Damia? Vous avez dit Damia... Fin

BÊTA PUBLIQUE

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J'ai sentis son gland déflorer mon intimité glissante et sa verge très dure s'est enfoncée lentement en moi m'arrachant des cris aigus de douleur. J'avais le souffle coupé.

- Vas doucement mon chéri. Montre lui que tu n'es pas un sauvage. C'est incroyable de voir comment un si petit orifice peut avaler ta bite mon amour. Tu crois que tu vas pouvoir lui enfoncer ton sexe jusqu'à la garde?

- Ne crains rien ma colombe, je suis sûr qu'il aime justement les sauvages. Regarde comme son trou s'ouvre bien. Il n'a pas changé. J'ai comme l'impression qu'on va bien s'amuser ensemble. Il crie peut être fort mais il ne fait rien pour éviter ma bite. Je vais le niquer jusqu'à l'os devant toi ma colombe. C'est bien cela que tu voulais non?

- Vas-y mon amour, sodomise-le, je veux tout voir. Je veux tout apprendre. Toutes les femmes aimeraient voir un homme devenir femme.

- Celui-là, il y a quinze ans, c'était devenu une vraie pute, à la fin, on l'appelait Damia.

- Incroyable que je ne me sois aperçue de rien du tout. Je devais vraiment être trop amoureuse de toi mon chéri. Montre-moi comment on sodomise un homme.

Il a commencé à me tringler en poussant de plus en plus loin et mon cul répondait parfaitement en s'élargissant souplement. Je n'avais plus mal et son gland ouvrait mes entrailles chaudes. Je me suis laissé défoncer devant Sylvie en gémissant de plaisir.

- Regarde-le. Une vraie femelle des rues. Il faut bien balancer les hanches d'avant en arrière et pousser de plus en plus fort. A chaque poussée, ma bite entre de plus en plus loin. Tu vois comme cela.

Khaled me tenait à taille et allait de plus en plus vite dans mon ventre. Ses couilles lourdes tapaient les miennes.

- Je vais bien te niquer. Ton cul s'est bien ouvert. Regarde mon ange, comme il s'offre à mes coups de queue. Tu vois, il a toute la longueur dans son ventre, et il aime ça.

Il a écarté mes fesses pour que Sylvie puisse voir la bite coulisser le long de ma rondelle dilatée. J'allais à la rencontre de ses coups de reins pour que sa bite aille le plus loin possible. Jamais je n'aurais pensé que cette bite m'avait autant manqué.

Je me suis laissé sodomiser devant Sylvie en gémissant de plaisir. Le pieu de l'arabe tapait le fond de mon ventre m'arrachant à chaque fois des petits cris de plaisir. Je sentais son sexe devenir de plus en plus dur, de plus en plus épais. Je savais que Sylvie ne perdait rien du spectacle que nous lui offrions. Moi je me concentrais sur le plaisir retrouvé de me faire casser le cul. Je redevenais la salope d'antan. Les couilles lourdes de l'arabe tapaient de plus en plus vite contre les miennes. Je me cambrais, visage levé vers le plafond. Je serrais le bord du canapé de toutes mes forces en gémissant. Il m'a tiré vers lui de toutes ses forces me faisant crier de douleur.

- Je vais le remplir à ras bord.

Son foutre a jaillit dans mon ventre. Les jets chauds me remplissaient le fion et moi je me tordais de plaisir. Il a lâché toute sa semence tout au fonds de moi. Mon cul était collé contre son bas-ventre et je me laissais remplir les intestins jusqu'à ce que l'arabe se soit complètement vidé les couilles devant sa femme.

Il s'est enfin calmé et je restais immobile en tremblant toujours empalé sur son sexe vigoureux.

- Dorénavant, tu dois obéir à ma femme. Tu feras tout ce qu'elle te demande. C'est elle ta patronne. Tu as compris? Tu vas redevenir Damia. Réponds, tu as compris?

- Oui.... Oui....

- Oui quoi?.....

- Je.... Je suis Damia...

- Et le reste?

- C'est elle ma patronne.

- C'est bien.

Quand il est sorti, mon anus lubrifié à recraché un peu de sperme. J'avais oublié cette sensation de vide et de manque quand on n'a plus rien dans le cul.

- Voilà ma colombe. Tu vois qu'on ne t'avait pas menti en te disant que ton ex-copain aimait se faire niquer.

Sylvie a approché le goulot de la bouteille de coca contre mes lèvres. J'ai bu avidement sans la regarder. J'avais un peu honte, mais en même temps j'étais soulagé. Elle a bien vu que je bandais. Elle avait la voix très douce.

- C'est bien Damien ou plutôt Damia. Je n'ai jamais eu un homme soumis. Je vois que tu as apprécié le sexe de mon homme. Mais ce n'est pas encore fini. Ne bouge pas. Garde la même position, tu es tellement beau comme cela. A croquer!

Je suis resté sans bouger, ne comprenant pas bien ce qu'elle voulait. Rien ne se passait et mon anus relâchait lentement le sperme de Khaled qui coulait le long de l'intérieur de mes cuisses.

Un courant d'air dans la pièce. Quand je veux me retourner pour voir ce qui se passe, Khaled me bloque la nuque sur le canapé. Sylvie reprend:

- Il parait que tu aimes offrir ton cul au premier venu. Tu vas être servi, il me faut une autre leçon.

Je devine que nous ne sommes plus seuls. Sylvie se met à parler en arabe. Du ton hautain d'une maîtresse de maison. Quelqu'un se place derrière moi. Un bruit de fermeture éclair. J'ai juste le temps de dire non avant qu'une queue inconnue m'empale brutalement. Je crie de douleur. Douleur et surprise de me faire prendre sans aucun préliminaire.

La bite me semble énorme. Je ne sais pas qui est en train de me planter une queue d'une telle dimension. Mes yeux s'embuent de larmes et j'entends à peine Sylvie

- Tu es en train de te faire enculer par notre chauffeur et il a été particulièrement bien doté par la nature.

Je gémis comme une femme sous les coups de boutoir de l'inconnu. Moi le dirigeant d'entreprise, marié à une femme que j'adore, père de deux enfants, j'étais en train d'offrir mon cul au premier inconnu devant mon ex-copine. Le pire du ridicule, c'est que j'avais toujours ma veste, ma chemise et ma cravate sans oublier mes chaussettes noires pur fil d'Ecosse.

Le gland tape durement au fonds de mon ventre me poussant contre le dossier du canapé. Je ne peux rien voir mais je sais que Khaled et Sylvie regardent la scène et l'arabe me serre toujours la nuque pour que je subisse la loi de son chauffeur qui me laboure en profondeur.

- Tu vois ma douce, une fois qu'on l'a ouvert, un cul s'habitue vite aux plus grosses tailles.

Je gémis de plus en plus fort.

- Ecoute Damia gémir. Ton ex est une vraie putain. Pire même puisqu'il est gratuit. Regarde c'est loin d'être fini.

Khaled passe à l'arabe et l'inconnu me fait mal en me sodomisant durement. Je crie sans pouvoir me retenir. Il m'écarte les fesses au maximum pour bien montrer mon trou dilaté. Un coup de reins d'une violence inouïe et un torrent de liquide dans mes entrailles dévastées. Les jets sont interminables et mon cul se rempli à nouveau de semence virile.

La bite reste bien fichée au tréfonds de mon ventre. Nous restons immobile quelques secondes. Sylvie dit quelque chose en arabe. La bite sort rapidement. Je lâche un pet. Un nouveau courant d'air dans la pièce. Un bruit de porte. Khaled lâche ma nuque. Je m'écroule sur le dossier.

Devant mes yeux embués, la main de Sylvie tient un tampon périodique qui se balance au bout de sa ficelle.

- Mets le lui ma colombe. Il ne faut pas qu'il tache ses vêtements. Et on n'a plus besoin de son anus pour le moment.

Elle me l'a enfoncé dans mon fion encore dilaté. Jusqu'à la ficelle. Mon trou l'a accueilli sans problème. Elle a pris le même ton autoritaire que son mari.

- Va dans la salle de bain à côté. Tu trouveras une djellaba, c'est bien plus pratique que ton costume. Bien sûr tu gardes le tampon.

J'ai du mal à marcher et je garde les yeux baissés. Honte de croiser leurs regards, ou reflex de soumis. Je ne sais pas. Un peu des deux peut être.

Dans la luxueuse salle de bain, je n'ose pas me regarder dans la glace. je ne pense à rien. J'agis comme un automate. Après une douche brûlante, j'enfile en tremblant le vêtement propre et frais. Le tissu est très fin, presque transparent. J'ai mal au ventre et la ficelle entre mes fesses, me gêne. J'ai envie de jouir mais je ne touche pas ma queue. Je retourne dans le salon.

Ils sont à table en train de manger le dessert. Je me joins à eux. Il y a une énorme corbeille de fruits au milieu de la table. Je n'ose pas parler ni les regarder. Sylvie me tends une banane.

- Mange Damia, il faut que tu prennes des forces. Tu dois aimer les bananes non?

Elle a lourdement insisté sur mon prénom. Impossible d'ignorer le sous-entendu avec ce fruit. Sylvie appuie sur une sonnette devant elle. Quelques secondes à peine et la porte s'ouvre. C'est le maître d'hôtel.

Il me regarde, mais il reste impassible même en découvrant mon pantalon, mon slip et mes chaussures sur le sol devant le canapé. Il va jusqu'à les ramasser pour les porter dans la salle de bain avant de revenir vers nous.

- Tarek?

- Oui Madame?

- Notre invité souhaite un fruit un peu plus consistant qu'une banane. Pensez-vous pouvoir lui trouver quelques chose?

- Bien sur Madame, nous sommes ici pour satisfaire tous les désirs de nos clients. Surtout quand ils sont les invités de Monsieur et Madame. J'ai déposé ce que Madame a demandé dans la salle d'eau. Si Monsieur ou Madame souhaitent autre chose, toute la brigade reste à votre disposition.

- Merci Tarek et bravo pour votre efficacité.

- C'est un honneur pour toute la brigade Madame de vous servir.

Il part en refermant la porte. Sylvie se lève et vient à mes côtés. Un de ses mains fraîches se glisse dans l'échancrure de la djellaba pour me pincer la pointe de mon sein gauche

- Je suis vraiment contente que tu sois là, je sais que tu reviendras souvent parmi nous. Il faudra habituer ta femme, je te préfère complètement épilé comme avant. Il faudra venir avec elle et tes enfants un jour.

J'ai pâlît.

- Non! Non! N'ai aucune crainte de ce côté-là. Rien ne filtrera. Jamais. Fais-moi confiance... Il nous reste encore du temps, je vais me refaire une beauté.

Khaled me regardait et je ne savais pas quoi dire. Il s'est levé au bout de quelques minutes. Je l'ai imité. Je sentais que tout cela ne finirait pas comme cela.

Le tampon périodique occupait toute mon ampoule anale. Il avait dû absorber les trop-pleins spermes. La ficelle me grattait. L'arabe m'a flatté les fesses comme on flatte la croupe de son chien.

- Tu auras ce contrat Damien. Je l'aime trop pour te refuser ce contrat Et tout ce qui se passera dans mon pays sera tenu secret. Tu n'as rien à craindre. Elle a beaucoup de tendresse pour toi.

Puis il a changé de ton.

- Maintenant Damia tu vas aller te mettre à genoux face au canapé.

Il m'a suivi sans lâcher mon derrière.

- Penche-toi. Plus que cela, le torse sur le canapé. Tourne ta tête vers le mur et écarte tes bras. Je te veux offert et aussi soumise qu'une bon trou-à-bites.

Il est venu près de moi, a retroussé la djellaba jusqu'à la taille, m'en couvrant la tête. De moi-même, j'ai écarté les jambes. C'est lui qui m'a débarrassé l'anus du tampon. Sensation de soulagement.

- Il est prêt ma colombe.

J'ai cru qu'elle voulait à nouveau me faire sodomiser par son mari. Je ne voyais rien avec le tissu sur ma tête. J'ai reconnu son parfum. Je n'ai pas compris ce qu'elle faisait. Khaled a pressé sur mes fesses m'obligeant à baisser un peu mon derrière.

J'ai reconnu les douces mains de Sylvie qui ouvraient mes fesses. Puis un truc froid contre mon anus. C'est Khaled à présent qui tenait largement ouvertes mes fesses. Le truc froid poussait contre mon anus. Je ne comprenais pas ce qui se passait.

- C'est bien ma colombe. Comme cela..... Pousse maintenant. Recommence plus fort. Encore... Fais-le plusieurs fois. Ca va entrer d'un coup.

La pression contre mon anus augmente rapidement pour devenir assez forte. Le truc froid ouvre ma corolle. Je ne comprenais pas ce qui entrait dans mon intimité mais c'était épais, très épais. Ma corolle se dilatait douloureusement. Plus gros que le sexe du chauffeur. Les larmes aux yeux, je serrais les dents.

- Vas-y pousse ma colombe.... N'ai pas peur... Pousse encore...

- J'ai peur de lui faire mal...

- Non au contraire plus il crie plus il bande... Et Nasser l'a bien préparé. Vas-y d'un coup sec de toutes tes forces...

Le pilon a ouvert brusquement mon muscle anal, m'arrachant un cri de douleur. Je commençais à comprendre ce qui m'arrivait. La personne derrière moi ne me pistonnait pas et se contentais de pousser pour m'enfoncer l'engin au plus loin possible.

- J'arrive pas plus loin.

- Mais si ma douce, tu vas y arriver... Donne un grand coup de bassin.... De toutes tes forces ma colombe.

J'ai brusquement cru que mon ventre avait explosé sous la pénétration du monstre froid et gluant. J'ai poussé un long gémissement et en même temps, Sylvie s'est collée sur mon dos.

Les yeux injectés de larmes de douleur, j'ai sentis sa main chaude tenir mon sexe dressé contre mon ventre.

- C'est vrai que tu aimes cela et que tu bandes. Il y longtemps que je rêvais de t'enculer Damien. Depuis qu'ils m'ont raconté. J'ai fait fabriquer ce gode spécialement pour toi par un des artisans du souk. C'est un bijoux.

Elle ne bougeait pas. Son bassin bien collé contre mes globes tendus. Moi j'attendais que la douleur s'estompe en cambrant bien mes reins. Elle a lâché mon sexe.

- C'est incroyable que tu puisses bander avec ce que tu as dans ton cul. C'est un slip avec un godemiché. Le gode a la même taille que la bouteille de Coca. C'est Mourad qui m'a dit que tu arrivais à marcher avec un tel engin dans le cul. Maintenant je vais te sodomiser comme un homme ma petite Damia. Ici, ils disent je vais te niquer comme une kahba.

Elle a commencé à me limer et je voyais mille étoiles dans les yeux. J'avais mal, très mal et envie de jouir. Mon visage frottait contre le tissu du canapé. La bite coulissait de plus en plus vite et Sylvie trouvait le bon rythme pour me dévaster les intestins.

- C'est vrai que tu as le trou comme un hall de gare....

Elle haletait et donnait des coups de reins de plus en plus violents. A chaque fois le bout du gode me tapait le fond et me faisait sursauter de douleur. Cela a duré longtemps, très longtemps. J'avais mal et ma bite tendue n'arrivait pas à cracher. Et toujours sa voix douce à mon oreille:

- Ça te quel effet de te faire enculer par une femme? Tu sens comme t'es dilaté? Tu as vingt-cinq centimètres dans le cul. Après ça tu auras du mal à t'asseoir ma chère Damia.

Les pointes de ses seins contre mon dos. Ses jambes fines contre les miennes. Son souffle chaud dans mes cheveux courts. Et sa violence à me défoncer l'anus.

- Tu sais que ce slip se retourne?. C'est une pure merveille. Tu vas voir.

Elle arrête et me libère. Mal au ventre, au cul et honte de bander. Je reste sans bouger. Au bout de quelques seconde de silence, Khaled a pris la suite.

- Lève-toi... Allez Damia debout.

Je suis debout. Mes jambes tremblent. Sylvie est toujours là, mais elle ne porte plus le god. Elle est habillée. Khaled me montre l'accessoire en souriant. Le gode de couleur chair est luisant de gel. Heureusement, il a l'air propre. Un objet magnifique en ivoire ciselé des mêmes motifs que sur la petite bouteille de coca. Il est vissé à une culotte de couleur chair en latex. Sylvie n'a pas menti sur la taille de l'engin. Impressionnant.

Sylvie prend le slip et le retourne. Le gode est à l'intérieur du slip.

- Je suis sûre qu'il est parfaitement à ta taille ce slip. Il faut que ça serre un peu.

C'est elle qui me l'enfile. Je me contente de lever une jambe après l'autre. Elle remonte le slip le long de mes jambes. Bien sur le gode est du côté des fesses. Il est froid dans ma raie.

Khaled l'aide à peine, uniquement pour m'enfoncer de nouveau le gode dans mes reins. Le slip en latex chair enveloppe mes fesses et mon pubis. C'est un carcan serré. Le gode fiché en moi m'oblige à me pencher pour atténuer la sourde douleur dans mon ventre. Sylvie vérifie la bonne tenue du slip et pousse le bout du god pour qu'il entre encore plus loin.

- Tu vas le garder jusqu'à ce soir. Tu resteras chez nous dormir. Tu es notre invité. Mourad viendra aussi. Tu seras ma femelle bien obéissante.

La djellaba retombe. Le maître d'hôtel entre. Il me regarde en souriant très obséquieusement. J'ai mal au cul.

- Vous ramasserez les vêtements de Monsieur dans la salle de bain et les ferez livrer chez nous. Conduisez Monsieur à notre voiture.

- Bien Madame...

- Tarek, Monsieur va avoir un peu de mal à marcher normalement. Il faudra lui faire traverser la salle lentement.

- Je propose à Madame de faire passer Monsieur par les cuisines. Les commis comprendront puisqu'ils ont vu le cadeau de Madame.

- Pourquoi pas! Je vous autorise même à leur montrer, mais personne ne touche. Allez vas Damia suis le. Nasser va te conduire chez nous, mais avant, à ton hôtel pour reprendre ta valise. Ils sont prévenus. A ce soir.

J'ai obéis à ses ordres et suivit le Maître d'hôtel en marchant à l'écarté et en bandant.

Fin

Auteur : André RP95

Ceci n'est que Fiction à partir de faits réels vécus là bas.

Merci de m'avoir lu...

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2 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a environ 2 ans

Beaucoup de plaisir... belle histoire

mecdualmecdualil y a environ 2 ans

les histoires avec des morceau de vrai dedans sonnent toujours différemment des autres

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