CFNM à l'université Chapitre 18

Informations sur Récit
Trois filles continuent leurs jeux avec Arno.
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Partie 19 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 18

Mercredi matin.

Il s'est réveillé le premier et est allé se laver. Puis il est revenu.

— Tu vas préparer le petit déjeuner tout nu et après Marie-Dominique, tu reviens ici, d'accord?

— Oui Stéphanie.

— Je t'attends. J'ai envie de te donner ce que je t'ai refusé hier soir.

Il était tout fou. On pouvait faire ce qu'on voulait avec la promesse d'un peu de sexe.

Récit d'Arno

Je sors de la chambre, personne. Pas de bruit. Depuis hier, j'ai toujours peur de tomber sur les filles derrière une porte, surtout que je suis tout nu. Et pourtant, quel bonheur! J'ai passé deux journées inoubliables. Ce n'est pas fini, sauf qu'aujourd'hui, je dois sortir, j'ai rendez-vous avec Hubert et Kevin pour leur donner des résumés de cours de l'année passée, et je dois m'occuper d'une réunion au cercle. Après Marie-Dominique, je reviens voir Stéphanie, nous faisons l'amour et je pars.

Je prépare le petit déjeuner, j'ai peur à chaque instant qu'une porte s'ouvre. Mais tout est prêt sans que personne ne vienne me voir. Alors, je prends une tasse, la remplis de café et vais dans le couloir. Pas de bruit, et je frappe à la porte de Marie-Dominique. Doucement j'entre dans la pièce, elle semble dormir et je dépose le café sur sa table de chevet.

Je repars sans bruit vers la porte.

— Bonjour Arno, entends-je tout de suite, c'est bien tu as fait ce que je t'ai demandé. Merci.

— De rien, bredouillé-je intimidé par la belle Marie-Dominique.

Elle s'assied et sa nuisette ne cache rien de ses gros seins qui me narguent.

— Tu me donnes mon café?

— Oui Marie-Dominique.

Je me mets à genoux et le lui donne.

— C'est bien c'est très important de te mettre à genoux. C'est une grande marque de respect. Alors, comme ça tu aimes te retrouver tout nu avec moi?

Je me sens honteux, j'ai envie de disparaitre. J'avais occulté mes paroles d'hier.

— Ne sois pas timide, j'apprécie, vraiment. Et je suis contente que tu me l'aies dit.

— S'il te plait, ne le dis à personne.

— Ce sera notre petit secret. Je vais t'avouer que j'ai souvent rêvé de toi, tout nu.

— Ah? Fais-je en rougissant encore.

— Il faudra que nous passions plus de temps toi et moi.

— Oui, réponds-je.

— Et que nous fassions une promenade, j'aimerais que tu sois nu avec moi en promenade

— Dehors? Oh non.

— Pourquoi? Nous irons dans un endroit discret. Bon de toute façon, il fait froid, il faut attendre l'été. Nous aurons encore le temps d'en parler. Mais à l'intérieur, ici, ou autre part, j'aime que tu sois nu. Toi aussi?

— Oui, réponds-je.

— Tant mieux, nous sommes compatibles. Très bon ton café.

— Merci.

— Il n'y a que toi qui sache faire un café pareil, et tu ne nous donnes pas ton secret.

— Je l'ai déjà expliqué de nombreuses fois.

— Je sais, mais nous ne sommes pas des filles de cuisine. Tu le comprends, non? Tu veux un gouvernement féminin.

Je ne dis rien. Que vient-elle faire avec son gouvernement féminin.

— Il faudra que tu me tapes ce travail aussi. Un gouvernement de femmes. C'est très intéressant, et il faudra que nous le fassions ici dans l'appartement, tous les sept.

— Ce n'est pas un gouvernement, vous êtes six et je suis le seul garçon.

— Ce sera juste pour les tests. Je dois noter ce qui fonctionne et ne fonctionne pas. Tu veux bien m'aider?

— Bien sûr.

— Je le savais, tu es si gentil. Le seul garçon que je connaisse qui soit aussi bon et galant. Tu es unique! On se sent toujours bien avec toi, en confiance. D'ailleurs, tu vois, tu es là tout nu avec moi, je trouve cela bien, je sais que tu ne me feras jamais de mal.

C'est à la fois un compliment et une sorte d'insulte. Je me rappelle les premiers mois avec Stéphanie. Elle trouvait bien que je la respecte, que je ne la force jamais. Est-ce gratifiant qu'une fille dise ce genre de chose? Sans doute dans son esprit, enfin je l'espère.

— Je suis certaine que Sophie et Carine seront ravies de ton aide.

— Sophie et Carine?

— Oui, elles font le travail avec moi.

Elle termine son café et me tend la tasse.

— Merci.

— Puis-je y aller? J'aimerais y aller avant que tout le monde se lève.

— Bien sûr. Le petit déjeuner est prêt?

— Oui.

— Suis-je bête, comme d'habitude.

Elle se penche et m'embrasse sur les lèvres, elle me prend par les fesses pour me garder contre elle.

— Il faudra que tu me masses aussi les pieds, d'accord?

— Maintenant?

— Non, ce soir.

— D'accord, dis-je.

— C'est vrai, tu m'as promis de faire ce que je te demandais, tu n'as même pas à être d'accord ou pas, poursuit-elle en souriant.

Malicieusement, elle me laisse un peu contre sa grosse poitrine. Je sors de la chambre encore en feu. Personne. Ouf. Il faut vite que j'aille chez Stéphanie. Je n'en peux plus, je n'ai pas vraiment envie de ma fiancée, constaté-je, j'ai envie de sexe.

Journal de Stéphanie.

La porte s'ouvre et Arno entre dans la pièce, il se croyait seul et il est face à nous trois, Virginie, Anne-Sophie et moi.

— Ah quand même, dit Anne-Sophie, et le petit déjeuner, tu nous le sers quand?

Il panique, Il en s'attendait pas du tout à cela, et il anticipait ce que j'allais lui faire dans la chambre.

— Et bien, ne reste pas comme ça, viens nous servir.

Il bouge à peine.

— Arno, viens ici tout de suite, je lui ai dit.

Inquiet, il est venu jusqu'à moi.

— D'abord, tu es près d'une table, tu connais les règles? A genoux?

Il l'a fait tout de suite, tout perdu.

— Alors? Je te l'ai déjà dit à de nombreuses reprises, quand on t'adresse la parole, tu dois répondre tout de suite et nommer la personne qui t'a parlé dans la phrase. Ne te l'ai-je pas dit?

La honte de se faire engueuler devant Anne-Sophie et Virginie.

— Oui, Stéphanie, il a répondu.

— Alors pourquoi quand Anne-Sophie t'a parlé, et qu'elle t'a demandé une chose très simple, tu n'as pas répondu?

— Je ne sais pas Stéphanie.

— J'ai été assez indulgente, tu es en probation, une seule petite erreur et je te punirai. Tu sais ce que j'appelle une punition?

— Non Stéphanie, il a répondu encore plus paniqué.

— Souviens-toi de l'appartement. Ou alors de la strychnine.

Il a vraiment paniqué, là.

— S'il te plait, il a plaidé, je ne le ferai plus, je promets.

— Sers nous dans ce cas, et avant tout, excuse-toi auprès d'Anne-Sophie.

Il était tout perdu, il ne s'attendait pas du tout à notre présence et à mon ton. Il venait d'entrer dans la belle phase, toute la journée nu, avec toujours trois filles avec lui. Juste au moment où il commençait à s'habituer avec une ou deux filles. Il est allé se placer en face d'Anne-Sophie.

— Excuse-moi Anne-Sophie, il a dit.

— J'espère que tu ne le feras plus, ce n'est pas gai de se voir manquer de respect comme ça.

— Non Anne-Sophie, il a répondu.

— Allez, sers-nous, j'ai très faim.

Il a regardé la porte, craignant son ouverture. Il était crispé. Il a déposé la tasse de Marie-Dominique et puis est venu nous servir le pain et le café. A genoux, cela il avait l'habitude maintenant. Il est resté auprès de nous, allant d'un endroit à un autre.

— Dépêche-toi, lui disait Virginie, je dois aller travailler.

— Ramasse ma serviette

— Encore du café.

Les ordres venaient de nous trois à tout bout de champ, pas un moment de répit pour lui. Et il avait toujours peur que la porte s'ouvre et il la regardait sans arrêt.

— Donne-moi un yaourt, a demandé sèchement Virginie.

Il est vite allé au frigo et en a pris un pour le lui apporter. A genoux devant elle.

Elle lui a pincé les joues.

— Et tu veux que je le manger avec les doigts? Où est la cuiller?

— Excuse-moi Virginie, je vais la chercher.

— Et bien va vite, tu perds du temps.

Il s'est relevé et est vite allé au tiroir, et est revenu avec la petite cuiller. A genoux, il la lui a donnée.

— Je vais m'apprêter, elle a dit, quand je reviens, je veux encore du café.

— Oui Virginie.

Elle est partie et a ouvert la porte. Juste à ce moment, la porte de l'autre couloir s'est ouverte sur Marie-Dominique. Virginie était encore visible mais elle ne s'est pas retournée, alors que Marie-Dominique était déjà dans la pièce maintenant.

— Ah, un bon petit déjeuner.

Elle est venue vers sa place, et a d'abord embrassé Arno.

— Tu es merveilleux, ce bon café, et cette table, tu sais t'occuper des femmes, toi.

Un autre ton. Anne-Sophie et moi sourions entre nous de le voir si désemparé. Il l'avait échappé belle, Elle l'embrasse encore et lui caresse les fesses. Son sexe est encore énorme, je me demande comment il n'explose pas.

Elle s'assied et il va lui chercher la cafetière pour lui servir à genoux.

— Aujourd'hui, je prendrai une omelette nature, elle lui dit.

S'il pensait pouvoir s'éclipser rapidement, il en est pour ses frais.

— Oui Marie-Dominique.

Il est allé dans la cuisine et a préparé l'omelette. Nous étions ravies de notre tour, qui commençait si bien. Il est revenu avec l'assiette et l'omelette, et à genoux, l'a servie à Marie-Dominique. Elle l'a goûtée.

— Excellent, Arno, tu es vraiment doué.

— Merci Marie-Dominique, il a cru bon de dire.

Il a demandé si nous avions fini et s'il pouvait débarrasser.

— Bien sûr, je lui ai dit gentiment.

Il a été soulagé. C'est très humiliant de se faire engueuler et reprendre ainsi devant les autres mais si en plus il est nu, il doit vraiment en pâtir, et pourtant, c'est le jeu. Cela ne fait que commencer.

Marie-Dominique nous parle encore de son gouvernement féminin, tellement apprécié par Arno

— Il a accepté de faire les tests avec moi ici, elle nous a dit avec un clin d'œil. Ce sera bien, il faut l'avis des deux camps, femmes et garçons.

Arno avait peur, il y avait du bruit dans le couloir, et Annick et Sandrine ne devaient pas tarder. Il allait e retrouver encore tout nu devant elles. C'était le moment

Je me suis levée, et Anne-Sophie aussi.

— Viens, je lui ai dit.

Il a presque poussé un ouf de soulagement. Je lui ai pris la main et nous sommes allés vers notre couloir, suivis d'Anne-Sophie. Tout de suite, nous sommes tombés sur Virginie.

— Je suis un peu pressée, elle nous a dit. Il faut que j'aille au musée, je dois voir quelqu'un pour mes photos. Peut-être des commandes spéciales.

Elle s'est dirigée vers sa chambre et au moment où elle entrait, Marie-Dominique se trouvait avec nous dans le couloir.

— Il faut que je prenne ma douche, je dois voir Sophie pour lui parler du système gynarchique et lui dire qu'Arno est d'accord de nous aider. Ce ne devrait pas être trop long.

Nous étions tous les trois dans le couloir, Arno complètement tétanisé nu entre nous trois.

— Je vous laisse, nous a dit Marie-Dominique en entrant dans la salle de bains, alors que la porte du salon s'ouvre.

— Ah, c'est ici qu'il est. Arno, j'attends le petit déjeuner, a dit Annick.

Elle est entrée dans le couloir et est venue nous embrasser, puis elle a regardé son ventre.

— Tu vas mieux?

— Je je n'allais pas mal Annick, il a répondu très mal à l'aise.

— Je vais quand même t'examiner après le repas.

Elle retourne dans le salon au moment où Virginie apparait derrière nous.

— Arno, viens m'aider.

Nous l'accompagnons dans la chambre de Virginie. Pas une seconde sans trois filles, il est groggy.

— Mets-moi mes escarpins, lui dit-elle. Ceux-là.

Elle lui montre les escarpins noirs vernis avec très hauts talons. Il va les prendre et les place à ses pieds. Elle porte un tailleur anthracite aujourd'hui, elle fait très professionnelle et elle impressionne. Nous sommes toutes les trois autour de lui, de nouveau nu à nos pieds. Anne-Sophie quitte la pièce pour laisser entrer Marie-Dominique.

— Ah, il est là notre Arno.

— Il a mis mes escarpins, lui dit Virginie.

— Quelle excellente idée, elle a répondu, Arno, tu mettras les miens aussi.

Elle est sortie et Sandrine est entrée

— Ah, c'est là que tu es. Arno, nous attendons notre petit déjeuner, tu es en retard.

Il était toujours à genoux au milieu de nous.

— Oui Sandrine, il a dit, je je vais venir.

— J'espère que c'est tout de suite.

Elle est sortie et tout de suite Anne-Sophie est entrée.

— Il faudrait y aller, elle lui dit, Sandrine et Annick attendent leur petit déjeuner.

Il se lève. Anne-Sophie sort et Marie-Dominique entre dans la pièce.

— Allons dans ma chambre, dit-elle, comme ça tu pourras me mettre mes chaussures

— Oui Marie-Dominique répond-il groggy.

Je sors avec lui. Anne-Sophie est dans le couloir et me sourit. Elle adore.

— Je vais prendre une douche.

Elle attend que nous soyons à la porte, qui s'ouvre toute seule.

— Ah enfin, dit Sandrine. Je désespérais.

Elle tire Arno nu dans la pièce et nous le suivons. Comme convenu, Sandrine est seule.

— Je compte sur toi, lui dit-elle. Je pensais que je pouvais te faire confiance et tu disparais quand j'ai besoin de toi. Et mets-toi à genoux quand je te parle!

Impressionné il se met tout de suite à genoux. Marie-Dominique et moi venons nous placer sur ses côtés, tout près. Sandrine le domine en se plaçant aussi tout près en face de lui.

— Arno, je veux pouvoir compter sur toi. J'ai faim, alors viens me servir.

— Oui Sandrine.

Elle s'est éloignée.

— Ne te fais pas engueuler, lui demande Marie-Dominique, tu dois encore venir dans ma chambre pour mettre mes chaussures.

— Plus tard, lui dit Sandrine.

— Ne t'en fais pas, je vais dans ma chambre et je m'habille.

Marie-Dominique va vers la porte et Arno se lève. Virginie entre derrière nous.

— Voilà, je suis prête. Arno, merci pour ton aide. J'adore quand tu me mets mes chaussures. Tu me sers un café?

Il est allé vers la table et a pris la tasse de Virginie, il l'a remplie avec son bon café chaud et est allé jusqu'à elle pour le lui donner à genoux.

— Merci.

Il se lève et va vers la table pour demander à Sandrine ce qu'elle veut.

— Une omelette, elle lui dit, et du raisin.

Il lui sert du café à genoux, et va chercher du raisin.

— Viens chercher ma tasse, lui dit Virginie.

Il va vite vers elle et se met à genoux. Il la prend et revient à l'évier.

— Bon, cette fois-ci j'y vais.

Elle se dirige vers la porte.

— Va lui passer son manteau, je lui ordonne tout bas.

Il va vers elle et décroche son manteau pour le lui passer.

— Tu me trouves jolie?

— Oh oui, il lui répond.

Elle est belle, mais surtout impressionnante, très businesswoman et dominatrice. Elle le prend dans ses bras contre son manteau, elle est un peu plus grande grâce à ses très hauts talons.

— Merci pour tout Arno, je sais que je peux toujours compter sur toi.

Il est tout perdu, dans cette histoire, les filles le sollicitent sans arrêt, et le fait qu'il soit nu est totalement naturel, mais il faudrait qu'on le lui rappelle quand même de temps en temps.

Virginie sort de l'appartement et Anne-Sophie entre par la porte de notre couloir. Toujours trois filles.

— Arno.

Il est encore devant la porte. Il n'en peut plus, il n'a pas encore eu le temps de souffler ni de penser, toujours trois filles autour de lui.

Il va vers elle.

— Arno, j'ai besoin de ton aide.

— Attends, lui demande Sandrine, il doit encore me servir.

— Fais vite alors.

Il va vite vers la cuisine et prépare une omelette pour Sandrine.

— Il tremble, me souffle Anne-Sophie, ça se passe comment?

— Très bien, il est déboussolé, cela marche très bien.

— C'est vraiment amusant. Et je suis excitée comme jamais. Toute mouillée.

— Moi aussi, je dois garder mon calme.

Il a terminé l'omelette et sert Sandrine, toujours à genoux, et lui apporte encore du café et du jus d'orange. Il connait les habitudes de chacune.

— Va le chercher, j'ai dit à Anne-Sophie, tu le prends par le sexe pour l'emmener dans la salle de bains.

— Oh, avec plaisir.

Anne-Sophie est toujours en peignoir et mules, elle va vers Arno, qui range la poêle.

Elle s'arrête contre lui.

— Et alors? Tu peux venir maintenant?

— Oui Anne-Sophie.

— Viens alors.

Elle prend son sexe, il sursaute, ne s'attendant pas à cela.

— Qu'est-ce qui te prend? Viens?

Elle le tire, il ne peut que suivre ainsi derrière Anne-Sophie. Sandrine regarde cette nouvelle manière de prendre Arno.

— C'est très intéressant, commente-t-elle en souriant. Très bonne omelette Arno, tu es le roi du petit déjeuner.

Il ne parvient pas à répondre, je le suis et pousse un peu ses fesses. Nous entrons dans le couloir, à deux pour un petit moment

— Et bien lui dit Anne-Sophie, quelle aventure ce matin.

Il est tout perdu, il ne sait même pas répondre. Il est hagard.

— Tu as perdu ta langue?

Il tente de répondre, mais les sons ne viennent pas.

— Je suis contente que tu aies décidé de rester nu, elle lui dit.

La porte s'ouvre sur Annick.

— Ah, te voilà. C'est vrai, tu restes nu? C'est mieux pour tes blessures. Il faut que je t'examine, viens

— Attends, lui répond Anne-Sophie, il doit d'abord faire quelque chose pour moi.

— Je t'en prie, j'attendrai.

Elle le prend dans la salle de bains et nous suivons.

— Je suis trop excitée, me souffle Annick, je suis allée me faire un petit solo, je ne tenais plus le coup.

— Tu as failli être en retard.

— C'est trop excitant, Stéphanie.

— J'ai perdu ma boucle d'oreille quelque part, elle lui dit, Trouve-la moi.

Evidemment, il doit se mettre à quatre pattes et nous entrons aussi, histoire de le mettre bien mal à l'aise tout nu entre nous. Il est bien serré.

— Alors? Lui demande Anne-Sophie, tu y vas?

— C'est que... tu me retiens.

— Ah oui.

Elle lui lâche le sexe et il va au sol. Il doit déplacer des flacons et des boites, et il cherche.

— Je vais attendre au salon, viens me rejoindre quand tu as trouvé

Elle lui met ses pieds devant son nez, il est bloqué.

— Si tu restes comme ça, tu ne trouveras jamais, lui reproche-t-elle.

Elle quitte la pièce dont la porte reste bien sûr ouverte.

— Arno, qu'est-ce que tu fais? Je t'attends, tu as promis de me mettre mes chaussures.

— Il cherche la boucle d'oreille de ta sœur, lui dit Annick.

— Et bien dépêche-toi s'il te plait.

Il faut encore attendre dix minutes. Il la trouve dans un coin, bien cachée. Impossible qu'elle tombe là toute seule, mais il ne dit rien. Il se relève enfin et se retrouve toujours nu devant nous trois.

— Enfin, lui dit Marie-Dominique, viens maintenant

Il est hagard, et il se retrouve nu dans le couloir.

— Il va falloir que je regarde ton corps, lui dit Annick.

— Ne t'en fais pas, Arno reste nu jusqu'à ce que tu t'en occupes, lui dit Marie-Dominique. Hein Arno?

Il ne sait répondre.

— Réponds à Marie-Dominique, lui dis-je en frappant ses fesses.

— Oui Marie-Dominique, il annone sans doute sans comprendre dans quel film il se trouve.

Trop de sollicitations, je ne m'attendais pas à un tel état. Il est trop excité, et ce n'est que le début.

Nous allons vers le salon et nous trouvons Anne-Sophie.

— Ah, te voilà, tu as trouvé?

— Oui, il l'a trouvée.

— Oh merci Arno, j'adore cette boucle d'oreille, et je n'aurais pas aimé la perdre, j'ai eu peur de l'avoir perdue dans l'évier.

Elle l'embrasse encore en se collant à lui. Comme elle porte son peignoir éponge, celui-ci s'ouvre et sa poitrine touche son corps.

— Oh, pardon.

Elle referme son décolleté, et nous rions, sans bruit, juste pour la tête de Arno. Anne-Sophie sort et se fait remplacer par Sandrine.

— Excellent petit déjeuner, dit-elle, maintenant nous avons toutes mangé, tu peux faire la vaisselle.

— Il ne faudrait pas devoir te le rappeler tous les jours, interviens-je.

Elle ne fait que passer et va vers la porte du couloir. Elle l'ouvre et laisse passer Annick.

— Voyons donc ce corps.

— Attends, lui dit Marie-Dominique, qu'il vienne d'abord dans ma chambre.

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