CFNM à l'université Chapitre 17

Informations sur Récit
Le jeu continue avec trois filles.
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Partie 18 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 17

Journal de Stéphanie.

Arno entre dans la chambre. Toujours nu et en érection, il semble encore plus excité. Je connais déjà son histoire, mais je lui demande de me raconter ce qu'il a fait.

— Quand je suis revenu, Anne-Sophie m'a attrapé, elle m'a forcé à accepter une séance avec elle comme en novembre.

— Et tu as accepté?

— Je n'avais pas le choix.

— Tant mieux pour toi, si tu aimes te faire dominer par Anne-Sophie, fais-le, je trouve ça super.

— Elle m'a forcé.

— Et un grand garçon fort comme toi n'a pas pu résister?

— Je ne sais pas vous résister. Jamais.

— Eh oui, une histoire de grand pouvoir, tu es tout nu en plus.

— Et elle m'a obligé à me mettre à genoux devant elle. Et à ce moment, Virginie est arrivée. C'était très gênant.

— Pourquoi?

— Ben, j'étais tout nu, et à genoux.

— Et alors?

— C'est une situation embarrassante.

— Mais non,

— Virginie était fâchée, elle disait que je lui avais promis un massage de pieds et que je n'étais pas venu. Elle m'a forcé à aller dans sa chambre, et je l'ai fait.

— Forcé?

— Oui, il a répondu. Elle m'a obligé, je n'ai pas pu dire non.

— C'est l'avantage de te mettre nu devant elle, tu lui donnes les pleins pouvoirs.

Il n'a pas relevé, et il a décrit les deux massages et puis il a eu peur, parce qu'elles voulaient aller manger.

— Tu avais peur de quoi?

— Que vous soyez toutes là.

Et là, il m'a étonnée, je ne m'attendais pas à cela.

— Vous n'y étiez pas, et le pire c'est que je l'ai regretté.

— Quoi?

J'ai été vraiment surprise. C'était inattendu.

— Oui, pendant un moment, j'ai regretté, je me suis demandé ce que ce serait de me retrouver tout nu en face de vous six.

— Ce serait certainement très érotique. Donc tu aimerais te retrouver tout nu devant nous six?

— Oui, mais je ne le ferai pas, c'est trop humiliant.

— Mais non, il faut essayer.

Il venait de m'avouer quelque chose de formidable. Il n'avait plus peur. Je me suis levée et je l'ai embrassé.

— Donc, tu aimes te retrouver tout nu ici?

— Oui.

— Et tu rêves d'être tout nu devant nous toutes?

— Oui, mais il ne faut pas, c'est un rêve, déjà aujourd'hui, j'étais nu devant deux filles à la fois.

— Viens, je lui ai dit.

— Où cela?

— Au salon.

Il n'a pas rouspété, il est venu tout de suite et cela c'était nouveau.

Je me suis assise dans le divan.

— Continue ton histoire. Je veux t'écouter ici, peut-être qu'avec de la chance, une ou plusieurs de nos amies vont passer.

Je l'ai observé, il a sursauté, oui, il adorerait que cela se produise.

Il s'est mis à genoux devant moi, sans que je le demande.

— C'est très bien, l'ai-je complimenté. J'adore que tu es ainsi.

— Virginie et Anne-Sophie se sont assises à table et je les ai servies. Virginie m'a fait la même remarque que toi et Anne-Sophie, qu'il fallait que je serve à genoux, pour ne pas avoir mon sexe dans leur figure.

— C'est vrai, quand tu sers nu, tu dois te mettre à genoux, j'espère que je ne devrai pas te le répéter.

— Non, Stéphanie, je ferai attention.

— Ah? Donc tu as l'intention d'encore nous servir nu?

Il a rougi.

— Oui.

— C'est bon à entendre.

— J'ai aimé les servir, et j'ai souhaité que vous arriviez, mais nous sommes restés tous les trois, j'ai fait la vaisselle et débarrassé, puis Anne-Sophie est allée se coucher et tout de suite Marie-Dominique est arrivée.

— Ah, tu étais content alors?

— Oui.

— Tu m'avoues plein de choses, je suis heureuse, vraiment heureuse Arno.

— Mais il ne faut pas le dire.

— Pourquoi?

— Je ne préfère pas.

— Je ne vois pas pourquoi. Et ensuite?

Marie-Dominique a voulu une tisane et je l'ai servie. Je me suis mis à genoux devant elle, et elle a été surprise, puis je me suis souvenu que je n'avais pas fait ça devant elle.

— Elle était fâchée?

— Non, au contraire. Et elles ont encore parlé de ce gouvernement féminin.

— Tu aimerais cela?

— Oh oui. Un monde de femmes qui dirigent. Ce serait génial, enfin des femmes comme toi, comme vous, belles intelligentes...

— Et qui aiment te dominer...

— Oui, il a dit sans s'en rendre compte.

— Tu le fais déjà avec moi, il a poursuivi, c'est toi qui me dirige.

— Oui, et si nous organisons un gouvernement féminin ici, tu aurais six filles qui te contrôleraient, ce serait bien, non?

— Oui, il a dit en imaginant sans doute la scène.

— Continue!

— Enfin, Virginie est allée se coucher et Marie-Dominique m'a emmené dans sa chambre, et nous sommes tombés sur Annick, qui lui a raconté l'histoire des vêtements brulés et la lotion. Marie-Dominique était déçue.

— Pourquoi?

— Parce qu'elle croyait que j'étais tout nu parce que j'aimais cela, et non parce que j'avais un traitement contre la brûlure.

— Tu l'as détrompée, j'espère.

— Non.

— Pourquoi? Ca, il va falloir le lui dire.

— Oui Stéphanie, il m'a dit.

— J'aime que tu avoues enfin que tu aimes être nu, je lui ai dit. C'est très bien.

Je l'ai embrassé.

— Elles m'ont toutes dit que j'étais nu aujourd'hui, et elles ont demandé que je continue.

— Bravo, tu aimais bien?

— Oui.

— Et tu vas le faire?

— Oui. Elles veulent de mon aide, mais elles veulent que je les aide tout nu.

— C'est une bonne chose, allons voir si Marie-Dominique est encore éveillée, tu pourras lui dire que tu aimes être nu avec elle.

Mais les grands esprits se rencontrent, elle est arrivée.

— Ah vous êtes encore là? Elle s'est étonnée.

— Nous discutons, je lui ai dit.

— Arno aime se mettre à genoux? Tout à l'heure, il m'a servie à genoux.

Elle est venue se poster tout près de lui, un peu sur le côté. Ce n'était pas prévu, mais c'était bien. Elle portait un peignoir assez joli et échancré, avec des mules à talons hauts. Sa jambe nue était juste devant Arno.

— Puisque tu es là, elle lui a demandé, demain matin tu veux bien m'apporter le café au lit?

— Oui Marie-Dominique.

— Et comment va ta peau? J'étais inquiète quand Annick m'a parlé de l'accident.

— Seuls mes vêtements avaient été détruits, il a dit, ma peau n'a jamais rien eu, et Annick m'avait lavé et mis de la lotion tout de suite.

— Tant mieux, j'ai eu peur, je croyais que tu étais tout nu pour soigner ta peau.

— Non, il a dit.

— Pourquoi es-tu tout nu alors? Cela fait plusieurs fois que je te vois tout nu.

— Parce que j'aime cela, il a osé dire, j'aime me trouver tout nu en face de toi.

Il nous a bluffées. Marie-Dominique m'a regardée, ravie. Elle s'est encore approchée de lui et a pratiquement mis ses belles jambes nues sur son visage.

— C'est bien de l'avouer. Demain dans ce cas, viens me porter le café tout nu, d'accord?

— Oui Marie-Dominique.

— Promis?

— Oui, je te promets. Tu me verras tout nu demain matin.

— Oui c'est vrai, tu aimes cela. Mais pas que demain matin, très souvent.

— Oui, autant de fois que tu voudras.

Nous nous regardions, ravies et étonnées. Nous le savions, mais c'était très excitant qu'il en parle ainsi de lui-même.

— Et ce soir, raccompagne moi à ma chambre.

Il était trop ému par la jambe contre lui, elle m'a souri et elle s'est un peu reculée. Je me suis levée aussi et j'ai tendu la main à Arno, je crois que son aveu l'avait ébranlé. Il s'est levé et j'ai gardé sa main. Nous sommes allés dans la chambre de Marie-Dominique.

— Je suis très heureuse, elle lui a dit.

— Il ne faut pas le dire, il l'a suppliée.

— D'accord, ce sera notre petit secret, mais tu me permettras d'en profiter?

— Comment?

— En te voyant tout nu, si tu aimes cela, moi aussi.

Marie-Dominique allait pouvoir pavaner demain. Elle pourrait raconter que Arno lui avait dit qu'il aimait se montrer tout nu à elle. Il ne savait rien de nos réunions.

— Oui d'accord, il a approuvé.

Elle l'a pris dans ses bras. Il tremblait toujours, incapable de s'en remettre vraiment.

— Peux-tu retirer mon peignoir?

Il a dégluti.

— Euh... oui, Marie-Dominique.

Il s'est approché et a dénoué fébrilement le cordon à sa taille, elle portait une nuisette assez transparente. Il était trop ému. J'aimais le regarder comme ça. Marie-Dominique me souriait, il a retiré délicatement son peignoir et l'a posé sur la chaise, et puis il s'est agenouillé, et il a retiré délicatement ses mules.

— Tu es un garçon formidable elle lui a dit, tu sais vraiment bien t'occuper d'une fille. J'ai totalement confiance en toi.

Elle s'est baissée, en lui flanquant sa poitrine dans la figure, puis elle l'a embrassé en lui tenant les joues.

— A demain. J'attendrai mon café avec impatience. Tout nu, n'est-ce pas?

— Oui Marie-Dominique.

Il s'est relevé, il était contre moi.

— Viens, je lui ai dit gentiment. Allons-nous coucher.

Nous sommes sortis, il était assez ébranlé.

— Et bien j'ai chuchoté, tu as fait un grand pas en avant, j'ai été surprise.

— Je ne sais pas ce qui m'a pris.

— Mais je te félicite.

— S'il te plait, n'en parle pas.

— Pourquoi pas?

— Je ne veux pas qu'on le sache. C'est sorti tout seul.

— Bon, je n'en parlerai pas.

J'étais contre lui, et lui dos au mur. J'aimais l'ébranler de la sorte, et je le caressais distraitement, lui, quand il est nu ainsi, il me vénère et n'ose plus me toucher.

— J'adore cette situation, nous sommes comme il faut dans cet appartement. Comment tu vas faire demain matin?

— Euh, je ne sais pas.

— Tu vas devoir apporter le café au lit à Marie-Dominique.

— Oui, je le ferai.

— Donc demain tu restes encore tout nu, comme aujourd'hui?

— Non, il a répondu, après le café, j'irai m'habiller.

— OK. J'espère que tu auras l'occasion, parce que si elles sont toutes dans le salon, ce sera difficile.

— Tu m'aideras?

— Si je peux, mais n'oublie pas que j'aime que tu sois nu, donc ce serait aller contre mes désirs.

Je l'ai embrassé. Il n'en pouvait plus.

— Dites donc, vous en faites du bruit.

Annick était derrière nous.

— Je suis désolée, j'ai dit.

— Pas toi, Arno.

C'était bien joué, il allait se sentir coupable.

— Moi? Il a dit étonné.

— Oui, j'ai entendu ta voix.

— Je suis désolé, il a dit penaud.

— Bon ce n'est pas grave, comment va ta peau?

— Qu'est-ce qui ne va pas? A demandé Sandrine qui était aussi sortie de sa chambre.

— Je voulais voir la peau de Arno, j'ai renversé un produit dangereux sur lui hier, et ses vêtements ont été détruits, heureusement pas trop sur son corps, j'en ai tout de suite pris soin.

Elle s'est approchée, elle était en peignoir aussi avec des mules. Nous avions décidé d'avoir de la féminité extrême, et pour cela, il fallait que nous ayons des accessoires pareils. Elle s'est penchée sur son ventre, pratiquement sur son sexe qui barrait la vue.

— On ne voit pas bien, allons dans le salon.

Elle lui a pris la main et m'a fait un clin d'œil. Elle l'a tiré vers le salon, mais en restant collée à lui de telle façon que son sexe effleure ses fesses qui tendaient le fin tissu de son peignoir. Sandrine avait une tenue similaire. Elle lui a emboité le pas en le collant aussi.

Marie-Dominique est sortie pour regarder la scène. Ils sont entrés dans la salon.

— Cela se passe bien, elle me dit.

— Oui. Il est vraiment ému.

— Comment faisons-nous demain?

— Il viendra te porter ton café. Après, tu l'emmènes dans le salon, j'y serai justement avec Virginie et Anne-Sophie. Il nous servira le petit déjeuner.

— Et ensuite?

— Nous commençons le jeu des portes, l'une de nous sort et se fait remplacer, ce sera comme si nous prenions le petit déjeuner en même temps.

— Ce sera amusant.

— Oui, toujours trois d'entre nous dans la pièce.

Marie-Dominique s'est collée à moi et pour la première fois sans doute, elle m'a embrassée sur la bouche.

— Stéphanie, tu es géniale. Tout cela est si excitant, je n'ai jamais ressenti cela, je suis toute mouillée, mon ventre hurle d'excitation.

— Moi aussi, je lui ai confié, tu vois comment je vis avec lui depuis cinq ans? Et maintenant c'est pire.

— Tu as de la chance, tu pourras lui faire l'amour.

— Tu sais, on pourrait un jour arranger cela.

— Quoi

— Tu verras, je lui ai dit en l'embrassant encore.

— En tout cas, je vais lui rappeler souvent qu'il m'a dit qu'il adorait être nu avec moi.

Je suis allée au salon. Elles étaient toutes les deux occupées de regarder son ventre, avec son sexe à quelques centimètres de leurs bouches.

— On dirait que ça va, dit Annick.

— Il vaut mieux être certaine, il faudrait peut-être l'emmener aux urgences.

— Mais non, regarde.

Je me suis approchée.

— Je crois que ça va, j'ai dit, je connais bien sa peau.

J'ai pris son sexe entre mon pouce et mon index et l'ai tiré vers l'avant, touchant la bouche de Sandrine, ravie. Il a sursauté, il n'en pouvait plus. Puis, j'ai passé ma main sur son ventre, et l'ai caressé.

— Vous voyez?

— Oui, c'est une région sensible, il vaut mieux en être certaines.

— Arno, lui a dit Annick, promets-moi de me laisser vérifier souvent, je serai plus apaisée.

— Réponds à Annick, je lui ai dit en pinçant son sexe.

— Oui Annick, il a répondu.

— Tant mieux.

Elle s'est relevée et Sandrine aussi.

— Dans ce cas, a dit Sandrine tout de suite, sers-nous un verre d'eau avant d'aller dormir. Commençons par jouir de tes services, tout nu! Et cette fois, ne fais plus de bruit.

— Oui Sandrine, il a répondu, et il est allé vers la cuisine. Il a pris une bouteille dans le frigo et l'a apportée avec trois verres.

— Non Arno, je lui ai dit. Quand on sert, on porte sur un plateau, pas entre ses doigts. Va déposer ces verres et prends-en des propres, tu les poses sur un plateau, tu les remplis et tu apportes le plateau, sans renverser.

— Oui Stéphanie.

Il est reparti.

— Tu sais bien le manipuler, m'a dit Sandrine.

— Oui, c'est merveilleux, je n'ai jamais été aussi excitée de ma vie. Et cela continue tout le temps, même la nuit.

— C'est l'effet, j'ai dit. Moi c'est comme ça tout le temps.

— Tu sais encore penser à autre chose?

— Nous sommes des filles. Nous nous laissons aller pour le moment.

— C'est vrai.

— Il vient d'avouer à Marie-Dominique qu'il adorait se retrouver nu avec elle.

— Quoi? Je veux qu'il me le dise aussi, a dit Sandrine.

Arno est revenu avec son plateau. Il s'est mis à genoux et nous a donné nos verres.

— Tu te mets à genoux pour nous servir? A demandé Sandrine étonnée.

Il était confus et encore tout rouge.

— C'est mieux, Il est nu, s'il est debout, tu as son sexe dans la figure.

— C'est vrai. Arno, quelle délicate attention. Tu penses vraiment à tout.

Il est resté nu à genoux devant nous. Trois filles et il est nu. Il n'en pouvait plus, il devait vouloir m'en parler, mais ce n'est pas encore le moment, et il n'a pas encore vu ce qui allait se passer demain.

— Arno, lui a dit ensuite Sandrine, nous adorons que tu sois nu.

— Oui Sandrine.

— Et toi?

— Quoi moi?

— Est-ce que tu aimes être nu?

— Euh... oui, parfois.

— Ce que Sandrine veut savoir, est intervenue Annick, c'est si tu aimes te trouver tout nu devant nous.

Il a presque fait une crise d'apoplexie.

— Il adore, j'ai confirmé, mais c'est encore difficile pour lui de l'admettre.

Nous avons parlé un peu et puis nous lui avons donné nos verres, il est allé les laver et les ranger.

— Bon, moi je vais me coucher, a dit Sandrine.

Elle s'est levée et nous a embrassées, puis s'est collée à Arno et l'a embrassé également en coinçant son sexe contre son pubis.

— A demain.

Puis Annick est venue aussi.

— N'oublie pas, il faut que tu me montres ton corps demain, je veux être rassurée.

— Oui Annick.

Nous nous sommes retrouvés tous les deux.

— Quelle aventure, je lui ai dit.

Il redevenait un peu timide. Après m'avoir avoué sa soirée, se retrouver devant trois filles à la fois l'avait ébranlé.

— C'était bien? Trois filles devant toi?

— C'est trop, il a dit, je ne savais plus où me mettre.

— Allons, tu t'en es bien tiré, non?

— Oui... Mais c'était trop excitant, j'avais honte, et je suis en érection, devant elles.

— Est-ce qu'elles sont dit que cela les déplaisait?

— Non, mais je dois servir à genoux, Sandrine était étonnée.

— Oui, mais ça c'est comme ça, si tu es nu, tu sers à genoux, même à la maison c'est la même chose, j'aime te voir à mes pieds, c'est très sexy.

— Oui, j'aime beaucoup.

— Allez viens, allons au lit.

J'ai pris son sexe pour le tirer derrière moi, il trouve cela très humiliant, mais être humilié par des filles l'excite. J'ai ouvert la porte. Anne-Sophie et Virginie étaient occupées de discuter dans le couloir. Pas prévu mais nous allions beaucoup plus vite, elles avaient sans doute vu la scène dans le salon avec Annick et Sandrine.

— Oh Stéphanie, tu étais encore debout?

— Oui, j'ai répondu. J'avais soif.

J'ai tiré Arno derrière moi et l'ai emmené, toujours par le sexe, auprès des filles. Automatiquement, elles se sont placées autour de lui, assez près.

— Et Arno? Encore dans les couloirs, lui dit Anne-Sophie.

— Annick voulait le voir, j'ai dit.

— Ah bon? Pourquoi?

— Pour le produit dangereux qu'elle avait renversé sur lui, ses vêtements ont été détruits, et il y avait un risque pour sa peau.

— Oh pauvre Arno, tu vas bien?

— Oui oui, il a bredouillé.

— Et tu n'as rien?

— On n'en sait rien, j'ai dit, Annick vérifie régulièrement.

— Tant mieux. Je ne voudrais pas qu'il t'arrive quelque chose, a dit Anne-Sophie en souriant.

Elle s'est penchée, et je le tenais toujours par le sexe.

— Montre voir.

Elle a pris son sexe de ma main et l'a écarté un peu de son ventre pour mieux voir.

— Il n'y a pas assez de lumière, allons dans ma chambre.

Elle l'a tiré par le sexe. Virginie était enchantée. Elle l'a même poussé par les fesses et nous nous sommes retrouvées toutes les trois avec lui tout nu dans la chambre. Elles étaient également en peignoir, nous avions toutes acheté quelque chose dans le même genre. Très féminin, et des hauts talons, pour que nous soyons plus grandes que lui. Et aussi, parce qu'un talon haut est ultra féminin et dominatrice.

Anne-Sophie a braqué sa lampe de bureau sur son sexe qu'elle tenait toujours. Elle le bougeait pour voir un peu partout.

— Je ne vois rien, et toi Virginie?

Elle a pris le sexe en main et a regardé. Arno était au bout d sa résistance, mais il avait déjà connu pire avec moi et il allait tenir le coup.

— C'est vrai, mais il vaut mieux bien vérifier. Demain, Arno, tu iras te montrer à Annick, pour qu'elle puisse t'examiner.

— Oui Virginie, il a bredouillé.

Virginie a gardé son sexe en main malgré que ce soit fini.

— En tout cas, ce produit est une providence, ou plutôt une sorte de démonstration divine, Arno ne doit pas porter de vêtements.

Nous avons ri, c'était vrai, dans un sens, sauf que nous étions cette Providence.

— J'ai soif, a dit Anne-Sophie, va nous chercher un verre d'eau.

— Oui Anne-Sophie.

Je ne sais pas s'il était soulagé ou frustré. Virginie l'a lâché et il est parti.

— Wow. Nous y allons fort, a dit Virginie.

— Il avance, tu sais ce qu'il vient de faire? Il est allé dire à Marie-Dominique qu'il aimait être tout nu devant elle.

— Et nous?

— Aussi,

— Mais il ne nous l'a pas dit.

— Cela viendra. Il a avoué cela, nous avons été très agréablement surprises, et puis nous sommes sorties et Annick et Sandrine étaient là. Il a été intimidé.

— Je comprends. Demain va être follement excitant.

— Il faut bien synchroniser.

— Nous sommes prêtes.

— Dire que je dois aller travailler, s'est lamentée Virginie.

— Ton tour viendra.

— Tu en profiteras à fond demain matin.

— J'espère.

— Et donc, a demandé Anne-Sophie, il est allé de lui-même dire à Marie-Dominique qu'il aimait être nu?

— Je l'ai un peu aidé. Il me l'a avoué, et ta sœur est arrivée. Il a fini par le lui dire.

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