Dérapages. 08

BÊTA PUBLIQUE

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A plat ventre sur son lit, moi, son père peut désormais la dominer comme je le veux. Je sorts de son ventre, je profite de la vue, puis je m'immobilise à mi-hauteur. Jess me sent palpiter dans ses reins, ma fille me sent palpiter contre son cœur. Maintenant, mon enfant, sait ce qui l'attend. Elle éprouve un dégoût infini, elle tremble mais Jess ne bouge pas. Mon bébé appréhende la suite des événements. A juste titre. De tout mon poids, je m'écrase sur elle, je m'écrase dans elle, concentrant toute ma force dans ma queue. Étouffant ses cris dans ma masse de chair. Son rectum éclate, son sigmoïde se fissure, son côlon se révulse. Ses yeux roulent dans leurs orbites sous l'effet du coup de tampon que Jess vient de se prendre. Avant que mon enfant ne puisse réagir, je recommence, une fois, puis une autre, puis encore une autre, comme une machine, cognant au fond à chaque coup de reins, expulsant tout l'air de ses poumons, à chaque saillie.

- Gggghhhhhh... Gggggggheeeeuhhh... Gghhhhh... Gggghheeeeuuuaaaaaahhh...

Ses larmes coulent entre deux assauts, Jess bave de rage à chaque fois que je m'écrase sur elle. Ma fille vomit quand je serre sa taille trop fort. Une fois de plus, Jess pisse à chaque entrée de mon membre qui tourmente sa vessie, elle chie à chaque sortie de ma queue. Son corps ne lui répond plus, il subit, il réagit crescendo aux sollicitations qu'il encaisse, il devient ivre de douleur, et répond à cette violence par une violence dirigée contre lui-même, dans l'espoir vain de survivre. Ses muscles sont bandés à la limite du claquage, ses articulations tordues sont prêtes à se démettre, son cerveau est sur le point de devenir totalement fou de douleur Mais surtout son anus est presque entièrement déchiré à force de subir les écartèlements infligés par ce démon que je suis.

Je m'arrête à nouveau. Sa tête se demande ce qu'il va se passer maintenant, si je vais y aller moins fort, si je vais accélérer, comment ça va lui faire. Jess a peur, Jess tremble, Jess ne bouge plus, elle attend, et ça aussi ça la tue. L'attente est horrible. Sa tête lui dit non, ça va faire ça, ou ça. Il ne va pas accélérer, ma fille appréhende en fait. Elle attend, elle attend de voir ce que ça va donner, et cette attente lui fait presque aussi mal. Puis je reprends mon crime. Jess s'attend à ce que ça soit moins fort mais non, ça accélère au contraire, ça s'accélère comme pas possible, ça fait le marteau-piqueur et là mon enfant ne sait plus où s'agripper. Jess essaie de vider sa tête mais c'est maintenant impossible, je vais beaucoup trop loin, je vais beaucoup trop fort. Moi, son propre père, je suis par contre le plus heureux des violeurs. Ça m'excite en fait de la faire crier, quand elle a mal, quand elle crie, quand ma fille a la gorge toute serrée. Les veines bien visibles, mes mains crispées sous elle, qui essaient de la soutenir. Je la bourre vraiment comme une chienne, parce que pour moi, une femme ce n'est qu'une machine sexuelle, une machine dans laquelle je me branle. Je lui fait tout, je ne pense qu'à ma jouissance.

Si seulement je pouvais faire ça à toute les meufs de la terre... mais elles ne me le pardonnerait jamais!

« Sale con » pense ma fille. Parce que elle, elle devrait le me pardonner? Moi qui ai fait descendre l'enfer sur Terre? Moi, qui lui mutile son corps et son âme à tout jamais? Tel un chat avec une souris, je joues avec ma fille. Je la torture, je l'affole, je m'écarte pour mieux la blesser. Des petits coups de reins, parfois des grands coups de reins, quand Jess ne s'y attends pas. Il n'y a que moi qui sait si je la sort vraiment, si je vais en fait l'enfoncer encore, d'un coup furieux alors que ma fille ne s'y attend pas. Je la viole, Je la re-viole. Je la prend par surprise, beaucoup par surprise, quand Jess baisse sa garde. J'enlève ma queue, puis j'attends le pire moment pour ensuite l'enfoncer de nouveau, quand je sens que mon enfant se relâche imperceptiblement. M'offrant, à moi, son père malgré elle, un boulevard de viscères bien détendus. Voilà pourquoi, je m'enfonce à ce moment précis, pour lui faire le plus de mal, pour aller encore plus loin, pour perpétuellement revivre ses cris, ses hurlements de douleur qui me procure un plaisir fou, un plaisir immense, un plaisir sadique. J'atteins désormais des sommets d'inhumanité, en la torturant psychologiquement, profitant de chaque fléchissement de sa part pour la crever avec haine. Jess a peur, Jess panique, elle angoisse à l'idée que le prochain coup de boutoir sera pire que le précédent.

Puis, sans doute lassé de jouer, ou impatient de prendre mon plaisir, je précipite brusquement son exécution. J'accélère comme jamais je ne l'ais fais, rien ne me freine maintenant que c'est bien lubrifié, je n'en finit pas d'accélérer, comme une machine lancée à toute vapeur. La fréquence de mes coups grimpe vertigineusement, je suis complètement malade, on dirait que je veux carrément lui arracher tripes et boyaux. Comme si je voudrais que Jess ai des hémorroïdes toute sa vie. Je veux pousser sa souffrance jusqu'où? Mon enfant à maintenant des sensations de brûlure horribles, comme des plaies ouvertes tout le long de la paroi de son trou de balle, les chairs à vif. Jess jurerait que j'ai enveloppé ma bite dans du papier de verre, et que je la prend avec ça, râpant son canal à chaque va-et-vient. Des gouttelettes de sang aspergent sa couette, et finissent par former un tableau grotesque sur sa couette. Mais ça ne ne me touche même pas d'abîmer son trou du cul, de le déchirer, de voir en fait ces petites gouttes de sang le long de ma bite qui devient toute rouge, ça ne me fait pas tilter. Alors que je sais très bien que quand ça saigne, ce n'est sûrement pas bien. Son corps part en lambeaux. C'est atroce. Ça déchire, ça détruit, ça pourrit. Jess pense qu'elle va mourir.

- Oh putain, je sens que ça vient!

Dans un râle de plaisir croissant, accompagné de mouvements déments de mon bassin, ma fille sent en elle ma chose durcir, rentrer encore plus loin, taper plus fort, remonter plus haut, forcer plus violemment. Son rectum est haché menu par mon pilon, ses sphincters sont pulvérisés, son côlon anéanti, et je trouve encore la force de la bourrer comme une pute, une pute de vingt ans habituée à la sodomie par des milliers de sodomie, mais, qui en fait, n'en est qu'à la deuxième.

Jess est éperdue de douleur, et son esprit disjoncte à nouveau par instinct de survie. Elle a encore l'image de ce champ de blé en tête, et ma fille sait maintenant qu'il a été saccagé entièrement, qu'il ne reste plus le moindre épi debout, que tout le champ a été piétiné par ma démence, pour toute sa vie, pour toujours. Ma fille sait aussi que ça ne me suffit pas. Consumé par ma haine, je m'acharne sur les épis de blé couchés à terre, je les arrachent, toutes racines en l'air, je dépucelle férocement les épis pas encore mûrs, arrache les grains encore verts, les écrasent entre mes doigts, pour enfin les pulvériser avant de les disséminer dans le vent. Il ne reste rien de l'épi, il ne reste plus rien de son esprit, d'elle, plus rien de son corps, plus rien de sa conscience. Jess est brisée, démolie, détruite.

Malgré son état second, Jess ne se sent pas très bien, elle se sent même très mal, elle sent quelque chose d'indicible, l'apogée de quelque chose, sans trop savoir ce que c'est, elle ne sait plus rien, ma fille se sent juste mal. Son corps est très loin mais Jess perçoit la douleur qui devient atroce quand je la cloue littéralement dans son lit. Au même instant, elle me ressent jouir, comme si je l'asperge de napalm le champ de blé, faire gicler le liquide incendiaire qui jaillit de ma lance meurtrière, ce fluide destructeur. Je met le feu aux épis qui se consument dans une brûlure apocalyptique. Jess est comme brûlée vivante, hurlant nue, dévastée de douleur, folle de souffrance, marquée au fer rouge à jamais.

Je viens de jouir, j'ai craché ma semence, ma putain de semence bouillante, ma saleté, oui, ma saleté tout au fond de ses viscères. Je reste en elle, sur elle, tandis que son corps trempé de sueur est parcouru de spasmes qui font trembler mon corps. Je savoure, je suis toujours dur en elle. Je me retire d'un seul coup, la faisant hurler de nouveau quand mon gland passe son anneau anal détruit. Je la retourne sur le dos, je m'assois sur son torse, je lui relève la tête et m'enfonce dans sa bouche. Autant pour nettoyer mon sexe taché de sang, de sperme et de merde que pour me faire sucer.

Une fois que j'ai jouis dans sa bouche, je me lève et je vais pisser. Quand je reviens, je bande de nouveau. Je monte sur le lit. Jess gémit quand je la met sur le ventre.

- Pitié...

Je ne lui répond pas, je lui écarte les cuisses et m'agenouille entre elles. Jess crie quand j'écarte ses fesses. Son anus est encore ouvert, je vais l'enculer de nouveau. Jessica sent que je vais la prendre de nouveau vu la position que j'ai prise. Ma fille sait que toutes résistances est inutile. Ma fille à ma grande surprise soulève alors son bassin, pour m'inciter à prendre son vagin plutôt que son cul. J'accepte son invitation, et je m'enfonce alors dans son ventre, la faisant crier. Mais tout est préférable à un nouveau viol anal. Même si elle ne prend pas la pilule et que je risque de la mettre enceinte. Tout est préférable au calvaire qu'elle vient de vivre, même avoir un bébé de moi...

Bien entendu je l'ai violée toute la nuit, dans sa chatte, sa bouche, mais aussi son cul, deux nouvelle fois. La dernière sodomie l'a faites tourner de l'œil. D'ailleurs c'est pour cela que je suis descendus, je n'aime pas baiser un corps immobile. Puis, surtout je suis bien vide. Je bois un café et je vais dormir.

Le matin, c'est Paul qui me réveille, il est rentré en compagnie de Hervé, ainsi que de Carla, Manon, Inès, Nina et Anne. Je dis à Paul de faire mettre toutes les femelles nues et je vais dans la chambre de Jess. Elle dort encore. Je bande dur, je la réveille par une nouvelle sodomie, la faisant revenir du pays des rêves en hurlant comme une démente. Une fois vidé et nettoyé dans sa bouche, je lui dis de me suivre. Ma fille reste étonnée en voyant les cinq autres filles nues. Nina se faisant prendre par Hervé et Manon par Paul. En fait Jess est plus horrifiée qu'étonnée. Alors je lui raconte tout, y compris mon petit plan avec Paul. Le fait que Anne se fasse violée et ne la trompe pas, paraît bizarrement un peu la soulagée. Le reste de la journée fut terrible pour Jess elle connu sa première doublette, puis triplette.

Comme pour Carla, Inès dut, entre deux viols me faire le transfert de tout ce qui appartient à ma fille à mon nom. Je deviens le propriétaire de son entreprise florissante. Jess est devenu la cible de ma semence, surtout son vagin, je veux absolument lui faire un enfant. J'y réussirais rapidement, dans la première semaine en fait.

Le soir de l'arrivée du père de Anne, le patron de la Banque Internationale de France, tout est prêt pour le recevoir. Quand il sonne, je vais ouvrir. Il à la cinquantaine, il est grand et chauve. Mais il impose le respect rien qu'a sa posture. Je vois de suite, que comme moi, c'est un mâle alpha. Un meneur, un de ceux à qui on ne refuse rien. Il me tend la main, sa poigne est ferme. On reste dans le corridor, se toisant, la porte d'entrée fermée.

- Bonjour.

- Bonjour, moi c'est Léo, enchanté.

- Moi c'est François-Xavier, appelé-moi FX. Je vais aller droit au but, vous avez des infos sur ma fille?

- Oui, et sur votre femme aussi.

- Ma femme?

- Venez.

Il me suit, on entre dans le salon. Il se fige, le visage d'abord fermé s'éclaire avant de se parer d'un gros sourire. Il vient de voir sa femme et sa fille, attachées aux chevilles et aux poignets à deux table, courbées sur le ventre, offerte. Tables que j'ai fais installé dans le salon. Les trous débordant de sperme. Le corps couvert, enfin le dos car le reste n'est pas visible, de traces de fouets, de ceintures, de brûlures de cigarettes. Je leurs ai mis un bandeau sur les yeux pour qu'elles ne voient rien. Elles ont aussi des écouteurs aux oreilles, avec du hard-rock à fond pour qu'elle n'entende rien.

- Alors?

J'aurais préféré dépucelé moi-même ma chienne de fille, mais de voir ces deux putains comme cela, offerte, m'enchante beaucoup. Léo, je vous respecte et je vous admire. Je vois que votre fille est dans le même état.

- Oui, je me suis amusé avec elle aussi.

- Parfait ça. C'est récent je suppose?

- Oui, deux jours.

- Cela se voit a son regard, on y lit toute l'horreur du monde.

- Par contre j'ai mis votre femme et votre fille enceinte.

- Parfait, je le ferais ensuite. Tout du moins pour ma fille, pour ma femme, faites en ce que vous voulez, je n'en veux plus.

- Merci. Mais je garde votre fille.

- Cela va de soit, enfin tant que je l'ai à discrétion.

- Bien entendu.

FX regarde alors Manon, Inès et Carla. Il les désigne du menton.

- Et elles?

- La brune, c'est Inès, mon avocate et esclave sexuelle. La vieille blonde c'est Carla, mon ex-compagne et nouvelle putain. La dernière c'est Manon, sa fille, ma belle-fille et vide-couilles. Les trois sont aussi enceintes de moi.

- Je vois, faire des bébés à vos esclaves est une véritable obsession?

- Oui.

- Bien, c'est la mienne aussi, on va bien s'entendre. En attendant, puis-je?

Il me désigne Anne de la tête.

- Mais bien sur, toutes les putes ici vous sont offertes à volonté.

- Merci.

Il sort un engin de belle taille de son pantalon. Il s'avance et s'enfonce dans le cul de sa fille. Anne se met à hurler. Hurlement qui décupleront, quand il lui enlèvera écouteur et bandeau et que cette chienne verra qui la sodomise.

Anne, Carla, Inès, Manon, Nina et Jess sont resté nos putes jusque au bout de leurs vies, dans un snuff sadique. Elles sont restés nos esclaves sexuelles à Paul, FX, Hervé et moi. Abatages, chiens, chevaux, rien ne leurs fûts épargnées. Mais surtout elles portèrent nos enfants, un bébé chaque année. Chacune tombant enceinte d'un de nous. Sauf Jess qui resta exclusivement mienne. Pouvant choisir le sexe des bébés, on a eux pratiquement exclusivement des filles. Sauf un garçon pour chacun de nous, qui nous rejoignit et nous remplacèrent à la fin de nos vies. Ils violèrent eux aussi mères et sœurs, étant élevés dans ce but. Chacune des filles nées de nos putes, fut violée le jour de ses dix-huit ans. Par nous quatre ensemble. Pour nous faire patienter jusque à la majorité des premières-nées, avec FX, on a fondés plusieurs orphelinats dans divers pays pauvres. D'Europe ou d'ailleurs. A dix-huit ans, comme dans tout orphelinats, les filles sont lâchées en pleine nature, sans rien. Nous ont leurs propose un contrat dans une de nos entreprises, en France. Là, on les violent et on les mets enceintes elles aussi. Personne ne les recherches, qui se soucient de vulgaire orphelines?

Aujourd'hui je suis mort, je suis le premier des quatre à l'être. Je suis décédé à l'âge canonique de cent-cinquante ans. Enfin canonique pour nous aujourd'hui, pas pour le monde dans cent-cinq ans. Bien entendu, je suis allé en enfer directement. Vous devez vous dire que c'est bien-fait pour ma gueule, erreur. Le diable lui-même m'a reçu. Il m'a guidé dans une sorte de caverne tout confort où m'attendaient Anne, Carla, Inès, Manon, Nina et Jess. Elles ont l'apparence du jour de leur premier viol. J'ai regardé le diable interloqué.

- Cela veux-dire quoi? Qu'elles vont se venger?

Le diable a rigolé, un rire qui me glace le sang.

- Non, elles sont en enfer pour ne pas s'être défendu. Elles auraient put se laisser mourir, s'échapper à maintes et maintes fois, mais elles n'ont rien fait. Toi j'aime bien ton style, ce sont tes cadeaux, tu as l'éternité pour les punir. Ici, tu peux tout faire, aucune blessures n'est mortelles. Tu peux les violer à volonté, sans aucune drogue. La seule chose, c'est qu'elles ne tomberont pas enceintes, mais elles peuvent avoir mal, très mal. Tu peux même aller jusque à les tuer, tout les jours, à minuit elles ressusciteront. Tu es leurs punitions pour l'éternité.

Je viens d'écrire cette histoire du fond de l'enfer. Enfin, du fond de l'enfer pour ces six putains, mais du paradis pour moi. Depuis, FX m'a rejoint, ainsi que Paul. On attends Hervé avec impatience pour refonder notre quatuor, quand aux six salopes, je vous laisse imaginer ce qu'elles subissent, vu qu'ici on peut tout faire. D'ailleurs nos filles et les orphelines nous rejoindront à leurs morts, comme esclaves. Finalement la mort, c'est génial.

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans

Sordide. Insoutenable parfois mais bien écrit.

Rien a voir mais j'ai connu une Mawi dans le monde de l'équitation. Rien à voir sans doute mais voir ce pseudo me fait sourire.

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
Excellent

Ça peut surprendre parce que je suis une fille mais le viol, surtout quand il a pour but de mettre enceinte, a toujours fait partie de mes fantasmes (tant qu'il reste un fantasme bien sûr). Cette série a été très excitante à lire pour moi, c'est probablement ma préféré sur ce site. Hâte de lire tes nouvelles histoires :)

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
très bonne série

Très bonne série.

Vivement la suivante. ...

Merci pour ton travail

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans

C'est bien.

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