans une totale dévotion qui m'interdira toute autre pensée que celles que Vous m'aurez imposées. Je Vous offre mon corps et mon âme pour Votre plaisir et Votre service, je suis né pour Vous satisfaire et Vous combler à chaque instant.

Je ne savais pas si c'était assez, mais je ne savais pas comment faire plus. J'attendais fébrilement, mais rien ne vint. Devais-je faire un mail à 11h00? Sans savoir je me remis à taper :

11h00 : Maîtresse toute puissante, c'est un honneur que Vous me laissiez Vous appeler ainsi, et je serais heureux de vivre sous Votre loi et de la façon qui Vous plaira. J'espère que mon message précédent à répondu à Votre demande et Vous a donné du plaisir. Votre esclave.

La réponse vint après une attente interminable, pendant laquelle j'étais incapable de faire quoi que ce soit. Elle ne répondit pas à mes angoisses, mais en ajouta d'autres.

11h42 : Mon esclave, tu vas dans la boutique démonia dès la lecture de ce mail. Tu vas y acheter une cage de chasteté CB6000 pour toi. Tu prendras également des plugs 24/7 en métal, un de taille M et un de taille L. Tu paies impérativement avec ta CB personnelle, pas de liquide, tu demandes à t'inscrire sur leurs listes de diffusion. Je pense que tu as pas mal de matériel chez toi pour tes petits jeux médiocres, je l'utiliserai en temps voulu.

12h00 : Maîtresse je suis dans le taxi pour aller dans le magasin que Vous m'avez indiqué. Je suis fébrile d'y aller ainsi, puisque je les connais, mais je n'y suis jamais allé qu'en dominant. Je comprends que Vous souhaitez m'imposer une chasteté. Je dois Vous avouer que cela excite Votre esclave mais que celui-ci a une sexualité assez développée car je jouis une à deux fois par jour, souvent dans les toilettes du bureau.

12h03 : Avant que tu ne sortes du magasin, après tes achats, tu attends mes instructions.

12h04 : Bien Maîtresse

12h04 : A quoi rêves tu quand tu te soulages dans les toilettes de ta société?

12h06 : C'est assez variable Maîtresse. Parfois je pense à ce que je vais faire à ma soumise. Et puis parfois à d'autres choses.

12h07 : Je veux ton fantasme qui est le plus fort. Ne me fais pas me répéter, je déteste cela et tu n'imagines pas tout ce que je peux te faire subir qui ne va pas te plaire du tout. Alors tu es prévenu, la prochaine fois que tu me contraries tu auras une surprise très désagréable.

12h08 : Bien Maîtresse, pardonnez-moi Maîtresse, tout ceci est très nouveau. Je Vous écris cela de suite Maîtresse. Je vais faire très attention à Vous contenter.

12h09 : Le fantasme le plus fort, celui qui me fait jouir très vite c'est quand j'imagine que Sylvie rentre dans mon bureau, habillée de cuir, avec une cravache à la main, qu'elle m'ordonne de me pencher sur mon bureau, de baisser mon pantalon et qu'elle me cravache les fesses parce que je ne lui ai pas parlé convenablement et que je suis un sale garnement. En général cela me fait jouir. Mais si ce n'est pas assez, je fantasme qu'ensuite, elle me fait ramper jusqu'à lécher la semelle de ses bottes, en découvrant qu'elle n'a pas de culotte sous sa jupe, et qu'elle se masturbe en écrasant mes couilles Maitresse.

12h10 : Je suis tout honteux de Vous écrire cela Maîtresse. Le taxi arrive, je rentre dans le magasin Maîtresse.

Je n'eus pas de mal à trouver le rayon des ceintures de chasteté, ni le modèle qu'Elle m'avait indiqué. Il y en avait un sacré stock, je ne devais pas être le premier. Je choisis le modèle basique, avant d'aller chercher les plugs. Je ne savais pas de quoi Elle parlait, et je dus, à ma grande honte, demander à la caisse : les modèles étaient sous vitre, raison pour laquelle je ne les avais pas vus. Une forme curieuse avec un large trou au centre, permettant aux gaz de s'échapper m'expliquait le vendeur. Ils étaient faits pour être portés en permanence. Je frissonnais d'effroi. Mais je n'avais pas le choix, et les modèles que ma Maîtresse m'avait demandés me semblaient déjà très gros. Ils faisaient un bruit métallique très fort. Je payais avec ma carte, et demanda à être inscrit sur leur liste de diffusion, donnant ainsi mon nom et mon adresse. Il était temps de partir.

12h28 : Maîtresse, conformément à Votre ordre j'ai effectué les achats et j'ai pu me procurer tout ce que Vous m'avez demandé. Je suis à Vos ordres et à Votre disposition.

12h38 : Bien mon esclave, tu vas demander au vendeur si tu peux mettre la ceinture sur place. Tu vas dans une cabine, tu laisses le rideau ouvert et tu mets la ceinture. Si tu ne sais pas comment faire tu demandes de l'aide. Choisis bien les anneaux, il faut que tu sois tenu sans être trop serré, sinon tu auras trop mal. Si tu choisis mal, tu seras puni. Une fois cela fait, tu m'envoie un sms avec un compte rendu et une photo de ton sexe enfermé.

13h07 : Maîtresse, je Vous prie de trouver ci-dessous la photo du sexe de Votre esclave enfermé dans sa cage. Cela a été un peu compliqué pour moi et le vendeur m'a donné gentiment un coup de main pour choisir le bon anneau et le bon réglage. Je sens fortement la ceinture, mais je suis assez à l'aise ainsi. J'ai l'impression qu'elle se voit beaucoup sous mon pantalon, mais le vendeur m'a garantit que non. Je prends un taxi pour rentrer au travail Maîtresse.

13h08 : Pas de taxi pour un esclave, tu prends le métro. Pour qui te prends-tu?

13h08 : Pardon Maîtresse, Vous avez bien sur tout à fait raison, merci de me mettre dans le droit chemin. »

J'étais totalement perdu. Et angoissé par sa menace finalement. Il serait si facile de la décevoir, je risquais à chaque instant une catastrophe. Cela faisait des années que je n'avais pas pris le métro. Je découvrais que les téléphones passaient dans le métro.

13h10 : quand tu arrives à ton travail, tu mets la clé de ton cadenas dans une enveloppe, fermée, au nom d'Isabelle, que tu remets à ta réception, en disant que quelqu'un viendrait la chercher dans l'après midi. Interdiction bien sur d'ouvrir ton cadenas avant. La désobéissance aussi évidente à un ordre mettrait fin à notre relation et donc à ta carrière et ton image.

13h12 : Bien Maîtresse, oui je le comprends Maîtresse, je vais remettre la clé dès que j'arrive à la réception Maîtresse, je Vous le confirme avec un sms Maîtresse terrible.

13h15 : Et tu ne déjeunes pas, tu as du poids à perdre, autant le faire tout de suite. Désormais tu ne manges que ce que je t'autorise, quand je te l'autorise. Suis-je claire?

13h18 : Oui Maîtresse, c'est très clair

J'avais envie de pleurer. Je ne sais pas pourquoi cette dernière règle me terrifiait plus que tout, plus même que cette cage. Elle venait s'immiscer dans les détails de ma vie. Je crois que je touchais du doigt que je ne pourrais plus rien faire de libre. Elle me l'avait dit, mais je ne l'avais pas encore vraiment intégré. Et je me sentais perdu. C'était si dur sans même La voir ou La toucher. Mais je n'avais aucun choix. Mu par l'instinct de survie j'écrivais :

13h28 : Merci Maîtresse de prendre soin ainsi de Votre esclave et de me contrôler. Je suis tout à Vous.

13h30 : Bien sûr que tu es tout à moi, tu n'as pas idée à quel point. Lorsque tu rendre au bureau tu te connectes sur le site cage-de-chastete.com et tu te commandes une ceinure sissy à ta taille.

13h32 : Bien Maîtresse. Je Vous confirme dès que je l'ai commandée et je Vous envoie une copie de l'email de paiement.

13h33 : C'est bien ainsi que je veux que tu agisses, tu comprends vite, continue ainsI. Avant de rentrer au bureau, tu achètes deux carnets, un où tu vas écrire les règles que je t'édicte au fur et à mesure, et un pour les ordres ponctuels comme cette commande.

13h35 : Bien Maitresse, je ferais ainsi Maîtresse. Merci de m'aider avec ces carnets.

14h15 : Maîtresse, me voici à mon bureau, j'ai acheté deux carnets, et j'ai commencé à récupérer Vos premiers ordres et règles Maîtresse, et je vais commander la ceinture comme Vous me l'avez demandée, sur mesure. Ai-je le droit de Vous poser une question Maîtresse?

14h22 : Non, un esclave obéit. Point final.

14h25 : Bien Maîtresse, merci pour Votre réponse. Je Vous ai envoyé le paiement de 205 € pour la ceinture, j'ai pris un anneau supplémentaire comme ils le recommandent, ainsi qu'un ceinture de discipline Maitresse. J'espère que j'ai bien fait Maîtresse, je ne sais pas si j'ai droit à cela.

14h47 : Tu as bien fait, tu peux toujours accentuer mon ordre et faire preuve d'initiative quand c'est pour me faire plaisir. Si tu te plantes, tu es alors puni.

14h49 : Merci Maîtresse.

J'étais exténué, vidé. Je ne savais pas ce qui m'attendait, mais je pressentais bien que je n'aurais aucun contrôle et qu'il n'y aurait aucune limite.

15h00 : Maîtresse, je sens bien la cage me contraindre. J'ai très peur que cela se voit sous mon costume mais je suis heureux de Vous offrir cette contrainte et cette humiliation. Je dois avoir une réunion importante que je n'ai pas pu décaler, mais je me débrouillerai pour Vous envoyer le message que Vous avex exigé.

15h58 : Je suis en pleine réunion mais j'ai prétexté une urgence. Je ne suis pas du tout concentré et je ne pense qu'à Vous, je me sens totalement vulnérable à Votre disposition. J'ai appris que mon enveloppe à la réception avait été prise par une jeune femme, Vous avez donc la clé de ma liberté.

16h32 : Maîtresse, puis je aller aux toilettes?

Je ne sais pas pourquoi je lui demandais cela, je crois que j'étais en manque de message de Sa part, comme si je me noyais si Elle n'était pas en contact et à la barre en permanence. Comme je l'espérais Elle répondit :

16h34 : à 17h30 uniquement et précise. Après être allé aux toilettes, tu vas voir avec la ceinture c'est fini les urinoirs et un esclave pisse différemment, je te montrerai comment, tu rentres chez toi, et tu attends mes instructions.

16h36 : Oui Maîtresse, bien Maîtresse.

17h32 : Merci Maîtresse, effectivement c'est un peu spécial, je crains d'en avoir mis un peu sur mes jambes Maîtresse. Je rentre chez moi à pied Maîtresse, je travaille juste à côté.

17h34 : Tu crois me l'apprendre larve? Je sais tout de toi. Ne l'oublie pas.

17h36 : Oui Maîtresse, je le sais et Vous avez tout pouvoir Maîtresse, je baise Vos pieds pour Vous remercier.

Plus j'étais paniqué et plus je m'enferrais, c'était atroce. Je savais que tous ces messages pouvaient se retourner contre moi mais comment faire autrement. Chaque fois Elle poussait les choses plus loin, et il m'était impossible de les refuser. Devais-je continuer les sms en arrivant chez moi? Je pensais que oui.

17h49 : Me Voilà chez moi Maîtresse, je suis nu dans ma chambre, la caméra allumée si Vous le désirez.

Ma tête tournait, j'avais perdu tout sens du temps, j'avais du mal à savoir quel jour de la semaine nous étions.

18h12 : Va mettre la clé de ta porte sous ton paillasson et remonte te mettre en position. Je te veux absolument obéissant, prévenant, interdiction de lever le regard, tu es un esclave, tu dois noter qu'en aucune circonstance tu n'as le droit de lever le regard sans une autorisation de ma part. Sauf pour le boulot.

18h14 : Voilà Maîtresse, la clé est sous la porte, je Vous attends respectueusement.

Mais je me trompais. Si la porte s'ouvrit bientôt, à la lourdeur d'un pas, je devinais qu'il s'agissait d'un homme. Je paniquais, mais me contrôlais assez pour ne pas bouger. J'étais tombé dans un piège, et je n'avais plus qu'à espérer ne pas m'en tirer avec trop de dégâts.

L'homme monta l'escalier, pénétra dans ma chambre, je vis ses chaussures vernis marrons superbes. Au moins c'était un homme de goût. Il me regarda longuement, me toucha la tête et vint se positionner devant moi. Ouvrant sa braguette je vis avec horreur qu'il sortait son sexe. Hélas je n'avais qu'une bonne idée de ce qu'il comptait faire. M'effondrant un peu plus mentalement, j'obéis à l'ordre non formulé et j'ouvris la bouche, humidifiant ma langue. Déjà son sexe moi remplissait ma bouche. Je le léchais doucement, essayant de reproduire ce que je pouvais aimer, mes mains remontant vers ses couilles. Plus ce serait rapide et moins je me sentirais ainsi souillé. Il devint rapidement dur, me pris la tête pour donner lui-même le rythme, j'étouffais à moitié, je n'arrivais plus à le lécher convenable. Ce n'était pas désagréable, juste bizarre que ce morceau de chair dans la bouche, je m'appliquais, la bave coulait partout. Mais il ne jouit pas. Il se retira, me gifla doucement avec son sexe, et m'appuya sur la tête pour me faire mettre à 4 pattes. Je me mis à pleurer, c'était trop. Mais je ne bougeais pas, je n'avais plus de volonté.

Son sexe couvert de salive se présenta à l'entrée de mon cul encore assoupli du plug d'hier. Il prit un peu de lubrifiant d'un flacon dans sa poche et enduisit son sexe avec. Je n'eus pas le temps de réfléchir, déjà il poussait sur ma rondelle, qui s'ouvrit autour de son gland. Je le sentis me prendre, les anneaux céder les uns après les autres, il rentra d'un coup, m'arracha un cru mêlé d'un halètement profond, je me sentais complètement envahi. Il attendit que je reprenne mon souffle, et me lima ainsi pendant de longues minutes. La sensation était indescriptible. Je sentais mon sexe couler et me brûler, comme si j'allais pisser ou jouir, mais sans que rien ne se passe, c'était intolérable et délicieux, je perdais totalement la tête, tandis qu'il accéléra le rythme plus encore. Enfin je sentis son sexe gonfler plus encore, et il jouis en moi, m'appuyant profondément sur les épaules pour me remplir au plus profond. Je sentais bien que je n'en avais pas fini même si j'étais heureux de ce répit.

Il se mit devant moi, le sexe couvert d'un mélange de salive, de sperme, de lubrifiant et de bien d'autres choses que je ne pus détailler. Déjà j'ouvrais la bouche et léchais délicatement ce sexe qui venait de me défoncer. Il n'avait pas prononcé un mot, j'avais été un vide couille. Exténué je m'étalais par terre, et je ne pris qu'après conscience de son départ. Ce fut le buzz de mon téléphone qui me tira de ma somnolence.