Dépravation Finale - La Chienne

BÊTA PUBLIQUE

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Enfin, Madame m'engoda.

C'était la première fois. Sandra choisit le buttplug. Un gadget télécommandable, à distance, bien sûr. Un gode anal, un peu volumineux, mais surtout très résistant ce qui, pour ce genre de gadget, veut dire très autonome. Madame ne s'embarrassa pas de préparatifs. Elle me vaselina le cul, m'enfourna le gode. Je criai un peu et j'étais godée. Elle vérifia que le renflement empêchait bien tout échappement de cet accessoire. J'étais bien verrouillée. Elle activa la vibration de l'engin sur son smartphone, et... je me mis à couiner de plaisir. J'étais bien incapable de décrire la sensation, mais ça ne ressemblait à rien de ce que j'avais connu. Elle stoppa sur un : « Ça marche! » Et elle verrouilla une laisse de chien sur mon collier avec un cliquetis métallique.

— Voilà, c'est bon, vous pouvez y aller, dit Madame.

— Comme ça? s'étonna Sandra.

— Mais oui, mais oui.

— Mais c'est que... la balader à poil jusqu'à la voiture, je sais pas...

— Mais si tu pourras. Ça fait partie du plaisir, de son plaisir. N'oublie pas, tu dois lui donner du plaisir! Tout en prenant. Tu verras, c'est jouissif!

— Mais comment je fais si...

— Tu trouveras. C'est pas compliqué. Et puis t'as vu l'heure, c'est une petite rue, y'a pas foule, pour pas dire personne. Au pire, un SDF qui ronque dans un coin.

— Ça t'excite de te balader tenue en laisse à poil dans la rue? me demanda Sandra.

Je dus avouer piteusement que c'était un des fantasmes sur lequel je me masturbais le plus.

— Bon, alors d'accord, allons-y, admit Sandra.

***

Nous descendons les marches de l'escalier en bois sur la pointe des pieds. Sandra trouve que l'on fait trop de bruit. Je suis pieds nus, je ne fais aucun bruit, à part quelques planches qui grincent, mais la nervosité de Sandra est palpable. Je sais que Madame nous observe grâce à mon collier. Même si la luminosité n'est pas très forte, on distingue nos silhouettes. Toutes les lumières des appartements sont éteintes, à moins de rater une marche et de créer un bruit énorme, personne ne risque de nous voir. J'ai hâte d'être dans la rue. De faire ce que je n'ai pu faire avec Antoine lorsque nous ne nous sommes pas débarrassés de nos hardes : marcher nue dans la rue. Et en plus tenue en laisse! Comme une chienne... ou comme une esclave. J'espère que Sandra sera un peu plus décidée, moins craintive.

Les marches grincent. Sandra tire sur ma laisse. Je me fige. Elle me fait signe de m'accroupir. Qu'a-t-elle entendu? La porte d'entrée! Elle s'ouvre! Et avec elle la lumière d'un lampadaire de rue s'infiltre dans le hall et découpe la silhouette d'un couple enlacé. Deux hommes! Deux jeunes hommes apparemment. Un des deux baisse rapidement le futal de l'autre et le retourne contre l'immense portail avant que la porte de service soit refermée, laissant la lumière de la rue détailler la scène. Sandra s'est collée contre mon dos. Nous observons, fascinées, d'autant qu'aucun des deux ne se soucie de refermer la porte : la lumière de la rue les illumine nettement. Il est clair que les deux gars profitent de l'abri fourni par le hall pour s'envoyer en l'air. Le gars appuyé contre le portail, pantalon sur les chevilles a relevé son tee-shirt jusqu'aux épaules. Son copain le caresse habilement. Il l'embrasse descendant du cou jusqu'aux fesses, s'attardant dans les profondeurs de la raie. Son but est évident.

— Il est bien musclé, me souffle Sandra dans le creux de l'oreille.

— Qui?

— Celui qui a le joli cul rebondi, tiens donc.

Je sens sa propre chaleur m'envahir peu à peu. Nous jouons les voyeuses involontaires, mais je ne me sens coupable de rien.

Le second type baisse son froc. Sa bite est prête. Probablement autant que le cul de son complice. Il écarte les fesses de son amant qui bascule vers l'avant, prenant appui sur le portail. Dans mon cou, le souffle de Sandra accélère, elle attend le moment crucial. Le gars actif présente son membre et pousse légèrement tenant sa bite d'une main ferme. L'autre lui répond de petits coups de reins. Je saisis la main de Sandra et la plaque sur mon sein. Elle serre, j'amplifie sa pression. Elle gémit son approbation et me saisit l'autre sein. Les douleurs récentes infligées à mes nichons me font atrocement souffrir, mais beaucoup moins que le plaisir que cela me procure. L'homme pénètre l'autre d'un seul coup, violent, possessif, dominant. Tout de suite leurs mouvements se synchronisent, et le bois de la porte crisse en rythme.

Une main de Sandra descend sur ma vulve entre mes cuisses offertes à son exploration. Elle trouve ma chatte accueillante, la gueule ouverte, les lèvres humides de bonheur. Ses doigts s'enfournent sans hésitation et me branlent fermement. Je jouis presque immédiatement, en éjaculatrice précoce, dans un silencieux mélange de douleurs et de douceur. Je ne peux m'empêcher de remercier Sandra en lui léchant les doigts. Nous échangeons un baiser. En bas, le gars se retire prestement de son fourreau pour éjaculer sur les fesses de son compagnon. Ils remontent leurs frocs respectifs et se barrent furtivement en laissant la porte ouverte.

Nous finissons de descendre l'escalier. Quelque chose a changé en Sandra, je le sens. M'avoir fait jouir dans ce lieu ouvert lui a donné de l'assurance. Nous ne sommes plus enveloppées par l'obscurité, mais découvertes par la lumière. Me voir nue devant elle crée une différence pour Sandra, je suis plus qu'un concept, je suis une femme qu'elle a fait jouir. Elle hésite moins, elle tient ma laisse fermement. Je suis un peu plus qu'une ombre nue qu'elle tient en laisse, je suis une femme réelle dont elle doit accepter la soumission. Elle commence à assumer son statut. Nous arrivons à la porte, Sandra passe la tête dehors et vérifie la rue. Personne. La ruelle est étroite et mal éclairée, mais suffisamment pour qu'on nous voit distinctement. La voiture de Sandra est garée bien plus loin : « Si j'avais su..., marmonne-t-elle. »

Sur le trottoir, mes tétons hyper sensibles, tendus par les piranhas, détectent la fraicheur de la nuit. Sandra a voulu les retirer, un portable a sonné. Nous avons sursauté, surprises, ne sachant trop d'où venait ce bourdonnement. Au bout de quelques secondes, j'ai compris et j'ai montré le sac à main de Sandra, mon portable y buzzait. Sandra a décroché, avant les quinze secondes fatidiques. Je n'ose imaginer l'effet qu'aurait produit sa sonnerie tonitruante sur le calme de cette rue plongée dans le silence de la nuit. Madame est apparue sur l'écran : « Tu ne dois pas avoir pitié! a-t-elle dit. Tu les retireras lorsqu'elle l'aura mérité, pas avant. » Elle a raccroché aussitôt.

Sandra me regarde interloquée. Je lui désigne mon collier.

Sandra décide de nous faire traverser la rue, du côté où les voitures sont stationnées. Ainsi elle pourra me dissimuler si quelqu'un approche. L'inconvénient est que c'est également le côté de la rue éclairé par les lampadaires. Je sens que Sandra a l'impulsion de courir ou de presser le pas tout du moins, mais nous avançons précautionneusement. Je ne sais pas pourquoi, je marche sur la pointe des pieds et Sandra n'arrête pas de scruter les alentours. Soudain, un bruit de moteur qui ralentit, Sandra m'ordonne de m'accroupir derrière une voiture ; elle reste debout, tentant d'apercevoir la source du bruit. Un claquement de portière, une brève conversation confuse, le vrombissement du moteur qui redémarre, un jeune type qui chantonne. Je le vois qui monte sur le trottoir à moins d'une vingtaine de mètres de nous. Il semble gai comme sa chanson, une chanson éméchée. Nous ne pourrons pas lui échapper. Je me lève et me place derrière Sandra.

— Vous z'aussi vous jouez aux jeux à gages, gueule-t-il en nous apercevant. Mais... mais z'ont l'air p'u marrants, les vôtres... moi, m'ont bourré la gueule. Mais... mais... oh putain! T'es tenue en laisse! En plus d'êt'e à poil, c'est, c'est génial'ment sexe vot' jeu!

— Moins fort jeune homme, intervient Sandra alors que le gars la contourne pour me détailler.

— D'ac, d'ac', hoquète le jeune. Les soirées étudiantes, c'est pas si bien que les soirées mémères! T'sais qu't'es jolie? J'habite là-haut...

Le jeune désigne l'immeuble un peu vieillot un peu plus loin d'un doigt hésitant.

— Si t'veux on monte, on baise! Et merde, je suis trop... bourré! J'pourrai pas!

— De toute façon t'es sûr que t'as l'âge, gamin?

— Et co... et comm... et comment! J'ai mêm' l'âge de me biturer la... gueul'... vain et un zans, M'dam! Eh, voui...

Il rigole en s'appuyant sur moi.

— C'est, c'est dommage, hein? J'aime bien les vieilles... 'scuse, les matures. Surtout quand l'sont b'en gaulées com' toi. Ah, p'tain, j'aim' ta chair, finit le gamin en me triturant les nichons.

Il me rigole à la figure, je peux sentir son haleine. À l'évidence, il a mélangé les alcools et il me sourit béatement. Je ne peux m'empêcher de le trouver mignon avec ses bouclettes dans ses cheveux blonds et ses joues poupines. La situation est comique. Sandra trépigne. Bouclettes a posé sa joue sur mon épaule et il me pelote un sein, il fait mine de le téter. Il remarque le piranha au bout du téton.

— C'est kwa ça?

— C'est une pince à nichons, répond Sandra. Ça fait partie du gage!

— Aaah! Cool! Et ça fait mal?

— Oui, c'est même fait pour, exagère-t-elle.

— Z'êt'es du genre SM alors... dit le jeune en me pelotant de plus belle.

La situation commence à m'exciter passablement. Je n'ai pas envie de monter chez l'étudiant. J'ai envie de lui, là, sur le trottoir. Je ne suis pas sa mère pour le bercer dans mes bras et le dorloter. Non, non. Si je suis tenue en laisse, c'est pour être ravalée au niveau de l'animale, pour être baisée, là, sur ce trottoir, dans cette rue, pour être prise à quatre pattes, bestialement, comme la chienne en chaleur que je suis devenue. Je plaque ma main entre les jambes de l'étudiant. L'enfoiré a raison, il est mou. J'ai beau serrer, remuer, frotter, il râle de plaisir, mais cette bite ne se décide à prendre aucune raideur. Le poupon bande mou. Il ne sait pas ce qu'il rate ce jeune con, me faire prendre en levrette par un chérubin de vingt et un balais sur un bout de trottoir de la cité, lui offrir une cravate de notaire pour lui faire cracher sa purée sur ma gueule, me faire enculer et traiter de vieille salope dégénérée, voilà les images qui se bousculent dans ma tête. Oh! J'ai honte! Oui, ça, oui, j'ai honte! Mais cette honte m'excite encore plus. Et ce mignon blondinet qui ne peut pas me calmer. Bouclettes répond juste en me malaxant un peu plus le nichon. Je désespère! En plus, c'est agréable ce qu'il me fait!

— Tu devrais rentrer te coucher, lui soufflé-je à l'oreille. Tu feras mieux demain.

— Oui, merci, m'man.

Je pense : « De rien, petit enfoiré. » Quand soudain, mon cul se met à vibrer. De plus en plus fort et en accroissement rapide. Je gémis, je geins. Je supplie l'étudiant, je l'implore : « Continue à me malaxer les nichons, même si c'est douloureux, surtout si c'est douloureux! » Le jeune entend le bourdonnement mais ne comprend pas. Je glisse des bras du jeune jusqu'au sol pour me retrouver à quatre pattes. Le bruit du gode est manifeste, je vois le jeune gars penché par-dessus mon dos en train d'observer mon cul. Il touche le socle du plug. Sandra lui explique, mais il a compris malgré son ivresse.

Je suis joue contre terre, l'esprit plein de mes images dégradantes qui ricanent de concert avec ma libido pervertie. Elles se foutent de ma gueule et ne me font aucun cadeau, impossibles à satisfaire les salopes! Je me branle le clito, alternant avec des pénétrations impitoyables, violentes et déchainées. Les lèvres de ma vulve, trempées d'un désir trop longtemps refoulé, émettent des bruits de succion gluante comme si elles ne voulaient pas libérer mes doigts de leur emprise. Je supplie le vide ; « Baisez-moi, baisez-moi! » Je dandine mon cul vers le ciel des catins, dans l'espace pervers qu'elles arpentent, j'aguiche les fantasmes errants dans la pénombre, j'implore qu'on me défonce, mais seul le plug vibre à toute berzingue au fond de mes tripes. Je les conjure : « Insultez-moi, avilissez-moi! » mais rien ne sort, je suis seule sur ce bout de trottoir à me branler en dépravée ignoble pour jouir en chienne solitaire.

Enfin, un frisson me transperce la colonne vertébrale et me secoue, faisant jaillir des feux d'artifice de tous les recoins obscurs de mon esprit. Je jouis. Seule, sans même la gueule d'un péquin braillant à travers sa fenêtre des insultes me traitant de salope.

***

Je retrouve mes esprits, affalée sur le trottoir. Il ne s'est pas écoulé beaucoup de temps, mais j'ai débranché mon cerveau. Ça m'arrive parfois lors de jouissances intenses pour ne plus être "moi". Je ne sais plus ni qui, ni quoi, ni même pourquoi je suis là. Je ne suis plus que pure sexualité. Je reprends pied peu à peu.

Le jeune étudiant n'est plus là. Sandra me regarde, je ne sais pas lire son regard. Elle tient ma laisse comme elle tiendrait la laisse d'une chienne dont elle attendrait qu'elle finisse ce qu'elle a à faire, flairer un truc, pisser un coup.

— On y va? Tu as assez trainé comme ça! grogne Sandra. On va finir par avoir des ennuis.

Elle tire sur ma laisse pour m'inciter à me lever et la suivre. Mais je suis toujours une chienne dans ma tête, mon fantasme est là et je veux le vivre une fois dans ma vie. Je la suis à quatre pattes. Je suis une chienne. Une vraie. Je suis sa chienne.

— Ça va pas, non? fait-elle sur un ton outré.

— Tu me préfères esclave nue? Râlé-je.

Elle stoppe et me considère. À ce moment, je sais qu'elle ne s'attendait pas à ce qu'elle découvre de moi et que je m'efforce de lui faire comprendre. Moi-même, j'ai beaucoup de mal à croire ce que je suis en train de faire, mais ma vie défile et se défile, et mon corps fout le camp plus vite encore que mes espoirs. Mes fantasmes sont méprisables, peut-être bien. Peut-être bien que je le suis encore plus. Mais sans les vivre au moins une fois, j'aurais l'impression de ne pas avoir vécu complètement. Sandra réfléchit.

— Comme tu veux, dit-elle.

Et elle tire à nouveau sur ma laisse.

Je la suis en me dandinant. Le bitume usé du trottoir râpe la paume des mains, je m'efforce de ne pas poser les genoux au sol. La fraicheur de la nuit lèche ma vulve humide de chienne heureuse.

La petite ville dort. Une seule voiture croisée au carrefour. J'ignore si le conducteur ou la conductrice m'a remarquée, la voiture a continué sa course passant au feu vert sans ralentir. Sandra m'a fait traverser sur le passage piéton. Je n'ai jamais eu aussi peur. Je n'ai jamais autant senti mon cœur sur le point d'exploser. Dire que j'étais excitée n'est pas suffisant, j'étais survoltée par l'adrénaline. Une fois rendue dans le petit jardin de l'autre côté du passage, j'ai cru que je ne pouvais plus respirer et... je me suis pissé dessus! Un flot ininterrompu a coulé sur mes cuisses. Je ne pouvais pas me retenir, et je ne cherchais pas à le faire, car c'était plus qu'un soulagement, une véritable jouissance. Une jouissance d'un type inconnu. Comme un premier orgasme.

Sandra ne m'a fait aucune remarque. Arrivées à sa voiture, elle extrait une sorte de couverture du coffre qu'elle place au pied du siège passager avant.

— Grimpe! m'ordonne-t-elle.

Je monte et me pelotonne sur la couverture. Sandra démarre. De temps en temps, elle me lance un regard inexpressif. Puis, elle m'explique qu'elle m'emmène chez elle puisque je suis à poil et que je ne peux rentrer chez moi comme ça à cette heure.

— Tu as des clefs de ta maison chez Amélie ou au magasin?

— Au magasin. Chez Madame, je n'avais que mes vêtements.

— Bien, demain je récupèrerais tes clefs et j'irai te chercher des habits. Tu pourras retourner chez toi habillée, tu devras trouver une explication pour ton mari.

— Merci.

— Ne me remercie pas, augmente-moi. Pour la boutique, je dirai que tu as pris un jour ou deux. Mais on va arriver chez moi, et tu es à poil. Donc, même s'il est plus de trois heures du mat', il faut faire gaffe qu'on ne te voit pas dans mon immeuble, je n'ai pas l'intention de passer pour une perverse qui balade une salope à poil, tenue en laisse.

— Ça te déplairait tant que ça?

— Déconne pas avec ça. Il y a des gamins. De plus je suis locataire et je peux me faire virer.

— Je pourrais te reloger!

— Baah... Au fait, tu veux que l'on continue comme ça? Genre rapports de domination avec insultes dégradantes, ou tu préfères un rapport plus... disons plus normal?

— Comme tu auras envie, c'est toi qui décides.

— En toutes circonstances?

— Disons qu'à la boutique, sois discrète en présence des autres, s'il te plait.

— Okay. Tu vois que toi aussi tu es sensible à ton environnement.

***

Je brûlais d'exhiber ma nudité jusqu'au dernier moment. Sandra a réagi comme Antoine. Elle a exigé que je m'enroule dans la couverture. Je lui avais laissé le droit de décider de tout en toutes circonstances, je me suis inclinée et j'ai obéi. J'étais déçue de ne pouvoir vivre mon fantasme jusqu'au bout. Je me voyais grimper les escaliers à quatre pattes.

Elle a appelé l'ascenseur, nous sommes montées au troisième, et arrivées jusqu'à son appartement sans rencontrer personne. Tandis que Sandra retirait le plug de mon cul et les pinces de mes seins, je me remémorais le conseil que Madame avait donné à Sandra : « Ça fait partie du plaisir, de son plaisir. N'oublie pas, tu dois lui donner du plaisir! » Je me demandais si j'étais trop exigeante envers Sandra.

— Comme tu veux être une chienne, tu dormiras sur la couverture au pied de mon lit!

Je me roulai en boule sur cette couverture pas très propre. Mes cuisses souillées de ma propre urine. Sandra ne m'avait pas ôté le collier. Ni décroché la laisse.

Elle m'acceptait telle que j'étais en fin de compte.

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8 Commentaires
DrickcDrickcil y a 4 mois

J adore vos récits, vivement la suite

Merci a vous

Plaisirs54Plaisirs54il y a 6 mois

Pour le vivre, la soumission en situation de travail est une façon de lier plaisir et obligations professionnelles de manière agréable.

Belle histoire quoiqu'il en soit.

APVapvAPVapvil y a 7 mois

Excellent texte. La tension entre les personnages etbsurtout l'arrivée d'une nouvelle participante... j'aime.

marco_solomarco_soloil y a 7 moisAuteur

Merci à tous ceux qui lisent et commentent.

Deux réponses rapides :

j’aime changer mon style, sinon je m’ennuie. Et l’humour et la dérision me paraissent un bon pas de côté dans cet univers qui a tendance à se prendre un peu trop au sérieux (cf ma réponse à une anonyme dans un autre post).

Pour l’évolution de cette histoire, contrairement à mon habitude, j’ai décidé de la laisser aller au fil de l’eau. J’accumule les idées sans contrainte… et quand il y en a assez, je les rassemble et je commence à les lier. Ce qui explique l’absence de chapitres… et les délais.

Sinon, Aurailiens, merci pour la sixième étoile.

AurailiensAurailiensil y a 7 mois

Pas de 6ème étoile ? L'idée de l"entretien d'embauche est excellente. L'ambiguïté de cette relation qui se met en place est aussi intéressante qu'excitante. Merci

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