Decouverte Du Plaisir Avec Maman 02

BÊTA PUBLIQUE

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- Continue mon trésor je t'écoute

Elle se dirige vers la porte en disant :

- Viens! suis-moi, tu finiras de me narrer ta journée dans la salle de bains, je vais me démaquiller et prendre une douche

Je la suis donc en devisant mon regard sur ses fesses splendides

Je m'assieds dans son fauteuil d'osier et la regarde faire, tout cela en définitive me parait simple à moi aussi, je suis subjugué par son aisance devant moi et je ne veux pas être en reste. En agissant avec cette spontanéité, je pense que maman veut nous faire admettre inconsciemment que nous vivons, elle et moi, une relation normale entre une femme et un homme qui s'aiment, vivent ensemble et sont complices en tout dans leur couple. Toutes gênes doivent disparaitre, toutes culpabilités ressenties bannies à jamais, tout nos actes deviennent innocents de fait. C'est tout mère, elle me surprendra toujours pour sa facilité d'allouer aux actes une tolérance légitime du moment que cela est admis par nous, j'entends par là le cercle familial

En conséquence, je regarde maman nue se démaquiller, puis après cela elle me dit :

- Je me douche, je ne t'invite pas car je devine comment cela finirait, je préfère retarder le moment crucial où je te donnerais mon corps, tu comprends mon bébé

- Oui maman je ne veux pas gâcher ce moment par des pulsions désordonnés

- Tu sais quoi, mon bébé, tu me troubleras toujours par cette maturité à rester calme alors que ton désir est brulant, tu es un amant merveilleux, je suis heureuse, fortunée que tu sois mon homme.

- Oui Aurélie, je suis ton homme, ton amant, pour longtemps, une éternité, tu es la maitresse de mon corps à jamais...

- Oui c'est à souhaiter moi aussi je t'appartiens, je suis à toi dit-elle en allant sous la pomme de douche

J'apprécie , en ce moment, les douches italiennes , car ainsi je peux voir maman se laver, sous son casque de douche elle me sourit , commence à se savonner parcours son corps avec ses mains emplies de gel, elle se savonne sur tout le corps puis remonte vers son visage, son cou, ses seins elle s'y attarde me regarde en souriant malicieusement, elle les tripote, masse puis , descend sur son ventre fait des ronds et arrive le moment de son pubis elle s'arrête, regarde si je lorgne ce qu'elle fait, alors elle masse de bas en haut sa vulve puis écarte ses lèvres intimes , se plie un peu en écartant les jambes pour que je puisse admirer sa vulve bien ouverte, offerte à ma vision, elle se lave son sexe en faisant semblant de masturber l'ensemble,

Son regard brille et peut voir ma bite enflée par le spectacle qu'elle m'offre. Cela dure elle enfouie ses doigts, au moins trois à l'intérieur, maman me sourit toujours, je guette tous ses gestes, puis elle se retourne se savonne les fesses, passe une main dans son sillon fessier, finit par se plier en deux, se masse les fesses qu'elle offre à ma vue, les écartes pour que je puisse admirer son anus. Elle savonne avec une main pendant que l'autre maintient l'écartement. Je la vois se mettre un doigt, puis deux dans son trou, elle tourne les doigts cela me parait une éternité. Elle les sort, les remets, se masturbe le cul carrément devant moi.

La métamorphose de mère m'enchaine encore plus d'avantage à elle. Je la remercie mentalement de ce spectacle où elle me signale qu'elle m'appartient, qu'elle se donne à moi, qu'elle se soumet à notre union corps et âme. Je bande, n'en pouvant plus je commence à caresser ma bite.

Maman alors se redresse, me regarde de son regard lubrique que je commence à connaitre et dit :

- Bébé, surtout ne jouis pas, pas maintenant, gardons-nous pour tout à l'heure. Tu auras tout le loisir d'inonder mon minou dit-elle en se rinçant rapidement de peur que je me finisse sans doute,

- Trésor, prends une serviette et vient m'essuyer, amour j'ai envie de sentir tes mains sur mon corps

Je m'exécute, j'ai de nouveau, le corps de mère dans mes mains. Je prends un temps conséquent pour profiter de l'instant, je caresse, sèche, masse son corps, dans tous les replis possibles

Maman me prend la serviette des mains s'enroule dedans, me donne un baiser et dit

- Viens! on va diner vite fait mon amour. On va manger léger puis ensuite on filera dans la chambre

- Es-tu d'accord? mon trésor

- Oui maman, on va faire ainsi, j'ai hâte de t'avoir dans mes bras

Inutile de vous dire que le diner fut, en ce qui me concerne, le plus rapide possible. Dès que maman a terminé de manger, je débarrasse ce qui fait sourire maman

- Tu es bien pressé ce soir trésor, dit-elle d'un ton ironique

- Oui, je ne peux rien te cacher, j'en tremble tellement. J'ai hâte mon amour

- Je te comprends mon chéri, il en est de même pour moi, même si je fais l'imperturbable, je ne sais pas où l'on ira tous les deux, loin, trop loin, pas assez loin, dans nos gestes, nos désirs, nos envies, mais je suis sure qu'une fois dans les bras l'un de l'autre on saura...

Le contraire de moi, maman fait les mêmes gestes, prend le temps de tout nettoyer, met tout à leur place, le tout sans précipitation.

Arrive enfin le moment où l'on passe d'ordinaire au salon, lieu de mes masturbations avec maman, on s'y dirige, maman devant moi, une fois sur place, elle se retourne me donne un baiser d'amour, me caresse la nuque, me serre contre elle, laisse tomber sa serviette éponge qui lui sert de tenue depuis la sortie de la douche. D'avoir son corps nu contre moi me donne une érection spontanée, mère du ressentir la chose car elle vient y mettre une main pour caresser mon sexe. Elle glisse un doit dans l'élastique de mon boxer et le fait tomber à mes pieds. Nos deux corps se serrent l'un contre l'autre, bougent pour mieux ressentir sur nos dermes les contours.

- Tu sais trésor, on va aller directement dans la chambre, le confort sera meilleur et plus adapté.

- Je suis d'accord mon amour, cela sera mieux pour notre premier grand ébat amoureux.

Maman prend mon sexe, bandant bien, par la main et m'entraine vers le lieu de nos futurs délires incestueux, j'en suis terriblement ému sur ce chemin de notre apogée sexuel tellement désiré.

J'emboite le pas derrière maman, le cœur battant, des tas de sensations traversent mon corps. Je passe dans tous les états et cela sur dix mètres, nous voilà dans la chambre, maman se retourne, me regarde, sourit, je suis certain qu'elle a deviné mon désarroi et mon désir de l'aimer. Elle me prend les mains m'attire vers le lit, elle s'assied sur le bord, me serre contre elle, couvre de baiser mon ventre, relève la tête, me regarde puis dit :

- Mon trésor, tu es magnifique, beau, merveilleux. Viens me rejoindre et sois mon amant, mon homme, j'en ai trop envie depuis si longtemps, je suis à toi bébé je t'appartiens...

Elle recule sur le lit sans me lâcher de sa main gauche, elle s'allonge sur le lit de l'autre côté, je suis le mouvement, m'étend moi aussi près d'elle. Je touche son corps sur sa longueur, j'en ai la chair de poule. Je me mets sur le flanc, regarde maman, j'admire son corps, le caresse des yeux, elle ne bouge pas, ne dit rien, elle doit savoir que je me délecte de ce corps tant convoité tel un fruit défendu. Cela me semble une éternité, moi qui est tant échafaudé des tas de scénarii, et dans ces scénarii je me comportais fougueusement, ardemment, me projetant sur son corps avec concupiscence. Alors qu'à l'instant je n'ai qu'une envie, celle de couvrir maman de douces caresses, de baisers doux, ce que je fais en commençant par son visage, que je trouve le plus beau du monde. J'effleure ses joues, plonge mon regard dans le sien pour lui signifier tout l'amour que je lui porte. Je baise son cou, sa peau si délicieuse, le caresse avec bonheur. Mes mains descendent par caresses subtiles sur ses épaules. Je longe sa poitrine, tâtent ses seins, les soupèse, je les baise suavement, suce ses tétons en continuant mes caresses. Je m'attarde, je suis bien sur ces lieux tant brigués depuis nos premiers émois partagés. Les tétons durcissent, s'allongent, sa poitrine durcit un peu, maman aime...moi aussi.

Mes lèvres s'aventurent sur son ventre, tournent autour de son si beau nombril. J'y pose mes joues. J'aime la peau de maman, la toucher m'envoute. Mes mains longent ses flancs, arrivent sur ses hanches, mes lèvres atteignent le pubis. Je masse ses cuisses jusqu'à ses genoux puis remonte. Une de mes mains tente de s'infiltrer entre ses jambes, maman les écarte un peu. Je m'immisce, frôle son sexe, un de mes doigts essaie de séparer ses lèvres intimes, Une fois fait, je constate une humidité anormale, mère mouille, je cherche son clito, le trouve aisément, il est dilaté. Ma maman d'amour aime... moi aussi.

Maman se met sur le flanc, m'embrasse et me fait mettre sur le dos, elle m'applique ce que je lui ai fait, c'est un délice, je suis dans une hébétude exquise. Je bande au possible, maman arrive à ma queue, la suce puis se redresse, me chevauche. Je sens ses cuisses de part et d'autre de mes flancs, elle s'assied sur mes jambes, caresse ma bite, se redresse, passe le prépuce de mon sexe dans sa fente, humide au possible, tourne autour de son clito revient dans ses lèvres, tourne autour de l'entrée du vagin, elle immobilise ma queue à l'entrée, je la regarde, elle fait de même. On se regarde maman à son regard lubrique, c'est le moment. C'est l'instant tant attendu de nous deux.

Un sourire, qui n'en est pas un, sur les lèvres de mère, son regard devient intense, le mien doit être brillant de mon envie, elle commence, très, très lentement à s'assoir sur ma queue, je pénètre en maman. Je sens ses lèvres qui s'écartent, je ressens les parois du vagin qui sont un étui merveilleux à mon sexe. Celui-ci avance à l'intérieur de maman, à son gré sa vitesse, maman ferme les yeux, voilà je suis en totalité en elle je sens ses fesses sur mes couilles, Je possède maman, mon rêve, le plus fou, est exaucé, je suis bien, formidablement bien, je suis enfin en elle. Maman ne bouge pas, reste ainsi un certain temps, depuis que nous sommes sur le lit aucune parole ne fut prononcé, ni par moi ni par mère.

Elle se plie, vient sur ma poitrine, je sens ses seins contre la mienne, elle m'embrasse d'un baiser d'amour, interminable, je sens les contractions musculaires de son vagin sur ma queue...

- Mon bébé, tu es en moi, tu me possèdes, je sens ta queue qui me comble, elle arrive au col de l'utérus, je suis tienne, je t'aime, je t'aime mon fils, c'est bon de te sentir en moi mon amour

- Moi aussi je suis bien dans ta chatte, maman je suis à toi, je te veux pour toujours, tu es mienne.

Maman se redresse en s'appuyant de ses paumes sur ma poitrine et commence des allers retours sur ma bite en relevant son fessier. Je sens sa cyprine qui mouille ma bite, cela glisse, me ravit de plaisir de sentir les parois de son vagin qui compresse mon sexe. Maman tient sa tête en arrière, je caresse ses seins avec mes mains, les triture, serre ses tétons.

Le mouvement des hanches s'accélère, je participe en aidant maman avec mon corps que j'arque, parfois à contrecourant, en fait je n'ai pas l'habitude, c'est quand même une première. Je prends maman par les hanches pour intensifier ma pénétration lorsqu'elle retombe, maman s'active encore un peu plus vite.

- Humm, c'est bon je te sens bien, ta bite est bonne mon amour, je m'empale sur, toi mon bébé, j'en avais tellement envie tu ne peux pas savoir dit-elle des légers gémissements me parviennent aux oreilles.

- Je reviens aux massages fougueux de ses seins, puis je décide, sans raison, ni le pourquoi, de chavirer maman sur le dos, tout en restant en elle, maman suit mes mouvements, sans rien dire. Me voilà sur elle, je replis ses jambes, je veux les poser sur mes épaules, je m'y prends mal. Maman vient à mon secours et les met en place elle-même, me sourit et tends son ventre vers le mien.

- Maman, on fait l'amour, on fait l'amour, je suis dans toi, tu es à moi maman, à moi! Je suis bien en toi, je t'aime. Lui dis-je en pilonnant son sexe jusqu'à son pubis.

- Oui mon amour, on fait l'amour toi et moi, oui prends moi bien fort, oui je suis à toi, je suis pourvue amplement par ton bel objet, je te sens bien en moi, mon bébé, tu es mien. Dit-elle

Je continuai ainsi à piler, maman descend ses jambes, je suis entre ses cuisses elle me serre parfois pour que je reste bien au fond d'elle un instant. J'aime cela aussi. je reste des secondes entières sans remuer au fond d'elle. Je sens ses contractions le long de ma verge, je n'ai jamais connu ce plaisir qui m'envahit peu à peu de la tête aux pieds.

On continue ainsi, je ne sais combien, j'entends maman râler et dire :

- Va plus vite bébé, plus vite

J'accélère mon pilonnage avec une fougue ordonnée.

- Oui, mon amour, oui bien au fond, oui, bourre moi bien trésor, Oui plus vite amour plus vite

J'active plus prestement mes coups de butoir au fond de sa chatte, elle me serre avec ses cuisses. Je sens ses ongles qui s'accrochent à mon échine, ses râles deviennent gémissements. Elle laboure mon dos avec ses ongles maintenant. Elle arque son corps contre mon bas-ventre, je prends ses fesses à deux mains et la colle encore plus contre moi. Elle crie

- Oui, baise-moi, baise-moi bébé, bourre ta mère, ta maitresse, ta femme, ta chienne oui!!! plus fort, plus vite

Je regarde maman, je vois son visage changer, devenir plus beige, ses yeux deviennent vides, maman ressent son plaisir venir de ses entrailles, je connais le processus. Je suis excité de la voir arriver au paroxysme de son futur orgasme.

Ses gémissements se confondent à des plaintes, elle hurle...

- Oui, je jouis, j'arrive, des onomatopées en tout genre me viennent aux oreilles, oui, je jouis amour, je jouis

Elle me griffe carrément le dos, s'arque boute, me trempe de sa cyprine qui découle de son ventre, je suis près d'exploser aussi. Je râle, je m'enfonce au plus loin et lâche mes jets de foutre dans maman. Mère doit les ressentir car elle se remet à gémir de plus belle, se tend à nouveau.

- Oui, oui! jouis mon fils jouis en moi, oh! je reviens je reviens amour je jouis je jouis.

Je reste à l'intérieur de maman, je regarde son visage, celui-ci revient à la normale peu à peu. Je reprends mon souffle, mes esprits, j'ai joui en maman, énorme, incroyable. Quelles délectations subies en si peu de temps. Je suis au summum de tous les délices...

Je m'écroule sur maman, je sens les palpitations cardiaques de mère, elles sont encore rapides.

Elle me caresse la nuque, m'embrasse la joue gauche, me murmure à l'oreille :

- Mon Thomas, mon amour, tu m'as fait atteindre des voluptés jamais ressenties en bravant tous les interdits. Tu es un amant des plus merveilleux, je t'aime.

- Je n'ai jamais joui avec cette intensité, maman, jamais, le fait de jouir dans ta chatte, c'est tellement inouï. Ma première chatte et ma première jouissance dans une chatte, maman tu es sublime pour moi. C'est si merveilleux, maman merci de t'être donné, je t'aime...

- Je suis fière d'être ton pygmalion mon amour. Savoir que je te procure tes premiers émois d'amour sexuel et découvrir que tu es un génial et intuitif amant, que l'on s'aime réellement en tout, tel cupidon le cœur tu me transperces avec ses flèches de voluptés... L'engouement de notre relation d'amour me fait franchir des caps totalement inconnus de mon esprit jusqu'à ce jour. Je t'aime mon fils dans tous les sens possibles du terme.

Je me couche sur le côté de maman, on récupère, on se tient la main. On sait tous les deux que l'on vient de sceller l'acte d'amour possible entre un homme et une femme, maintenant la relation mère- fils est dépassé... On sait que l'avenir va s'agrémenté de rapports nouveaux, mais fusionnels...

Si cela vous a plu, je vous écrirai la suite de notre saga à maman et moi...

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Une histoir sans fin . La chance qui court sur ce garçon une mère que ce donne sans tabou une histoir vrai ou fausse ? En tout cas elle envoûtante en me donnant une envie déchaînée et m’ exhiber de même manière merci

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

pour clôturer cette saga il ne faut plus rien ajouter il faut laisser fantasmer les lecteurs ils sauront finir l'histoire eux mêmes .

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Merveilleux. Belle histoire, bien écrite, sans vulgarité.....

Ça mérite une suite

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Sublime,plus beau qu'un film . merveilleux conteur.aucune grossièreté.longtemps sous le charme après lecture.merci!

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