Dette de Jeu - Ch. 01

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La punition de l'article 127.
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Dette de jeu - La punition de l'article n° 127

Je n'en mène pas large en allant au club voir mon créancier.

Je me suis vêtue de bas auto-fixant noirs, de sous-vêtements assortis noirs, d'un chemisier fleuri et d'une jupe beige qui m'arrivait un peu au dessus des genoux. Classique et élégante car le lieu l'exigeait. J'avais RDV dans ce club où j'avais perdu trop d'argent.

L'accueil sur place est aimable. Le lieu, décoré à l'anglaise, comporte plusieurs petites salles très cosy, des salles de jeu mais aussi des salons aux fauteuils moelleux. Le tout baigne dans des tons chauds bordeaux sur d'épaisses moquettes et rideaux.

- Monsieur Jean-Philippe est au salon des supplices, me dit le barman. Il vous attend.

- Bonjour ma belle Françoise, dit-il en me voyant. Il effectue un réglementaire baisemain. Asseyez-vous. Que voulez-vous boire?

Très rapidement, il me demande l'argent.

- Je suis désolée, Jean-Philippe, je ne l'ai pas encore. Rassurez-vous, ça ne va pas tarder mais aujourd'hui ce n'est pas possible pour moi.

- Voila qui est très gênant, ma chère, très, très gênant. Connaissez-vous la règle imposée pour les retards de paiement?

- Eh... non, je ne sais pas. Je ne savais pas qu'il y avait une règle. Quelle est-elle?

Il se lève, quitte le salon, me laissant à mon inquiétude. Il revient avec une feuille plastifiée au format A4.

- Tenez Françoise, prenez connaissance.

Le barman arrive à ce moment précis.

- Madame, dit-il, je dois veiller à la bonne lecture, la bonne compréhension et la bonne application du règlement du club. Vous avez commis une faute et c'est grave en matière de jeu d'argent. Je suppose que vous le savez.

J'ai entre les mains un document très joliment décoré des couleurs et logo du club sur lequel il est écrit :

* ARTICLE 127 : Des dettes de jeu

* Une dette de jeu est une violation des engagements.

* Chaque retard de paiement ou chaque remboursement incomplet à l'échéance convenue est puni conformément aux statuts.

* Le barman présent au moment de l'application de la peine est nommé commissaire à l'exécution, chargé de veiller à la parfaite réalisation de la peine.

* 1ière faute -- 1ère sanction - Edictée par les sages du club

* Le fautif, homme ou femme, doit recevoir cinq coups de cravaches de chaque membre présent au moment de la punition. Les coups de cravache sont donnés sur les fesses nues.

* Ensuite, pendant deux heures, le débiteur doit montrer sa faute à tous en assurant le service auprès de membres du club.

- Je pense que Madame a bien lu et compris, reprit le barman, qu'elle me suivre, je dois la préparer.

- Mais... eh... est-ce que

- Taisez-vous Françoise, ordonne Jean-Philippe, vous me devez cette punition. Allez, allez, il est trop tard pour faire marche-arrière. Il fallait réfléchir avant de jouer.

Je suis donc le barman et nous entrons dans une pièce par la porte située derrière le bar. Il s'agit de la réserve de boissons du club, une dizaine de mètres carrés.

- Madame Françoise voudra bien m'excuser, mais à partir de maintenant, j'agis en tant que mandataire du club chargé de l'exécution des punitions.

Cela dit, il me donne une claque bien sévère en plein visage et comme il voit que je suis prête à me rebeller, il m'en redonne une seconde sur l'autre joue. Je suis un peu assommée et ça lui laisse le temps d'arracher quelques boutons de mon chemisier, de le tirer dans mon dos et le faire tomber au sol. Il baisse la fermeture-éclair de ma jupe et comme elle passe mal les hanches lorsqu'il la descend, il la déchire. Ensuite, avec une paire de ciseaux, il coupe les bretelles de mon soutien-gorge ainsi que les pans de ma culotte. Je me retrouve nue, à l'exception de mes bas auto-fixant et mes souliers.

Il me redonne deux claques, comme ça, sans raison, il s'énerve.

- Nous n'aimons pas les mauvais payeurs, espèce de salope de merde! Si tu as cru pouvoir échapper à tes obligations, tu t'es fourrée le doigt dans l'œil. Ce n'est pas parce que tu es bien gaulée que tu peux tout te permettre.

- Je regrette, monsieur RIDEL, je ne le ferai plus!

- Tu n'as pas intérêt parce que la prochaine punition sera bien plus dure que celle-ci et fais-moi confiance, je m'en occuperai personnellement.

Maintenant, il pose deux pinces à mes tétons. Elles ne sont heureusement pas trop pointues. Chaque pince a une petit chainette de quatre ou cinq centimètres au bout desquelles sont accrochés deux jeux de clochettes. Il me donne quelques claques sur la poitrine pour vérifier qu'elles sonnent bien.

- Tu comprendras vite à quoi serviront les cloches, me dit-il. Tiens, lis-ça et apprends par cœur.

Il me fait lire le verso de la feuille A4.

*****************************

* Excusez-moi de vous déranger, monsieur (ou madame).

* J'ai une dette de jeu envers monsieur (nom du créancier).

* Mais je n'ai pas respecté mon engagement de remboursement.

* Je dois subir une punition collective en vertu de l'article 127 du règlement du club.

* Vous pouvez donc me fesser le cul par cinq coups de cravache.

*****************************

Je blanchis parce que je vais devoir demander moi-même la punition et parce que je sais que les coups de cravache font très mal.

- C'est fait, demande monsieur RIDEL? Tu t'es mis ça dans ton crane de voleuse?... Parfait. Voici la cravache. Tu vas la présenter à chaque personne et tu lui récites la demande de punition. Je te suivrai pour vérifier que tout est correctement exécuté.

Nous sortons du cagibi pour revenir dans le hall d'accueil. Il doit me pousser car me trouver nue à cet endroit est terriblement anachronique.

Une personne est déjà là, à la banque, à attendre son inscription. C'est un type assez âgé, élégant comme tous le sont dans ce lieu chic. Il me regarde avec surprise et un sourire narquois. Je n'ose pas lui parler. Il me fixe, je le fixe. Jusqu'à ce que le barman rompe le silence :

- Tu te magnes le cul, salope de voleuse? J'ai oublié de te dire, à chaque fois que quelqu'un refuse de t'administrer la punition, alors les suivants doublent la mise du précédent. Ca passe donc de cinq à dix coups de cravache pour les suivants, de dix à vingt coups si nécessaire ainsi de suite. T'as intérêt à bien faire ta demande si tu ne veux pas finir le cul en sang.

Alors, la peur me pousse à me lancer et tout en bafouillant, j'articule la demande au type toujours devant la banque. J'ajoute même :

- Je vous en prie, fessez-moi le cul par cinq coups de cravache, je le mérite.

Il prend la cravache que je lui tends, passe derrière moi. J'attends en serrant les points. Rien. Rien ne vient. Puis soudainement, la douleur du trait m'électrifie le corps. Les clochettes tintent au soubresaut de ma poitrine. Le deuxième trait arrive aussitôt. Pour le troisième, je dois attendre. C'est vicieux car le corps se détend quelque peu mais est surpris par le coup qui fait alors plus mal. Quand il a terminé la série de cinq, j'ai déjà très mal et je suis en larmes.

- Presse-toi, voleuse, nous n'allons pas y passer la journée, dit RIDEL

J'entre dans un petit salon où trois personnes jouent. Le silence des compétiteurs n'est interrompu que par mes clochettes. Jean-Philippe, à qui je dois l'argent, est parmi eux.

Le premier se lève, prends la cravache de mes mains, tourne autour de moi. C'est un petit rondouillard.

- J'aime bien sa touffe de poils noirs, dit-il. Finalement, je trouve ça beaucoup plus excitant que les chattes rasées. De nos jours, elles sont toutes épilées. Elle a des gros nichons la Françoise, c'est bien, elle me fait bander.

Il est vrai que je ne m'épile pas, ça ne se fait pas dans mon milieu, mon mari n'apprécierait pas. Aussi ai-je une vulve très fournie, bien trop à mon goût.

- Elle a aussi un cul magnifique, un peu gros mais sans défaut, continue-t-il.

Et le premier coup arrive, sec, plus fort que les précédents. Je ne peux retenir un cri. Il est tout de suite suivi de deux autres. Les deux derniers sont aussi très durs. Je m'affole à la perspective de la suite. Je n'en suis à deux personnes, dix coups. Combien sont-ils encore?

Le second de la table est un homme encore bien jeune, à peine la majorité. Sans doute est-il déjà pris dans l'enfer du jeu. Il est timide, prend la cravache que je lui tends en récitant mon texte. Il frappe une première fois et par chance, ne me fait pas mal. Idem pour la seconde fois. Mais RIDEL, le gardien du temple, intervient :

- Jeune homme, cela fait deux fois que vous ne frappez pas assez fort sur le cul de cette garce. En témoignent les clochettes qui ne sonnent pas. Notre règlement interne a décidé de cette punition, en quantité et qualité. Vous devez vous y conformer. Vous allez donc corriger votre faiblesse par cinq coups supplémentaires.

Je pousse un NON de surprise, je viens de comprendre l'intérêt des clochettes. Tout aussitôt, trois coups m'arrivent, franchement donnés cette fois, trop franchement même. J'ai peur qu'il ne me blesse. J'implore par un PITIE, les clochettes sonnent à tout va tant je ne peux empêcher mon corps de bouger aux impacts. On m'ordonne de compter tout haut.

- 4... 5.... 6... 7... 8... 9... 10... Pitié, arrêtez. Ca n'arrivera plus. Je règlerai ma dette.

- Il est trop tard pour regretter, sale femelle. Le club n'aime pas du tout les mauvais payeurs. Tu auras ta punition jusqu'au bout. C'est à vous Jean-Philippe. Vous êtes l'offensé dans cette affaire.

- Je passe mon tour, répond-il.

- Très bien, continue RIDEL. Dans ce cas, tous les suivants lui donneront 10 coups de cravache au lieu de 5. En avant, salope voleuse, salle suivante!

Je suis effondrée, mon créancier n'a eu aucune pitié en passant son tour. Quand j'entre dans le petit salon voisin, aux teintes vert-foncé, mes fesses ont déjà reçu 20 coups. J'apprendrai plus tard de la part d'un joueur qu'elles sont déjà très striées et bleuies. Ca brûle.

Un homme et une femme, environ cinquante ans, sirotant une consommation dans les profonds fauteuils, sont tout à fait surpris de me voir arriver, 1m63 de nudité sur bas autofixants et souliers noirs, une chatte de noir fournie, des seins relativement gros prolongés de clochettes bruyantes dans un lieu tellement chic, ça détonne.

Je m'approche, tends la cravache et récite mon texte.

* Excusez-moi de vous déranger, madame.

* J'ai une dette de jeu envers monsieur Jean-Philippe.

* Mais je n'ai pas respecté mon engagement de remboursement.

* Je dois subir une punition collective en vertu de l'article 127 du règlement du club.

* Vous pouvez donc me fesser le cul par cinq coups de cravache... eh non, dix coups.

Elle se lève, souriante, prend l'outil.

- Je connais cette règle du club mais je ne l'avais encore jamais vue appliquée, dit-elle.

- C'est assez rare, répond RIDEL. Pour ma part, c'est la troisième fois que je vois appliquer l'article 127. La première punition que j'ai fait administrer, elle concernait un type en retard de paiement de cinq jours. Pas de chance pour lui, le jour de la sanction, il y avait douze personnes. Compte-tenu des ratés, il a reçu 175 coups de cravache. J'ai su après qu'il a dû se faire soigner à l'hôpital. Il a rapidement payé, vous vous en doutez.

- Et la seconde fois, demanda la femme?

- Et bien, c'était une femme qui a sérieusement dégusté aussi. Hélas pour elle, elle n'a pas pu rembourser sa dette en temps et en heures et elle a reçu la punition de l'article 128. Mais je n'étais pas de permanence cette fois-là, c'est mon collègue qui s'en est occupé.

Je reçois le 1er coup alors que je ne m'y attends pas. Venant sur un fessier déjà bien rougi, il me fait mal. La femme ne traine pas et aligne les quatre autres traits dans la foulée. Au dernier, je ne peux pas retenir un long houuuu de douleur. Elle marque une pause avant de continuer sa série jusqu'à 10. C'est pire encore quand une coupure est faite. Le corps ressent la douleur sans interruption ni réduction, l'esprit attend la suite. Et quand cette suite arrive, c'est horrible. La grande brune termine sa mission sans pitié.

Puis, c'est au tour de son compagnon. Plus respectueux, son premier coup n'est pas assez fort et mon corps ne réagit pas à l'impact. Echaudée par le jeune homme de l'autre pièce, je le prie tout de suite :

- Pitié, monsieur, fessez-moi plus fort! Plus fort!

Il me regarde surpris jusqu'à ce que RIDEL, intraitable, déclare :

- Elle n'est pas maso, je vous l'assure, mais la garce a vite compris que si les clochettes ne vibrent pas, c'est que le coup n'est pas assez appuyé et dans ces conditions, 5 coups supplémentaires doivent être donnés. Il vous en reste donc 9 de la série et 5 en bonus.

Je subis donc la suite et termine cette seconde salle avec une douleur indescriptible, une chaleur terrible sur les fesses. Je finis à genoux sur la moquette sans que pour autant le type cesse. Mes ongles sont entrés dans la paume des mains à force de serrer les poings.

Nous passons dans les trois salles restantes. Par chance, il n'y a personne mais au retour dans le hall de réception, un type attend son inscription d'entrée.

J'ai déjà reçu 45 coups mais je n'hésite pas et demande ma punition. C'est vite fait, sans pitié certes mais probablement sans plaisir pour lui. Dès qu'il est inscrit, il se presse dans une salle de jeu.

Je pense mon calvaire fini, mais c'est RIDEL lui-même qui réclame son dû.

- A mon tour, espèce de pute. Ton gros cul me fait bander depuis tout à l'heure.

Il me donne 5 méchants coups, peut-être les plus douloureux.

Au total, j'aurai reçu 60 coups de cravache donnés par 7 personnes.

Je lui demande l'autorisation d'aller aux toilettes mais il refuse.

- Pas question que tu te caresses le cul. Maintenant, tu assures le service auprès de nos adhérents. Ca fait partie de l'article 127.

Et pendant deux heures, j'ai dû promener mon cul écarlate et mes gros seins devant ces messieurs et dames de la haute société du jeu. Aucun ne m'a fait grâce de sarcasmes, d'humiliations verbales. Plusieurs fois des mains se sont posées sur mon séant pour en constater l'étonnante chaleur.

J'ai terminé mon service honteux. Monsieur RIDEL, barman et occasionnellement mandataire à l'exécution des punitions m'annonce :

- Que madame veuille bien me pardonner mais J'ai respecté la mission à moi donnée par le club, auquel vous êtes d'ailleurs adhérente. La brutalité et les insultes font partie de cette mission. Maintenant, je dois vous dire que vous avez deux semaines pour honorer votre dette. Passé ce délai, si la somme n'est pas intégralement remboursée, vous serez passible de l'article 128.

J'aillai interroger à propos de cet article mais il ne m'en laisse pas le temps :

- Taisez-vous, je vous prie, je n'ai pas terminé. Pendant ce délai de 10 jours, vous êtes autorisée à revenir au club mais vous devrez porter la marque de votre faute.

- Comment... comment ça. Quelle marque?

- Vous devrez conserver la cravache entre vos dents comme un mors de cheval, madame.

- Je ne pense pas revenir, répondis-je. Dites-moi RIDEL, que contient l'article 128?

- Vous ne le saurez qu'en revenant ici madame si vous ne pouvez toujours pas honorer votre dette. Vous ne découvrirez cet article 127 qu'au moment de la punition. Tel est le règlement général.

Je résiste à l'envie de me frotter les fesses qui brûlent tellement quand il termine :

- Maintenant, vous devez partir madame. La cravache est devenue vôtre et vous devez la garder entre vos dents pour quitter ce lieu. Vous partez d'ici telle que vous êtes, c'est-à-dire sans autres vêtements que vos bas et souliers. Cela parce qu'en ne payant pas vos dettes, vous avez en quelque sorte tenté de déshabiller votre partenaire de ses attributs financiers. Il serait indécent que vous gardiez les vôtres. Au revoir madame.

Il n'omet pas de me barrer la bouche avec la fine cravache et s'en retourne derrière son comptoir.

Complètement nue, toute de douleur et de honte, je me précipite vers ma voiture non sans hélas croiser un couple de joueurs. J'ai deux semaines pour éviter la punition n° 128.

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  • COMMENTAIRES
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4 Commentaires
trouchardtrouchardil y a environ 3 ans

Comme d'habitude, un texte bien écrit et une imagination à toute épreuve. J'ai adoré ce récit comme tous les autres.

Merci.

emmanuellewaldmanemmanuellewaldmanil y a environ 3 ans

Puis j espérer savoir comment payer mes dettes que je vais faire ....

Assas78Assas78il y a environ 3 ans

Une histoire érotique sans vulgarité et dans un contexte nouveau et non traditionnel

Bravo, j'aime beaucoup

Assas78

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Très amusant, j'aime beaucoup.

Rudy

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