Dérapages. 08

BÊTA PUBLIQUE

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Je suis là, devant elle, conquérant, dans ma plus complète nudité. Je regarde ma fille avec envie, elle qui n'avait encore jamais rien fait jusqu'à hier, avec un homme tout du moins. Jess n'a jusque à présent, enfin jusque à hier, connue que la langue et les caresses douce de ses amantes. Aucun objet, humain ou en plastique n'était rentré en elle avant moi. Et là je débarque avec ma bite d'homme, bien définie, bien veineuse... Un homme avec un vrai sexe d'homme, de mâle quoi. J'aime la voir toute fébrile, toute fragile. Je me montre tout-puissant, je veux la briser,je veux la détruire. Jess pense que je suis malade, qu'elle n'a pas encore un corps pour, rien n'est défini encore dedans, oui certes elle a déjà tout pour ça, mais ça n'avait jamais encore servi, ce n'était pas encore le moment, pas comme ça, elle ne peut pas supporter ça à nouveau, Jess pense qu'elle ne le pourrai pas... A moi de lui prouver le contraire.

D'une manière brutale, je lui intime l'ordre de se mettre à quatre pattes, fesses relevées sur le bord du lit, les pieds pendant dans le vide, son orifice juste à hauteur de mon membre assoiffé de destruction. Je n'imagine même pas la terreur que cela provoque en elle, Jess ne veux pas savoir à quoi s'attendre, et pourtant elle ne le sait que trop bien. Ma fille ne demande rien, rien du tout, elle ne veux rien, mais moi, je m'en fou de ce qu'elle demande. Je m'approche de ses fesses, avec une envie forte, je m'avance vers son anus, je suis tout près...

- Je vais te prendre en levrette, sale petite pute!

"Levrette"?" Toujours ces mots incompréhensibles pour son cerveau figé, ces mots d'adulte que Jess ne connaît pas ou plus. Mais dont la signification probablement immorale la gifle par son intonation. Je me met en position derrière elle, ma monstruosité bavant de désir, puis je la pose sur son orifice mutilé. Le contact de mon gland sur sa muqueuse meurtrie lance atrocement ma fille. Sous l'effet de la morsure, Jess fais un bond en avant, échappant à mon intromission, repoussant l'inéluctable de quelques instants. Dépité, moi, son bourreau grogne ma désapprobation. Je siffle des mots incompréhensibles pour elle, sa rébellion involontaire m'a rendu furieux. Mais cela n'a pas pour autant fait retomber mon excitation, bien au contraire. Jess le voit à l'angle encore plus aigu que ma bite fait avec mon ventre. Je l'attrape alors son bras droit et lui fait une prise dans le dos. Puis je fais de même avec l'autre bras, lui arquant le dos dans une cambrure indécente. Mon enfant est verrouillée par ma force physique, offerte cul en arrière contre sa volonté.

- Tu sais que Carla n'a jamais réussi à prendre mes 25 centimètres dans son cul? Tiens-toi prête, tu vas déguster!

Même pour Carla, c'est impossible?! Ça veut donc dire que la première fois, déjà pour une femme c'est horrible, alors comment puis-je ignorer ce que c'est pour un petit bout de femme comme elle, de se faire enculer? Jess se demande ce que je pense dans ma tête de violeur incestueux, que je pense à quoi dans ma tête de malade mental? N'ai-je donc pas de cœur? En guise de réponse, mon gland se colle alors à son anus, mes glaires immondes en contact avec ses muqueuses. Ma fille en a des nausées. Mes doigts s'incrustent dans ses bras, l'immobilise. Une fois totalement à ma merci, ma queue à la lisière de ses reins, mes mains la tire rudement vers l'arrière, tandis que je me propulse en avant. L'empalant sur mon membre sans ménagement.

- Ouuuuuuuuuuuaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiieeeee!!!

Avec une violence inouïe, je viens de la transpercer une nouvelle fois, mon pieu de chair brisant son anus en mille morceaux, déchiquetant ce qu'il restait de son orifice déglingué. En un éclair, cette souffrance que Jess voulait oublier refait violemment surface, elle jaillit, se déverse en dans son corps. La souffrance l'inonde vertigineusement, de son cœur qui la lance effroyablement jusqu'à ses doigts, ses orteils, sa tête, et même la pointe de ses cheveux. La déchirure désormais intégrale de son anus est intolérable, ma fille ressent comme des millions d'aiguilles chauffées à blanc trempées dans de l'alcool s'acharnant sur son trou du cul, alimentant à l'infini une douleur que Jess n'arrive pas à évacuer.

- Ouah putain, elle est rentrée comme dans du beurre!

Non, pas "comme dans du beurre", a envie de me hurler ma fille, plutôt comme dans cette morve que j'ai copieusement étalée dans son intimité anal, comme dans ce sang qui tapisse ses entrailles, comme dans ces reliefs de merde gluante qui n'ont pas eu le temps de s'échapper. Son corps se débat, Jess essaie de se protéger, mais la puissance de ma prise l'empêche de faire le moindre mouvement, mon enfant souffre le martyre sans pouvoir bouger. La douleur est insupportable, elle est elle, elle l'envahit jusqu'à ce que Jess ne soit plus remplie que de cette douleur distillée, extraordinairement pure et injectée à travers son cul dans ce petit corps innocent. Elle pense que je ne sait pas en fait le calvaire, oui, le calvaire qu'elle endure, il la détruit, il la tue. Mais je le sais, je sais ce que je lui fais endurer. C'est volontaire, c'est exprès mon esprit sadique ne se satisfait que de la souffrance de ma victime.

La douleur aiguë du départ laisse maintenant place à une souffrance intense, Jess ressent vraiment cette chose là tout au fond de son corps,elle commence à respirer très très fort. C'est le moment que moi, son père, je choisis pour poursuivre mon opération de forage. Je lâche ses bras, je met mes mains sur son cou, je l'étrangle en la tirant en arrière pour la cambrer encore un peu plus. Maintenant que mon gland est passé, je pousse, je pousse, je pousse mon engin, je pousse mon engin millimètre par millimètre. Mon entreprise de démolition a commencé, faite de mouvements de sondages hasardeux, jusqu'à ce que je sente une faiblesse, poussant alors, comme un forcené pour la faire céder. Je me fraye alors un petit chemin à l'intérieur de son corps, je gratte, je déchire son trou de balle, je plante ma grosse bite dans son cul qui n'est pas encore adapté à recevoir ma difformité. Cinq centimètres, dix centimètres, où cela va-t-il s'arrêter? Je n'ai pas de pitié, je ne pense qu'à moi. Je continue à pousser comme un malade pour rentrer complètement au plus profond d'elle, de son être, de son corps. Jess ne sent plus mes mains sur ses bras, ma fille ne sent plus la cambrure de son dos, elle ne sent plus que cette souffrance, elle n'est plus que souffrance, un trou juvénile qui se fait déglinguer à mesure que mon énorme pieu progresse dans ses entrailles. Jess a l'impression qu'elle va faire caca, mais elle a le canal en fait complètement ouvert, ma fille essaie de pousser mais en vain.

Comment est-ce qu'on peut supporter ça? Ça fait mal, c'est atroce, c'est une vraie torture, un calvaire, elle a tout son corps qui tremble. Son corps essaie en fait de refouler ma bite, mais non, une fois dedans non, au contraire plus Jess bouge et plus ça s'enfonce. C'est dégueulasse. Ma fille n'ose plus faire de mouvement brusque, de peur de la prendre directement, elle ne sais pas où exactement, mais probablement tout au fond de son corps. Jess hésite, évite tout mouvement, elle essaie d'être docile et de ne pas sentir cet engin la transpercer de l'intérieur, se frayer un chemin. A chaque fois qu'elle essaie de me retenir en tentant de fermer son trou du cul, ben le truc là, mon chibre, il ne s'arrête pas, il se sent encore mieux, encore plus serré, et plus mon engin se sent mieux, plus il s'enfonce. Il n'y a que la première pénétration qui a un peu freiné mon braquemart, mais maintenant qu'il est dedans, bien sûr il va loin, il va très très loin, pourtant ma fille n'est vraiment pas prête à recevoir ça, et plus ma longueur arrive loin, plus ça lui fait mal. Mon pénis une fois dans la cavité trop étroite de Jess, semble avoir prit les commandes du viol que j'exécute.

- Tu vas t'en prendre plein le fion, espèce de petite salope, tu sens comme elle est archi-dure?

Pourtant je sais combien Jess la sent, follement rigide, implacable comme l'acier, congestionnée de fureur, battant de pulsations crispées qu'elle perçoit tout le long de ses parois comprimées. Oui, ma bite, et bien, elle durcit encore plus, elle se dilate, elle la dilate. Mon enfant a l'impression que son cul va éclater, qu'elle va exploser de l'intérieur, qu'elle va devenir folle. Mes mains lâchent son cou étranglé par ma force, elles descendent le long de son dos, s'arrêtent sur sa taille, la serre fermement pour mieux la verrouiller. Que va-t-il lui arriver? Jess est tétanisée de frayeur. Je lui fait un bisou dans le cou puis, dans un mouvement d'une méchanceté incroyable, je tire ses petites fesses fermes et si douces vers moi, violemment, en même temps que je lui administre un coup de bassin d'une sauvagerie inimaginable.

- Iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh!

Son anus agonise, ses viscères se déboîtent, son côlon capitule, ses anneaux claquent en rafale, les uns après les autres, incapables d'endiguer cette furie dévastatrice qui assaille ses entrailles. Je la rentre, la rentre, et la rentre encore, et plus Jess crie, plus elle m'implore ma pitié, plus ça m'excite, plus je la prend, plus je lui fait du mal, plus je la défonce. Jess est en train de se faire péter le cul, oui c'est ça, je lui ai déchiré le cul, je lui ai vraiment déchirée, et en plus je suis allé au tout fond, je l'ai carrément rentrée en fait. Tel un poignard, ma bite est rentrée en elle jusqu'à la garde. Heureusement qu'il y a les boules sinon... J'ai mon ventre contre ses fesses, mes couilles contre sa vulve. J'apprécie son étroitesse, ce conduit qu'elle contracte beaucoup trop et qui décuple sa douleur. J'adore les spasmes de son intérieur pour se défendre, mais qui n'arrive qu'a me branler le chibre.

- Elle y est toute entière! Putain t'es encore meilleure que toutes les filles que j'ai enculés, consentantes ou pas!

Je suis tout fier d'avoir franchi ses limites, je savoure l'instant, je jouis de ma toute-puissance. Jamais Jess n'aurait pu penser qu'on pouvait être aussi méchant, inhumain, ne penser qu'à soit et qu'à sa petite gueule, à son sexe. C'est trop blessant, il y a trop de souffrance, c'est de loin la pire chose que ma fille a pu vivre dans sa vie. Jess se sent toute seule, isolée, abandonnée. Ma fille prie, elle prie sous mon poids, le poids de son bourreau. Elle invoque sa miséricorde mais son salut ne viendra jamais. Jess est complètement incapable de se débattre, même de crier. La seule chose qu'elle puisse faire à ce moment-là, c'est subir, me subir.

Sous l'effet du trop-plein de douleur, son corps tout entier commence à frissonner, Jess transpire à grosses gouttes. Mais pourtant, en même temps elle a très froid, Jess tremble de l'intérieur tellement ça lui fait mal, son corps hurle à sa façon, sans que Jess ne puisse le contrôler. Comme pour lui intimer l'ordre d'arrêter tout ça. Ça fait mal, ça fait vraiment mal, ça fait très très mal, ça fait vraiment très très mal d'avoir cette bite plantée dans son cul. C'est de la barbarie pure et simple. Jess souffre le martyre, Jess sent tout son corps se lâcher et, à bout de forces, elle démissionne, ma fille se répand, elle fait pipi partout, comme beaucoup sans doute, comme tout le monde en fait, dans une telle situation de souffrance.

Jess ferme les yeux pour ne plus rien voir, pour ne plus rien sentir, elle pense qu'elle va s'évanouir, qu'elle va mourir. D'ailleurs son esprit s'éloigne, il part loin de ce corps désarticulé qui hurle à la mort. Il divague à la frontière du rêve et de la conscience. Devant ses yeux apparaît une image, l'image d'un champ de blé. Il est beau ce champ de blé au lever du soleil, avec de beaux épis bientôt mûrs, il y a plein de feuilles, plein de couleurs, tout est bien ordonné, bien rangé, bien en ordre, c'est tout joli jusqu'à ce que... Jusqu'à ce que je fracasse les barrières. Une fois entré par effraction, je casse tout, je détruit tout, je me fraye un chemin à travers le champ de blé, j'abîme les plantes, je les écrasent, je les arrachent. J'arrive comme un cyclone, je couche les blés sous mes pas, je les meurtris, et la ligne que je dessine restera pour toujours. Les blés écrasés ne se relèveront plus jamais. Pour ma fille que je viole analement, je n'apprécie pas la pureté, je n'apprécie pas la beauté, je ne sait pas apprécier ça, la beauté, l'innocence, ça me rend malade, et je dois les détruire. Je dois la détruire. Et je le fais avec un plaisir indicible. Jess m'a parfaitement cerné.

Un spasme plus violent que les autres la sort de sa torpeur. Une contraction réflexe de ses sphincters à la limite de la crampe, une vraie crampe anale en fait qui ne s'arrête pas, qui persiste, qui irradie, qui lui retourne le cœur. Son corps désirerait plus que tout pouvoir se relâcher, mais le voilà tétanisé par cette douleur en haut débit ininterrompue, infligée par une grosse bite qui ne doit pas en être à son premier essai, une bite qui rentre dans un corps tout pur, tout vierge, et qui en plus se permet de tout écraser pour se créer un petit chemin là où il y en avait pas. Son corps se tord de douleur, elle se débat comme une damnée dans les flammes, mais elle est à bout de résistance...

- Dis-moi Jessica, tu veux que j'arrête?

« Qu'a-t-il dit? » pense ma fille. Jess n'en croit pas ses oreilles. Je lui propose d'arrêter? Jess ne comprend rien. Son esprit, tout accaparé par la souffrance, a du mal à atterrir. Ma fille se retourne, sa queue toujours plantée en moi, et malgré la douleur, elle me regarde, incrédule.

-Jessica, veux-tu que j'arrête? Je lui répète ma proposition.

Jess ne rêve pas, je lui propose bien d'arrêter! Elle croise mon regard, mes yeux ne mentent pas, ils sont apaisés, doux et la fixe attentivement, à la limite de la compassion. « A-t-il fini? » se demande ma fille. « Pourquoi un tel revirement, aussi soudain? » Jess oublie presque sa douleur, elle a envie de pleurer, elle n'y crois pas, pour un peu elle m'embrasserait. Ma fille a envie de me dire que si je m'arrête là, elle me pardonnerai tout. Qu'elle aimera pour la vie, qu'elle sera sage, docile, obéissante, pourvu que je mette fin à cette torture. Oui elle me pardonnerait ce que je lui ai fait, elle est même prête à m'appeler comme je le voudrais. Le bonheur la submerge, quel soulagement, l'émotion est trop forte, tout son chagrin remonte, Jess a vraiment très envie de pleurer.

- Oui mon papa chéri, j'aimerais que tu arrêtes.

C'est la première fois que ma fille m'appelle "Papa chéri". Ça me touche. Mes yeux sont embués, je suis ému. Jess me sent compatir, elle le sent au plus profond de son cœur. Ça la réchauffe de l'intérieur, c'est doux, c'est chaud. Je lui souris, je lui passe une main dans les cheveux, et lui parle tendrement.

- Je sais que je t'en ai fait baver, tu es une bonne petite fille, ma douce petite fille, oui tu es toujours une petite fille pour moi, malgré tes vingt ans, excuse-moi pour le mal que je t'ai fait.

A ces mots de réconfort, les sanglots que Jess réprime depuis un moment débordent. Elle pleure à grosses gouttes, elle pleure. Jess pleure sans s'arrêter, elle est tellement soulagée, elle a eut tellement mal, plus jamais, plus jamais ça. Je la réconforte, sèche ses larmes, la prend dans mes grosses mains qui cette fois-ci l'apaise. Des vraies mains d'homme dans lesquelles on peut avoir confiance et se ressourcer.

- Je t'aime ma petite Jessica, je vais sortir doucement, et tu n'auras plus jamais mal.

Avec beaucoup de douceur, les mains posées sur ses petites fesses, je commence à sortir précautionneusement ma bite toujours gonflée. Tout doucement pour ne pas la faire souffrir. Un, deux, trois, quatre, cinq centimètres s'extirpent de ses entrailles dévastées. Il en reste encore une vingtaine à extraire. Jess serre les dents à chaque fois que je bouge, elle s'ouvre autant qu'elle peut pour me laisser sortir. Ma fille pousse autant qu'elle peut pour accélérer la manœuvre. Jess souffre, mais la délivrance se rapproche. Six, sept... mon enfant se retourne pour voir où j'en suis, huit, neuf, dix, "cueillir des cerises"... Et là Jess voit sur ma bite des petites gouttes de sang d'un rouge très profond, oui comme des cerises, du sang qui s'écoule en direct depuis les plaies que j'ai ouvertes à l'intérieur de son corps. Jess saigne, elle saigne du cul, et ça n'en finit pas. Ma sauvagerie aura fait des ravages qui lui laisseront des séquelles à vie, comme elle le découvrirai plus tard.

Onze, douze, treize, quatorze, quinze, ça glisse plus facilement maintenant, son sang lubrifiant malgré lui cette chose monstrueuse qui lui rend sa liberté. Jess sent très profondément son gland repasser ses anneaux à l'envers, ce qui manque de la faire tourner de l'œil. Heureusement, moi, son propre père incestueux, lui donne des petites claques qui l'empêche de s'évanouir.

- Hé, reste avec moi, tu es toute pâle, il faut qu'on s'occupe de toi ma petite Jessica!

Seize, dix-sept, dix-huit, je ralentit... dix-neuf, vingt, plus que cinq! L'imminence de la fin de son calvaire la remplit de joie. « Je t'aime Papa, merci, merci, prends-moi dans tes bras, oui comme ça, serre-moi fort, console-moi, réchauffe-moi, j'en ai tellement besoin... » pense ma fille. Mes bras font le tour de sa taille, la caresse, lui font du bien. Vingt-et-un, vingt-deux, vingt-trois, on y est presque, il ne reste que deux centimètres de mon gland dans le corps de ma fille.

- Jessica, je t'aime beaucoup, et pour me faire pardonner, je vais te faire un cadeau.

Jess se détends, elle s'apaise, d'une certaine manière. Ma fille ne s'est jamais sentie aussi calme et heureuse. Un cadeau? Peu importe, du moment que ça s'arrête, que tout ça s'arrête et ne revienne plus jamais. C'est ça le cadeau dont Jess rêve.

- Ma petite chérie, je vais à présent te donner ton cadeau...

Je lui chuchote cette phrase à l'oreille, d'une voix douce. Je pose alors mes mains sur ses fesses, les serre pour enfin terminer ma douloureuse extirpation pour elle... quand soudain, je me crispe sur ses fesses et d'un coup de bélier dévastateur, d'un coup d'un seul, je la poignarde à nouveau de toute ma longueur! Un choc épouvantable, une percussion ahurissante qui cogne et résonne dans tous ses os, l'impression que tout son corps vient de se briser sous cet impact meurtrier. Une surprise totale, une trahison de plus. Jess en a le souffle coupé l'espace d'un instant, incrédule, hébétée, assommée. « Non, il avait promis, il avait promis qu'il arrêterait! » pense mon bébé. Ça allait être fini, ça allait ne plus recommencer! Je le lui avais promis! Un cri de bête sacrifiée s'échappe alors de sa poitrine, mélange de souffrance, d'injustice, de terreur, de chagrin, d'impuissance, de colère aussi.

- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrghhh!

Petite conne! Tu croyais vraiment que j'allais m'arrêter? Mais que tu es naïve ma pauvre fille, tu ne l'as pas encore eue ta punition!", Je tonne ma phrase avec un sourire sadique.

Arrête, arrête, arrête, arrête, arrête, s'il te plaît... Aaaaaaaaahhhh... tu me détruis là, arrête, c'est dégueulasse...

Je n'ai que faire de ses suppliques, j'ai joué avec elle. Mon jeu est allé bien au-delà de mes espérances les plus folles.J e lui ai donné de l'espoir, Jess a espéré follement, ma fille m'avait presque pardonné, elle était prête à faire ce que je voulais, elle le sera, mais différemment... Maintenant je la brise comme du cristal. Je l'ai trahie, c'est un peu le but d'un viol, n'est-ce-pas? Mais surtout je jubile de la réussite parfait de mon plan. Jess sent une rage folle bouillonner dans ses entrailles, une rage qui évince sa douleur. Ma fille rugit comme une bête en échappant à mes bras. Avant qu'elle ai pu se soustraire à ma prise, je lui donne un grand coup de poing dans le dos qui la stoppe net. Coupant court à tout espoir de fuite. Jess s'écroule sur son lit, cassée, en pleurs, ma chose, plus énorme que jamais, dans son derrière. Sans n'avoir plus rien à quoi se raccrocher. Son avenir se bouche, sa vie n'a plus de sens, tout cela ne veut plus rien dire. C'est donc ça la vie? C'est donc ça sa vie?