Couple Pervers 04 (Voyage de Noce)

BÊTA PUBLIQUE

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« Bon, nous avons bien progressé », leur dit Nadia, « Nous ne nous reverrons que dans 5 jours, car je voudrais que, vous, Justine, repensiez à ce que vous venez de m'avouer, non pas pour culpabiliser à propos de ces... comment dire... perversions, mais plutôt pour ressentir tout le plaisir qu'elles peuvent vous apporter. Vous imaginerez toutes les occasions que vous allez rechercher, ou même provoquer... et cela sans vous inquiéter de ce que pourrait ressentir votre mari. Quant à vous, Tom, vous y penserez également en recherchant comment vous pourriez aider votre femme à réaliser ses fantasmes, même si ceux-ci sont humiliants pour vous. C'est le rôle d'un gentil mari cocu, n'est-ce pas? C'est à vous, Tom, que sera principalement consacrée notre prochaine séance. A bientôt.»

Les jours qui suivent permettent à chacun de réfléchir, pendant les longs voyages en 4/4 qu'ils font chaque jour pour visiter ce pays magnifique et surprenant. Ils n'ont pas trouvé le besoin de communiquer à ce sujet, comme s'ils ne pensaient possible de s'exprimer que face à la psychologue. Les messages vocaux qu'ils ont eu dans leur chambre, chaque soir, ont créé ou plutôt renforcé leur frustration sexuelle, car leur chasteté était toujours de rigueur.

Tom, qui n'a eu que peu de plaisir physique depuis sa première rencontre avec Justine, a fini par s'habituer à cette frustration. Curieusement, à chaque fois qu'il pense à ces plaisirs, en sachant qu'ils lui sont inaccessibles ou interdits, cela fait bander sa petite bite. Il en est de même lorsque Justine, dont la frustration sexuelle n'a jamais été aussi forte, se libère de cette tension en se moquant de ses attributs masculins.

Justine serait prête à prendre tous les risques pour assouvir ses envies sexuelles, si elle n'était retenue par Tom qui lui rappelle leurs engagements, ou même Yousuf, qui arrive à repousser ses avances incessantes en pensant à cet emploi rémunérateur qu'il pourrait bien perdre.

C'est un couple frustré et tendu qui se présente à la séance suivante face à Nadia, qui les accueille en disant :

« Cette fois, c'est vers Tom que je vais me tourner. J'aimerais que Justine laisse s'exprimer son mari. On est bien d'accord? »

Chacun confirme par un simple hochement de tête et Nadia poursuit :

« Tom, tu as bien compris que Justine a de très gros besoins sexuels, que tu n'es pas en mesure de lui offrir. Elle ne peut trouver son plaisir qu'avec d'autres, n'est-ce pas? »

« Oui », répond Tom, dans un murmure, et la psychologue continue :

« Même si elle trouve son plaisir ailleurs, Justine ne peut que ressentir de l'amertume en se rendant compte que son mari est incapable de le lui apporter comme il le devrait. Elle va chercher inconsciemment à vous le faire payer par de fréquentes humiliations. C'est-bien normal, n'est-ce pas? »

Tom se contente acquiescer d'un signe de tête.

« Justine a ressenti un plaisir quasi initiatique lorsqu'elle a perdu sa virginité avec ce personnage dégoûtant. Malheureusement, dans son esprit, cette particularité a certainement été associée à sa découverte du plaisir. Il faut donc s'attendre, même si cela peut vous paraître surprenant, à ce qu'elle recherche ça par la suite. Le comprenez-vous? », ajoute Nadia.

« Oui », répond Tom.

« Là, c'est encore plus délicat », poursuit la psychologue, « il faut savoir que le risque est souvent un excitant pour la femme. Alors qu'y a-t-il de plus dangereux que de risquer de tomber enceinte dans une relation sexuelle avec un inconnu, qui est tout sauf celui qu'elle aurait choisi? Là encore, Justine a découvert ce risque au moment du viol qu'elle a subi et en a ressenti une excitation supplémentaire. C'est certainement ce qui l'a empêchée de profiter pleinement d'un orgasme qu'elle s'est elle-même interdit. Elle va, contre sa volonté, rechercher encore cette sensation. Pour que Justine ne bloque pas son plaisir, il va falloir que vous ne la culpabilisiez pas, que vous acceptiez qu'elle atteigne ainsi le summum de l'orgasme et que vous soyez prêt à en supporter toutes les conséquences... toutes. Lui donnerez-vous cette preuve d'amour, Tom? »

Après un long moment d'hésitation, Tom finit par dire :

« Oui... je veux son bonheur. »

« Bravo, Tom, vous êtes un merveilleux mari », le conforte Nadia, « mais il reste un point important vous concernant. Il est évident que ce n'est pas avec votre petit sexe que vous donnerez du plaisir à votre femme. J'ai compris que vous y arriviez très bien avec des caresses buccales et ce devrait maintenant être votre rôle, n'est-ce pas? »

« Oui , bien sûr », confirme Tom.

Nadia, se tournant vers Justine, poursuit :

« Quant à vous, je suppose que vous essayez de donner un peu de plaisir à votre mai par des caresses manuelles. Si c'est le cas, y prenez-vous du plaisir? »

Alors Justine sent que c'est pour elle le moment d'être très franche :

« Non, je fais parfois une petite branlette qui est une vraie corvée, d'autant plus qu'il n'atteint pas toujours la jouissance, ce qui est presque insultant pour moi. Souvent, c'est lui qui se masturbe devant moi, mais ça ne me fait pas du tout d'effet et j'ai plutôt envie qu'il arrête. »

« Bien, j'ai la solution », précise Nadia, « j'ai un petit cadeau pour vous, que 'maître pervers' m'avait fourni. Cet homme a vraiment tout prévu ! Tom, déshabillez-vous complètement. Nous avons un petit essayage à faire. »

Quelques minutes plus tard, Nadia revient et tend un petit paquet à Justine, qui s'étonne :

« C'est pour moi? »

« Non, c'est pour Tom, mais cela vous concerne aussi », répond Nadia.

Justine sort du paquet une cage de chasteté métallique.

« Placez-la sur le sexe de Tom, Justine », commande Nadia.

Tom reste sans voix, médusé, mais n'ose pas protester. Lorsque Justine pose ses doigts sur le sexe de son mari, alors qu'elle place la bague de serrage sous les testicules, cela provoque tout de suite une érection. Quand elle fait glisser la cage, Justine n'arrive pas à y faire entrer complètement le membre, ce qui lui fait dire :

« Mais, elle est trop petite ! »

« C'est effectivement le plus petit modèle qui existe », réplique Nadia, « mais ça doit aller. Normalement, une éjaculation préalable est recommandée. Vous avez deux solutions : soit vous utilisez votre main pour le faire jouir, soit vous forcez. »

Justine, qui s'excite en sentant, à cet instant, le pouvoir qu'elle a sur son mari, répond instantanément :

« Je choisis la deuxième. »

Tenant fermement dans une main les testicules de son mari, elle pousse la cage avec force de son autre main. Un petit 'clic' du cadenas et la 'petite bête' est maintenant prisonnière, comme en témoignent les gémissements de Tom. Justine voit bien que le gland est déformé par la pression des barreaux qui y forment de petits bourrelets pas très esthétiques.

« Ça va s'arranger, mon chéri. Tu vas vite débander », lui dit-elle.

Justine attache la petite clé sur sa chaîne de cheville, suivant les conseils de Nadia, qui ajoute :

« Une cage métallique comme celle-ci permet de prendre une douche sans problème, donc vous n'avez, Justine, aucune obligation de la lui retirer. Ce sera à vous de choisir la durée de sa mise en chasteté. Beaucoup de femmes prennent plaisir au pouvoir qu'elles ressentent ainsi, certaines allant même jusqu'à refuser toute libération. »

Entendant cela, Justine sent sa chatte couler comme jamais, inondant sa petite culotte, alors que Tom place ses mains sur la cage, comme s'il cherchait à se protéger, mais en vain.

Le lendemain est jour de fête pour Justine : ses règles sont terminées et, dans son appel du matin, 'maître pervers' a levé l'interdiction de relations sexuelles.

Dès le départ du safari, qui doit les occuper aujourd'hui, Justine a tout fait pour exciter Yousuf. Elle a choisi une tenue complètement inadaptée à leur programme du jour, mais très indécente. Elle est seins nus sous une chemisette dont les trois boutons du haut sont ouverts. Le moindre mouvement laisse découvrir sa poitrine jusqu'aux tétons tendus d'excitation. Un regard de côté suffit alors pour profiter pleinement du spectacle. Elle a choisi une mini-jupe plissée qui s'évase au moindre souffle de vent, donnant ainsi la vue d'une jolie chatte que rien ne recouvre. Justine a bien vu qu'une grosse bosse s'est tout de suite formée sous le short de leur guide, dont elle a bien l'intention de profiter aujourd'hui.

Dès le premier arrêt dans leur safari, Justine se jette au cou de Yousuf et l'embrasse furieusement, tant elle a besoin d'assouvir un désir de sexe retenu depuis si longtemps. Elle a vite fait de déshabiller fébrilement leur guide, qui lui arrache sa chemise et la plaque contre le tronc d'un arbre. L'écorce lui griffe le dos, mais c'est pour elle sans importance, car elle ne peut, en ce moment, différencier souffrance et plaisir. L'homme, très ou trop excité, lui palpe durement les seins. D'une main, il relève la min-jupe et presse son gros sexe sur l'ouverture du vagin.

Tom n'a pas quitté la scène des yeux. Il a pu constater la taille conséquente du sexe noir qui doit bien faire 25 centimètres de long et dont l'épaisseur est imposante. Sa jalousie le taraude, mais il sait bien qu'il ne peut jouer dans la même catégorie, alors il se contente de se réjouir du plaisir que va prendre sa femme adorée, qui en a tant besoin. La période n'étant pas dangereuse pour elle, Tom se sent plus tranquille. Il va même sentir son excitation monter, comme en atteste une certaine douleur dans sa cage de chasteté, en regardant le spectacle érotique que lui offre Justine.

Yousuf vient de planter d'un coup son membre jusqu'au fond du vagin de sa partenaire qu'il désirait depuis des jours. Il s'ensuit un coït d'une rare violence, que Justine supporte pourtant avec délice, malgré son dos rouge des griffures de l'arbre. Ce n'est que lorsqu'il approche de la jouissance que Yousuf se rend compte de la douleur qu'il inflige à Justine. Alors, il la serre dans ses bras et la décolle de l'arbre, gardant toujours son sexe en elle. Tout en force, il la soulève et la fait redescendre contre lui, empalée sur son mandrin. Cet athlète se sert du vagin de Justine comme le ferait sa main pour se masturber. Puis, dans un dernier mouvement, il force vers le bas, pressant ainsi son gland sur le col de l'utérus. Ce sont alors deux cris simultanés de jouissance qu'entend Tom, qui sait que leur guide vient d'éjaculer dans le sexe de sa femme. Au même instant, il remarque une tache humide sur son short, à l'entre-jambe. Il vient de jouir dans sa cage, comme un bon cocu.

A chacun des arrêts, l'acte sexuel entre Justine et Yousuf va se reproduire sous les yeux de Tom. Ce sera moins brutal et avec plus de préliminaires. Justine sucera plusieurs fois ce sexe qui l'attire tant et son partenaire lui rendra la pareille.

A fil des jours qui suivent, pendant toute cette semaine, Justine et Yousuf vont continuer leur relation. Progressivement, ils ne vont plus 'baiser' mais plutôt 'faire l'amour', passant de partenaires de plaisir à amants. Tom s'est bien rendu compte de cette dérive et cela l'inquiète. Il en est malheureux et ne sait comment réagir. Là, Justine va trop loin, dépasse leur accord tacite, se dit-il. Lorsqu'il les regarde maintenant dans leurs ébats amoureux, Tom ne bande même plus dans sa cage. La jalousie a complètement remplacé l'excitation. Le cocu consentant et excité est devenu un cocu malheureux. Que faire? Tom n'aura pas à se poser longtemps encore la question car, un soir, Yousuf leur dit :

« C'était aujourd'hui la dernière fois où j'ai pu prendre du plaisir avec Justine. J'ai maintenant reçu l'ordre d'arrêter toute relation et je dois me contenter de vous guider dans les deux dernières expériences que 'maître pervers' a préparé pour vous. Merci à toi, Justine, pour tout le plaisir que tu m'as donné et à toi, Tom, pour ta compréhension. Demain, nous allons dans un village où vit une petite tribu qui a voulu rester éloignée de notre civilisation moderne. Ils vont faire une exception pour vous accueillir et vous faire participer à une fête vaudou. Je ne sais pas comment 'maître pervers' a fait pour obtenir ça, car ces gens ne sont aucunement intéressés par l'argent dont il dispose. Évidemment , le chef de tribu a refusé l'installation des caméras souhaitées. J'aurais une micro-caméra et un microphone caché dans le bandeau de mon chapeau de brousse. Tout cela communiquera avec un émetteur satellite qui restera dans le 4/4, à l'extérieur du village. J'espère que rien ne sera découvert, car je ne donnerai pas cher de ma peau. Ces gens ne sont pas particulièrement tendres avec les étrangers qui ne les respectent pas. A demain. »

Puis, se retournant vers Justine, il ajoute avant de les quitter :

« Justine, tu peux t'habiller comme tu veux. Ces gens sont habitués à la nudité. »

Ce matin, Justine a choisi une tenue très simple, se limitant à un short et un tee-shirt. Elle n'a pas jugé utile de s'embarrasser de sous-vêtements.

Le voyage sur des pistes difficiles est interminable. C'est d'autant plus long pour Justine qu'elle n'a aucun moyen de calmer son excitation. Par moments, elle se caresse en glissant une main par la jambe de son short ou c'est parfois Tom qui l'aide de la même façon. Tout cela ne peut suffire à la satisfaire. Ce n'est qu'à la nuit tombée qu'ils arrivent à l'entrée du village de cases.

Ils sont accueillis par un homme intégralement nu, qui s'adresse à eux dans un dialecte que le couple est incapable de comprendre. Justine s'intéresse surtout au physique parfait de l'homme qui leur fait face et en particulier à un sexe aussi long que celui de Yousuf et certainement un peu plus épais. Leur guide sort Justine de ses pensées érotiques en disant :

« Je vous sert d'interprète. Cet homme qui nous accueille est le fils du chef, comme beaucoup d'autres hommes du village d'ailleurs. Son père, très âgé, probablement centenaire, d'après ce que l'on dit, n'est pas en mesure de vous accueillir ici, mais vous recevra dans sa case à la fin de la nuit. Vous allez assister ou plutôt participer à une fête vaudou. Ce sont les hommes qui dansent et ce sont uniquement les guerriers. Ils boivent une décoction de plantes qui leur permet de rester en forme toute la nuit... tu vois ce que je veux dire, Justine. Tu seras la seule femme autorisée à danser avec eux. Un breuvage spécial te sera donné, mais je n'en connais pas les effets. Toutes les femmes de la tribu assisteront, sans participer à la danse. Elles seront là également pour s'occuper de ton mari. »

Tom fait part à sa femme de son inquiétude :

« Justine, si tu te donnes à un ou plusieurs de ces guerriers, ne vas-tu pas prendre un risque en ce moment? »

Sa femme tente de le rassurer :

« Il est vrai que commence pour moi une période dangereuse, mais ce n'est que le début. Et tu sais qu'un peu de risque m'excite... alors? »

C'est finalement Yousuf qui vient au secours de Tom, qui n'est qu'à moitié rassuré par la réponse de Justine :

« La décoction de plantes que ces hommes on bu leur permet de rester en érection pendant toute la nuit mais cela empêche toute éjaculation. »

Justine se sent à la fois excitée par la capacité de tous ces hommes, alors qu'elle sera la seule femme à 'entrer dans la danse', mais aussi un peu déçue de ne pas y associer ce risque qui l'excite tant.

Alors que les hommes commencent à danser en tournant autour d'un feu, le fils du chef s'approche et leur dit quelques mots incompréhensibles, que leur traduit Yousuf :

« Il vient de dire que vous pouvez choisir de vous mettre nu ou non. C'est le choix de chacun. Mais, si 'la gazelle' restait habillée, cela gâcherait un peu la fête, a-t-il dit. »

Justine, qui n'avait aucunement besoin de cette recommandation, se met nue immédiatement. Alors qu'elle s'apprête à rejoindre les danseurs, une des femmes lui tend une coupe, dont elle s'empresse de boire le contenu. Justine ressent comme un coup de fouet, comme si son énergie était subitement augmentée et il en est de même pour sa libido. Elle se sait prête pour une folle nuit.

Tous les guerriers dansent en tournant autour d'un feu qui rend leur peau encore plus dorée, ce qui plaît beaucoup à Justine. Ils suivent le rythme d'un tam-tam qui s'accélère jusqu'à atteindre une vitesse folle. Les corps, dans une danse endiablée, dégoulinent de sueur. Justine se sent attirée par l'odeur forte qui se dégage d'eux comme par la vue des sexes tendus, qui sont tous du même format que celui du fils du chef.

Elle n'a pas le temps d'y penser bien longtemps car une main vient de l'attraper par le bras et elle se retrouve entraînée dans la danse. Un des hommes, sans cesser de tourner et de danser, la soulève dans ses bras musclés. Justine se tient à son cou et serre ses jambes autour de la taille de son cavalier, qui l'embroche d'un coup sur son membre tendu. Il n'y a pas eu la moindre préparation mais la chatte de Justine était suffisamment trempée pour que cela se passe sans douleur. Sentir un inconnu la prendre sans son assentiment, lui fait penser à un viol. Cela l'excite d'autant plus qu'elle se doute que cet homme ne sera pas le seul à profiter d'elle. Comme pour le confirmer, au bout de quelques mouvements d'un coït furieux, l'homme la libère et la passe à son voisin. Chacun répète la même pénétration, exactement de la même façon, comme si il s'agissait d'une figure imposée de leur danse. Justine a même l'impression que les sexes qui la pilonnent tour à tour suivent le rythme du tam-tam. A chaque 'bong' de l'instrument, elle sent le gland frapper brutalement le fond de son vagin. Lorsqu'elle s'aperçoit qu'elle vient de faire le tour complet du cercle de danse, la pensée de s'être faite prendre par tous ces inconnus lui déclenche un orgasme foudroyant mais purement cérébral.

Sans même attendre qu'elle ait fini de trembler, un autre homme la prend de nouveau. Justine comprend que, avec le breuvage qu'ils ont avalé, rien n'empêchera ces hommes de la prendre et la reprendre pendant toute la nuit. Elle sait qu'elle va jouir presque en permanence et que, grâce à ce qu'on lui a fait boire, elle va pouvoir en profiter sans craindre l'épuisement.

Caché dans la pénombre environnante, Yousuf ne quitte pas Justine des yeux, ou plutôt de son chapeau, car il              est là pour filmer la scène dont son patron doit se régaler en ce moment.

Tom ne perd rien du spectacle, bien qu'il s'inquiète de voir sa femme aussi sollicitée. Il se demande comment elle va pouvoir supporter cela toute la nuit. Ne devrait-il pas intervenir? Mais comment réagiraient ces guerriers privés de leur proie? Il ses pose encore ces questions lorsque plusieurs femmes de la tribu l'entourent et cherchent à le déshabiller. Il se défend comme il peut face à ces furies et fait part de son inquiétude à Yousuf :

« Que disent-elles? Que me veulent-elles? »

« Elles veulent te voir tout nu, car c'est ce qui convient pour cette fête vaudou », lui explique son guide.

« Oh, non ! », s'écrie Tom.

« Tu ferais mieux de te laisser faire. Elles vont y arriver de toutes façons ! », lui conseille Yousuf.

Évidemment, dès qu'il se retrouve nu, les regards des femmes se posent sur sa cage. Leur expression n'est que surprise. Elles se mettent à parler très vite, toutes en même temps, avant d'éclater de rire. Toutes le touchent à cet endroit, qui pour suivre les barreaux, qui pour tenter d'y glisser un doigt. Tom panique un peu et cherche de nouveau du secours auprès de Yousuf en posant encore les mêmes questions :

« Qu'est-ce qu'elles disent? Que me veulent-elles? »

« Tu veux vraiment que je traduise? », questionne le guide.

« Oui, oui, dis-moi ! », crie presque Tom.

« Bon. Elles se demandent pourquoi on doit mettre un si petit oiseau en cage. Il ne leur paraît pas bien dangereux. Si petit, il ne doit même pas pouvoir donner un bébé à une femme. »

Entourée par ces femmes à la fois curieuses et moqueuses, Tom essaye de se protéger des contacts de celles-ci. Cette situation l'empêche de profiter du spectacle que lui offre sa chère épouse.