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— D'accord, mais je viens avec toi, qu'il ne disparaisse pas encore.
Et donc nous allons dans la chambre de Marie-Dominique. Arno est toujours comme un automate. Marie-Dominique lui montre ses chaussures, également de belles chaussures couteuses à hauts talons.
— Passe-les moi
A nouveau à quatre pattes, il prend les chaussures et les place aux pieds de Marie-Dominique.
— Attends Arno, tu ne peux pas laisser Marie-Dominique partir comme cela, tu dois lui laver et cirer les chaussures.
— Vite alors, car je suis en retard, je comptais sur toi.
— Je l'emmène, dis-je.
Je le prends par le sexe et l'emmène dans le couloir. Deux secondes seulement et nous sommes dans le salon avec Anne-Sophie et Sandrine.
— Que se passe-t-il?
— Il voulait laisser Marie-Dominique aller à son rendez-vous avec des chaussures sales.
— Pas croyable, elle me répond. Arno, où as-tu la tête? Je croyais que tu voulais nous aider.
Je l'emmène à la boite de nécessaire pour les chaussures. Je me retourne.
— Anne-Sophie, tu veux t'en occuper? Je dois aussi prendre ma douche.
— Bien sûr.
Elle vient vers moi et me sourit, qu'est-ce que nous nous amusons.
— Allez, lui dit Anne-Sophie, tu as entendu, ne traine pas.
Je vais vers ma porte et au moment où je sors, Annick sort par l'autre porte. Toujours trois filles autour de lui. Pas de répit. Mais cette fois, je ne suis plus là, et c'est un confort en moins.
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