Couple Pervers 04 (Voyage de Noce)

BÊTA PUBLIQUE

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Cependant, les premières lueurs du soleil levant mettent bientôt fin à la fête vaudou, comme le veut la tradition de cette tribu. Justine, qui a enchaîné les jouissances pendant toute cette nuit, commence à sentir la fatigue malgré le breuvage qu'elle a bu. Tom, toujours gêné de se tenir nu et montrant son petit sexe encagé, est maintenant délaissé par ces femmes qui viennent parler avec leur guide. Yousuf s'adresse alors au couple :

« Voilà ce qui va se passer maintenant : Justine, tu va être conduite à la case du chef de tribu, qui va t'honorer, ce qui est un privilège exceptionnel pour une étrangère. Seules quelques femmes pourront y assister. L'accès est totalement interdit aux hommes. Je ne serai donc pas en mesure de filmer. »

« Mais, je ne verrai donc pas Justine? », interrompt Tom, dont la voix trahit l'inquiétude.

« Il y aura une exception pour toi, Tom. Le chef a une certaine curiosité à ton sujet », le rassure Yousuf dont le regard est fixé sur la cage de chasteté, « De plus, les femmes lui ont dit que, vu ce qu'elles ont pu constater, tu n'es pas un vrai homme. »

Le visage de Tom s'empourpre, tant il est gêné, mais il est tout de même heureux de ne pas devoir abandonner sa femme dans ces moments inquiétants.

Lorsque Justine et Tom pénètrent dans la case du chef, ils y trouvent un très vieil homme, couché sur une natte. Son visage est très ridé, mais montre qu'il a dû avoir un port très altier, celui d'un chef naturel. Il porte une petite barbiche tressée, caractéristique des anciens chefs de tribu congolais. L'homme ne dit mot mais ses yeux vont de Justine, dont il scrute le corps avec envie, à Tom dont la vue de la cage lui fait arborer un sourire narquois. Justine, quant à elle, n'a pu qu'explorer du regard le corps intégralement nu du chef, couvert de cicatrices témoignant des combats qu'il a dû mener. Sa maigreur contraste avec la taille d'un sexe à qui les mains de deux femmes s'occupent à redonner de la vigueur. Malgré le grand âge, ces actions paraissent bien inutiles, tant la vue du corps parfait de Justine comme de sa couleur inhabituelle suffisent à faire bander un sexe exceptionnel. Ce braquemart atteint bien les 30 centimètres, mais c'est surtout son diamètre qui impressionne Justine. Elle le compare facilement à son avant-bras et se demande comment une femme peut accueillir un tel monstre en elle.

Justine est alors sortie de ses pensées érotiques, qui font couler son sexe, par une femme qui la conduit au chef. Elle la fait s'accroupir au-dessus de cet énorme pénis, qu'une autre femme tient fermement à sa base pour bien le guider. Justine sent le gland monstrueux, bien plus large que la hampe, se placer entre ses lèvres intimes. Sous la pression, elle sent déjà que l'intromission sera difficile voire impossible, tant son vagin refuse une telle dilatation. La femme qui la soutient pose ses mains sur les épaules de Justine et s'apprête à presser vers le bas, de toutes ses forces. C'est alors que le chef, levant une main, fait un signe négatif, qui arrête l'action de la femme, et il pointe son index en direction de Tom. La femme a compris le message et elle attrape immédiatement Tom, l'amène près du chef et lui fait placer les mains sur les épaules de Justine. Cela va être à lui d'offrir sa femme au chef, de contribuer à cette pénétration. Pour Tom, ce sera vécu comme une extrême humiliation, mais la pression de sa petite bite dans sa cage montre que cela sera aussi une incroyable excitation.

Justine ressent le niveau d'érotisme rare de cet instant, lorsque les mains de son mari cocu pressent fortement sur ses épaules. Son excitation ajoute encore à l'humidité de sa petite chatte, dont les lèvres se replient vers l'intérieur du vagin, entraînées par l'énorme gland. Elle est si mouillée que, tout à coup, le monstre pénètre enfin, arrachant un petit cri à Justine. Inquiet, Tom relâche sa pression sur les épaules de sa femme, qui est si excitée qu'elle l'encourage à continuer :

« Vas-y, Tom, vas-y ! Force bien ! Je veux le sentir tout au fond ! »

Alors, se redressant, Tom met sur elle tout son poids, que sa position debout lui permet maintenant. Il ne s'arrête que lorsque sa femme pousse un « Ah ! » fort et long, qui montre que le gland est venu buter tout au fond. Chacun dans le couple voit bien qu'il reste encore au moins 5 centimètres du mandrin à l'extérieur du vagin. Justine se rend compte qu'aller plus loin est impossible et qu'il serait raisonnable d'en rester là, mais excitation n'est pas raison et cela conduit à une très désagréable frustration. Évidemment, à son âge avancé, ce n'est pas le vieux chef qui serait capable d'un mouvement de coït en force. Il est déjà incroyable qu'il puisse maintenir une telle érection. C'est donc sur elle que repose intégralement la suite, Tom ne prenant certainement pas d'initiative.

Justine sent pourtant quelque chose d'anormal à l'endroit où le gland presse en elle. C'est comme si le col de l'utérus était très dilaté, comme il le serait lors d'un accouchement, si elle en crois ses lectures. Elle a d'ailleurs eu cette sensation plusieurs fois au cours de la nuit lorsqu'elle se faisait prendre furieusement pas les guerriers. Serait-ce le breuvage qu'elle a pris qui provoquerait une telle dilatation? Justine a envie de répondre positivement à cette question pour poursuivre sa quête du plaisir. Alors, elle se décide et dit à son cocu :

« Je veux le prendre entièrement en moi. Vas-y, Tom, de toutes tes forces ! »

Son mari, inquiet mais bien obéissant, s'exécute, bien aidé par les deux femmes qui viennent placer leurs mains sur les hanches de Justine pour accentuer la pression. Alors, le gland pénètre par cette ouverture et déclenche un violent orgasme, qui se traduit par de longs cris de cette femme perforée. Peu à peu, sans bouger, Justine laisse son plaisir intense se calmer et elle profite de la chaleur des bourses qui appuient sur ses lèvres intimes.

Ce moment dure peu, car le chef, d'un mouvement des bras vers le haut, indique sa volonté aux deux femmes de sa tribu. Alors, elles tirent le corps de Justine vers le haut, aidées par Tom qui a compris le souhait du chef. Lorsque le gland ressort de sa profonde cachette, un nouvel orgasme, encore plus fort, envahit Justine. Celui-ci ne s'arrêtera pas, les mouvements verticaux s'enchaînant, faisant à chaque fois entrer et sortir le gland de son nid profond.

Lorsque, enfin, le mouvement cesse, Justine récupère de ses orgasmes à répétition. Pour ce moment calme, Justine a pris soin de bien garder tout le membre en elle. Elle sait que le gland est logé dans l'ouverture de son utérus. Elle sait aussi qu'elle est déjà dans une période dangereuse et qu'une éjaculation à cet endroit précis pourrait bien la mettre enceinte. Elle sait également que c'est le tout début de cette période et que son ovulation n'est pas encore là, aussi se décide-t-elle à prendre ce risque qui lui paraît raisonnable. Elle va faire jouir en elle le vieux chef. Alors, sans vraiment bouger, elle se concentre pour contracter son vagin autour du membre qui la remplit si bien. Justine pense au sperme qui va couler dans son utérus et inonder sa matrice et c'est ce qui fait monter son excitation. Penser qu'il pourrait en résulter pour elle un enfant noir, si humiliant pour son mari, lui provoque un orgasme de plus au moment où elle sent la semence du vieux chef gicler en elle.

Lorsque, après un moment de récupération, Justine se relève et sent du sperme sortir de sa chatte et s'écouler copieusement sur une jambe, les femmes se jettent sur elle, la couchent sur une natte et posent une autre natte roulée sous ses fesses. Dans cette position où elles vont maintenir Justine un bon moment, le sperme va bien rester en elle et couler tout au fond, comme il se doit. Justine comprend bien, à l'action précipitée des deux femmes, qu'il doit être indécent de laisser perdre la semence d'un chef qui a certainement déjà engendré la moitié de la population de la tribu. Cette simple pensée l'amène tout près d'un nouvel orgasme, qu'elle n'atteint pas car elle est maintenant proche de l'épuisement.

En sortant de la case du chef qu'ils ont tous deux remercié chaleureusement par signes qu'ils espèrent compris, Tom fait part de ses inquiétudes à sa femme :

« Justine, j'ai vu que tu as pris beaucoup de plaisir, cette nuit et ce matin, et j'en suis heureux pour toi. J'ai bien aimé te regarder et t'admirer. Tu es si belle dans l'orgasme ! Mais, j'ai de grandes craintes, après ce qui s'est passé avec le chef. Imagine que tu te retrouves enceinte ! Que ferions-nous? »

Cette fois, Justine ne cherche pas à rassurer son mari mais à montrer son pouvoir :

« C'est ce risque qui m'a fait atteindre des sommets d'excitation et de plaisir. Alors, les conséquences? Pour moi, ce ne serait que porter un enfant et accoucher, comme la plupart des femmes. Pour toi, mon petit mari cocu, ce ne serait qu'une humiliation de plus, extrême j'en conviens. »

Puis, avant de monter dans le 4/4 pour leur voyage de retour, Justine s'adresse à leur guide :

« Yousuf, pourrais-tu obtenir la recette de ce breuvage qui m'a fait beaucoup de bien? »

« Cela m'étonnerais que les femmes veuillent partager avec toi un secret de leur tribu, mais je vais voir ce que je peux faire », lui répond Yousuf, qui revient peu de temps après avec une gourde en peau de bête remplie du produit convoité.

De retour à leur résidence, Justine et Tom se reposent du long voyage, flânant sur le lit, lorsque la voix de 'maître pervers' se fait entendre :

« J'espère que vous avez apprécié autant que moi la visite de cette tribu. Pour ma part, j'ai regretté de ne pas assister à la rencontre de Justine et du chef, mais malgré ma richesse tout ne m'est pas possible. Il vous reste encore une semaine avant la fin du séjour. Je vous ai préparé, pour votre dernière journée de voyage de noce, une visite très spéciale qui devrait correspondre parfaitement à tous les fantasmes de Justine. Je ne vous en dit pas plus. Ce sera une surprise. D'ici là, il n'y aura aucune excursion et vous pourrez profiter pleinement de toutes les installations de votre résidence. Vous avez bien dû vous rendre compte, lors de la visite de la tribu, que votre chasteté forcée préalable avait bien fait monter votre excitation et que vous aviez mieux profité du moment de libération. Alors, il va en être de même cette fois. Jusqu'à votre arrivée à votre prochaine destination, que vous révélera Yousuf au dernier moment, toute relation sexuelle, si limitée soit-elle, vous est interdite. N'oubliez pas que je vous surveille en permanence. Pendant toute cette période d'attente, vous devrez rester intégralement nus, au vu de tous. Je sais que cela sera difficile pour toi,Tom, vu ton 'équipement', mais c'est indispensable. Justine, tu n'auras pas le droit de 'libérer' ton mari avant votre arrivée à destination. Profitez bien des jours à venir et surtout de la dernière expérience préparée. »

Pendant cette petite semaine, malgré toutes les possibilités de remise en forme et les équipements luxueux, le couple a trouvé le temps long. Cette seconde période de chasteté a été encore plus difficile à vivre que la première, peut-être parce qu'ils savaient déjà quelle frustration les attendait. Pour Justine s'ajoutait l'approche de l'ovulation qui fait toujours monter d'un cran sa libido.

Ce matin, le couple se prépare pour cette dernière journée surprise organisée par 'maître pervers'. Hier soir, Yousuf leur a simplement dit qu'il n'y avait pas de voyage en brousse à prévoir et qu'ils iraient seulement en ville.

Tom, compte tenu de la chaleur, s'est contenté d'un polo et d'un short. Justine, qui avait envie d'une tenue qui convienne à la ville, a choisi un chemisier très fin qu'elle a laissé bien déboutonné. A une mini-jupe, elle a préféré une jupe juste au-dessus du genou, mais avec une fente sur le côté découvrant très haut une cuisse. Se doutant qu'une journée correspondant à tous ses fantasmes aura des aspects sexuels plus que prononcés, elle a préféré ne porter aucun sous-vêtement, se sentant ainsi plus accessible, plus offerte. Justine ne sait pas ce qui les attend, mais selon les dires de 'maître pervers' cela risque d'être très 'chaud', aussi boit-elle une très grosse rasade du breuvage que contient la gourde provenant de la tribu congolaise. Elle ne sait pas si la dilatation du col de l'utérus aura un quelconque intérêt, mais le plus apporté par le surplus d'énergie et l'augmentation de sa libido ne seront pas inutiles. Au moment de reposer la gourde, elle se dit que personne ne lui a indiqué s'il y avait une dose à ne pas dépasser, alors, après un instant d'hésitation, elle décide d'emporter la gourde qui est encore à moitié pleine.

Yousuf les conduit à l'aéroport de Kinshasa où ils prennent l'avion régulier pour Matadi. Pendant le voyage, Yousuf leur donne des informations sur leur visite :

« Mon patron a dit que cette journée allait permettre à Justine de réaliser pleinement ses fantasmes, mais il ne m'en a pas dit plus. Je vais me contenter de vous expliquer ce que je sais. Comme vous l'avez vu, nous allons à Matadi. C'est un grand port industriel sur le fleuve Congo. Vous ne vous attendiez pas à ça, je suppose? »

Devant leur regards interrogateurs, il poursuit :

« Vous allez visiter un établissement qui se situe en bordure du port. C'est en fait une maison de passe ou je dirais plus simplement un 'bordel' car les hommes qui la fréquentent ne sont pas des plus raffinés. Les prostituées n'y sont pas non plus de première qualité, c'est le moins qu'on puisse dire. Vous serez installés dans une petite pièce, qu'ils appellent 'chambre des voyeurs' car une glace sans tain permet de voir les couples copuler dans une grande pièce. Mon patron est persuadé que vous prendrez du plaisir à regarder ça. Évidemment vous serez tous les deux seuls dans cette petite pièce et personne ne viendra vous déranger, mais je ne serais pas étonné d'apprendre que 'maître pervers' y ait fait installer caméra et microphone espions pour profiter du spectacle de la grande salle comme de votre petite pièce. »

Tom s'étonne de cette surprise qui lui paraît très au-dessous, en érotisme, de ce qu'ils ont connu jusque là. Justine se fait intérieurement la même remarque mais a une vision plus positive. Les actes sexuels auxquels elle devrait assister, seront probablement assez dégoûtants, que ce soit au niveau des pratiques que des clients bien peu raffinés. Cela, pense-t-elle, pourrait bien lui rappeler ce SDF et la faire entrer dans son fantasme de partenaire repoussant, bien que cela ne soit qu'en vision. Justine n'est donc pas si déçue que son mari. Elle se dit aussi, toujours optimiste, qu'elle aura peut-être l'occasion de prendre des initiatives qui amélioreront les choses. Cependant, elle ne voit pas comment son second fantasme, qui correspond au risque de grossesse, pourrait être présent dans ces conditions. Quant au troisième, qui est l'humiliation de son mari, elle n'a aucune inquiétude car elle sait très bien faire ce qu'il faut pour ça, dans n'importe quelle situation.

Dès leur arrivée sur le port, ils se rendent vite compte que la maison close, la moins chère de la ville, est bien conforme à la description de Yousuf. Le bâtiment est plus que délabré et les murs tagués de dessins obscènes. Leur guide les abandonne sur le pas de la porte et une vieille femme, qui a dû avoir de belles heures de travail en ce lieu, les conduit dans la 'chambre des voyeurs'. Une immense glace sans tain couvre presque complètement un des murs et rien ne gêne la vue de la grande salle. Sur la cloison, juste au-dessous de la glace donnant sur la salle, se trouve une ouverture qui a juste la taille pour contenir une petite poubelle accessible des deux côtés. Cette communication permet accessoirement aux voyeurs présents de sentir la forte odeur de foutre qui émane de la grande salle qui ne doit pas recevoir souvent de nettoyage et d'aération. Tom n'apprécie pas ça outre mesure et s'en inquiète auprès de sa femme :

« Oh, ça a l'air plus que dégoûtant », ce à quoi Justine répond :

« Oui, c'est vrai, mais est-ce vraiment gênant? Le plaisir sexuel, qui nous fait ou me fait tant de bien, ne l'est-il pas un peu... dégoûtant? »

Tom, surpris par cette réponse, n'ose pas contredire sa femme. Si elle y prend plaisir, pourquoi pas?

Face à la glace sans tain, se trouve un grand canapé-lit, un peu défraîchi mais qui paraît plutôt propre. Ils s'y installent tous deux confortablement. Comme il est très tôt, trop tôt, ce qu'ils voient dans la grande salle n'est pas très intéressant. Assises dans des fauteuils, se trouvent des prostituées attendant le client. Elles ne sont pas de première jeunesse et n'ont pas dû non plus être parmi les plus belles autrefois. Leurs tenues affriolantes, nuisettes très fripées, voire tachées, datent un peu. Elles discutent entre elles dans un brouhaha incompréhensible. Un coup d'œil dans la petite pièce que Tom et Justine occupent montre deux vieux distributeurs, l'un de préservatifs et l'autre de papiers essuie-tout.

En attendant que la situation évolue, Tom se hasarde à caresser un peu Justine. Sa main déboutonne le chemisier, puis caresse les seins et en fait rouler les tétons sous ses doigts. Sa femme le laisse faire, alors il passe sa main par la fente de la jupe pour venir frotter doucement le clitoris, ce qui fait onduler Justine. Puis il s'enhardit vraiment : il relève complètement la jupe, écarte largement les cuisses de sa femme et pose sa bouche sur les lèvres de la chatte qu'il s'empresse de sucer. Pourtant, il s'étonne :

« Mais tu es trempée, chérie ! Est-ce la situation qui t'excite? »

La franchise de Justine la conduit à répondre :

« Oui, ça m'excite un peu, mais je suis comme ça depuis ce matin. En me levant j'ai vraiment eu une sensation caractéristique, celle que j'ai au moment de l'ovulation. Dans ces conditions, je mouille en permanence. »

Tom reprend ses caresses buccales avec beaucoup de savoir faire. Il sait bien que c'est maintenant à ça qu'il doit s'habituer, à la place de tout coït. Aussi est-il surpris, lorsque Justine lui dit :

« Je vois bien que me faire ça t'excite aussi. Tu es tout serré dans ta petite cage. Alors, exceptionnellement, je vais être très gentille aujourd'hui : je vais te libérer », ce qu'elle fait avec la clé de sa petite chaîne de cheville, ajoutant ensuite :

« Tu auras même le droit de me pénétrer... enfin... si tu y arrives. »

Tom n'en croit pas ses oreilles et il se positionne d'emblée entre les cuisses de sa femme, qui réagit immédiatement :

« Non ! Ça ne va pas ! Tu ne va pas me prendre comme ça, un jour d'ovulation. Je ne veux pas me retrouver avec un enfant qui sera affublé d'une petite bite comme la tienne ! Alors, va prendre un préservatif au distributeur. »

C'est avec un sexe bien couvert que Tom pénètre enfin sa femme. Pour une fois, il a réussi à ne pas débander au moment crucial. Il est le plus heureux des hommes. Il entame un coït rapide, tout en couvrant sa femme de baisers. Il sent que son sexe reste bien dur. C'est miraculeux. Il y prend un plaisir autant cérébral que physique. Pour Justine, ce n'est pas la même chose. Malgré son état d'excitation, elle ne sent pas grand-chose. Elle est heureuse de faire plaisir à son mari si conciliant, mais ça ne durera pas. Il faudra bien qu'elle lui fasse payer sa frustration d'une manière ou d'une autre. Tout en subissant ses assauts, elle y réfléchit et trouve une petite idée.

Ça y est : Tom vient d'atteindre la jouissance, un peu trop vite, un peu trop tôt, mais il est heureux d'avoir pu aller jusqu'au bout. C'est à cet instant que Justine lui dit :

« Retire ton préservatif et donne-le moi, sans rien renverser. »

Surpris, Tom s'exécute.

« Il est bien rempli. Avec tout le sperme que tu as mis dedans, tu aurais pu m'engrosser aujourd'hui. C'est ça que tu aurais voulu, mon petit mari? Heureusement, il y avait ce préservatif, mais il aurait pu se casser, n'est-ce pas? Ce sont des choses qui arrivent. C'est un risque, ne crois-tu pas? Et tu sais que le risque m'excite... »