Dévoilée

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Ma patronne découvre ma double vie.
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- Attends mais qu'est ce que c'est?

Rouge de confusion je me redresse mais trop tard. La gérante avait les yeux sur mes cuisses tandis que je me suis penchée pour ranger un carton, elle a du remarquer les stries sans équivoques qui les zèbrent. Elle me regarde interrogative, tandis que je rougis de plus belle. Son regard s'adoucit.

- C'est François? C'est cela?

- Non, non ce n'est pas François (je bégaye)

- Montre moi

Tétanisée je la laisse soulever progressivement ma robe sur les fesses, dévoilant mes deux cuisses systématiquement striée sur l'arrière. Je devrais réagir mais j'en suis incapable. Des marques anciennes chevauchées par des marques plus récentes. Je la perçois sidérée. Incapable du moindre mouvement, je la sens relever un peu plus la robe pour dévoiler mes fesses. Une main, douce, vient vérifier ce que ses yeux peinent à croire. Je suis boursouflée et marquée profondément, ayant été très sévèrement battue ce matin même.

- Ce n'est pas François alors?

- Non Marie, s'il te plaît tu ne veux pas me laisser?

- Mais il est au courant j'imagine.

- Oui

- Et il est d'accord

- Oui

- Et toi tu es d'accord

- Oui (ma voix est un murmure)

- Je n'en reviens pas, le petit couple de bourgeois coincé, que je croyais que vous étiez, cache des secrets, et de sacrés secrets. Je me suis toujours dit que tu étais complètement coincée du sexe, je me suis apparemment trompée.

- Je suis désolée

- Désolée de quoi? De venir à la boutique cul nu, le corps strié? Oui tu as raison, tu peut être désolée.

- S'il te plaît

Marie la gérante a inséré une main entre mes cuisses et par réflexe et dressage je les écarte sans même m'en rendre compte. J'ai même mis mes mains dans le dos au niveau de mes reins. Elle me penche en avant, en saisissant mes mains et retient son souffle. Je suis au comble de la gêne.

- Je vois que tu as bien des secrets à cacher. C'est quoi ce que je vois?

- S'il te plaît

- Je n'ai pas envie de me répéter Isabelle, maintenant cela suffit.

- Oui Marie, c'est un plug

- En verre?

- Oui

- Il est énorme, tu le portes depuis ce matin?

- Euh, non, depuis hier soir.

- Mais tu es une vraie salope toi, tu viens travailler avec un jouet sexuel. C'est toi qui en a envie? François?

- Non, non. Je dois juste le faire.

- Et cela dure depuis combien de temps ce que tu dois faire?

- Un peu plus d'un an Marie.

- Quoi?!? Et moi qui n'ai rien vu. Si en fait j'ai bien vu que tu as perdu du poids et retrouvé une silhouette désirable, oh combien désirable, mais j'étais certaine que ce n'était que diététique, jamais je n'aurais pensé un truc de cul avec toi. Attends je vais fermer le magasin.

Marie va mettre l'écriteau, baisse les volets et me retrouve dans la réserve. Je n'ai pas bougé, je ne sais pas quoi faire, je suis incapable de penser. De toute façon prendre des initiatives n'a jamais été mon fort et c'est le reproche que me fait chaque année Marie, mais je suis certaine que cela lui va bien d'avoir une vendeuse qui fait exactement ce qu'elle veut et se plie aux horaires qu'elle lui impose.

Elle me demande d'enlever ma robe, mes protestations sont vaines, je le sais, je me demande si j'ai le droit de faire cela, mais impossible de demander maintenant. Je préfère ne pas mettre Marie dans le courroux, sachant qu'elle gagnera toujours gain de cause. Je me retrouve en débardeur, par-dessus une brassière épaisse de sport qui soutient ma poitrine, un 90 C qui a toujours fait ma fierté. Evidemment Marie ne dit rien mais est abasourdie par ce qu'elle voit. Elle me fait écarter les cuisses, et cette fois-ci ce ne sont pas les marques sur le devant des cuisses, le pubis ou même mon ventre qui l'intéressent. Son regard va de mes yeux à mon sexe, éberlué. Ce n'est pas la première fois que je suis présentée, mais là d'une part je suis seule, et d'autre part c'est par ma patronne.

- SK, les lettres en énorme sur ton pubis, c'est le tatouage de ton Maître? Il est très joli d'ailleurs, et on ne peut le rater.

- Merci pour le tatouage

- Oui alors?

- Non ce ne sont pas les initiales de mon Maître

- Non? C'est quoi alors? Ton club de foot préféré?

- Non Madame

- Madame? (Marie rit), oui cela me plaît bien, pour l'instant appelle moi Madame. (Je me mords les lèvres, quelle conne je suis! Complètement formatée)

- Oui Madame

- Alors?

- Ce sont les initiales de ma Maîtresse Madame

- Quoi?

Cette fois ci Marie s'est assise, cela en est trop. Ceci dit je comprends un peu son choc car elle me voyait en Sainte Nitouche, alors en soumise lesbienne cela lui semble impossible, d'autant qu'elle-même est homosexuelle de notoriété publique. Du coup je sens en elle comme une colère de ne pas l'avoir vu. Mais je n'y suis pour rien.

- Et François ton mari est d'accord?

- Oui Madame

- Il te domine avec elle?

- Non Madame, elle le domine aussi.

- Mais vous êtes un sacré couple de pervers quand même. Et depuis plus d'un an donc?

- Oui Madame.

- Et ces anneaux cela fait longtemps que tu les as?

Je les ai eus très rapidement, il est vrai. J'en ai 4 qui ferment ma vulve de part en part, et placés de haut en bas, m'interdisant toute pénétration et ce depuis presque un an. La frustration est souvent terrible, à peine compensée par l'usage intensif de mon cul qui est ma source de plaisir principale. Mon clitoris n'est pas en reste au contraire. Il est traversé par une barre qui a grossit mois après mois pour atteindre le diamètre de mon petit doigt, développant mon appendice de façon folle, et me rendant excitée en permanence. La barre émerge pardessus mes grandes lèvres, et est exposée en permanence. Il me met dans un état de fébrilité au moindre courant d'air et le moindre attouchement me fait exploser en quelques secondes. Ce qui va m'arriver je le sens.

Marie a trempé ses doigts dans la minuscules ouvertures de mon sexe, par laquelle toute mon excitation émerge, inondant le haut de mes cuisses. Elle me traite de vraie chienne à être excitée dans une telle situation. Ses doigts viennent ensuite à peine effleurer mon clitoris saillant, et sans pouvoir m'en empêcher, je gémis immédiatement avant d'exploser dans un orgasme foudroyant. Marie ignore que la honte est mon plus profond aphrodisiaque et que j'ai été servi ce matin par elle. Je m'écroule au sol, les jambes coupées. Marie rit nerveusement. Même si elle a roulé sa bosse, je sens que là, elle est clairement dépassée.

Nous prenons un café silencieusement, elle me regarde et me détaille, m'ordonne d'enlever le haut et me mettre toute nue. Elle n'est guère surprise de voir mes tétons transpercés de lourds anneaux d'or, tandis que je lui explique l'usage de la brassière, pour que les anneaux ne se voient pas sous ma robe. Sandra, ma Propriétaire, ne souhaitant pas me mettre en délicatesse. C'est vrai que Marie n'a jamais rien perçu, mais elle me promet que maintenant qu'elle est au courant, cela va changer. Je la regarde interrogativement, mais en vain. Nous sommes dans une petite ville et je ne veux choquer personne. Mais il y a si longtemps que ce que je veux n'a pas d'importance.

Sur le bas de mon dos, elle découvre un large tatouage où je suis figurée attachée aux pieds d'une autre femme, avec la mention de mon appartenance à Sandra. Les choses sont plutôt claires. Ses mains caressent ma peau, jouent avec les anneaux de mon sexe, appuient sur le gros gode que je ne porte que depuis quelques jours et ne se fait guère oublier. Elle insère juste un doigt dans mon sexe et c'est délicieux, me fait jouir encore, sans rien me demander en retour. Soudain, par curiosité, elle me fait mettre à 4 pattes devant elle, prend mes tétons, tire dessus avec les anneaux, me forçant à la regarder. Elle tourne les anneaux, fort, très fort, la douleur est profonde, me fait haleter, gémir, mouiller aussi. Ce qu'elle voulait découvrir.

- Tu es maso en plus n'est ce pas?

- Oui Madame

- Raconte moi comment tu en es arrivée là.

- Oui Madame, puis je mettre ma robe, j'ai un peu froid.

- Non tu restes à genoux et nue, et tu me racontes. On va garder le magasin fermé aujourd'hui. Pour inventaire! Pas de la marchandise mais du personnel! (Et elle éclate de rire)

Me voici à genoux, les cuisses écartées ce qui tire sur mes lèvres fermées, sensation que j'adore, qui m'excite tant. Les bras dans le dos, j'ai la tête baissée, naturellement, je n'ose pas la regarder dans les yeux. Au fond de moi je suis heureuse et soulagée. De raconter mon histoire, mais aussi d'une certaine façon de mettre fin à cette double vie. Je déteste tromper, me comporter en gentille vendeuse respectable le jour, et esclave sexuelle dévoyée le reste du temps.

« Il y a deux ans, un couple a emménagé dans la partie de la maison en dessous de chez nous. Marie connaît bien, nous possédons la moitié supérieure d'une grande maison dans les environs de Courson. Nous avons deux niveaux et c'est très confortables pour nous deux. Au rez de chaussée, l'autre appartement possède un assez grand jardin ainsi qu'un sous sol de toute la surface. Le jardin est sans vis-à-vis, et à part la fenêtre de notre salle de bain qui donne dessus, nous n'avons pas non plus de vue dessus. C'est un couple avec une certaine différence d'âge que nous découvrons et invitons dès le premier soir à dîner. N'étant que deux dans cette copropriété, il est vital de bien s'entendre. Elle a une bonne dizaine d'années de plus que lui qui doit avoir notre âge, 35 ans environ. Ils sont très sympathiques, semblent faciles à vivre.

Quand ils partent, tard dans la nuit, nous avons beaucoup bu, et nous sommes très frappés comme lui, Eric est incroyablement prévenant avec elle. Toujours aux petits soins, attentionné. C'est un homme magnifique, grand et puissant et s'il n'avait été aussi attaché à Sandra, je crois que François aurait été jaloux! Il travaille dans la finance, et doit bien gagner sa vie car elle travaille à mi-temps comme coach personnelle. Elle aide les gens à s'épanouir dans ce que nous avons compris d'elle.

Si lui est fasciné par elle, nous l'avons tout autant été pendant la soirée. Elle dégage une aura incroyable, bien au-delà de sa beauté classique de brune méditerranéenne. Son regard noir est transperçant, ses gestes comme ses mots sont très précis, elle a un sourire envoûtant et dégage une confiance en elle que je n'ai jamais vue et que j'envie tant. Elle semble avoir une culture inépuisable, et nous avons passé cette soirée à l'écouter et la regarder. Je soupçonnais alors François d'avoir fantasmé sur elle, car il était très excité malgré l'alcool et m'a fait l'amour avec force et violence, ce qu'il ne fait jamais.

Nous avons noué une relation régulière avec eux, souvent autour d'un barbecue dans leur jardin. Eric était toujours aussi empressé auprès d'elle, il faisait absolument tout et je me disais qu'avoir un mari comme lui devait être bien agréable. Nous profitions de la piscine, admirant leur corps à tous les deux absolument magnifiques. C'est la première fois que je regardais vraiment une femme, fascinée par le contraste entre sa taille fine et sa poitrine bien plus grosse que la mienne. Tout en elle semblait parfait. Ils étaient le sujet de nombreuses discussions avec François et leur relation ne manquait pas de nous intéresser.

J'avoue que j'étais très curieuse, et je ne manquais jamais de regarder par la fenêtre de la salle de bain pour éventuellement les surprendre. Ce qui arriva quelques mois après leur installation. J'avais perçu qu'ils étaient à la piscine, et j'étais entrée dans la salle de bain pour les regarder. Je sais que ce n'est pas bien, mais c'était irrésistible. Je n'ai pas été surprise de les voir tous nus, puisqu'ils étaient seuls. Sandra avait le sexe tout lisse, comme une continuation de son ventre si plat, aussi bronzé que lui, indiquant qu'elle pratiquait le naturisme de façon habituelle. Je trouvais cela d'un coup très beau et en pensant à ma toison, je me suis dit qu'il fallait que je m'en occupe. Mais le vrai choc fut de voir Eric. Intégralement épilé aussi, mais le sexe enfermé dans une sorte de cage métallique. Je sentis d'un coup un énorme coup de poing dans le ventre, une excitation jamais connue. Un schéma s'est formé devant mes yeux et j'ai compris la nature de leur relation avant même qu'il ne se mette à 4 pattes, qu'elle lui attache une laisse et noue la laisse à son fauteuil.

J'aurais envie de dire que je n'étais pas complètement gourde au niveau du sexe, mais en fait si. Je n'y connaissais rien du tout, François était mon premier et unique partenaire, et le sexe ne m'avait jamais particulièrement intéressée. Je me suis mise à les regarder le plus souvent possible, dans le jardin, mais aussi à détecter leurs attitudes, ou les marques d'Eric, comme ces marques récurrentes au cou signe du port d'un collier serré. Plus d'une fois je le vis se faire fouetter par Sandra, je retenais mon souffle complètement hébétée, fascinée par sa beauté tandis qu'elle maniait la cravache ou je ne sais quoi.

Je ne pensais plus qu'à cela, échangeant à peine avec François qui d'ailleurs ne semblait plus avoir besoin de se vider en moi. Je plongeais sur internet pour connaître tout de ces relations qui me mettaient dans un tel état de fébrilité. Tout ce que je lisais me semblait un peu puéril par rapport à ce que je voyais, mais tellement excitant. J'avais en permanence dans ma tête l'image du sexe et des seins de Sandra, de sa beauté sauvage et fascinante. De cette autorité et puissance devant laquelle Eric courbait l'échine.

Un dimanche, après le barbecue, nous nous sommes mis en maillot de bain pour plonger dans la piscine. J'ai été stupéfaite de découvrir le dos d'Eric avec de nombreuses marques de fouet. Je les avais vues de loin, mais jamais quand nous étions invités. Mais ni moi ni François n'avons rien dit, au contraire Sandra nous a demandé ce que nous pensions de ses nouveaux piercings! Il avait deux gros anneaux aux tétons, et j'étais bien consciente de leur signification. Eric était encore plus attentionné et donc soumis à Sandra, comme s'ils se cachaient moins. Et imperceptiblement, François et moi entrions dans le jeu, puisque nous utilisions Eric pour qu'il nous serve à boire ou nous mette de la crème, n'échangeant réellement qu'avec Sandra. C'était naturel. Et cela semblait beaucoup plaire au couple.

Nous sommes rentrés plutôt silencieusementce jour là, et François masquait mal son érection dans son caleçon. Il m'a prise violemment, sans me demander mon avis, tandis que mes pensées étaient toutes tournées vers Sandra et son mari. François était très excité par ma chatte que j'avais rendue toute lisse comme celle de Sandra et il jouit vite en moi. Il m'annonça avoir envie lui aussi de se faire épiler. Cela m'était complètement égal, comme ses absences de plus en plus répétées pour son activité. »

- Je peux boire un peu Madame, je suis assoiffée.

- Oui mais viens au fait, tu prends trop ton temps.

- Oui Madame, je voulais que vous compreniez que cela ne s'est pas fait en 5 minutes.

- Tu as l'air très attirée par cette Sandra? Je suis un peu jalouse.

- Oh Madame, je suis désolée.

- Continue petite salope

« Peu après j'étais à mon poste d'obsevation favori, j'avais même installé un tabouret pour rester le temps qu'il faudrait. J'étais devenue grave obsessionnelle. Ce jour là, Sandra était seule dans une chaise longue, les jambes bien écartées, une main caressant doucement son sexe ouvert, c'était tellement excitant. Moi qui ne suis jamais excitée, tout cela était nouveau. Sans que je ne réalise vraiment, l'instant d'après elle était debout, regardant dans ma direction et très clairement elle me parlait! Je me suis jetée en arrière, rouge de confusion, mais c'était complètement idiot. Je l'entendais m'ordonner de descendre tout de suite dans le jardin. J'avais tellement honte, je suis descendue pour m'excuser en disant que je passais juste faire une machine.

La porte était ouverte et une fois dans le jardin, Sandra avait repris sa position dans la chaise longue, avec un livre à la main. Sans me regarder et d'une voix cinglante elle m'a intimé de me déshabiller et de venir la lécher pendant qu'elle lisait. J'avais vu Eric le faire maintes fois. J'ai reçu une décharge électrique, tous mes muscles se sont contractés et j'ai été parcourue de frissons. Un besoin de m'étirer pour me dénouer. Quand elle m'a appelée sa chienne, j'ai ressenti des frissons comme jamais. Etait-ce cela jouir? Oui car je n'avais jamais joui jusqu'ici. Je me suis mise nue et je me suis approchée, terrorisée, n'ayant jamais même approché un sexe de femme. N'ayant jamais même été léchée, je n'avais aucune idée de quoi faire.

Mais sans me regarder ni me parler, Sandra a pris ma tête, et s'est frottée dessus, m'utilisant comme un coussin. J'ai tiré la langué pour goûter son sexe, j'ai adoré, j'ai voulu plus lécher, essayant de reproduire ce que j'avais pu lire dans des récits. Du coup son étreinte s'est relâchée, j'ai senti son clitoris, et je l'ai léché longuement, essayant d'être la plus douce possible. Quand sa respiration s'est accélérée, j'ai essayé d'être toujours aussi douce, et elle a explosé dans un rale incroyable. J'étais tellement fière de moi. Mais je n'ai reçu aucune félicitation, et elle m'a renvoyé chez moi aussi sec, m'interdisant de me rhabiller.

J'étais choquée de ce qui venait de se passer, je me suis étendue nue sur le lit, et pour la première fois de ma vie, je me suis caressée! Mon sexe était une fontaine et mon clitoris enfin réveillé de tant d'années de torpeur. J'appliquais avec mes doigts la douceur que j'avais appliquée avec mes lèvres et j'ai découvert le plaisir avec l'image de Sandra urinant dans ma bouche. Cela a été un tsunami, les muscles de mon ventre se sont contractés comme jamais, mes jambes étaient tendues et j'ai crié pendant plus de 10 secondes, avant de retomber comme une poupée de chiffon sur le lit, et m'endormir avec une sourire sur les lèvres. »

- En fait tu viens de découvrir que tu es lesbienne

- Pas encore vraiment Madame, c'est venu plus tard. Là j'ai découvert que le sexe était quelque chose de fou et que j'avais perdu tellement de temps. Mais évidemment tout a changé à partir de ce jour là!

- Comment as-tu pensé à ce que tu doives boire son urine?

- J'avais vu souvent Sandra se soulager dans Eric, je trouvais cela incroyablement dégradant.

- Et cela te plaît d'être dégradée.

- Oui (je murmure, tant j'ai honte)

« Est-ce que François l'a senti? En tous cas de ce jour il ne m'a plus jamais attirée à lui pour me baiser, et j'en étais soulagée. Rien que le souvenir me dégoutait, me dire à quel point je n'avais jamais pris de plaisir alors que c'était quelque chose de si fort. D'une certaine façon je lui en voulais. Sandra m'envoyait des sms pour que je vienne m'occuper d'elle, me traitant vraiment alors comme une soumise, sans me demander mon avis. M'apprenant à mieux la lécher, la masser, mais aussi l'avaler : j'avais eu la naïveté de lui dire le fantasme qui me faisait jouir si fort, et elle avait décidé de le mettre en œuvre. Vous me trouviez distraite à ce moment, il y a plus d'un an, mais je ne pensais et je ne vivais que pour ces moments avec Sandra.

Et puis tout s'est enchaîné très rapidement. Un soir après l'avoir faite jouir, elle s'est occupée de moi. M'a attachée, battue sur le corps, puis prise avec un gode ceinture par le sexe, puis par le cul. C'était une première pour moi. Et je me suis sentie tellement envahie et possédée. Elle m'a demandé de me faire jouir tandis qu'elle me défonçait par derrière et j'ai cru mourir de plaisir. Une fois calmée, elle m'a longuement parlé, de qui elle était, de la relation avec son mari, de son rôle de coach qui était un rôle de dominatrice, ce qu'était la soumission, l'esclavage.

Heureusement que je m'étais renseignée sinon j'aurais été submergée. Aussi elle m'a expliqué qu'elle avait perçu chez moi à la fois ce désir de servir, cette pente naturelle vers la soumission, et ce soir un certain masochisme, un plaisir à souffrir et s'offrir. Elle parlait de moi, de mes émotions, de mes sentiments bien mieux que je n'aurais su le faire, jamais je n'avais été comprise ainsi dans ma globalité. Aussi elle m'a demandé si je voulais devenir son esclave, pointant bien qu'alors elle aurait tous les droits sur moi, sans aucune limite. C'était vertigineux. Et après ce que je venais de subir, ce que je voyais d'Eric je comprenais bien ce dont il s'agissait. »

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