CFNM à l'université Chapitre 24

BÊTA PUBLIQUE

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— Allez, lui a dit Annick on dirait que tu n'as jamais vu une fille.

Encore une claque, qui l'a poussé contre Marie-Dominique, qui évidemment, s'est pressé contre lui. Elle était comme folle, elle s'est accrochée à lui, en se frottant, nous ne pouvions plus l'arrêter et elle a fait bouger son bassin contre lui, assez vite, et elle a joui, en poussant un petit cri, presque de soulagement. Alors, elle est restée un moment pendue dans ses bras.

Anne-Sophie et moi avons tout de suite frappé les fesses d'Arno.

— Continue, lui dis-je. Mets-lui ce soutien, petit garçon!

Il a râlé un peu, mais lui, il était toujours chargé. D'ailleurs, Marie-Dominique s'était recomposée. Elle a serré ses bras autour de son cou.

— Alors, bel étalon, tu me mets mon soutien? Merci pour ce baiser, en récompense, tu pourras me baiser les pieds ce soir quand je rentre, un massage avec tes mains et ta bouche.

— Remercie Marie-Dominique, lui a dit sa sœur en frappant ses fesses.

C'était fort, et toujours au même endroit, il avait un peu mal, et cela devenait rouge.

— Merci, il a murmuré.

Puis, il a placé les bonnets du soutien à leur place, en tentant de ne pas toucher la poitrine. Mais il ne pouvait s'en empêcher et en plus, sans toucher c'était impossible. Il s'emberlificotait, nous lui donnions quelques claques avec des ordres pour le faire avancer. Il touchait la poitrine légèrement pour passer les bretelles, et il s'est retrouvé contre elle pour attacher le crochet dans le dos. Marie-Dominique l'a embrassé.

— Tu m'as surprise. Alors? Tu sais comment utiliser le soutien d'une fille? On dirait que c'est la première fois, tu es puceau?

Encore une parole qu'il n'aimait pas, mais c'était amusant et pas méchant.

— Il faudrait que je voie, il a dit, je vais passer derrière.

Marie-Dominique s'est retournée et s'est cambrée, elle a mis ses fesses contre son sexe. Il n'en pouvait plus, et il ne parvenait pas à attacher l'agrafe.

— Alors? Tu ne sais rien faire.

— S'il te plait, ne te presse pas contre moi, je ne sais plus où j'en suis.

Nous rions.

— Justement, mon cher Arno, lui a dit Annick c'est le jeu.

— C'est très agréable de te voir dans un état pareil, ajoute Sandrine. Allez, continue.

Il n'y parvenait pas, et Marie-Dominique savait bien ce qu'elle faisait, finalement, je me suis approchée pour lui montrer. C'était simple.

— Bien, maintenant que mes sous-vêtements sont enfin mis, Arno, ouvre mon armoire et prends ma robe grise.

Il n'en pouvait plus, il fallait faire attention à ce qu'il ne lui arrive pas un accident comme hier. Il a décroché la jolie robe et s'est posté devant Marie-Dominique. D'abord, il a voulu trouver l'ouverture, il a finalement vu la tirette cachée sur le côté, et il a passé le vêtement. C'était déjà plus facile. Il lui a enfin fermé le zip.

— Enfin, c'était laborieux. Tu me trouves sexy?

— Oui Marie-Dominique, tu es très belle.

— Je dois encore me maquiller. Tu m'as fait de jolis pieds hier, mets-moi mes escarpins gris.

A genoux, encore, pour nous exciter davantage. Il a mis les chaussures de Marie-Dominique, il devait aimer cela, car c'était très tendre, il avait un air attentionné.

— Merci. Tu peux me laisser, je vais me maquiller.

Nous l'emmenons dans le living.

— Alors, lui dit tout de suite Anne-Sophie, tu as vu ce que tu as fait à ma sœur?

— Je n'ai rien fait de mal, répond-il un peu fier, et surtout moins embarrassé.

— Crois-tu? T'avait-elle demandé de l'embrasser?

— Non, mais elle s'était collée à moi, j'avais mes lèvres sur les siennes, elle a un très beau vagin et elle sent vraiment très bon. Je n'ai pu m'en empêcher.

Il nous a surprises.

— Tu iras demander pardon à Marie-Dominique quand elle est sera prête, je me suis reprise. Et maintenant, va nettoyer et ranger la salle de bains.

Anne-Sophie le laisse aller, et il s'en va seul dans le couloir.

— Voyons voir s'il reste nu, dis-je.

— Que penses-tu?

— Il va rester et obéir. Hier était la meilleure journée de se vie, il veut continuer. Vous verrez, nous ne devrons plus lui demander.

— Tu penses que nous pourrons toujours l'avoir nu avec nous?

— Oui. Vous pourrez toujours le demander, ici ou ailleurs.

Je suis allée voir son travail, il terminait que je suis arrivée. Il devenait excellent, et quand il était seul, ce n'était pas gai, il préférait nous avoir dans la pièce.

— Bravo, je lui dis en le prenant dans mes bras. Tu es toujours content?

— Oui, c'est formidable. Stéphanie. Et euh... je suis désolé pour le baiser à Marie-Dominique, mais c'est intenable.

— Je t'ai dit, tu dois leur demander de te masturber et tu verras, elles demanderont plus.

— Cela me fait quand même quelque chose, je ne devrais le faire qu'à toi.

— Je t'ai souvent amené des filles, non? Et bien c'est la même chose, tu leur donneras ce plaisir, mais pas avec ton sexe.

— Non, promis, il a répondu.

Nous sommes retournés au living, Marie-Dominique était prête.

— Viens me passer mon manteau, lui dit-elle.

Il est allé vers elle et lui a passé son bel imperméable. Elle était vraiment sexy.

— Je te plais?

— Tu es sublime, Marie-Dominique.

— Merci, j'aime qu'un garçon me dise de gentilles choses. Tu vas devoir me faire beaucoup de compliments.

— Oui, Marie-Dominique, avec plaisir, ce ne sera pas difficile, tu es tellement belle...

Elle s'est rengorgée. Arno était un champion des belles paroles.

— Marie-Dominique, il lui a dit ensuite, je suis désolé pour tout à l'heure, je n'aurais pas dû t'embrasser sur...enfin là...

— Ne t'en fais pas, j'ai beaucoup apprécié, mais la prochaine fois, demande, compris?

— Oui, Marie-Dominique.

— Et ce soir, si tu as été sage, je te ferai peut-être une gâterie.

Il en a eu le souffle coupé. Mais c'était une récompense, Arno était mieux que nous le pensions, et elles l'adoraient, autant qu'elles aimaient l'engueuler et lui parler sèchement.

Cette fois, il n'y a pas eu de problème, il a ouvert la porte et a appelé l'ascenseur, et il a tenu la porte jusqu'à son départ. Elle l'a embrassé. Elle était en pleine forme.

Arno est revenu vers nous.

— Tu vas pouvoir travailler à nos mémoires? Annick lui a demandé.

— Avec plaisir, que voulez-vous que je fasse?

— Continue les travaux, tu as tout.

— Nous devons aller à la bibliothèque, lui a dit Annick. Nous devions rentrer à Waterloo aujourd'hui, mais nous préférons rester ici avec toi.

— Oui, c'est une excellente semaine, celle où tu as commencé à vivre tout nu avec nous.

— Tu es toujours d'accord de nous aider?

— Bien sûr, je fais tout ce que vous voulez.

— Pas de regret?

— Non, vous verrez, je ne sortirai pas pendant les deux prochaines semaines, puis ce sont les vacances de Pâques.

— Que tu viendras passer avec nous, lui annonce Sandrine. Nous sommes occupées d'arranger un endroit.

— Pour vivre comme ici?

— Evidemment, il ne pourrait en être autrement.

C'était assez joyeux. Arno n'était pas mécontent.

— Je veux bien être tout le temps à poil, il a répondu, je vous ai dit, je le ferai, mais si nous allons quelque part, j'aimerais un peu sortir.

Nous nous sommes regardées, il avait raison. Nous pourrions certainement aller quelque part au soleil Marie-Dominique devait avoir la confirmation ce week-end, et sortir. De toute façon, Marie-Dominique, voulait un endroit isolé, où nous pourrions le promener nu, et aller à la plage.

Il a allumé son ordinateur, et nous nous sommes préparées. Annick et Sandrine sont parties, Anne-Sophie également, elle avait des cours, et nous sommes restés tous les deux.

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Anonymous
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AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
Yes yes yes

La vraie vie commence !

Arno soumis et nu en permanence !

Arno soumis va accomplir tous les désirs de ces superbes filles !

Rudy

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