Des Cours Très Particuliers, E01

BÊTA PUBLIQUE

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Comme elle n'était que passagère et dans un état presque comateux, Mégane avait échappé à la vindicte publique mais pas à la justice. L'absence de drogue dans son sang avait été à double tranchant car il n'y avait non plus aucune preuve que le garçon l'avait effectivement droguée pour profiter d'elle et la consommation d'alcool à l'âge qu'elle avait à l'époque était à facteur aggravant.

Elle était passée devant un juge des enfants qui avait été très peu compréhensif. Il l'avait regardé comme une fille de la bonne société qui ne respectait pas les lois comme son petit ami. Elle avait évité la maison de correction de très peu.

Le juge avait fixé des conditions à son maintien en liberté. Elle devait cesser de voir ce garçon, ne plus jamais être impliquée dans une affaire policière quelconque et surtout obtenir retrouver une scolarité satisfaisante. Elle devait respecter ces consignes pendant dix ans. Dans le cas contraire, c'était la prison.

Le juge avait exigé qu'on lui fournit ses bulletins trimestriels en temps et en heure et, si elle n'avait pas la moyenne à l'un d'entre eux, il mettrait fin à son sursis.

Mégane avait été choquée par ce qui s'était passé et avait eu énormément peur mais, en bonne adolescente en pleine crise, elle avait ensuite rapidement retrouvé son comportement précédent et ses parents avaient craint de la retrouver en prison. C'était à ce moment qu'ils avaient contacté Fernand Dernau. Quand il avait commencé les cours, il ne restait plus qu'un mois pour sauver une situation calamiteuse et Mégane l'avait fait mais le prix payé par Paola avait été en conséquence.

La mère de famille vint se placer à califourchon sur l'homme. Elle n'avait pas besoin de consignes. Cela faisait maintenant presque trois ans qu'elle se donnait à lui dès qu'il le désirait.

Elle commença à défaire la braguette de son pantalon et sortit un membre déjà bien tendu. Elle savait exactement ce qui était passé dans sa tête alors qu'il détaillait son amie et sa fille. Elle chassa rapidement cette pensée de son esprit et commença à masturber le sexe.

Dernau, de son côté, avait commencé à jouer avec ses petits seins. Elle avait une poitrine relativement menue avec des auréoles cependant larges et qui était qui avait toujours été très réactives. Il n'était pas malhabile avec ses mains et fit dresser ses tétons rapidement.

Paola continuait sa masturbation. Elle savait très bien qu'elle n'arriverait pas à le faire venir avec ses mains. Il avait un contrôle de lui-même extrêmement fin et semblait jouir exactement au moment où il le désirait. Elle avait le souvenir d'un coït, au tout début de cette histoire, qui avait duré plus d'une heure. Un cauchemar sans fin.

Après avoir bien joué avec eux, il pinça son téton droit. Elle fit une petite grimace mais interpréta aussi le message. Il en avait une marre de ces jeux de main et voulait passer à quelque chose de plus sérieux. Elle défit alors la ceinture de son pantalon et le fit descendre doucement jusqu'à ses genoux puis se remit à califourchon et s'empala sur le membre dressé. Ce n'était pas la première fois qu'ils faisaient l'amour ce jour-là et elle avait la fente bien humide d'une lubrification qu'il avait obtenue lui-même en lui faisant un cunnilingus.

Elle commença alors à monter et à descendre sur ce pénis qui l'avait déjà tant de fois possédée. Elle posa ses mains de part et d'autre sur ses épaules et se mit à suivre un rythme parfaitement contrôlé.

Il posa ses mains autour de ses hanches et suivit son mouvement mais elle était parfaitement rodée à tout cela et il n'eut besoin aucunement ne lui dicter la cadence. Après quelques instants, il noua ses bras derrière son dos et la fit littéralement basculer en arrière avant de la poser sur le canapé. Il était puissant bien que son apparence n'en donnait pas l'impression et l'avait soulevée sans difficulté.

Il s'allongea alors de tout son long sur elle et continua à la posséder en donnant de grands coups de rein qui ne qui le faisaient s'enfoncer totalement en elle. Elle poussait des petits cris comme si elle aimait ce qu'elle faisait. Avec le temps, elle s'était mise à douter de tout dans cette relation qui tenait autant du consentement que du viol.

Il continua ainsi à besogner, emprisonnant sa tête entre ses mains pour lui voler un baiser profond et baveux. Elle se laissait faire sans jamais opposer de résistance, devançant même parfois ses envies.

Il se crispa alors soudainement et elle sut qu'il était sur le point de jouir. Elle ferma les yeux alors qu'elle sentait le sperme qui coulait dans son ventre. Elle était ménopausée mais seulement depuis très peu de temps et, lors des premières relations, il avait joui en elle de la même façon lui faisant craindre de tomber enceinte. Elle ne savait que c'était impossible.

Il resta encore quelques minutes, figé en elle, le pénis encore raide. Il lui était arrivé d'être capable de continuer à la posséder même après avoir joui et elle se demanda s'il allait le faire cette fois-là. Mais il se contenta de l'embrasser une nouvelle fois puis de lui baiser le cou avant de se redresser et de se rasseoir tranquillement dans le canapé.

Elle resta elle allongée à quelques centimètres de lui, le regardant en biais et attendant son bon vouloir. En réalité, elle espérait avoir l'occasion d'aborder un sujet qu'elle savait délicat.

Dans un mois, commença-t-elle hésitante, nous seront le quinze octobre.

L'anniversaire de Mégane, sourit Dernau qui savait parfaitement où elle voulait en venir. Elle aura dix ans et sera donc bonne à consommer.

Justement, n'y aurait-il pas possibilité de...

De quoi?

Ne pas le faire. Je suis prête à donner tout. Je pourrais même... »

Il se redressa alors avec une vitesse que sa corpulence ne laissait pas prévoir et emprisonna son cou dans une poigne de fer. Elle se retrouvait fixée dans le canapé, incapable de bouger mais il ne l'étrangla aucunement. Il plongea cependant son regard dans le sien.

Nous avons un accord et cela depuis trois ans, rappela-t-il sur un ton sec. À dix-huit ans, ta fille devient comme toi, mon objet. Il n'y a aucune négociation possible, et n'essayez pas de me la faire à l'envers. Si jamais vous ne remplissez pas votre part du marché alors on arrête tout! Et je peux te promettre ce qui vous est arrivé voici trois ans vous paraîtra une balade de santé par rapport à ce que Mégane vous fera vivre. La prison ne sera qu'un début car je te promets que, dès la fin de ce trimestre, elle ne remplira plus ses obligations. »

Il parlait sans s'énerver comme s'il énonçait une réalité. Le pire était que Paola ne doutait pas une seconde de ses promesses. Elle avait, dans les premiers temps de cette histoire, dérogé à certaines de ses « invitations » et il avait mis fin aux cours pendant deux semaines. Mégane s'était transformée dès le premier et s'était effectivement comportée encore plus mal qu'avant l'accident.

Paola avait dû le supplier de reprendre sa fille comme élève et, depuis ces moments-là, elle n'avait plus jamais manqué à un seul de ses ordres. Ses yeux se remplirent de larmes alors qu'elle hochait bassement la tête. Il sembla se satisfaire de cette réponse et la relâcha pour retourner s'asseoir dans le canapé.

L'anniversaire de ta fille est un mercredi, calcula-t-il. Je présume que vous avez organisé une belle fête. C'est parfait. Le vendredi qui suit, ce n'est pas la peine d'aller la chercher au lycée. J'enverrai quelqu'un et elle passera tout le week-end avec moi. Je vais en faire une femme et plus encore. »

Paola se redressant et se mis à genoux sur le canapé en le regardant de ses yeux pleins de larmes. Il ne tolérait aucune contestation et, dans sa tenue pathétique, elle se sentait bien faible. Elle avait signé une sorte de pacte avec le diable et celui-ci maintenant voulait sa récolte d'âme.

CHAPITRE 4

Le comportement d'Alexandra avait étrangement changé dans les jours qui suivirent la rencontre avec ce porc de Dernau. La jeune fille avait travaillé ses devoirs et préparé ses cours. Elle avait ramené en conséquence un seize en anglais, une matière où elle plafonnait habituellement à trois. Elle s'était montrée beaucoup plus aimable avec sa mère mais ce changement ne durera que deux jours et, ensuite, elle reprit ses mauvaises habitudes.

Carla avait été totalement décontenancée par cet épisode et n'avait pu s'empêcher de le rattacher à cet étrange échange de regard entre Dernau et sa fille.

Le trimestre se passa donc aussi durement qu'elle l'avait craint. « Notes désastreuses », « comportement insolent » ou « absence de travail ». Les commentaires sur le bulletin d'Alexandra étaient sans équivoque tout comme les notes qui plafonnaient à six.

Il ne fallut pas une journée pour que Simon l'appelât. Il comptait bien profiter de ce désastre industriel pour profiter pour se détacher de cette famille qu'il ne voulait pas.

Je vous coupe les vivres! Avait-il lancé au téléphone. Il n'est pas question que je finance une petite fille de pute qui se prend pour une reine!

Tu n'as pas le droit, avait tenté de se défendre Carla. Le juge a ...

Je n'en ai rien à foutre du juge. On avait un accord de principe. Tu tenais ta fille et je me saignais pour vous entretenir. T'as qu'a aller en justice, mes avocats sont prêts. »

Il lui raccrocha au nez et elle n'eut pas la force de le rappeler. Elle avait un avis du juge en sa faveur pour une pension alimentaire des plus confortables qui tenait compte de la fortune de Simon. Son avocat avait réussi à obtenir des à obtenir une rente qui durerait même après la majorité d'alexandra.

Son ex compagnon avait encaissé cette défaite avec difficulté. Ce n'était pas le genre d'homme qui appréciait de se voir contraindre. Il avait considéré la naissance d'Alexandra comme un piège tendu pour lui soutirer de l'argent. Cela faisait maintenant plus de dix ans qu'ils se livraient régulièrement à des batailles juridiques ou autres autour de cette pension et du comportement de la jeune fille.

Il était une vérité aussi que Carla finissait par accepter. Elle était devenue une femme entretenue et avait un train de vie, héritage de sa relation avec Simon, qui dépassait de loin ses moyens réels. Elle avait contracté certaines dettes sur la foi de cette pension mensuelle qu'elle percevait. Avec ce nouvel avatar, elle risquait de tout perdre.

Rien que le loyer de l'appartement qu'elles occupaient dépassait le montant de son salaire. Simon était très riche mais c'était aussi un homme d'affaire qui détestait perdre et elle savait qu'elle ne pourrait l'attendrir avec de telles considérations. Le seul moyen qu'elle avait pour le faire revenir sur cette décision était un changement radical du comportement d'Alexandra qui le laisserait sans argument devant un juge. Le problème était que sa fille n'était clairement pas dans un état d'esprit lui permettant de comprendre qu'elle mettait en danger leur avenir à toutes les deux.

Elle repensa alors à l'assurance de Dernau et prit son téléphone comme par réflexe. Le jeu en valait-il la chandelle? Sauver leur situation au prix d'un authentique sacrifice. Elle reposa le téléphone en maudissant le nom de ce pervers. Elle ne mangeait pas de ce pain-là.

CHAPITRE 5

L'anniversaire était des plus fastueux. Une cinquantaine de personnes étaient invitées. Il y avait les meilleures amies de Mégane, des jeunes adolescentes entre seize et dix-neuf ans ainsi qu'une bonne partie de leurs parents. On était dans la bonne société. La famille Palermo n'habitait pas sur la route de la mer, réservée aux hyper-riches mais dans les hauteurs de la ville, surplombant totalement la ville et offrant des vues incroyables sur l'océan qui s'étendait au loin. Il s'agissait de quartiers sécurisés loin des bas-fonds où chaque maison, individuelle, valait plus d'un million.

Les Palermo étaient, en apparence, un couple uni qui n'avait aucun problème pour boucler les fins de mois. La vérité était bien différente.

Mégane était une jeune fille qui fêtait ses dix-huit ans. De taille relativement réduite, en dessous d'un mètre soixante-dix, elle était relativement fine avec une chevelure qui rappelait celle de sa mère et des yeux marrons. C'était une jolie fille aux formes harmonieuses et pour cause.

Le père de la jeune fille avait fait les choses en grand. Il avait même fait appel à un traiteur pour préparer le repas et le gâteau. Mégane profitait du moment et la bonne humeur régnait. Toute la famille avait retrouvé la sérénité, loin de la période troublée de ses quinze ans.

Bien que ce fut un anniversaire de « grandes », on n'avait pas dérogé à la tradition des cadeaux et ils étaient nombreux. Mégane et quelques-unes de ses amies s'étaient assis dans un coin pour découvrir ce que l'on avait offert à la jeune femme, sous le regard protecteur de sa mère.

La jeune femme découvrit ainsi un nouveau smartphone, des vêtements de marque et même un billet de voyage, sans doute offert par son père. À un moment donné, elle s'empara d'un petit colis totalement anonyme. Il ne pesait pas bien lourd et la jeune femme ouvrit en pensant déjà au suivant. Ce qu'elle trouva à l'intérieur la figea pour une expression d'effroi.

Il s'agissait d'un string mais d'un type particulièrement vulgaire. Une simple ficelle constituait l'arrière alors que le devant était certes noir mais pratiquement transparent. Même sans le mettre, Mégane comprit immédiatement qu'en portant un tel vêtement, on verrait tout de son anatomie. Les quelques amis présents avec elle se décomposèrent devant un tel cadeau et aucune n'osa prononcer la moindre parole.

Paola, qui avait brièvement détourné le regard, se rendit compte de ce qui se passait. Elle se rua vers sa fille, prit rapidement le vêtement et le rangea dans sa poche en jetant un regard inquiet en direction des hommes qui discutaient un peu plus loin. Son mari ne semblait pas avoir vu ce qui s'était passé.

Elle fit un signe rapide à Mégane en lui indiquant d'essayer de passer vite à autre chose. Il fallait surtout éviter que l'affaire ne s'ébruite. Mais Megane avait trouvé un petit mot dans l'enveloppe.

A vendredi soir! Etait-il écrit sur ce mot. Et n'oublie pas de le mettre! »

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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Cette histoire est d'une perfection simple et remarkable qui est rare. Merci.

AgentChelateurAgentChelateuril y a plus d’un anAuteur

Oui, Aurailiens. Pour les personnes qui suivent mon blog, cette histoire n'est nullement une nouveauté puisque elle a déjà été parue et qu'il y a même déjà l'épisode. 2

En Elko, il semblerait que le texte que j'ai publié soit une ancienne version que je n'avais pas corrigée et qui combien nombre de coquilles comme celle (plus que gênante) que tu as cité. Désolé pour ça (mes personnages sont tous majeurs, bien entendu).

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

J'aime mais j'ai déjà lu cette histoire

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Prémisses plus qu'alléchantes. On voit où ça va : la gentille maman n'aura d'autre ressource que de faire appel au vilain monsieur. Je me réjouis de le lire sous votre plume. Ne tardez pas trop.

elkoelkoil y a plus d’un an

j'adore ( attention a un moment il est ecrit qu'elle va avoir 10 ans au lieu de 18 ca fait fremir et ca fait peur )

mais sinon tres bien j'attends la suite

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