L'invasion Ch. 01

Informations sur Récit
Une nouvelle voisine géante et sexy.
2.3k mots
3.43
12.1k
3

Partie 1 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/20/2018
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Depuis plusieurs années, je vis dans un quartier résidentiel sur une île. Le quartier est en constant changement. D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours vécu dans cette maison, sur cette île. Il y avait une école primaire et j'allais tous les jours avec mes camarades.

Lorsque j'ai eu l'âge, j'ai dû quitter l'école et je suis resté à la maison avec ma tutrice, qui préférait me donner cours à la maison plutôt que de m'envoyer en dehors de l'île.

C'est à partir de ce moment que les choses ont changé. La population de l'île était en totalité des familles françaises qui avaient vécu sur cette île ou dans les environs depuis des générations. Mais il y a trois ou quatre ans, les gens ont commencé à partir, on a proposé de racheter les maisons et les commerces, et petits à petits une autre population a commencé à s'installer. En grande majorité, c'était des femmes noires. Des femmes noires très grandes, géantes même. Je me rappelle de mes voisins, dont le fils et la fille allaient à l'école avec moi. Il y a quelques mois, ils ont vendu et une grande femme noire est venue s'installer. Elle a embelli la maison et à même fait construire une piscine.

J'ai donc grandi de onze ans à quinze ans en perdant tous mes amis qui s'en allaient et quittaient l'île. Tous ces endroits de jeux à la plage ou dans les bois étaient terminés. Je m'en étais ouvert à Nathalie, ma tutrice qui vivait avec moi et m'élevait depuis aussi longtemps que je m'en souvienne.

— C'est bizarre, dis-je à la tutrice, tout le monde s'en va, il n'y a plus que des femmes noires dans ce quartier.

— Cela change quelque chose?

— Non, pas du tout. C'est juste que c'est bizarre, rien que des femmes, toutes très grandes, toutes noires. Elles ont acheté toutes les maisons. Et tous mes amis sont partis, il n'y a plus personne de mon âge, chaque fois que je vais chez un de mes amis, je sonne et c'est une femme noire géante qui m'ouvre la porte en disant qu'elle a acheté la maison et que les anciens propriétaires ou locataires sont partis sans lui laisser d'adresse.

— Je sais, Arno, mais je ne peux rien y faire. Ce n'est pas dérangeant outre mesure.

— Sauf que moi je n'ai plus d'ami. Même à la plage ou dans les bois, il n'y a plus personnes. Ces femmes sont seules et sans enfant. Je n'ai même pas vu un homme.

— Je n'ai rien remarqué de vraiment anormal, sauf que c'est singulier, uniquement des femmes.

— Elles n'ont rien demandé ici?

— Oui, mais j'ai dit que tu ne désirais pas vendre. Elles ont proposé beaucoup d'argent, mais n'ont pas tellement insisté, au contraire de nos voisins. Tu te souviens les Dumortier? Ils ont vendu leur maison trois fois le prix. Et les Durant? Eux étaient locataires, leur propriétaire qui habitait Paris leur a un jour dit qu'il avait vendu la maison et la nouvelle propriétaire est arrivée et leur a signifié leur départ.

— Nathalie, je ne comprends pas, pourquoi c'est moi qui dois décider si je vends ou pas?

— Arno, tu sais, nous allons devoir discuter longuement tous les deux, tu vas bientôt avoir seize ans, et tu es en âge de comprendre. Tes parents sont morts quand tu étais tout bébé.

— Oui, je sais, tu me l'as déjà dit.

— La maison ici t'appartient ainsi que de nombreux terrains de l'île. Et une grande partie des maisons se trouvent sur des terrains qui ont appartenu à ta famille, ils sont en emphytéose.

— C'est quoi l'emphytéose?

— C'est une location à très long terme. Tu te souviens qu'avant Hong Kong appartenait au Royaume Uni? Et bien ils avaient acheté l'île en bail emphytéotique pour 99 ans. Et quand c'est venu à expiration, tout est revenu aux Chinois. Et donc, dans quelques années, tout ce qui est sur cette île te reviendra.

— Je suis très riche alors?

— Oui, mais il y a des conditions, tu ne peux pas jouir de ton argent avant d'avoir 25 ans, tu dois garder une tutelle. Tu seras majeur à 25 ans.

— Quoi? Mais je croyais que c'était 18 ans.

— C'est très spécial dans ton cas. Un jour je t'expliquerai tout ce qu'il y a derrière ton histoire.

Nathalie me laisse. Je ne sais que penser. C'est le mois de juin, et nous allons à Paris pour passer mes examens au jury central. Je réussis bien, Nathalie est une excellente enseignante, et il ne me reste plus qu'une année, j'aurai mon bac dans un an. Mais alors, que pourrai-je faire? J'aimerais voyager, je suis toujours resté sur cette île et je n'ai vu que le bateau pour la côte et le train pour Paris.

Au début des vacances, dans les derniers jours de juin, Nathalie me dit qu'elle doit s'absenter quelques jours.

— Je te fais confiance, tu es grand maintenant, tu peux rester seul. Je sais que tu ne feras pas de bêtises. D'ailleurs, il n'y a plus tous tes copains avec lesquels tu faisais les quatre cents coups.

— Ben oui, je suis seul, que veux-tu que je fasse?

Elle prend la voiture pour aller au port et me laisse seul. Il fait déjà très chaud. Je reste en short toute la journée, je pense que c'est la première fois que je suis seul dans la maison. Après avoir trainé un peu partout et pris un solide petit déjeuner, je prends mon vélo pour aller faire un tour. J'aime me balader dans les environs. Cette fois, je ne sors pas trop du quartier, un joli quartier résidentiel, mais n'aperçois que peu de monde. Avant le quartier était animé, des enfants, des gens qui étaient dans leur jardin. Aujourd'hui, je ne vois aucune voiture, et sur les trottoir ou dans les jardins, je ne vois que des femmes noires, toutes des grandes femmes noires. De loin, on pourrait presque dire que toutes ces femmes sont des sœurs jumelles tant elles se ressemblent. Quelque part, je suis attiré par ce genre de femmes. J'ai souvent rêvé, depuis plusieurs années, de ces splendides femmes noires. Mais ce n'étaient que des rêves. Jamais je ne pourrai rencontrer vraiment ces femmes, en tout cas pas comme dans mes rêves.

Quand je rentre de ma balade, je prends un déjeuner tardif. Génial, je suis seul et je peux manger quand je veux et ce que je veux, même si Nathalie a laissé quelques instructions pour mes repas.

On sonne à la porte alors que je termine de placer mon assiette dans le lave-vaisselle. Je vais ouvrir, uniquement vêtu de mon short.

Je ne m'attendais pas du tout à voir ma voisine.

— Bonjour, me dit-elle, tu me reconnais, je suis Marta, ta voisine.

— Bonjour, réponds-je un peu impressionné.

Marta est vraiment grande, je ne m'étais jamais retrouvé tout près d'une de ces géantes noires. Je lui arrive bien en dessous de la poitrine. Marta est immense, mais pas comme un joueur de basket que l'on voit à la télévision, des gens qui font 2m20 mais qui sont très longs. Marta est comme une femme française, mais en beaucoup plus grand. Elle doit même être beaucoup plus grande que ces joueurs de basket. Je me sens tout petit devant cette immense femme, très jolie, très en forme. Elle porte une robe simple dans les tons mauves et porte également des escarpins, comme si elle n'était pas déjà assez grande. Elle est le comble de la féminité, sauf qu'elle est immense.

— Je sais que nous ne nous connaissons pas encore très bien, mais j'ai un service à te demander, peux-tu venir chez moi?

— Avec plaisir, réponds-je ravi de pouvoir passer de temps avec cette belle femme.

Je sors de chez moi en fermant la porte. Je la suis chez elle. Je suis obligé de trottiner pour me maintenir à sa hauteur.

— Tu t'appelles Arno, c'est bien cela?

— Oui madame.

— Tu peux m'appeler Marta, je suis contente de faire ta connaissance. J'ai souvent parlé à ta tutrice, Nathalie, mais nous n'avons jamais eu l'occasion de nous parler vraiment.

Nous arrivons chez elle. Sa maison est dans le même genre que la mienne. Je me demande si cette parcelle est également en emphytéose, et donc si un jour elle me reviendra. Il faut encore que je digère cette affaire, et je n'ai personne avec qui en parler. Plus un ami.

L'intérieur est décoré avec goût, comme dans un film d'Hollywood sur les gens riches à Beverly Hills. C'est spacieux et moderne. Elle m'indique une boite en carton plus grande que moi.

— On vient de me livrer ma nouvelle télévision, me dit-elle, mais je ne sais pas comment l'installer ni comment la programmer. Peux-tu faire cela pour moi?

Je n'ai jamais installé de télévision, mais je sais manier les outils et je connais toutes les connections chez moi. En ouvrant la boite, je trouve de toute façon un mode d'emploi et après l'avoir lu, je me mets au travail. Il me faut d'abord forer pour installer la fixation murale. Marta possède tous les outils. Il me faut bien une heure pour installer la télévision dans le mur. Elle me regarde et me parle gentiment de mes études. Elle me félicite car je suis si jeune et que je peux présenter le bac l'année prochaine.

Quand la télévision est installée, elle me demande si je peux faire toutes les connections et également installer un lecteur. Elle possède un décodeur bizarre, complètement différent de ce que nous avons à la maison. Dès que je l'ai installé, il scanne automatiquement toutes les chaines et les installe. Je pensais voir s'afficher les chaines classiques comme TF1 et autres, mais ce sont des chaines aux noms bizarres dont je n'ai jamais entendu parler. Enfin, je termine l'installation et lui remets sa télécommande. Je viens d'installer une télévision de plus de deux mètres, et pourtant relativement légère.

— Merci beaucoup, Arno, me dit Marta en souriant. Tu es très serviable, un charmant garçon.

— A votre service madame, enfin, je veux dire Marta.

— Tu es tout mouillé, tu veux prendre une douche? Ensuite, je t'offrirai un rafraichissement.

— Volontiers.

Nous sortons sur la terrasse. C'est un endroit admirable, mieux organisé que chez nous. D'abord des dalles de pierre blanche sur lesquelles se trouvent quelques plantes en pot, un ensemble salon de jardin en bois de teck avec de beaux coussins qui semblent si moelleux, un ensemble table et chaises pour les repas, et un eu plus loin, dans une pelouse qui semble plus luxuriante que chez nous, une piscine d'environ quinze mètres sur cinq, et le jardin continue, avec des plantes fleuries qui semblent mieux entretenues que chez nous. Un petit paradis.

— C'est là, m'indique-t-elle en me désignant une douche sur le côté de la piscine.

Je vais dans le jardin et me coule sous le pommeau de douche, je tire la chaine et l'eau froide pleut sur mon corps. C'est surprenant mais très agréable. Après un moment, j'arrête et je retourne trempé jusqu'à la terrasse. Je n'ai rien avec moi, et je reste donc mouillé devant la table où elle a déposé un verre de limonade. Elle s'assied avec un verre de vin rosé.

— Encore merci pour ton aide, tu es un garçon sensationnel, me flatte-t-elle. Et tu es si beau. Tu as un corps d'adulte, tes muscles sont si bien dessinés.

— Merci, réponds-je assez gêné par les compliments.

C'est vrai que j'ai un corps qui me semble parfait. Je fais beaucoup de sports, aidé par Nathalie et quand je vois mon corps par rapport aux modèles que je peux voir dans les films à la télévision, je suis bien bâti. Quand j'étais petit, mes amis se moquaient un peu de moi parce que je n'avais pas de poils sur le corps. Eux se vantaient de commencer à devenir des hommes car ils avaient des poils sous les bras, puis autour du sexe. Pour moi, ils n'avaient jamais poussé. Je n'avais absolument rien sur le corps, je ne m'étais jamais rasé. Nathalie m'avait toujours dit que c'était mieux comme ça, et que plus tard, je verrais, car les femmes n'aiment pas les hommes qui ressemblent à des singes. A la télévision, beaucoup d'hommes sont barbus et ont un système pileux assez développé.

— Et ton corps semble tout doux, tout lisse, tu n'es pas comme ces garçons qui ressemblent à des singes.

— Vrai? M'exclamé-je. Vous aimez bien mon corps? Vous ne trouvez pas que je devrais avoir des poils?

— Pas du tout. Pour moi, un mâle doit être exactement comme toi.

— Plus grand alors, parce que je suis vraiment plus petit que vous.

— Non, exactement comme toi, la taille comprise.

Cela m'étonne. Les hommes sont toujours plus grands que les femmes. Je suis devenu plus grand que Nathalie, pas de beaucoup, mais j'ai atteint ma taille adulte. Je m'attendais à ce que Marta me dise qu'elle aime un homme avec au moins une tête en plus qu'elle. Les femmes n'aiment pas les nains, et c'est comme si j'avais la taille d'un nain pour elle.

Cela me rassure. J'aime la compagnie de Marta. Je sens que je vais faire de beaux rêves et fantasmer sur cette femme splendide.

— Encore un grand merci, Arno, si tu veux, tu peux venir te baigner ici. Il fait si chaud.

— Oh merci Marta, oui, ce sera avec plaisir.

Je termine la limonade et la salue, je n'ose pas m'imposer plus. Elle sourit alors que je contourne sa maison pour retourner chez moi.

Quelle sensation! J'imagine cette belle femme devant moi pendant que je mange. Je me sens si excité, je m'imagine dans ses bras, j'imagine ses énormes seins. Elle a une poitrine gigantesque et bien proportionnée pour sa taille, chaque sein doit être plus gros que ma tête.

Je ne regarde pas la télévision, je vais dans ma chambre et me masturbe plusieurs fois en pensant à elle. J'aimerais avoir sa photo. Il faudra que je prenne sa photo, ou même une de ces autres voisines. Ah, si je pouvais la voir en bikini, et peut-être complètement nue!

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
A anonymous ....

C'est plus cérébral, voilà !

Rudy

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

Personnellement je trouve que ça devient un peu lourd ces histoires de géantes noire. En plus il ne se passe rien ...

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