CFNM à l'université Chapitre 24

Informations sur Récit
Arno prépare les filles à sortir.
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Partie 25 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 24

Journal de Stéphanie

J'étais exténuée, mais incapable de m'endormir. Mon beau fiancé s'était endormi rapidement, et j'étais dans ses bras. Il détestait me décevoir, depuis toujours, depuis que nous étions enfants. J'avais toujours pu lui faire faire ce que je voulais, sans jamais abuser. Je l'aimais, je l'adorais, il était l'amour de ma vie, et parfois je m'en voulais de ce que je lui faisais subir. Je devais être la seule au monde à emmener mon fiancé dans cette débauche. Mais quelque part, cela en valait la peine. Je me souviens de notre adolescence, j'avais compris le grand pouvoir que j'avais, juste parce que j'étais une fille, je pouvais lui demander n'importe quoi, même de venir me faire un devoir de math pendant la nuit, et il le faisait, je l'avais déjà fait évidemment, et lui, au lieu de m'embrasser, il faisait vraiment mon devoir. Je lui avais interdit de fumer, et il n'avait pas fumé. Je l'appelais à l'aide, et il venait. Un soir, nous étions à une soirée de notre club de tennis, et il sortait avec une connasse. J'étais allée le trouver pour lui dire que je ne savais pas rentrer chez moi, il avait abandonné sa conquête pour me raccompagner à pied. En plus, il avait une moto, mais je lui avais interdit de rouler, donc il la cachait. J'avais prétendu m'être fait mal à la cheville, et il m'avait portée pendant près de cinq kilomètres sur ses épaules.

Devant ma porte, il n'avait pas réclamé son prix comme tous les autres garçons auraient fait, surtout avec une fille comme moi.

Non, il m'a juste saluée, en espérant que ma cheville irait mieux.

Il avait dû retourner à l'endroit où il avait caché sa moto, il était arrivé trop tard chez lui, et s'était fait engueuler. Le lendemain matin, il avait téléphoné pour connaitre mon état, il avait été à sa réunion scoute et il avait été puni toute la semaine.

Dans quelques mois, nous aurions notre diplôme, et puis la vie sérieuse commencerait. Nous ne pourrions plus jamais avoir ces moments de folie.

Très tôt, il s'est levé, il est sorti pour se raser, car il savait qu'il le devait. Même s'il n'avait pas de poils sur le corps et qu'il aurait pu ne se raser que tous les trois jours, j'exigeais toujours un rasage impeccable, pour qu'il puisse m'embrasser sur la bouche, sur les seins et sur le clitoris sans me faire mal. J'avais encore un peu sommeil, mais je me suis assise sur le lit pour l'admirer sur la terrasse. Il s'est d'abord échauffé, seul, nu face à l'aube naissante.

Il commençait à faire moins froid, et j'aimais toujours autant voir ses muscles bouger sous sa peau bien douce et luisante.

Récit d'Arno

Dès que je sors de la salle de bains, je tombe sur Anne-Sophie.

— Bonjour Arno, tu as bien dormi?

— Oui Anne-Sophie.

— Tant mieux, après la journée d'hier, tu avais besoin de repos.

— Oui.

— Et tu es déjà en érection, c'est bien.

Elle prend directement mon sexe en main et le caresse doucement.

— Laisse-toi faire, j'aime jouer avec cela. Viens, allons au salon.

Elle me tire derrière elle et nous entrons dans la grande pièce commune.

— Je t'ai regardé depuis ma fenêtre, j'adore te voir t'entrainer, tu sais que cela fait longtemps que nous t'espionnons?

— Non, réponds-je, je ne m'en étais jamais aperçu.

— Tu prépares le petit déjeuner?

— Bien sûr, comme tous les matins.

— Oui, mais ce matin, pour la première fois, nous serons toutes les six à table, en même temps, et tu nous serviras tout nu. J'ai hâte d'être dimanche.

— Moi aussi, réponds-je pour lui plaire.

— Il faudra que nous fassions cela à plusieurs par la suite, tu n'aimerais pas l'une d'entre nous?

— Non, réponds-je effrayé, nous deux c'est bien, et Stéphanie.

— Et Sylvie?

— Elle est en Finlande, elle...

— Reviendra bientôt, et à ce moment, nous pourrons nous amuser.

— Le week-end au loft, dans ce cas.

— Donc tu veux bien?

— Au point où nous en sommes...

Elle sourit.

— J'ai toujours rêvé de cela, et grâce à toi, je peux le vivre. Dis donc, tu as encore bien baisé Stéphanie la nuit dernière, elle a crié sans arrêt, je me suis réveillée plusieurs fois.

— Je suis désolé.

— Ne le sois pas, mon amie est heureuse, mais tu vas devoir trouver une solution pour moi.

— Euh... Stéphanie est ma fiancée, et je...

— Nous avons encore fait l'amour à trois il n'y a pas longtemps. Et elle t'avait aussi ordonné d'utiliser ta langue pour moi pendant son séjour à New York. Tu vas devoir t'occuper de moi aussi.

— Oui Anne-Sophie, s'il te plait, demande à Stéphanie...

Je prépare le café et presse les oranges. Elle me regarde travailler, quand Virginie arrive également.

— Que c'est agréable, me lever et voir un beau garçon nu préparer mon petit déjeuner.

Elle vient près de moi et m'embrasse en caressant mes fesses puis va s'asseoir.

— C'est quand même pratique et agréable, dit Virginie.

— Oui, j'ai déjà eu cela chez Stéphanie à Bruxelles.

— Vraiment?

— Oui, cela fait longtemps qu'ils vivent comme cela chez eux. Arno adore, il reste nu tout le temps à l'intérieur.

— C'est vrai Arno?

— Oui, réponds-je.

— Stéphanie a de la chance.

— Nous aussi, nous en profitons maintenant.

Annick et Sandrine arrivent. Il faut que je puisse m'habituer, elles sont toutes au courant, elles veulent toutes que je vive entièrement nu et que je les serve.

Elles viennent aussi m'embrasser et s'installent. Je leur apporte le café qui vient d'être passé ainsi que du jus d'orange. Marie-Dominique entre à ce moment

— Et bien je t'attendais pour mon café au lit.

— Excuse-moi Marie-Dominique, réponds-je timidement en tentant de ne pas bégayer, tu ne me l'avais pas demandé.

— C'est vrai, j'aurais dû le demander hier.

Elle se colle contre mon corps et m'embrasse sur les lèvres. Ce matin, cela semble assez tendre.

Stéphanie entre à ce moment et vient vers moi. Toutes les filles portent encore leur peignoir assez sexy et leurs mules à hauts talons. Elle vient se placer contre moi et m'embrasse.

— Stéphanie, dit Virginie, tu vis déjà comme ça à Bruxelles?

— Comment?

— Arno vit tout nu et te sert?

— J'aime voir Arno tout nu depuis notre première nuit. Et rapidement, il a commencé à se lever tôt pour me préparer mon petit déjeuner, il a toujours été très attentionné, mais vous le savez. Depuis que nous avons le loft, c'est encore mieux, et comme il sait que j'adore cela, il s'entraine nu le matin et me prépare mes repas, complètement nu. Et quand il étudie et travaille, c'est entièrement nu. Difficile de se concentrer.

— Moi, je ne pourrais pas, entends-je Marie-Dominique. Si je veux étudier, ce sera dans ma chambre et seule, s'il déambule nu autour de moi, je ne pourrai plus travailler.

Je sers le petit déjeuner, toujours à genoux, elles continuent leurs discussions, principalement des questions à Stéphanie sur notre vie au loft.

— Et quand tu as des visiteuses?

— Il s'habille, mais cela va changer.

— Oui, espère Sandrine, je n'aimerais pas le voir autrement que nu si je viens te rendre visite.

— Maintenant que nous sommes habituées... plaisante Annick.

Je passe entre les filles, qui me considèrent à peine, je suis le domestique, les seules paroles sont des ordres.

— Café!

— Jus d'orange!

— Ramasse ma serviette.

— Plus de toasts.

— Viens ici!

J'obéis à tous les ordres et elles ont l'air satisfaites. C'est agréable et excitant, et je m'en veux un peu de leur obéir, et surtout de trouver la situation excitante. Et comme je suis dans cet état, je ne veux pas que cela s'arrête.

Puis quand elles ont terminé, je débarrasse la table pendant qu'elles commencent à vaquer à leurs occupations. Alors que je termine la vaisselle, elles passent et repassent. Anne-Sophie vient et me prend par le sexe. Elle m'emmène vers ma chambre et croise Annick. Elles commencent à discuter alors qu'elle me garde ainsi par le sexe. Sandrine passe.

— Arno, attache ma pantoufle.

Je dois me mettre à genoux entre les filles pour attacher la mule de Sandrine et je me relève. J'attends

— Arno, tu avais une certaine position, me dit Anne-Sophie, viens te remettre comme tu étais.

Choqué, je n'ai d'autre solution que d'aller me replacer avec mon sexe contre la main d'Anne-Sophie qui le prend tout de suite dans sa main.

— C'est une bonne manière de le promener, dit Anne-Sophie.

— Tu as raison, confirme Annick en prenant le bout libre dans sa main également. C'est sexy un sexe de garçon, il faudrait faire comme les Romains, pas de pudeur, nous devrions avoir accès à tout.

— Oui, les Romains montraient leur sexe, mais leur mode était d'avoir de petits machins, un sexe normal pour nous était barbare.

— Il ne devait y avoir que des complexés, rit Annick. Tu imagines, rien que des petits trucs comme mon petit doigt, comme Loïc, tu te souviens?

Elles rient en parlant de mon ennemi de deuxième et troisième années, qui fut finalement éjecté de l'université. Il m'avait emmerdé, et je l'avais bien eu aussi, surtout au séminaire de troisième, pendant que j'étais occupé de jouer au poker dans la salle commune, Alain et Marc étaient allés lui jouer un sale coup, avec notamment du bleu de méthylène concentré sur sa bite, ils avaient pris dans photos et les avaient placardées dans la faculté. C'eut été marrant si son sexe n'avait pas été microscopique, j'en avais presque eu pitié. Mais en même temps, j'étais bien content des déboires de mon ennemi.

Journal de Stéphanie.

Je sors de ma chambre pour voir Arno entouré des trois filles. Anne-Sophie le tient par le sexe et Annick tient le bout entre ses doigts. Arno est encore complètement déboussolé. J'approche.

— Tu as besoin de lui?

— Oui, me répond Anne-Sophie,

— Virginie le veut aussi pour lui mettre ses chaussures.

— Je vais le conduire.

Elle le tire par le sexe et nous allons toutes avec lui. Marie-Dominique sort de la salle de bains et nous voit. Elle décide de venir avec nous aussi. Il ne faut pas manquer de voir Arno nu à nos pieds! Virginie attend dans sa chambre.

— Ah quand même.

Anne-Sophie mène Arno devant Virginie. Nous entrons toutes dans la chambre pour regarder le spectacle et Arno doit se mettre à genoux au milieu de nous pour prendre les chaussures de Virginie et les lui passer aux pieds. Elle se lève, et puis lui aussi, nous sommes toutes autour de lui.

— Je dois aller travailler, nous dit Virginie. Et je vais encore discuter du projet photographique.

Elle prend le sexe de Arno.

— Et tu seras mon modèle, j'adore te photographier, ce sera encore mieux que les photos ethniques d'octobre, tu verras.

Comme il était entre nous six, il était presque en apoplexie, comme d'habitude.

— Ce sera super, intervient Anne-Sophie, moi je le verrais bien dans un décor avec des femmes, ce seront de belles photos.

— Tu nous permettras d'assister? Demandé-je.

— Bien sûr.

— Ce sera une belle activité.

— Il me faudra des repérages, j'aimerais de l'extérieur, mais je n'ai aucune expérience en photos hors studio.

— Si tu veux, tu peux utiliser notre loft, c'est grand, et il y aura assez de place.

— Peut-on aller discuter dans ma chambre? Demande Marie-Dominique, je veux qu'Arno m'habille et me mette les chaussures aux pieds.

— Bien sûr, allons-y.

Nous sommes toutes sorties, et dans le living, Virginie est allée à la porte pour partir.

— J'ai oublié mon sac sur mon lit, a dit Virginie à Arno, va me le chercher.

— Et ne traine pas, a ajouté Sandrine en claquant ses fesses.

Quand il était parti, Sandrine a encore ajouté :

— J'adore lui frapper les fesses. C'est très érotique.

— Je vais l'avoir dimanche, lui a appris Anne-Sophie, une séance SM.

— Oh? On peut participer?

— Il ne vaut mieux pas, j'ai répondu, attendons un peu, mais nous pouvons arriver plus tard pour voir la fin, ce sera très intimidant pour lui.

Il est revenu avec le sac.

— Mets-moi mon manteau, Virginie lui a ordonné.

Impressionné par son ton, il a obéi tout de suite, il l'avait déjà fait cette semaine, et il a aussi boutonné, puis remis son sac à main.

— A ce soir, elle a dit en souriant. Passez une bonne journée. Arno, je vais penser beaucoup à toi.

— Ouvre-lui la porte, je lui ai ordonné.

Il a dû passer entre nous pour l'ouvrir.

— Vous ne trouvez pas qu'il devrait nous saluer à genoux? Propose Anne-Sophie.

— Oui, je trouve aussi, répond Virginie, Arno, aux pieds!

Il est étonné, mais il obéit. Entre nous, il se met à genoux.

— Et baise ses pieds, ordonne Anne-Sophie, allez, obéis!

La pression sur lui à nouveau. Il me regarde, mais il est toujours excité, il doit le faire.

— Obéis, lui ordonné-je.

Il se penche encore et baise les pieds de Virginie. Celle-ci soupire d'aise. Arno se relève, mais reste à genoux. Virginie est comblée.

— Va appeler l'ascenseur, lui ordonne Anne-Sophie.

Il a peur.

— Mais... c'est dehors.

— Et alors! Tu obéis, lui dit encore Anne-Sophie assez fermement.

— C'est dehors, il s'obstine.

— Et tu crois que je ne l'ai pas remarqué! Va appeler l'ascenseur!

Dompté, il se lève entre nous, honteux de se faire commander de la sorte par Anne-Sophie devant nous toutes. Il aime se faire commander par elle. Il me l'a dit. Alors, lentement, il ouvre la porte et va sur le palier. Il regarde, que nous ne fermions pas la porte, et il pousse sur le bouton avant de vite revenir.

— Attends, lui ordonne encore Anne-Sophie, l'ascenseur n'est pas encore là, tu ouvres la porte.

Confus, il attend seul sur le palier. L'ascenseur arrive et il ouvre la porte. Virginie sort et entre dans l'ascenseur en caressant doucement son ventre et son sexe. Il ferme la porte sur elle et nous voyons la cabine partir vers le bas. Alors, il revient vers nous.

— Tu as décidé d'obéir? L'attaque tout de suite Anne-Sophie.

— Comment? Il a demandé.

— Je te demande si tu as décidé d'obéir? Tu le promets tout le temps. Et tout le temps, je suis gentille, je me dis que tu te repens et que tu vas faire un effort. Mais en fait, tu t'en fous.

— Mais non Anne-Sophie, je t'assure.

— Alors, pourquoi as-tu refusé d'obéir? Crie-t-elle.

Il a peur. Bien que nous soyons seuls au quatrième, nous avons des voisins en dessous, des voisines plutôt puisqu'il n'y a que des filles à tous les étages.

— Mais Anne-Sophie, c'est dehors, je ne peux pas être ici.

Il vient vers nous.

— Suffit, crie-t-elle. Reste où tu es, et à genoux!

Il arrête, mais reste debout.

— J'ai tout mon temps.

Du bruit de porte se fait entendre d'en bas.

— S'il te plait, mendie-t-il, il y a des gens qui arrivent.

— Je sais, cela te fera peut-être réfléchir.

Dompté, il se met à genoux, alors que nous entendons des pas dans les escaliers.

— Je te demande pardon, dit-il très vite.

Elle vient le chercher.

— Debout.

Elle lui prend le sexe et le tire vers nous. A temps car notre voisine vient aux nouvelles.

— Ce n'est rien, dit Annick alors qu'Arno est bien camouflé derrière nous.

— Nous avons entendu crier.

— Oui, mais ce n'est pas grave.

— Oui, mais quelqu'un a crié « à genoux ».

— Je vous dis que ce n'est rien.

— Nous répétons une pièce de théâtre intervient Marie-Dominique. Pour la revue.

— Ah? Et vous devez le faire sur le palier?

— Non, mais Virginie partait et tu as dû entendre nos répétitions alors que la porte était ouverte.

Je ne sais pas si la fille a été convaincue. Elle a haussé les épaules et est retournée. C'est une collègue de Laetitia, elle est assistante à la faculté de biologie, et je crois qu'elle aura son doctorat en juin.

Nous fermons la porte.

— Tu vois où nous mène ta désobéissance? Demandé-je assez fort à Arno.

— Je suis désolé, il me répond.

Nous l'emmenons vers le centre de la pièce. Anne-Sophie le tient toujours par le sexe.

— Arno, commencé-je, tu as intérêt à mieux te comporter, tu veux un gouvernement gynarchique, tu vois comment cela fonctionne. Tu dois obéir en toutes circonstances. Maintenant, tu vas aider Marie-Dominique, et vite, elle doit partir.

Il se sent très gêné et il regarde le sol, ce qui équivaut aux cuisses et aux pieds de Sandrine et moi qui sommes juste devant lui.

J'empoigne son sexe et le secoue très fort.

— Tu as compris?

— Aïe, oui Stéphanie.

Anne-Sophie lui donne une forte claque sur les fesses.

— Au travail maintenant.

Marie-Dominique lui sourit.

— Dans ma chambre.

Comme rassuré, il la suit automatiquement et nous leur emboîtons le pas. Ils sont dans la chambre, et nous entrons également, je crois que ce sont les premiers jours, d'ici quelques temps, Arno vaquera à ses occupations tout nu et nous ne serons pas toujours devant lui, mais c'est nouveau et c'est très amusant de le voir.

— Retire mon peignoir, lui ordonne Marie-Dominique.

Il approche, défait le nœud et a un choc, notre amie est nue sous le fin déshabillé.

— Ouvre mon tiroir, oui celui-là. Quels sous-vêtements voudrais-tu que je mette?

Il détestait cela. Oui, il adore la lingerie, mais il n'aime pas choisir, il croit que cela le fait voir comme un pervers, ou bien qu'il divulgue ses désirs. Comme nous toutes, Marie-Dominique possède une très belle collection.

Il n'a rien osé dire, et a pris une panoplie en noir et blanc, de la dentelle d'un magasin très cher que toutes les étudiantes ne peuvent pas fréquenter.

— Mais tu as bon goût. Vas-y, passe-moi la culotte, oui, à genoux, c'est mieux.

Très troublé par son intimité si proche, il s'est agenouillé en tremblant. Mon amie est très belle, très féminine. Comme les autres, elle a épilé tout son corps, et cela semble fait très récemment. C'est excitant de voir un garçon aux pieds, combien de fois ne m'a-t-il pas habillée? Il devait prendre délicatement un pied puis l'autre pour passer la culotte, puis la remonter. Elle jouait, elle s'est approchée, pour qu'il ait son sexe sur le nez au moment final. Il a encore rougi. Il a reculé et est tombé sur Annick.

— Que se passe-t-il? Avons-nous ri, tu as peur d'un corps féminin?

Il s'est relevé.

— Continue, lui a ordonné Marie-Dominique, tu sais quand même mettre une culotte?

— Il a eu des difficultés à retirer les vêtements de Virginie, s'est moquée Sandrine. A mon avis, il est trop jeune, il doit avoir quinze ans, et il ne sait pas déshabiller une fille.

Nous rions, mais lui, c'est sa hantise, il a déjà un an de moins que nous toutes, et en plus, il parait très jeune. On lui demande sa carte d'identité quand nous sortons. En ce moment de domination, il doit être encore plus gêné.

Il a repris l'élastique de ma culotte pour la monter, et elle a repris son jeu, elle avancé son bassin contre lui. Cette fois, il est resté. Il a été pratiquement paralysé. Et alors, il a osé embrassé le sexe de Marie-Dominique, elle a sursauté, elle était déjà excitée par la situation, mais ce doux baiser, je connaissais sa manière, l'a complètement ébranlée.

— Ce n'est pas ce qu'on t'a demandé, est tout de suite intervenue Sandrine, sans doute jalouse.

Je devrais être jalouse, mais sur le moment, cela m'a excitée.

Fais ton travail, a crié Annick pendant que Marie-Dominique se remettait, mission quasi impossible.

Il a finalement mis la culotte comme il devait. Marie-Dominique se mordait les lèvres pour tenir. Elle trépignait.

— Debout, lui a ordonné Anne-Sophie.

Arno était fier, il tentait de le dissimuler, mais il avait pu troubler Marie-Dominique, et il se sentait fort. Juste par ce petit baiser...

— Ne perds pas de temps, je lui ai dit d'un ton très fâché, et continue de l'habiller, si jamais elle est en retard, tu le sentiras passer.

— Oui Stéphanie, il s'est repris.

Marie-Dominique nous a fait une grimace entendue pendant qu'il prenait le soutien assorti. C'était vraiment joli, une forme qui mettait sa grosse poitrine en valeur. Marie-Dominique avait la plus grosse poitrine de la bande, juste un peu plus que moi. Elle était trop excitée. Arno a voulu se placer derrière elle, mais nous l'avons forcé à se poster devant, ce serait beaucoup plus marrant. Il avait ses seins devant lui, et il devait les couvrir alors que ses yeux sortaient de leurs orbites. Il ne pouvait plus parler, toujours trop délicieusement impressionné par des seins.

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