Dévoilée

- Ma seule réticence c'était vous, Madame. Je ne voulais pas vous heurter, vous- choquer et quand même continuer mon travail que j'adore.

- Vraiment? Tu as pensé à moi à cet instant

- Mais oui, vous êtes très importante pour moi Madame

- Tu me vouvoies?

- Oh je suis désolée, mais comme je remplonge dans le récit

- Mmmhhh je crois que cela me va Madame et vouvoiement, tu ouvres de grandes perspectives, si bien entendu Sandra est d'accord

- Euh oui Madame.

- Donc tu lui a dit oui.

- Oui Madame

« Elle m'a alors annoncé qu'une telle entrée en esclavage méritait une cérémonie mais aussi un témoin. Aussi cela se déroulerait tout le week end suivant, ce qui tombait bien, François s'absentant. Pendant les jours qui ont suivi j'ai passé mon temps sur des récits à me faire jouir encore et encore, je rattrapais le temps perdu, c'était quelque chose de fou. Sans le comprendre, je vivais aussi mes derniers instant de liberté.

Je ne vais pas vous raconter toute la journée, mais le clou pour que vous compreniez. Sandra m'avait faite porter un corset blanc, une laisse et un collier, et je devais la rejoindre dans le jardin, à 4 pattes. La station debout m'étant interdite sans nécessité. Quand je suis arrivée dans le jardin, deux cages à chien étaient disposées, l'une recouverte d'un drap blanc. Sandra m'a alors appris qu'elle allait introniser deux esclaves ce week end. Je dois avouer avoir eu un pincement au cœur, espérant toujours être spéciale à son cœur, alors qu'elle m'a toujours indiqué que je n'étais pour elle qu'un animal de compagnie et que je ne devais pas me faire d'illusion. Mais je m'en faisais. Une autre esclave pour elle, c'était nécessairement moins d'attention, ou même de sévices pour moi. Peu importe les souffrances, si cela venait d'elle.

C'est là où je voulais en venir. Sandra m'a préparée en me remplissant le cul d'un gros gode avec une queue de chien, avant de serrer correctement le corset, et de me mettre un bâillon. A genoux, je lui ai offert mes seins, et elle a transpercé chacun des tétons pour y mettre un anneau d'or. Mon regard était rivé sur elle, je voulais tellement m'offrir, j'ai juste râlé dans le bâillon et été récompensée par une caresse affectueuse. Bizarrement j'ai trouvé cela trop court, j'avais envie de souffrir plus encore. Ce sera pour le reste de la cérémonie. Elle m'a fait mettre à genoux à sa droite pour infibuler de même la deuxième chienne à son service. Le drap a été enlevé, et j'ai hurlé dans mon bâillon. Au lieu d'une nouvelle chienne c'est François qui étai tenfermé, corseté comme moi et en laisse comme moi, éberlué de me voir annelée et coiffée avec deux couettes.

Sandra n'a marqué aucune pause, et l'a percé lui aussi mais avec de bien plus gros anneaux. Il a tellement crié, mais je n'avais aucune empathie pour lui. J'ai eu le temps d'y penser, toutes ses absences et ses mensonges, sa distance, notre éloignement. Comment Sandra avait elle pu prendre l'ascendant ainsi sur nous deux? En ce qui me concerne c'est moi qui me suis jetée dans la gueule du loup. Et je suis certaines que pour François c'était la même chose. Finalement c'était une excellente chose, car je me demandais comment j'allais annoncer à François que j'allais m'installer un étage plus bas!

Alors qu'en me perçant Sandra m'avait promis que j'aurais plus de 10 orgasmes chaque jour quelles que soient les conséquences, elle a de même promis à François qu eplus jamais il ne sortirai de sa cage de chasteté, que plus jamais il ne banderai et que plus jamais il ne jouirai. Qu'il en avait bien assez profité avec moi et qu'elle prendrait tout son temps pour le punir et le mettre dans le droit chemin. Le plus surprenant fut que François la remercia humblement tandis que Sandra me caressa jusqu'à me faire jouir.

Cela fait donc plus d'un an que nous sommes dressés tous les deux par Sandra, nous vivons dans son sous sol qui est un immense donjon, sachant qu'elle nous a racheté le reste de la maison pour y vivre dans tout le confort et le service de ses trois esclaves. Comme je vous disais j'ai découvert vraiment mon homosexualité, car je suis régulièrement utilisée en soirée par des femmes dominantes ou soumises, et que j'adore cela, que je ne vis que pour cela. Que vous étiez Madame mon dernier rempart avant de sombrer complètement dans mon esclavage et mes pulsions les plus profondes. »

- Mmmhhh tu me fais très envie comme cela, cela t'excite de repenser à tout cela, regarde la flaque entre tes cuisses!

- Oui Madame.

- Tu mérites d'être punie pour m'avoir caché cela si longtemps, mais je vais voir avec ta Maîtresse. Dis lui que je voudrais lui parler. Si elle te prête à d'autres femmes, pourquoi pas à ta patronne. Tu pourrais m'apprendre à devenir dominatrice, cela me plairait bien je crois.

- Oui Madame, bien Madame

- Allez file avant que je n'abuse de toi, tu m'as mise dans un drôle d'état.