Cheptel de Bourgeoises

Les cris et les gémissements me réveille et je pousse un grognement. Je jette un coup d'oeil à mon réveil : 9h00!

Un hurlement plus fort me fait me lever. Je descend les escaliers qui mennent au salon de notre pavillon. Ma mère, Julie, est debout dans notre salon, perchée sur des talons aiguilles de quinze centimètres, vêtue d'un simple tablier de cuisine qui laisse apparaître ses seins qui gigotent dans tous les sens sous les coups de pines de Franck. Penchée en avant , elle suce la queue de Bruno. Audrey s'occupe de Daphné et Constance, ses deux nouvelles esclaves. Elles sont dans le canapé, entierement nues, et c'est elles qui poussent les hurlements qui m'on reveillé. Les deux jeunes femmes sont arrivés vendredi soir et elles ont subi un week-end de folie se faisant baiser comme des chiennes par mes copains et moi. Nous avons contraint ma mère a appelé les parents respectifs de Daphné et Constance, des notables de la ville, Daphné étant la fille du maire et Constance la fille du notaire pour demander à ses parents si elles pouvaient venir passer le week-end a la maison. Elle a du promettre à leurs parents qu'elle prendrait soins de leurs progénitures....Les pauvres si ils savaient...

Audrey a introduit ses doigts dans leurs chattes et les fait coulisser rapidement, j' entend le clapotis de leurs mouille. Constance et Daphné se tordent de jouissance dans le canapé. Franck pilonne ma mère comme un fou. Son ventre vient claquer contre ses fesses. Bruno grogna en éjaculant sur le visage de maman qui recu son sperme sur ses lèvres. Je bande comme un malade et je prend la place de Bruno, enfonçant ma bite dans la bouche de ma mère. Sans rechigner, elle commence sa fellation en me regardant par en dessous. Sous les directives d'Audrey , Constance et Daphné se sont allongées sur le carrelage de notre salon, se positionnant en ciseaux , elles se frottent le clito en poussant des gemissements et en agitant leurs bassins.

Elles jouirent en hurlant pendant que Franck se vidait sur le cul de ma mère. Julie accelera sa fellation me pompant le dard en salivant dessus. A ce ryhtme, je ne tardais pas a jouir aspergeant son palais de ma semence.....

Nous avions tous décidés, Franck, Bruno, Audrey et moi, qu'ils fallaient élargir notre cheptel si nous voulions gagner plus de fric. Ma sœur, devenue notre pute au bahut nous rapportait pas mal de fric ainsi que Constance et Daphné mais cela ne nous suffisait pas. Nous avions donc decidé qu'ils nous fallait de nouvelles proies. Et tout naturellement, nous avions jetés notre dévolue sur les mères de Constance et Daphné. Des bourgeoises très bon chic bon genre. La femme du maire et l'épouse du notaire, Conseillère municipale de surcroit.

Audrey demanda à Daphné et Constance d'appeler leurs mamans respectives pour leur demander de venir les chercher. Pendant que la fille du maire est au téléphone avec sa mère, Audrey en profite pour lui titiller le clitoris avec sa langue pendant que Constance se fait doigter par ma mère.

Un coup de sonnette retentit dans notre pavillon. J'ordonne à Julie d'aller ouvrir. Audrey l'a contrainte à s'habiller comme une pute. Elle porte une jupe plissée écossaise ultra courte qui s'arrête à mi-cuisses, des escarpins aux talons aiguilles en acier de quinze centimètres et des bas résilles à couture. Ses talons claquent sur le dallage de notre salon quand elle se dirige vers l'entrée.

Stupéfaction de l'épouse du maire et de la conseillère municipale.

Madame Solange Bernier , la maman de Daphné, entra dans le salon. Elle est vétue d'un tailleur Chanel noir. La jupe du tailleur s'arrête au dessus du genoux, dévoilant des jambes gainèes de bas noirs. Madame Clotilde Dumas, la maman de Constance, était habillèe d'une jupe blanche qui s'arrêtait à mi-cuisses. D'ou émergeait des jambes superbes mis en valeur par les bas satinès et la hauteur des talons de ses escarpins.

Les deux bourgeoises restent interloquées devant le spectacle qui se déroule devant eux. Leurs progénitures, Constance et Daphné, sont dans le canapé , vétue uniquement de talons aiguilles et de bas auto-fixants, empalées sur les bites de Bruno et Franck. Elles montent et descendent sur leurs queues en gémissants, décoiffées, en sueurs, haletantes...

Solange et Clotilde poussèrent un concert de cris et de protestations.

- Mais enfin...C'est...Constance!!!

- Daphné!!! Comment peux tu?

Mais elles restent tétanisées , ne bougeant pas. Observant leurs filles prendrent leurs pieds sous les coups de pines de Franck et Bruno.

Elles entendent un petit cri qui leur fait tourner la tête vers Julie. Ma mère, en équilibre sur ses talons aiguilles, courbée sur la table du salon, sa jupe tirebouchonnée autour de la taille, les seins jaillissant de son décolleté, se fait doigter par Audrey. Elle fait coulisser ses doigts dans sa chatte dégoulinante de mouille. Solange et Clotilde se regardent, attérrées.

- Mais....Mais....Madame Dumont...Enfin...Balbutie la distinguée épouse du maire, le rouge aux joues.

Je décide d'intervenir.

Je m'approche des deux respectables bourgeoises. Je les empoignent par les cheveux les faisant crier. Je réussis à les contraindre à se mettre à quatre pattes sur le dallage de notre salon. Audrey et Julie viennent me donner un coup de main. Nous parvenons à soulever leurs jupes exhibant leurs culs. Solange porte un string rouge sous son élégant tailleur Chanel et Clotilde un string transparent. Julie déchira le collant que portait la conseillère municipale. Pour Solange ce fut plus simple, elle portait des bas auto-fixants. Ces dames protestent énergiquement et Audrey leurs assènent quelques claques bien senties sur les fesses qui commencent à devenir rouges. Cris et protestations de Solange et Clotilde. Décoiffées, rouge de honte, elles tentent de se relever mais nous les maintenont à quatre pattes. Nous leurs retirons leurs strings et leurs enfonçons, roulés en boule dans la bouche pour les contraindre au silence.

Audrey et ma mère, devenue notre complice, introduisent leurs doigts dans les chattes de la respectable épouse du maire et de la conseillère municipale. Qui n'ont plus rien de respectable.... Elles grognent dans leurs baillons improvisés. Gigotant, tentant d'echapper à la pénétration de leurs fentes. Elles gémissent quand même par moment quand Audrey et maman accélèrent en faisant coulisser leurs doigts.

- Paul, va me chercher le vibro!

J'obéit à Audrey et revient avec l'engin.

Cris de protestations étouffées de la part de Solange et Clotilde.

Audrey, avec un regard sadique, posa le vibro sur le clitoris de l'épouse du maire.

Solange se cabra et poussa un hurlement. Bruno et Franck s'arrêtèrent de baiser les filles des deux femmes de notable.

Solange se tord sur le carrelage en gémissant. Pendant ce temps, Julie continue de gouiner Clotilde en lui tititllant le clito avec sa langue tout en la masturbant avec ses doigts. Les gémissements de Clotilde viennent se mélanger à ceux de Solange....

Toujours aussi perverse, Audrey ordonne à Constance et Daphné de venir se faire lécher par leurs mères.

De nouveau , cris de protestations de Solange et Clotilde.

Je leurs retires leurs baîllons et Constance se positionna devant sa mère pendant que Daphné faisait de même. On dut claquer les fesses des deux bourgeoises pour qu'elles s'éxécutent. Sortant timidement leurs langues, ont les forces à s'approcher. Posant leurs langues sur les fentes degoulinantes de mouilles de leurs filles. Solange et Clotilde, rouge de honte, donne de timide coups de langues sur la vulve de Constance et Daphné.... Puis elles lèchent avec de plus en plus d'ardeur. Faisant couiner leurs filles tout en gémissants sous les vibrassions du vibromasseur.

Audrey s'est équipée d'un gode-ceinture et elle baise avec vigueur Daphné à genoux dans le canapé pendant que je défonce Constance debout au millieu du salon. Solange et Clotilde debout sur leurs talons aiguilles sucent les bites de Bruno et Franck qui les tenant par les cheveux les guident faisant coulisser leurs membres entre leurs lèvres rouges. L'épouse du maire fait coulisser le membre imposant de Franck entre ses mains fines aux ongles manucurés.

Les cris de jouissance de leurs filles parviennent à leurs oreilles et elles tournent la tête en directions des gémissements. Constance et Daphné sont à quatre pattes maintenant et nous les baisons, Audrey et moi, s'agitant dans leurs chattes.

Un concert de cris et de hurlements retentissent dans notre pavillon. Solange et Clotilde allongées sur la table du salon, se font ramonner en cadence par Franck et Bruno, leurs jambes posées sur leurs épaules, pendant que Audrey baise Julie à quatre pattes, avec son gode-ceinture. Moi, je culbute Daphné pendant que Constance se fait lécher la chatte par sa copine.

Franck et Bruno baise l'épouse du maire, empalée sur la bite de Franck et enculée par celle de Bruno pendant qu'elle me suce la bite. La conseillère municipale, elle, gémit sous les coups de queues en latex de Audrey pendant que par terre Constance et Daphné se sont introduit un double-gode et s'agite dessus tout en se tirant les pointes des seins en gémissants....Julie, ma mère, regarde ce spectacle en se masturbant avec le vibromasseur...

Bruno, Franck et moi nous éjaculons en même temps sur les visages ravagées de Clotilde et Solange. Notre sperme giclent sur leurs lèvres et leurs fronts. Elles restent haletantes à nous regarder. Audrey leurs montrent des photos et des films pris avec son portable pendant notre orgie.

Effondrées, elles comprennent qu'elles ne peuvent plus rien nous refuser....

J'arrive à la mairie ou le conseil municipal vient juste de se terminer. Je descend dans la salle du conseil. Tout le monde est partis sauf l'épouse du maire et la conseillère municipale. Et leurs clients...L'annonce a été posté sur un site internet. « Bourgeoises salopes cherchent ouvriers à soulager ». Nous avons fait passer le mot dans toute la ville.

Et nous avons vite eu des clients. Surtout du personnel de la mairie. Trop content de pouvoir se venger du maire, un type autoritaire, sur sa femme et sa conseillère municipale. Solange accroupie, dévoilant ses cuisses et la lisière de ses bas accrochées à un porte-jarretelles, suce la bite de deux ouvriers des ateliers municipaux. Salivant dessus. Clotilde, robe tirebouchonnée autour de la taille, les jambes gainées de bas à couture, halète sous les coups de queues des ouvrier du service de la voirie. Maman ,elle, se fait ramonner par Yazid, son collègue à la DRH, pendant qu'elle lutte avec un huissier et un balayeur qui lui enfoncent leurs bites dans la bouche.....

Je regarde la scène en me diant que notre cheptel s'était agrandi et que la femme du maire et la conseillère municipale étaient devenues de vraies salopes qui allaient nous faire gagner un maximum de fric...