Couple Pervers 03 (Mariage)

Informations sur Récit
Le mariage, une réussite pour Justine, moins pour son mari.
5k mots
4.44
7.2k
0

Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 04/12/2023
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

-----------

Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

-----------

Justine, magnifique brunette, est devenue nymphomane à 18 ans suite à un traitement hormonal. Tom, son fiancé, de 4 ans son aîné, n'a pas été bien doté par la nature et, de plus, débande toujours juste avant une pénétration. Justine, déflorée et forcée par un SDF, a ensuite pris plaisir à cocufier Tom. Sur un site Internet très 'hard', ils viennent de rencontrer un vieil homme, très riche, qui leur offre leur voyage de noce à condition qu'ils se soumettent totalement à lui, ce qu'ils viennent d'accepter.

La préparation du mariage est terminée. Lucas, qui partage son studio avec Tom est rentré depuis quelques jours d'un stage d'études et les a bien aidé. Justine a dû réintégrer l'appartement de ses parents, le studio n'étant plus libre. Il y aura très peu de monde à leur mariage : les parents des deux côté, les témoins, Lucas et Lisa, ainsi que Georges, un ancien collègue des parents de Justine, vieux beau d'une soixantaine d'années.

Justine, qui n'a pas passé sa jeunesse ici, ne connaît personne. Elle a rencontrée Lisa, une femme assez bizarre, plusieurs fois en faisant des courses. Justine n'était pas attirée par cette femme d'une trentaine d'années qui a plutôt une silhouette masculine et un crâne presque rasé. Bien au contraire, cette Lisa semblait prendre plaisir à bavarder avec Justine à chaque fois qu'elles se rencontraient. Aussi Justine s'était-elle dit qu'elle pourrait faire l'affaire comme témoin de son mariage.

Il n'y aura qu'un mariage civil. Les parents ont un peu aidé financièrement, mais ce n'est pas la richesse. Tout est limité. Ils on loué une petite salle communale dans la bourgade du mariage. Pour la soirée, l'orchestre sera remplacé par une simple sonorisation avec des enregistrements. Malgré leurs faibles moyens, Justine a tout de même voulu une très belle robe blanche.

Lorsque Justine rentre à la mairie au bras de son père, les hommes n'ont d'yeux que pour elle. Justine a choisi un robe longue, blanche, avec un tout petit décolleté. Sa tenue immaculée est très sobre, mais beaucoup plus érotique qu'une robe moins couvrante. Le tissu très fin la moule à la perfection, que ce soit son buste, ses hanches et ses jambes fuselées, qu'une longue fente découvre très haut jusqu'à la limite des bas auto-fixant en fine résille blanche. Ses talons hauts accentuent sa cambrure naturelle. Le haut de la robe gaine de si près ses seins que la forme des tétons est bien visible, puisque Justine a abandonné l'idée de porter un soutien-gorge, même fin. Aucune culotte n'est venue marquer ses hanches.

La mère de Justine lui avait fait remarquer qu'à cette date, en octobre, sa tenue était bien trop légère, mais Justine n'avait rien voulu savoir et la météo lui a donné raison car la douceur d'aujourd'hui marque le début de l'été indien.

A la mairie, Justine se sent comme déshabillée par tous les hommes présents, sans aucune exception. Cela n'est pas pour lui déplaire, si ce n'est dans le cas du vieux Georges. En effet, ce celui-ci s'est placé au deuxième rang, juste derrière elle, et a passé une main dans son dos puis vers sa taille et une hanche. Personne n'a rien remarqué, car tous écoutaient le petit discours du maire. Au moment où Justine se penche légèrement en avant pour voir les signatures des témoins, Georges, ce vieux cochon, pousse son gros ventre en avant, pressant contre les fesses de la mariée. Avant de se redresser d'un coup, Justine a bien senti à travers le tissu si fin de sa robe une grosse bosse qui ne peut être que le sexe de Georges. Bien que furieuse, elle n'a pas empêcher se chatte de se mouiller un peu.

Lors du repas qui suit la cérémonie, les mariés, côte à côte au milieu de la table, se tournent souvent l'un vers l'autre pour de petits baisers furtifs. Ils font face aux deux témoins. Lisa a retiré une chaussure sous la table et son pied nu vient caresser doucement la jambe de Justine, qui fait un mouvement en arrière. Mais le pied revient encore, faisant habilement écarter la grande fente de la robe de Justine, qui ne refuse plus le contact. Elle n'a jamais été attirée par les relations féminines, mais la sensation est loin d'être désagréable, aussi écarte-t-elle un peu les jambes. Il n'en fallait pas plus pour que Lisa, profitant de la situation, caresse avec ses doigts de pied une chatte déjà bien humide. Pour Justine, qui n'a pourtant pas l'âme d'une lesbienne, ce contact est si perturbant, ou plutôt si excitant qu'elle se laisse un peu glisser vers l'avant sur sa chaise. Dans ce mouvement, le pouce du pied de Lisa vient s'insérer entre les deux lèvres d'une chatte bien chaude. Pendant tout ce long repas, ce doigt de pied reste à cette place, tout en bougeant légèrement. Justine, dont l'esprit est déjà un peu embrumé par le Champagne qu'elle a bu plus que de raison, enchaîne les frissons, ce qui fait dire à Tom :

« Aurais-tu froid, ma chérie? »

« Oh, non... c'est... le... le... bonheur de cette journée qui me fait cet effet », lui répond sa femme avec cette explication peu convaincante, qui satisfait cependant Tom.

Après le dessert, le vieux Georges, qui était à une autre table avec les parents, se lève pour venir féliciter les jeunes mariés. Comme pour leur montrer qu'ils peuvent rester assis pendant qu'il parle, Georges pose une main sur l'épaule de chacun des jeunes mariés. Évidemment, la main posée sur la robe de Justine descend doucement jusqu'à venir se plaquer sur le côté d'un sein. La mariée, de peur de faire remarquer ce manège aux deux témoins qui lui font face, n'ose pas réagir. Seul son visage rougit un peu. Pendant un bavardage que Georges entretient volontiers, la main reste là, le plus discrètement possible, et les doigts se crispent un peu par moments pour mieux palper ce sein. Justine, qui pourtant n'a aucune attirance pour ce vieux bonhomme adipeux, sent à la fois ses tétons se tendre encore plus à travers la fine robe et sa chatte couler abondamment sur le pied qui la fouille.

Lorsque tous les convives se lèvent, Lisa, qui remet ostensiblement sa chaussure sur son pied nu, fait remarquer :

« Où ai-je bien pu mettre mon pied? Il est trempé ! »

Personne ne comprend le sens de cette remarque, si ce n'est Justine qui pique alors un fard.

Une petite promenade digestive dans la commune s'impose. Les mariés y sont parfois applaudis par des passants et quelques hommes n'hésitent pas à siffler au passage de Justine. Il est vrai qu'ils n'ont pas souvent l'occasion de voir une mariée aussi sexy.

La soirée va se poursuivre dans la salle qu'ils ont louée. Tom a choisi des enregistrement musicaux 'vintage' car ils apprécie beaucoup cette période. De plus il sait que ses parents apprécieront ce choix qui leur rappellera leur jeunesse.

Tom danse un rock'n'roll avec sa nouvelle femme. Dans le mouvement, la fente de la robe s'ouvre largement, découvrant très haut la jambe de la mariée. La bordure de dentelle d'un bas auto-fixant est bien visible et on peut même voir un peu de peau nue au-dessus. Cela n'a échappé ni au vieux Georges, ni à Lucas, qui est un dragueur sans complexes. Tous deux se demandent ce qu'il peut y avoir un peu plus haut sous la robe. Une petite culotte? Un string? ... ou... rien? Seule Lisa connaît la réponse à cette question. Lucas s'approche du couple, tape sur l'épaule de Tom et dit :

« Un témoin peut sûrement danser un peu avec la mariée, non? »

Lorsque Lucas reprend la suite de ce rock, il a bien l'intention d'avoir la réponse à sa question vestimentaire, aussi fait-il tourner Justine avec plus de force. Cette excellent danseur finit par avoir indirectement sa réponse. Quand la robe se lèvre très haut, il n'est pas, tout en dansant, dans la meilleure position pour voir, mais quand il capte le regard effaré du vieux Georges, qui frôle l'apoplexie, il sait qu'elle est nue sous sa robe. Mon copain a épousé une vraie salope, se dit-il.

Tom récupère sa moitié pour le premier slow. Justine se colle contre lui en dansant. Il pousse son ventre en avant pour qu'elle sente bien, à travers le fin tissu de sa robe, sa petite bite toute dure. Son érection s'était trouvée renforcée lorsqu'il avait vu, comme tous les autres invités, que sa jeune épouse était nue sous sa robe. Sur l'instant il en avait été un peu honteux, puis c'était l'érotisme de cette situation qui avait pris le dessus. Il s'était même senti fier d'avoir épousé une femme aussi excitante et aussi libérée. Alors, pendant ce slow, il presse, frotte la chatte de sa femme avec tant de volupté, tant d'envie, que, tout à coup, il ne peut plus rien contrôler. Pour la première fois, il vient d'éjaculer dans son pantalon. Justine a senti Tom se reculer d'un seul coup et son grand sourire ironique montre qu'elle a compris la mésaventure de son mari. Tom s'inquiète : lui qui voulait se garder en forme pour la nuit de noce, arrivera-t-il à bander de nouveau?

C'est à ce moment qu'il cède sa place à Lucas pour la suite des slows. Ce dragueur n'hésite pas à bien serrer la mariée dans ses bras, à l'embrasser dans le cou, puis au coin des lèvres, toujours furtivement, mais nombreux sont ceux qui ont vu. C'est le cas de Tom qui se dit que, cocu avant le mariage, il a de grandes chances de le rester après, mais il trouve cette pensée plutôt excitante. Lucas, comme Tom auparavant, presse son ventre contre celui de Justine, qui ne refuse pas le contact, bien au contraire. Elle sent bien que le membre tendu qui presse contre sa chatte est beaucoup plus conséquent que celui de son mari et elle pense aux sensations qu'elle pourrait avoir si Lucas la prenait. Ici, c'est impossible, se dit-elle, mais un autre jour peut-être.

A la fin du slow, le gros Georges se précipite vers Justine qui se dit intérieurement : oh, non, pas lui ! Le vieil homme l'enlace. Des les premiers mouvements, les mains passent dans son dos, descendent à la taille pour finir par caresser le haut des fesses. Justine essaie de repousser les mains qui reviennent toujours au même endroit. De guerre lasse, elle le laisse faire. Justine ne réagit même plus lorsqu'il l'embrasse dans le cou, puis sur la joue, s'approchant à chaque fois un peu plus de sa bouche. Elle est indisposée par la forte odeur de transpiration de ce gros bonhomme, mais elle s'aperçoit que se désagrément l'excite. Sa chatte coule presque autant que lorsque le pied de Lisa la caressait. Justine pense alors que cet homme qui la dégoûte lui fait revivre, en quelque sorte, son viol par le SDF. Elle se dit que ce cauchemar, qu'elle voulait oublier, revient maintenant comme une incroyable excitation. Elle se questionne : suis-je une vraie salope ou seulement victime d'un traumatisme qui m'a marquée pour la vie? Elle conclut que ce sont certainement les deux. Georges pousse maintenant son gros ventre en avant. Justine se dit que, cette fois, avec cette grosse bedaine très arrondie, le sexe qui est au-dessous ne pourra même pas la toucher. Cette idée l'amuse beaucoup. Quelle n'est pas sa surprise lorsqu'elle sent à travers le tissu du pantalon un énorme braquemart presser fortement entre ses cuisses ! L'engin, d'une incroyable longueur, est posé sur le gros ventre de l'homme et atteint presque son nombril.

Tout à coup, la salle est plongée dans le noir, alors que la musique continue. Deux circuits différents, probablement? Justine voit son mari éclairer un peu avec son téléphone, alors qu'il dit :

« Ne bougez pas. Je vais essayer de trouver le tableau électrique ».

Après son départ, dans le noir complet, personne ne bouge... enfin presque. Georges plaque Justine contre le mur et relève complètement la robe jusqu'au-dessus de la taille. D'un geste, il ouvre son pantalon et sort son sexe énorme. Honteuse, elle se rend compte qu'elle a envie qu'il la force, ici, tout de suite. Et c'est ce qu'il fait. L'énorme gland écarte les lèvres. Le vagin forcé résiste un instant, puis cède. Le gland vient juste de passer. C'est à cet instant précis que l'on entend Tom crier :

« Ça y est, j'ai trouvé. »

Dans l'urgence, Georges se retire et range son outil sans avoir eu le temps de refermer sa braguette. La robe de la mariée est retombée d'un coup en place. La lumière se rallume au même instant où le slow se termine. Georges se retourne vers le mur pour remettre un peu d'ordre dans sa tenue. Personne n'a rien vu.

Lorsque la soirée prend fin, les invités partent et les jeunes mariés montent dans un petite voiture qu'on leur a prêtée. Tom fait des tours et des détours avant de se rendre à l'hôtel qu'ils ont réservé. Il se méfie de cette vielle habitude, encore présente à la campagne, qui consiste à venir déranger les mariés pendant leur nuit de noce. Seul Lucas connaît l'adresse de l'hôtel. Il saura tenir sa langue, pense-t-il.

A l'hôtel, ce n'est pas la suite nuptiale, trop chère pour leurs moyens, mais la chambre qu'il a choisi est coquette. Bien que cela soit un peu vieux jeu, Tom a envie de porter sa femme jusqu'à la chambre. Justine n'est pas trop lourde mais Tom n'est pas non plus un athlète. Arrivés devant la porte, l'ouverture est un épisode périlleux pour Tom. D'un main, il arrive à introduire la clé dans la serrure et à tourner. Dans le mouvement, il manque de faire tomber Justine mais reprend l'équilibre pour ouvrir puis refermer la porte avec deux coups de pied successifs. Il ne s'est même pas rendu compte que la clé est restée dans la serrure, du côté extérieur.

Tom dépose doucement sa femme, debout devant le lit. Il se recule pour la regarder. Elle est si belle. Leurs regards se croisent pendant un long moment. Les jeunes mariés ne bougent pas. Tom est hésitant : doit-il déshabiller Justine et rompre ce moment unique? Alors Justine, d'un geste, fait tomber la robe à ses pieds. Là encore, c'est Tom qui reste un long moment à regarder cette magnifique nudité. Alors, Justine se couche sur le lit, jambes légèrement écartées, et lui dit simplement :

« Viens. »

Tom se déshabille très vite. Il jette un coup d'œil à son sexe, qu'il craignait de ne pas voir bander de nouveau, et il est rassuré. Il embrasse sa femme. Leurs langues se mêlent. Ses mains caressent la joue, le cou, les seins. La bouche de Tom descend le long d'un bras jusqu'à une main fine dont il suce les doigts, un à un. Elle remonte vers la poitrine pour venir aspirer un téton tendu, puis l'autre. Ses lèvres descendent vers le vente et sa langue vient fouiller les poils pubiens, avant de frôler une petite lèvre qu'elle quitte tout de suite, pour descendre le long d'une jambe, y laissant une traînée humide. C'est le pied qu'elle atteint pour venir lécher les orteils. Puis Tom suce les doigts de pied, les aspirant fortement dans sa bouche, un à un. Il pense à cet instant à ses lectures sur Internet, où il était bien écrit que ce travail convient parfaitement à un homme soumis. Puis, il lui revient aussi que, dans le rôle du cocu, figure le travail de nettoyer la chatte de sa femme adultère lorsqu'elle revient de chez son amant. Alors Tom remonte entre les cuisses de Justine, qu'elle écarte encore plus d'elle-même. Il suce les lèvres intimes qui sont complètement trempées des sécrétions féminines, puis il pousse sa langue dans le vagin. Il se surprend à regretter de n'y pas trouver le sperme d'un autre homme.

Justine, dont l'excitation est encore montée d'un niveau, ne veut plus attendre. Elle dit, ou plutôt crie presque :

« Viens, Tom. Viens, mon mari. Viens en moi. »

Tom prend place entre les jambes de sa femme. Il se positionne. Son gland est aux contact des lèvres, prêt à s'y introduire pour la première fois. Tom ressent toujours la même angoisse : comme d'habitude va-t-il perdre son érection à l'instant de la pénétration? Non, c'est merveilleux, c'est miraculeux. Il n'a pas débandé... enfin !

C'est à cet instant que la porte s'ouvre violemment, alors que quelqu'un crie :

« Ils sont là ! »

Quelques instants auparavant, Lucas avait conduit leur petit groupe à l'hôtel. Déçus de ne pas trouver de double de clé au tableau de l'entrée, il étaient montés quand même, pensant tambouriner à la porte. Quelle n'avait pas été leur surprise de voir la clé dans la serrure, à l'extérieur !

Entrent Lucas, Lisa et le vieux Georges. Tom s'est relevé tout de suite. Il est debout, nu, devant eux. Sous la surprise, il a complètement débandé. Sa bite, qu'il regarde avec horreur, ne lui a jamais parue aussi petite. Elle ne fait même plus ses 4 centimètres au repos. Bien qu'il soit circoncis, le membre a tant rétréci que la peau de la hampe recouvre à moitié le gland. On pourrait croire qu'il a encore un prépuce. Tom sent immédiatement que sa nuit de noce est définitivement compromise. C'était déjà un miracle qu'il ait pu bander une seconde fois après l'éjaculation qui lui avait échappée dans son pantalon. Évidemment ces pensées sont loin de pouvoir arranger les choses. Tous les arrivants n'ont pu que constater son problème, ce que confirme Lucas en disant :

« Tu n'as pas de chance pour ta nuit de noce, ma pauvre Justine », puis en ajoutant :

« Ne t'inquiète pas, on va t'arranger ça. »

Justine est contrariée et elle se dit que c'est vraiment malheureux pour son petit mari si gentil et si attentionné, lui qui venait de si bien la préparer au plaisir. D'un autre côté, ce n'est pas de sa faute à elle et il va bien falloir que quelqu'un la conduise vers la jouissance. Sa frustration serait trop forte, surtout pour une nuit de noce. Alors, tant pis pour son mari : il sera cocu une fois de plus. Ce n'est pas bien grave, pense-t-elle.

Lucas se déshabille complètement, rapidement suivi par les deux autres. Il se jette alors entre les cuisses de Justine, qui l'accueille en le serrant dans ses bras. Avec les préliminaires de son mari, Justine n'a plus besoin de caresses mais d'une pénétration immédiate. Lucas s'y emploie alors, la ramonant avec son long pénis, d'une épaisseur conséquente. Chaque coup de rein de Lucas pousse bien le gland qui frappe le fond du vagin de Justine. Toute à son plaisir, celle-ci n'a pas vu Lisa s'approcher. Elle ne s'en rend compte que lorsque la bouche de Lisa se pose sur la sienne. Justine a un moment de rejet, puis elle se dit que cela ne doit pas être si désagréable que ça. Alors, pourquoi ne pas en profiter? Cette nouvelle petite expérience n'en fera pas une lesbienne. Elle aime trop les hommes. Alors elle se laisse aller à apprécier une bouche très douce et une langue qui cherche la sienne. Ce baiser est différent de celui d'un homme, plus doux, plus érotique.

Lorsqu'elle quitte Justine, l'abandonnant au long coït de Lucas, qui paraît infatigable, Lisa lui dit :

« Je vais m'occuper de ton petit mari, qui a l'air bien malheureux dans son fauteuil. C'est tout de même sa lune de miel, à lui aussi. Et il est cocu, en plus ! »

Justine, toute aux sensations que lui procure Lucas, ne jette même pas un œil à son mari. Il est vrai qu'elle a, à côté d'elle, juste au bord du lit, l'énorme braquemart que Georges masturbe. Elle ne peut le quitter des yeux. Elle se demande quelle seraient ses sensations si ce membre gigantesque la pénétrait, d'autant plus qu'elle se sent déjà totalement remplie, en ce moment, par le gros sexe de Lucas.

Lisa vient de se mettre à genoux devant Tom, qui gît, affalé dans son fauteuil. Elle avance sa main vers le sexe minuscule, tout ratatiné. Comme elle a pitié de lui, elle ne fait aucune remarque désobligeante sur la petitesse de cette bite. Ce serait une trop grande humiliation en ce moment, pense-t-elle. Cependant, l'effet est le même pour Tom, lorsqu'il voit que Lisa commence à le branler délicatement avec seulement deux doigts, pouce et index, qui le serrent à peine. Pour Tom, la sensation est bizarre lorsqu'il regarde Lisa qui ressemble si peu à une femme. Mais son toucher délicat est bien celui d'une femme, se dit-il. Ses mouvements ne sont que douceur. Sa petite bite reste toujours aussi molle et pourtant Lisa continue, d'un mouvement inchangé, comme si elle avait tout son temps. Puis, tout à coup, alors que Tom n'y croyait plus, son petit pénis commence à durcir, à se déployer un peu, jusqu'à atteindre sa pleine taille. Alors, il sent la bouche de Lisa se refermer sur sa verge. Elle suce très lentement, avec beaucoup de salive. Elle suce comme s'il s'agissait d'un fin bâtonnet de sucre d'orge. C'est bon, divinement bon. Comme pour la remercier, Tom pose sa main sur la tête de Lisa. Quelle curieuse sensation de sentir ce crâne couvert d'un seul léger duvet ! Il reste ainsi jusqu'au moment où l'incroyable arrive enfin : de longs jets de sperme remplissent complètement la bouche de Lisa, qui se relève à cet instant.

12