CFNM à l'université Chapitre 23

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Arno passe sa première soirée aux pieds des six filles.
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Partie 24 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 23

— Quelle journée, hein?

— Oui, il m'a répondu assez franchement.

— Tu ne manges pas?

— Mon ventre est serré, je ne peux presque rien avaler.

— Pourquoi?

— Je ne sais pas.

— Mais si tu sais, tu adores la situation. Je le vois bien. Tu es enfin nu au milieu de nous six.

— Oui, il a répondu en s'étranglant de plaisir.

— Tu aimais bien?

— Oh oui, c'était grandiose.

— Tu veux continuer?

— Oui, merci. Je ... je ne veux plus jamais arrêter, quelle vie fabuleuse.

— Nous n'avions pas l'intention d'arrêter, mon chéri. C'est devenu ton nouveau mode de vie. Fais-moi confiance.

— Je te fais toujours confiance.

— Oui, mais tu as quand même eu peur.

— Evidemment ce n'est pas normal de passer la journée tout nu avec des filles. Et de subir leur volonté. Mais c'est mieux que tout. Je préfère ce qui s'est passé cette semaine à tout le reste.

— Tant mieux, comme ça nous pouvons continuer. Nous voulons t'utiliser à 100%, donc je ne crois pas que tu auras encore le temps pour tes copains.

— Je ne sais pas, il m'a répondu pour ma grande surprise. Je vais t'avouer qu'après ces derniers jours, je n'ai rien envie d'autre que ce que j'ai vécu, j'en veux plus, je me fous du reste.

— Tu auras plus, je lui ai répondu très excitée, tu verras, tu me supplieras d'arrêter, mais je n'arrêterai pas.

Je l'ai laissé à ses pensées et suis retournée auprès des autres pour leur raconter ses dernières paroles.

— Il en veut plus? Anne-Sophie s'est exclamée. Il va l'avoir!

Il a eu terminé la vaisselle et le rangement. Il est revenu auprès de nous.

— Va m'attendre dans la chambre, je lui ai ordonné.

— Et avant de partir, Anne-Sophie a ajouté, souhaite-nous une bonne nuit, à genoux comme il se doit.

Il a dont fait le tour, à genoux, et chacune l'a embrassé tendrement sur les lèvres. Puis il est allé m'attendre dans notre chambre. J'y suis allée une bonne demi-heure plus tard. Il ne lisait même pas, il attendait, comme si plus rien d'autre n'avait d'importance.

— Alors? Tu as enfin franchi le pas?

— Oui, il m'a répondu en me prenant dans ses bras.

— Moi aussi, tu es vraiment trop sexy ainsi tout nu. Retournons au salon, tu vas me mettre du vernis à ongles.

Je lui ai montré mon flacon, il l'a pris et m'a suivie, il ne faisait plus aucune remarque, c'était bien. Il n'y avait personne au salon, alors je me suis assise.

— A genoux, tu vas me mettre le vernis sur les ongles de mes orteils.

Il a obtempéré tout de suite, lorsque nous étions tous les deux, il était très docile, il adorait me servir comme une déesse depuis si longtemps. Mais le vernis, c'était la première fois.

— Tu sais comment faire?

— Je pense, je dois peindre tes ongles sans en mettre à côté.

— Voilà, et il faut que ce soit lisse, mais je suppose que tu sais, tu as peint des maquettes quand tu étais petit.

Il s'est mis à mes pieds, et délicatement, il a commencé à peindre mon orteil. Marie-Dominique est venue, elle a vu que nous étions là et elle est venue d'asseoir à mes côtés.

— C'est une bonne idée, Arno, tu pourras me faire les miens également?

— Oui Marie-Dominique.

— Merci, tu es très gentil.

Elle lui a flatté les cheveux en souriant.

— Quelle journée, elle m'a ensuite dit. Je ne pensais pas qu'Arno irait si vite. Mais il m'a promis que je ne le verrais plus avec des vêtements dans cet appartement. J'en suis si heureuse. J'ai toujours aimé le voir nu, depuis la soirée chez moi en première.

— Déjà à l'époque, il n'était pas totalement réfractaire. C'est pratiquement le seul de tous ceux qui ont été testés qui a accepté de rester nu.

— Une heure!

— Sans compter les autres fois. Tu te rappelles Noël en deuxième? Il n'arrêtait pas de se chamailler avec Sandrine et Annick, et il leur avait donné une fessée. Elles se sont vengées, quand il est sorti de la salle de bains, elles ont tout escamoté et il s'est retrouvé tout nu devant elles dans le couloir. Il a voulu montrer qu'il n'en avait rien à cirer, et il est descendu au salon. Nous y étions toutes les deux, c'était une belle surprise, elles sont arrivées derrière lui. Et comme il s'est retrouvé un peu désemparé, Annick l'a fessé, puis Sandrine.

— Oui, et nous l'avons forcé à rester tout nu. De toute façon ses affaires étaient enfermées.

— Quel réveillon, nous étions déjà toutes les six.

— Sans compter les autres qui sont arrivées ensuite.

— Réunissons le Pussy Power ici la semaine prochaine!

Arno venait de termine un pied, il soufflait pour faire sécher.

Virginie est ensuite arrivée, et finalement les autres.

— Nous allons réunir le Pussy Power ici la semaine prochaine, a clamé Marie-Dominique, en souvenir de notre Noël de deuxième.

— C'est vrai, quel réveillon, Arno avait été bien surpris.

— C'est agréable de se faire faire ainsi les ongles? M'a demandé Virginie.

— Oui, tu ne peux pas imaginer.

— Il a l'air doué, Arno me fera les ongles également.

— Il le fera pour tout le monde, n'est-ce pas Arno? Je lui ai demandé.

— Oui, il a marmonné très près de mes pieds, sans doute honteux de la situation.

Nous en avions parlé à de nombreuses reprises. Toutes les filles adoraient Arno, il était leur meilleur ami. Et il était si sexy. Nous avions passé de nombreuses soirées à imaginer de telles situations, nous adorions voir Arno nu, un peu intimidé, lui qui était devenu si sûr de lui. C'était un leader incontesté. Un meneur, les gens et surtout les filles juraient par lui, on l'invitait partout.

Mais ici, dans cet appartement, il y avait un attachement très fort, et un soir, il y a de nombreux mois, nous avions parlé, enfin, elles avaient surtout parlé, de voir Arno nu, d'organiser des moments pour qu'il se retrouve nu avec nous, et nous avions imaginé qu'il nous prépare à manger et nous serve à boire tout nu.

Les derniers jours avaient été un plus grand succès que nous l'escomptions.

— Merci, je lui ai dit quand il a eu fini mon deuxième pied.

— Arno, Virginie s'est exclamée, tu es un artiste, Stéphanie ton pied est magnifique, je suis jalouse.

— Arno va le faire pour toi, lui a promis Anne-Sophie. N'est-ce pas Arno.

— Oui, Anne-Sophie, il a répondu en se relevant.

Il a tenté de prendre bonne contenance, mais ce doit être difficile quand on est tout nu en public, surtout ici.

En octobre, il avait fait un tour de la ville tout nu en vélo avec ses amis. C'était fun, il était même passé à la télévision, mais c'était un autre contexte. En janvier, aux sports d'hiver, ils avaient organisé une descente en ski tout nu. A nouveau, un autre contexte, et avec le corps qu'il a, il n'a aucune honte.

Par contre ce soir, il est intimidé, nous le regardons nu, l'admirons, mais nous le considérons un peu comme un objet, comme un serveur soumis. Comment peut-il changer ainsi à cause de nous? C'est vrai que je le sais, depuis que je l'ai rencontré, il était fonceur, extraverti, et en ma présence, c'était un garçon timide et impressionné.

Il a encore servi à boire et il a poursuivi le vernis. Il a dû aller chercher le vernis de chacune pour le faire directement, et c'était vraiment très plaisant.

Il a terminé les pieds de Sandrine en dernier lieu.

— Merci, chez Arno, tu es formidable. Franchement, tu pourrais en faire ta profession.

Il n'aimait pas trop, surtout que nous avions discuté d'un monde de fantaisie après l'université, où nous habiterions ensemble dans le loft, et où nous aurions notre Arno qui y vivrait tout nu, et qui s'occuperait de nous et de l'intérieur pendant que nous allions travailler.

Il écoutait, mais ne disait rien. J'adorais le voir embarrassé par nos paroles.

— Qu'en penses-tu Arno? Lui a demandé Marie-Dominique.

— Euh... Rien, ce n'est pas possible.

— Et pourquoi?

— Parce que l'année prochaine, vous allez travailler, moi aussi, je ne vais pas rester à la maison.

— Nous sommes six, nous gagnerons bien notre vie, nous pouvons entretenir un mari qui reste à la maison.

— On ne peut se marier à sept.

— Ne viens pas avec tes excuses, lui a dit Anne-Sophie, nous nous sommes mariés à Ibiza, nous en avons la preuve. Et puis, joue le jeu, nous sommes mariés, et tu seras notre mari qui nous attend à la maison.

— Tout nu!

Elles ont ri, il était assez embarrassé. C'était évident, nous racontions des salades, mais à nouveau, une partie de notre fantasme. Au début, nous avions même dit que nous voulions plusieurs garçons à la maison, mais les garçons ne s'entendent jamais entre eux quand il y a des filles, alors, nous avions monté notre histoire sur un garçon tout seul, facilement manipulable, et Arno était le garçon rêvé, j'étais amoureuse de lui depuis que j'avais douze ans, il était très beau, vraiment très beau, un visage doux et un corps de rêve. Il avait bon caractère, il était très intelligent, et j'adorais qu'il soit nu en face de moi. Et puis en face de mes amies, j'avais remarqué ce penchant lors de son test final chez Marie-Dominique. Cela m'avait excitée.

— Puisque tu nous as avoué aimer vivre tout nu avec nous, a poursuivi Marie-Dominique, il est normal que tu le fasses.

— Ce sera génial, je rentrerai du travail, a dit Virginie, mon gentil mari m'attendra tout nu, très sexy, il m'embrassera, me retirera mon manteau, puis me fera un bon massage de pieds, il m'offrira un drink, Il préparera le repas.

— Il aura du travail, nous serons là toutes les six, peut-être pas en même temps, mais six massages...

— Il y a 24 heures, dans une journée, il aura le temps, cette semaine, il a pu s'occuper de nous toutes.

— Nous ferons encore un test demain, mais je suis certaine qu'il s'en sortira, a conclu Sandrine.

— Sinon, il aura une belle fessée, a encore dit Anne-Sophie qui adorait cela.

Arno n'en menait pas large, mais son état était toujours identique. Sandrine et Annick étaient fatiguées, elles sont allées se coucher, Arno a débarrassé et rangé le salon, et nous avons finalement rejoint nos chambres.

— Quelle belle fin de soirée, Arno, tu peins les ongles d'une manière fantastique, un vrai talent.

— C'est ce que je vais devoir faire pour toi?

— Tu es fâché? Je croyais que tu aimais bien la situation.

— Oui, il a admis, mais parfois, c'est trop dur, et bizarre, passer plus de deux heures à vos pieds à vernir des ongles, en entendant vos histoires débiles.

— Ce n'est pas débile, c'est un fantasme. Tu veux arrêter?

— Non, il a dit tout de suite, je veux continuer.

— C'est bien ce qu'il me semblait.

Je l'ai pris dans mes bras et je l'ai embrassé. Il avait été tellement sollicité toute la journée, que le simple contact de ma chemise de nuit sur son sexe l'a fait éjaculer.

— Je suis désolé, il a dit penaud. C'est... c'est venu tout seul, j'ai attendu trop longtemps.

— Pauvre chéri...

J'avais hésité à l'engueuler et le punir, mais j'ai préféré être douce.

— Ce n'est pas grave, tu vas nettoyer cela, et tu vas revenir ici, j'ai envie que tu utilises ta langue.

— Tu ne veux plus jamais faire l'amour?

— J'adore faire l'amour avec toi, mais tu viens juste de...

— Cela n'a rien changé, j'ai envie de toi, c'était comme si c'était venu tout seul, je suis prêt.

— Et bien, on dirait que le fait de te retrouver tout nu devant les filles a décuplé encore tes forces.

Il a souri, fier de lui, c'est facile de complimenter un garçon, et pourtant, c'était un champion, et plus le temps avançait, plus il devenait champion, il était déjà très sportif, et j'avais parfois du mal à tenir la longueur quand il faisait l'amour. On m'a assez accusée de tenir l'appartement éveillé toute la nuit, j'étais ensuite fourbue, incapable de me lever, et lui il allait courir, faisait du sport et préparait le petit déjeuner pour tout le monde.

Il est revenu de la salle de bains, et nous avons fait l'amour. Il ne m'a pas laissée prendre des initiatives, il a fait l'amour comme un dieu!

J'ai eu quelques idées pour me venger... La prochaine fois qu'il voudrait jouir, il devrait demander à une des filles de le masturber.

OmegaNu
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
Génial

Génial, ça y est tout est engagé. Plus de recul possible.

Mais surtout beaucoup de nouvelles situations vont pouvoir apparaitre !

Rudy

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