Couple Pervers 04 (Voyage de Noce)

Tom ne sait pas où elle veut en venir, mais cela le fait bander de nouveau. Il regarde sa femme qui se met complètement nue et se couche à moitié sur le canapé, le buste juste un peu relevé. Ses cuisses sont légèrement écartées, découvrant bien les lèvres du sexe. Regardant son mari dans les yeux, Justine soulève le préservatif entre deux doigts et le retourne au-dessus de son pubis. Tom voit une goutte de sperme tomber du préservatif sur le clitoris de Justine, qui arrête alors l'écoulement et dit :

« Tu vois, tu aurais pu gicler juste là, tout près de l'ouverture de mon vagin. Cela aurait été dangereux, mais pas trop, surtout si on ne bouge pas... sauf si... »

Justine pose alors son doigt sur la goutte de sperme et en lubrifie son clitoris pour des caresses locales, ajoutant :

« C'est un peu plus dangereux, mais pas trop... sauf si... »

La première phalange couverte de sperme de son index écarte un peu le haut des lèvres, sans s'enfoncer, ne laissant la semence se déposer qu'en surface. Tom est comme paralysé par le spectacle qu'elle lui offre. Puis Justine reprend le préservatif et l'approche d'un petite lèvre. Elle le retourne et étend une coulée de sperme, tout le long, sur toute la crête de la lèvre, vidant quasiment tout le préservatif, avant de préciser :

« Là, c'est vraiment tout près et il y en a beaucoup. Ce sont des millions de tes spermatozoïdes qui sont prêts à aller féconder l'ovule, mais ils vont tous rester bien tranquillement à l'extérieur... sauf si... »

Alors Justine, avec ses deux mains, écarte les deux petites lèvres, ouvrant bien son sexe. Puis, avec son index, elle pousse toute la coulée de sperme vers la face interne de la lèvre, qu'il englue complètement. Il y en a tant que son poids va le faire couler dans le vagin si rien n'est fait pour l'arrêter, alors Justine s'écrie :

« Allez, dépêche-toi de tout aspirer dans ta bouche. Tu sais bien que je ne veux pas d'enfant de toi ! Allez, vite ! »

Tom se précipite et aspire tout, avale tout. Aucune goutte ne s'est échappée. Il a bien fait le travail demandé par sa femme, comme un bon mari cocu.

Dans la grande salle, un client vient d'arriver. C'est un homme énorme qui retire son pantalon devant la prostituée filiforme qu'il vient de choisir. Justine regarde avec attention et excitation. Elle a hâte de voir un homme aussi énorme prendre une femme aussi frêle. Lorsque le gros client est déshabillé, son ventre est si volumineux qu'il cache son sexe à la vue de Justine, qui est bien déçue lorsqu'elle voit l'homme se coucher sur le dos sur un lit tout taché. Dans cette position, l'homme montre un pénis minuscule que la prostituée se met à branler entre pouce et index. A cette vue, Justine se sentirait presque privilégiée avec le petit sexe de son mari. En regardant la scène devant elle, Justine fourrage dans sa chatte du bout des doigts, mais son excitation n'est pas au plus haut. Elle finit par se désintéresser de la branlette.

Son regard se pose alors sur l'ouverture entre les deux pièces et sur la petite poubelle qui s'y trouve. Pour satisfaire sa curiosité, elle demande à Tom d'aller voir à quoi elle sert. Son mari lui dit alors :

« Ce sont des préservatifs usagés, tous bien noués, probablement ceux utilisés par les clients de la veille. Les prostituées évitent peut-être ainsi de trop salir la pièce dans laquelle elles travaillent. La poubelle n'a pas dû être vidée ce matin. »

« Tu vas m'en apporter un », lui ordonne sa femme, ce qu'il fait sans discuter.

Sous les yeux effarés de son mari, Justine défait le nœud puis retourne le préservatif juste au-dessus de son sexe, dont elle écarte bien les lèvres avec deux doigts de sa main gauche. Une belle quantité de sperme s'étale juste sur l'ouverture. Tom, malgré son excitation devant cette scène, est effaré que Justine puisse faire ça. Une bonne partie de cette semence va bientôt glisser des petites lèvres vers le vagin, pour très certainement engrosser sa femme qui est en pleine ovulation. Il voudrait, devrait intervenir à cet instant, mais il est comme paralysé. C'est lorsqu'il voit Justine enfoncer deux doigts dans son vagin, poussant ainsi une bonne partie du sperme en elle, qu'il se précipite, repousse la main de sa femme et pose sa bouche à cet endroit pour sucer, aspirer, avaler tout ce qu'il peut. Lorsqu'il a terminé, il se rend bien compte qu'il n'a pas pu aller chercher tout ce qui s'est écoulé profondément, aussi s'insurge-t-il en disant :

« Mon dieu, Justine, pourquoi as-tu fait ça? Tu risques de tomber enceinte d'un inconnu. Te rends-tu compte? »

Trop heureuse d'avoir créé cette panique chez son mari, Justine répond en riant :

« Je t'ai bien eu, mon chéri. Ce préservatif date probablement d'hier et le sperme ne survit que quelques heures à l'extérieur. C'est ce que j'ai lu », ajoutant après quelques secondes :

« C'est certainement vrai... enfin... probablement... peut-être... ou... peut-être pas... », s'amusant de voir le regard inquiet de son mari.

C'est alors que Justine se lève et va chercher un essuie-tout qu'elle pose à plat dans la poubelle, recouvrant ainsi tous les vieux préservatifs usagés. Tom, qui ne comprend pas pourquoi sa femme vient de faire ça, la questionne, mais Justine ce contente de répondre :

« Tu verras bien. »

Tom, malgré une angoisse qui ne le quitte pas, présente tout de même une belle érection lorsqu'il vient s'asseoir à côté de sa femme allongée sur le canapé. Justine, d'une main distraite, lui accorde un petite branlette, alors qu'ils regardent arriver le client suivant, qui a choisi une prostituée assez jeune et plutôt jolie, visiblement l'exception de la maison. Justine se rend compte alors que cette femme, probablement européenne, lui ressemble un peu et cela lui donne l'impression excitante d'être à sa place. Les deux mains de Justine s'agitent maintenant frénétiquement, l'une sur la petite bite de son mari, l'autre sur sa chatte dans laquelle ses doigts s'enfoncent. Les yeux de Justine sont rivés sur l'homme qui, de l'autre côté de la glace sans tain, s'est maintenant mis nu. C'est à ce moment qu'elle remarque la couleur de sa peau, dorée comme celle d'un métis, mais très foncée tout de même. Un métissage probablement ancien, se dit-elle. Elle remarque que le sexe de l'homme est d'une longueur moyenne mais assez épais. Le gland est beaucoup plus large que la hampe. Ce sexe lui fait penser à un gros champignon. Les testicules poilus sont très gros et paraissent lourds dans leur sac bien pendant. Justine, toujours prise dans son fantasme de grossesse, sent son excitation croître à l'idée de toute la semence qu'ils contiennent.

L'homme vient de se baisser entre les cuisses de la jeune femme pour sucer longuement la vulve qui s'offre à lui. La prostituée laisse échapper de petits cris. Est-ce un réel plaisir ou est-elle bonne comédienne? Justine ne saurait le dire à cet instant. Lorsque l'homme se redresse pour se positionner entre les cuisses afin de pénétrer la jeune femme, il se tourne un instant vers la glace, probablement pour profiter d'une autre vision de l'acte qu'il entame. Son visage est ainsi visible pour la première fois. L'homme est absolument hideux. Justine, surprise, pense immédiatement à son clochard violeur, mais en bien plus moche encore. Elle sent une incroyable excitation la traverser. Elle en oublie de caresser le sexe de son mari, qu'elle abandonne pour continuer de fouiller de sa main un vagin détrempé.

Devant ses yeux, l'homme presse son sexe sur l'ouverture du sexe de la prostituée, qui pousse cette fois un vrai cri lorsque le gros gland pénètre d'un seul coup. Justine, entendant cela, sait bien qu'il n'y a là aucune simulation. Les femmes sentent bien ce genre de chose. Le coït qu'entame cet homme est long, puissant. La jeune prostituée, bien que certainement habituée à ce genre d'accouplement, paraît ne pas être complètement passive, comme en témoignent les bras qu'elle serre autour du torse de son client, comme si elle voulait le maintenir profondément en elle. Puis, dans un grognement sourd, l'homme se libère. Justine ne peut qu'imaginer la grosse dose de sperme que les énormes bourses ont envoyé et se surprend à regretter qu'il y ait une protection.

Dès que l'homme se retire, la jeune prostituée lui enlève avec précaution le préservatif, dont elle noue l'extrémité, et vient le déposer dans la petite poubelle. L'homme se rhabille très rapidement et, pour sortir, passe juste devant la glace. Le voir de tout près confirme bien qu'il est vraiment horrible et, paradoxalement, cela fait encore monter d'un cran l'excitation de Justine.

Après ce départ, il n'y a visiblement pas d'autre client en attente et donc plus rien à regarder pour le couple. Y aurait-il eu quelqu'un d'autre que Justine ne s'y serait pas intéressée, tant son esprit est occupé par son fantasme d'un viol par un homme dégoûtant qui pourrait la mettre enceinte.

Tom voit alors sa femme se saisir de la gourde placée à côté d'elle et boire tout ce qu'elle contient, jusqu'à la dernière goutte, ce dont il s'inquiète en disant :

« Mais, Justine, tu en avais déjà bu beaucoup ce matin ! Tu as bu tout le contenu de la gourde en une seule journée ! N'est-ce pas dangereux? Je ne sais même pas à quoi cela sert... dis-moi. »

« Ça me donne beaucoup d'énergie et multiplie mes envies sexuelles, ce qui ne devrait pas te déranger. Il y a un autre effet, plus physique : cela dilate largement le col de l'utérus, comme au moment d'une grossesse. Évidemment, un jour d'ovulation comme aujourd'hui, cela décuple le risque de fécondation... », répond-elle, laissant sa phrase en suspend.

C'est perdue dans ses pensées, qu'après un bon moment, elle dit à Tom :

« Mon petit mari cocu, approche-toi de la poubelle et rapporte-moi le préservatif qui est posé sur l'essuie-tout. »

Tom ne peut que dire :

« Tu ne vas tout de même pas...? »

« Mais si ! Tu sais bien que j'aime ce jeu, avec ce risque qui m'excite, alors vas-y ! », lui rétorque sa femme.

Lorsque Tom revient avec le préservatif, Justine ne revient pas de ce qu'elle voit. Il est tout blanc, presque complètement rempli. Excitée comme jamais, elle se place bien, à demi couchée dans le canapé, le buste juste un peu relevé pour avoir une bonne vue sur sa chatte. Elle doit profiter de son jeu avec tous ses sens. Justine écarte largement les cuisses, dans une position obscène qui trouble Tom, puis, des deux mains, elle écarte complètement les lèvres de son sexe, ouvrant ainsi largement son vagin.

Tom sait parfaitement ce qu'elle attend et donc ce qu'il doit faire. Il serait raisonnable de refuser mais il n'ose pas se confronter à elle. Alors, il défait le nœud et commence à retourner lentement le préservatif à quelques centimètres au-dessus de l'ouverture du vagin de sa femme. Justine l'arrête instantanément par :

« Tom ! Pas comme ça ! Si tu le verses sur mes petites lèvres, tu es bien capable de te précipiter pour tout enlever avec ta langue, comme tu viens déjà de le faire. Il n'y aurait même plus ce risque qui m'excite tant ! Alors, tu vas faire comme je le dis : tu vas placer le côté ouvert du préservatif bien dans l'ouverture de ma chatte, et... »

Tom, trop angoissé, l'interrompt :

« Mais, Justine, c'est vraiment trop dangereux en ce moment, d'autant plus que tu as pris ce breuvage. Je pensais que ce n'était qu'un jeu érotique. Tu m'as bien dit que tu étais trop jeune pour avoir un enfant maintenant. Il n'aurait d'ailleurs pas notre couleur de peau et, ayant vu le géniteur, je crains le pire ! Mon dieu, ma chérie, ne me fais pas faire ça... je t'en prie. »

Justine, trop envahie par son fantasme et sous l'effet du breuvage, ne peut renoncer. Elle explique :

« Tom, c'est vraiment le summum de ce jeu érotique. La situation est parfaite. Tous mes fantasmes sont réunis aujourd'hui. Ce sera comme si je m'étais faite violer par cet homme répugnant. Le sperme de cet inconnu pourra profiter de la dilatation du col de mon utérus et de mon ovulation pour m'engrosser. Ton humiliation sera totale quand j'accoucherai d'un enfant de couleur. »

Sans attendre la réaction de son mari, Justine poursuit, pour essayer de rendre la situation acceptable pour lui, n'hésitant pas à tenir des propos quasi mensongers :

« J'aurais dû dire tout ça au conditionnel, car rien n'est sûr dans ce domaine. Une fécondation n'est jamais certaine, même un jour d'ovulation. Alors, laisse-moi prendre le risque de ce jeu magnifique. Ne me déçois pas ! »

Tom sait bien qu'il va devoir obéir, alors il place le préservatif comme indiqué. Justine, si excitée que son front est couvert de sueur, commande :

« Maintenant, tu vas presser avec tes doigts sur le préservatif pour tout faire couler dans mon vagin. Il ne doit pas en rester une goutte. »

Contraint, Tom exécute sa tâche, très lentement parce qu'il en redoute la fin et aussi parce qu'il sait que sa femme prendra un immense plaisir à voir une lente progression tout en sentant le sperme s'écouler tout au fond. L'un comme l'autre ne peuvent quitter des yeux le préservatif qui se vide peu à peu. Lorsqu'il est complètement vide, à l'instant où Tom le retire, Justine se met à jouir comme une folle, prise de soubresauts incontrôlables.

Tom la laisse reprendre ses esprits. Malgré les risques, il se sent heureux de lui avoir donné un tel plaisir. Il pense qu'ils vont en rester là lorsque Justine le surprend en disant :

« Lorsque sa femme a joui, un mari cocu a toujours un dernier travail à faire. »

« Mais, je ne peux pas te sucer, ma chérie ! Tout est bien trop au fond », rétorque Tom.

« Tu vas simplement me fouiller avec tes doigts, mon petit bonhomme », corrige Justine.

« Je ferai de mon mieux, mais j'aurais bien du mal à retirer tout le sperme avec mes doigts », dit Tom, ce qui fait réagir sa femme :

« Qui te parle de retirer quoi que ce soit. Tu vas mettre tes doigts bien au fond de mon vagin et je vais te guider. »

Tom ne cherche plus à discuter. Il place se doigts comme indiqué et leur bout baigne maintenant dans une grosse flaque de sperme. Il attend les ordres :

« Cherche l'ouverture du col avec un doigt... tu l'as trouvé? »

« Oui, il est si dilaté que mon doigt a pu glisser à l'intérieur », lui répond Tom.

« Alors, avec ton doigt, tu vas pousser tout dans ce trou. Il ne doit rien rester au fond du vagin », lui commande Justine.

Alors, Tom fait ce qui lui est demandé, conscient qu'il courre à la catastrophe, mais il sait qu'il ne pourra jamais rien refuser à sa femme adorée. Il pousse, pousse avec son doigt. Il lui faut beaucoup de temps, un temps pendant lequel l'excitation de Justine monte sans cesse. Elle est prise de tremblements de plus en plus violents. Quand Tom termine et retire sa main, sa femme hurle sa jouissance. Jamais son orgasme n'a été aussi fort, à la limite de l'insoutenable.

Lorsqu'elle retrouve enfin son calme, Justine se presse contre son mari, heureuse. Elle sent contre sa cuisse une humidité suspecte. Son mari avait éjaculé le long de sa jambe en s'acquittant de sa tâche. Elle est si contente qu'il y ait pris aussi son plaisir qu'elle l'embrasse passionnément, puis lui dit simplement :

« Merci. »

Ils se rhabillent et, se tenant comme un couple d'amoureux, sortent de la maison close pour retrouver Yousuf qui a organisé le voyage de retour vers leur résidence.

Le lendemain, au réveil, ils se préparent pour le retour en avion clôturant leur voyage de noce. Justine n'oublie pas d'enfermer la petite bête de son mari dans sa cage de chasteté et de bien verrouiller.

Tout à coup, la voix de 'maître pervers' résonne dans la pièce :

« Vous avez été merveilleux. J'ai tout apprécié et votre dernière expérience a dépassé toutes mes espérances. Je ne regrette pas de vous avoir offert votre voyage de noce. A compter de ce moment, vous n'entendrez plus parler de moi. Je disparais de vos vies. Vous recevrez chez vous une copie de tous les films que j'ai fait prendre et que je garderai précieusement. Peut-être serons-nous les seuls à pouvoir les regarder... mais peut-être pas. N'oubliez-pas que vous m'en avez donné tous les droits. Adieu. »

Dans l'avion, Tom, assis à côté de sa femme, voit qu'elle tient un petit paquet cadeau. Il questionne :

« Qu'est-ce que ce cadeau? Qui te l'as donné? »

« Tous les cadeaux viennent de 'maître pervers' même si c'est par l'intermédiaire de Yousuf. J'ouvrirai ce paquet tout à l'heure. Mais, tu n'as pas remarqué que j'ai eu un autre cadeau, bien visible sur ma cheville. »

En effet, sur la petite chaîne, Tom découvre deux charmes. L'un représente un symbole féminin enlacé à deux autres, masculins, caractéristique d'une 'hot-wife'. L'autre est un as de pique, montrant ainsi sa préférence et disponibilité pour les hommes de couleur. A peine Tom y a-t-il jeté un coup d'œil que Justine corrige ses dires :

« En fait, ce n'est pas un cadeau. C'est un échange que j'ai fait à la demande de 'maître pervers'. »

« Que lui as-tu donné? », questionne Tom.

« La petite clé qui était sur ma chaîne de cheville, évidemment. Il la voulait pour la détruire », lui répond sa femme.

Tom reste sans voix, d'autant plus que Justine lui montre son deuxième cadeau : un test de grossesse qu'elle devra bientôt utiliser.

----- FIN -----