Domestiqué

Informations sur Récit
Un jeu qui tourne très mal pour moi.
9.2k mots
4.7
8.8k
3
Récit n'a pas de balises
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
meo75
meo75
63 Admirateurs

TJe ferme la porte d'entrée avec soulagement, il n'est pas encore 19h, heure limite pour mon retour du travail. La maison est plongée dans le noir et le silence, je ne prends pas le temps de goûter au plaisir d'enlever mes chaussures et de me relaxer, cela m'est définitivement interdit depuis que j'ai été réduit en esclavage il y a 6 mois.

J'enlève ma cravate, mon costume, ma chemise blanche et mon pantalon. Je me retrouve comme exigé ce matin, avec un large serre taille blanc, tenant avec 8 jarretelles des bas tout aussi blancs. Mon sexe n'est protégé par aucune culotte mais enfermé dans une ceinture en acier, formant comme un tube pesant entre mes jambes, tandis que mes couilles sont étirées par un anneau dont la taille augmente progressivement. Je ne sais plus du poids sur le sexe, de l'écrasement des couilles ou de la pression toute la journée du serre taille ce qui me contraint le plus, ni ce qui me maintient en permanence en excitation. Il est vrai que depuis cette rencontre il y a 6 mois je n'ai plus jamais jouis, et ce matin, j'ai appris que je ne jouirais plus jamais. A 42 ans, cette annonce m'a rempli de cette anxiété ambigüe qui ne me quitte plus : une excitation, une frustration, une révolte, un désir fou, un abandon total mais si difficile. Chaque étape est une descente dans des profondeurs qui semblent ne pas avoir de fin.

Je plie mon costume, lance une machine avec ma chemise et un peu de linge qui traîne, monte sur mes chaussons qui sont des escarpins à ma taille de 12 cm. Je viens de laisser les 10 cm et une fois que j'y serais habitué je devrais passer aux 15 cm. Il n'y a pas d'instruction aussi je sais ce que je dois faire à chaque instant. Je vais à la salle de bain vérifier l'épilation de tout mon corps : je me fais épiler intégralement le corps en institut, mais je vérifie chaque jour la repousse que j'enlève à la pince à épiler. Je me rafraichis, lorgne sur les toilettes avec envie, mais je sais que cela m'est interdit. Je fais le tour de la maison, ferme les rideaux, allume une lumière dans la chambre, refait le lit, range la nuisette de ma Maîtresse en respirant son doux parfum, nettoie les traces de mon passage dans la salle de bain, vérifie l'état de la cuisine, note quelques courses à faire vu l'état du frigidaire. La maison est vide. Et pourtant Elle est partout, je le sens.

Il est 19h30, j'ai fait vite comme je le dois, je m'agenouille derrière la porte, les mains dans le dos, la tête baissée, dans cette position qui tire sur les genoux, fait mal avec le parquet en dessous, mais je n'ai ni le droit de bouger, ni même de mettre un coussin. L'attente peut être longue, parfois très longue. J'ai alors le temps de repenser à cette descente, qu'à la fois je recherchais, que je n'ai plus contrôlée, que j'ai regrettée si souvent, mais qui aujourd'hui est inéluctable, aussi je ne cherche plus à lutter. C'est trop tard, j'ai voulu jouer et j'ai perdu. Tout perdu, sauf que je me suis trouvé à ma place.

J'ai 42 ans, je suis un bel homme musclé et entretenu, viril et puissant. J'ai deux filles, une adolescente et l'autre déjà jeune femme qui vivent avec leur maman que j'ai quittée il y a quelques années. J'ai monté une affaire très prospère et je vis dans un quartier chic à Paris, dans une superbe maison que j'ai faite refaire moi-même. J'ai beaucoup de chance dans la vie, et j'avais envie d'encore plus en profiter. Les désirs de violence et de domination m'envahissaient, aussi je me suis laissé aller après ma séparation. C'était même cette envie qui m'a poussé à me séparer. J'avais envie de vivre mes pulsions. J'ai eu une puis deux soumises, avec des jeux assez forts, elles ne se soumettaient jamais assez, et j'étais cruel avec elles. Pour jouer j'ai créé un profil d'un homme soumis. J'y décrivais ce que j'attendais d'une soumise, une relation folle, extrême, sans limite, une façon de jouer à ce que j'avais envie de faire vivre.

Avec surprise, je me suis rendu compte qu'il y avait pas mal de femmes qui recherchaient ce que je proposais, et les contacts étaient assez faciles. Je me concentrais sur une qui vivait sur Paris, était jeune, 32 ans, et semblait avoir un physique de rêve. C'était un support vraiment très prenant. Sa démarche me plaisait bien puisqu'il s'agissait de tout un parcours du combattant avant qu'Elle n'accepte de me rencontrer. Comme je n'avais pas pour objectif de concrétiser, je pouvais jouer en sécurité. Je m'inventais un passé de soumis, et ayant déjà une bonne expérience de la domination je savais ce qui pourrait La faire fuir, et je me pliais à toutes Ses exigences. La première fut de Lui livrer un gâteau pour son goûter. Je n'hésitais pas, sorti acheter plusieurs gâteaux à la boulangerie, et suivant Ses ordres les Lui déposais sur Son palier. Je m'amusais à me demander si c'était un homme, une grosse dindon ou que sais-je derrière la porte. Elle me donna l'ordre de me déshabiller sur Son palier et de faire un selfie de moi à genoux devant Son paillasson, et Lui envoyer en MMS. Voyant que je n'hésitais pas, que je ne demandais rien, Elle m'exprima Son contentement. Je devais rentrer chez moi et attendre. J'avais convoqué une de mes deux soumises et je l'annulais assez excité de me sentir ainsi dirigé.

A l'heure du dîner, je reçu une nouvelle commande, avec un japonnais pour deux personnes à Lui livrer. Là encore je me demandais à qui je parlais, mais pour m'exciter je m'imaginais qu'il s'agissait de la personne aux photos et je Lui fis la livraison. Je devais venir avec une culotte de femme et un soutien-gorge. Je pris celui de ma soumise, et je ne réfléchis pas quand mon interlocutrice mystérieuse me demanda un nouveau selfie pour Lui prouver que j'avais obéi. Une photo de moi en sous-vêtements féminins était envoyée en MMS. Je dû rester 10 minutes sur Son paillasson ainsi avec le repas à mes côtés et le risque de me faire surprendre dans cette position dégradante. Puis Elle me fit repartir, m'interdisant d'enlever mes sous-vêtements.

De retour chez moi, j'allumais ma web cam, en me mettant à 4 pattes au centre de la pièce et attendant qu'Elle me contacte. J'espérais une vidéo, mais le contact établi fut asymétrique, je ne pouvais ni la voir ni l'entendre, alors qu'Elle pouvait tout voir. Je Lui dis alors que je ne pouvais pas prendre ce risque, que c'était peut-être une arnaque classique. Que j'avais besoin d'être rassuré. Elle coupa la communication totalement, me laissant alors perplexe, toujours à genoux dans ma chambre. Je ne savais pas si Elle me voyait toujours ou pas. Mu par une excitation assez nouvelle, je décidais que oui, aussi je ne bougeais plus, restant ainsi à l'attendre. Ma tête s'était vidée, je ne pensais plus à rien. Il se passa une heure, avant que le contact ne revienne, mais cette fois-ci Elle avait mis la vidéo. Je sursautais à la fois de surprise, mais aussi de découvrir la Femme qui me toisait. Elle était aussi sublime que je n'aurais pu l'imaginer mais avec des attributs à rendre fou n'importe quel homme. Elle semblait très à l'aise, fumait tranquillement en me toisant, juste vêtue d'une nuisette cachant mal sa poitrine. Je dû prendre l'air ahuri car Elle rit de me voir.

« Es-tu prêt à vivre ce que tu m'as décrit comme étant tes désirs les plus profonds?

- Oui Madame

- Vraiment? Il y a tant de fantasmeurs...

- Oui Madame. Comment puis-je Vous le prouver?

- Va chercher ton portefeuille.

- Bien Madame. Je me levais et allais chercher mon portefeuille dans l'entrée et revint vite me remettre à ma place.

- Sors ta carte d'identité et montre la moi à la caméra

- Oui Madame, sans réfléchir et parce que je m'étais programmé à suivre Ses consignes pour aller aussi loin que possible, je sortis ma carte d'identité et la Lui montrait rapidement.

- Bien. As-tu des bouteilles d'eau?

- Oui Madame.

- Va en chercher deux tout de suite.

- Oui Madame, je revins vite avec les deux bouteilles d'eau.

- Je te regarde, tu as 12 minutes pour boire ces deux bouteilles d'eau. Son regard était noir et brillant, la vidéo se coupa, Elle me regardait mais je ne pouvais plus me régaler les yeux. Et je n'avais pas pensé à enregistrer les images. »

Toujours sans réfléchir je commençais à boire. La première bouteille alla très vite, mais la seconde fut très douloureuse. Je regardais les minutes et le défi était vraiment pénible. J'avais envie de vomir, des frissons partout, j'avais froid, mon ventre me faisait très mal. Je terminais juste la seconde lorsque les 12 minutes s'achevèrent, ponctuées par un Très bien de mon interlocutrice. J'avais du mal à tenir à genoux ainsi, et mon excitation avait disparu, mais curieusement pas mon désir d'obéissance, c'était même plutôt l'inverse.

« Interdiction de bouger sans mon autorisation.

- Bien Madame. Je ne voyais pas où Elle voulait en venir. Mais je compris vite. »

La pression sur ma vessie se fit rapidement sentir, je me dandinais mais en vain. Les minutes passaient, je ne tenais plus en place. J'allais me lever quand la vidéo se remit en route. Elle s'était mise nue, se caressait devant moi, je sentis mon sexe durcir dans la petite culotte, et la détendre de façon obscène, et pourtant je gémissais de la souffrance de me retenir ainsi, les yeux rivés sur la femme qui s'était mis à se caresser et haleter devant moi, me rendant fou. Dans l'excitation Elle m'ordonna de me pisser dessus, de me laisser aller, qu'Elle voulait me voir à genoux dans les sous-vêtements pisser sur moi.

Je n'en pouvais plus, j'en pleurais de douleur, aussi je me laissais aller à une jouissance incroyable, plus forte que toutes les éjaculations, laissant le liquide s'écouler le long de mes jambes et tacher la moquette de ma chambre. Je n'y songeais pas, tout à ma délivrance, entendant ma tortionnaire jouir sous les images que je lui offrais. Une fois que je finis cette première rasade, je vis qu'Elle avait jouis. Elle coupa la communication sans un mot, me laissant là bêtement, navré de voir cette tache humide sous moi. Je me levais, allais nettoyer, et passa la moitié de la nuit à soulager ma vessie distendue, dans une excitation assez bizarre, ne me donnant pas envie de me faire jouir.

Au matin je décidais que cela avait assez duré, et que la situation était bien trop dangereuse pour moi. J'étais même super inquiet de ce qu'Elle aurait pu me faire faire, et d'ailleurs de ce que j'avais fait. En me levant je Lui envoyais un SMS en La remerciant pour hier soir, mais que je pensais que je n'étais pas fait pour Elle et que je souhaitais mettre un terme à ces premières expériences. Je ne fus pas surpris de ne pas avoir de réponse, et fut soulagé de ne plus avoir de nouvelles. Pourtant cette première expérience m'avait procuré des émotions fortes que je ne connaissais pas.

Je repensais souvent à cette émotion que j'avais ressentie à voir cette femme, et à sentir son autorité. C'était assez troublant pour moi qui avais l'habitude de diriger. J'en étais encore plus dur et humiliant avec mes deux soumises, jouissant de les voir pleurer sous mes tortures et repartir le corps et l'esprit cassés par ma violence, et ce sans remord. Le travail tournait bien ce qui me laissait du temps pour mes désirs et mes rêves. Lorsque mon assistante me passa une conversation personnelle, je pensais à une de mes deux soumises, mais la voix féminine m'était inconnue.

« Bonjour. Si vous ne vous souvenez pas de moi, je suis certaine que vous vous souvenez des deux bouteilles d'eau que vous avez bues sous l'œil de ma caméra en sous-vêtements féminins?

- ... je fus cueilli à froid et ne su quoi répondre. Mélange de panique et de stupéfaction

- Vous êtes toujours là ou bien à vous mettre à genoux à votre place pour me parler? la voix était moqueuse.

- Comment osez-vous m'appeler? Je me resaisis. Je vous ai dit que je ne voulais pas aller plus loin.

- Ah oui? Je me souviens, mais vous n'avez pas du comprendre que vous ne choisissez plus. En plus vous m'avez menti sur pas mal de détails et vous allez le regretter.

- Je vous demande de me laisser, ce n'était qu'un jeu, et si vous insistez je vais déposer plainte à la police.

- Vous me menacez. La voix s'était faite très dure, me faisant frissonner. Vous réalisez que je connais tout de vous, que je sais où vous travaillez, le nom de vos filles, que j'ai une superbe vidéo de vous qu'il me tarde de diffuser à toute votre société et vos amis.

- Jamais vous n'oserez. Si vous faites cela je vous fais jeter en prison.

- Vraiment, là elle riait. Peut-être, mais ce qui est certain c'est que votre réputation et votre image seront totalement ruinées.

- C'est du chantage! C'est ignominieux.

- Mais non, c'est juste un engagement que vous avez pris, celui de m'obéir, et maintenant vous voulez revenir dessus, ce n'est pas possible, vous ne pouvez pas décider de cela, seule moi je le peux.

- Qu'est-ce que vous voulez? C'est de l'argent? J'étais effondré mais je me disais qu'en payant un peu, peut être beaucoup je m'en sortirai et me vengerai sur mes soumises de ce que cette femme me faisait.

- De l'argent? Non l'argent ne m'intéresse guère, c'est votre âme que je veux, c'est tout de vous que je veux et que j'aurai, soyez en certain.

- Vous n'aurez rien, je vais raccrocher.

- Ecoute-moi bien petit merdeux. La voix était à nouveau coupante. Je vais te donner un ordre. Si tu ne l'exécute pas, tu auras tout de suite un avertissement de ce que je te réserve. Je veux que ce soir à 19h tu sois sur mon palier, avec de nouveaux sous-vêtements féminins que tu iras acheter avant, de couleur rouge, nu et à genoux, avec un dîner pour 4 personnes de chez le traiteur. Tu n'es pas encore formé alors tu ne feras pas le service, mais bientôt c'est toi qui le servira. Si à 19h05 tu n'es pas là, tu sauras que je ne plaisante pas. »

Et elle raccrocha brutalement me laissant bouche bée devant ce qui m'arrivait. Je ne pus me concentrer le reste de la journée et annulait mes rendez-vous. Les pensées se bousculaient dans ma tête. Ce qu'Elle me demandait n'était pas bien compliqué ni couteux, mais en même temps n'était-ce pas continuer sur une pente dangereuse. Je me disais qu'Elle était sublime et que j'avais aussi de la chance de ce côté-là, tant d'hommes soumis ne trouvant jamais de Maîtresse à servir. Mais en même temps je n'étais pas du tout soumis. Sans trop réaliser ce que je faisais, je parti à 16h du travail, passait dans un grand magasin acheter des sous-vêtements féminins. Je les prenais un peu au hasard, mais bien rouge, et cet achat m'excita. J'imaginais devoir dire à la vendeuse que c'était pour moi, mais bien sur je n'en fis rien. Je découvrais mon goût pour l'humiliation. Je revins chez moi, sans être plus décidé sur la conduite à tenir, mais très excité. Je me caressais et me fis jouir sous des images surprenantes pour moi, rampant à Ses magnifiques pieds.

Une fois le plaisir physique passé, l'excitation retombée, la folie de cette expédition m'apparut clairement. Et je prenais enfin la décision de ne rien faire. Je savais que la probabilité qu'Elle ne fasse rien était très élevée, quel intérêt aurait-elle à aller faire des problèmes alors que des soumis étaient si nombreux à vouloir la servir? J'étais un peu nerveux vers 19h, pensant que je devrais être sur Son paillasson, le doute revint alors, mais il était trop tard. A 20h, nerveux, je pensais que le plus dur était fait, et qu'Elle ne ferait rien, pas même un SMS d'énervement. Je ne dormis qu'à moitié soulagé, encore tout chamboulé par ce rebondissement.

Le lendemain matin en arrivant au bureau j'allais comme toujours dans mon bureau, mais je remarquais mon assistante qui ne croisa pas mon regard quand je la saluais. Sans plus faire attention, j'allais lire mes emails et mon sang se figea. Sur mon adresse professionnelle, une série de photos de moi à genoux en train de m'uriner dessus, nu e en sous-vêtements féminins, me sauta au visage. Je devins rouge de confusion et faillis m'évanouir quand je vis que mon assistante était aussi en copie de l'email. Tétanisé, je ne sus quoi faire, et c'est elle qui me sauva en entrant dans mon bureau et en me disant qu'elle avait détruit un mail qui avait dut lui arriver par erreur. Elle ressortit avant que je ne réagisse. J'étais effondré, anéanti, alors que je me croyais sorti d'affaires. Il fallait que je porte plainte, il n'y avait de pas de doute. Mais il me faudrait tout expliquer, tout montrer, sans certitude que le reste de la société ou de mes connaissances n'apprennent cela. Je ne m'en remettrais jamais. J'étais foutu, juste pour un amusement de quelques minutes.

Tel un zombie j'enchainais alors ma journée de travail. Peu avant le déjeuner, je reçu un SMS de quelques mots : « même chose que ce que je t'ai demandé hier. ». Rien de plus, pas même de menace. Cela n'était plus la peine, je savais qu'elle ne reculerait pas. Je me rendais compte que les délais entre ma désobéissance et la punition montrait qu'Elle maîtrisait la situation et n'agissant en rien de façon impulsive. Elle m'affait ferré et savait ce qu'Elle voulait. Je n'avais plus le choix, et je décidais de Lui obéir. A 19h j'étais sur son palier, nu, avec mes sous-vêtements rouges trop petits, et un repas pour 4 personnes. Au bout de 10 minutes, la porte s'ouvrit, je ne vis que des escarpins noirs, avant qu'Elle ne prenne le sac, referme la porte, sans un mot. Elle savait que je serais là et semblait trouver tout cela naturel. J'attendis, ne sachant pas ce que je devais faire, tandis qu'un SMS m'arracha enfin : « Rentre chez toi idiot. A genoux face à la caméra dans ta chambre. Tu attends ainsi le temps que je désirerai. »

Je me dépêchais et rentrais chez moi, à nouveau dans cette position humiliante, à nouveau incapable de réfléchir à cette situation ni de voir comme je m'enferrais. Il était plus de 23h et moi épuisé quand enfin l'écran s'alluma avec cette Femme qui me souriait avec dédain.

« Bien, qui es-tu alors?

- Pardon? je ne comprends pas?

- Que fais-tu là à genoux à te montrer ainsi et à attendre lus de 3 heures que j'arrive?

- Je Vous obéis

- C'est cela, alors qui es-tu?

- Je suis Votre soumis

- Tu vois-tu y arrives. Et que désires-tu mon soumis?

- Je ne sais pas?

- Ah oui? l'autre jour tu me disais une bien autre histoire. Tu voulais que je te dresse, que tu m'appartiennes corps et âme. Tu as oublié?

- Non, mais je ne sais plus si c'est ce que je veux.

- Pas d'importance c'est ce que je veux moi. Et tu vas apprendre à m'obéir au doigt et à l'œil. Tu comprends?

- Oui, mais je crois que c'est une erreur de ma part, je m'excuse si je Vous ai contrariée.

- Ce n'est aucunement une erreur de ta part. Tu as l'âme profonde d'un soumis, je sais la reconnaitre. Ce n'est pas parce que tu te crois dominateur avec tes deux soumises que cela fait de toi un dominateur, juste un sale con qui abuse de femmes dociles.

- Je ne crois pas. Comment savait-elle donc cela, il était pétrifié.

- Aucune importance, tu le découvriras bien assez vite. Tu vas vite apprendre à obéir tu vas voir. D'abord tu m'appelles Madame en toutes circonstances et dans toutes les phrases, est ce que tu comprends cela?

- Oui Madame

- C'est bien, tu n'es pas complètement stupide.

- Merci Madame. Ma réplique la fit sourire, je voulais la contenter pour ne rien risquer.

- Comment te sens-tu dans tes sous-vêtements?

- Ridicule Madame.

- Oui tu as raison, mais tu vas voir tu vas t'y habituer, ainsi qu'à plein d'autres choses. Vas chercher un de tes plugs. Tout de suite.

- Bien Madame, son ton était impérieux, et je ne réfléchis pas, et revint rapidement avec un plug noir.

- Lèche le bien, voilà, bien devant la caméra, sors ta langue, c'est super ainsi, maintenant remplis ton cul avec, allez, je veux le voir disparaitre, tourne tes fesses vers la caméra que je vois bien comme tu te l'enfonces. »

Je n'avais jamais été enculé, et la sensation était très étrange. Pas très douloureuse, je dois l'avouer, le plug avait la taille d'un sexe et je l'avais beaucoup mouillé. J'étais très excité, mon sexe tendu comme un arc, tandis que je sentais l'objet rentrer de plus en plus profondément en moi, une sensation inouïe, mélange de douleur, plaisir, humiliation. L'engin trouva enfin sa place, occupant toutes mes pensées, je me sentais aspiré par mon cul.

meo75
meo75
63 Admirateurs