CFNM à l'université Chapitre 19

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Arno n'en peut plus, trop d'instructions de filles.
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Partie 20 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 19

Récit d'Arno.

Je ne sais plus où j'en suis, je n'ai jamais été aussi excité de ma vie. Enfin, c'est une drôle d'excitation. Je suis nu, et j'ai toujours les filles autour de moi, dans un bal incessant. Elles sont toujours trois. Stéphanie vient de partir, et pour la première fois depuis ce matin, je suis sans elle.

— Alors, et ce corps.

— Attends, lui dit Anne-Sophie, il doit d'abord cirer les chaussures de Marie-Dominique.

— Je sais, mais je dois l'examiner.

— Cela peut attendre, non?

— Pas trop, je veux être certaine qu'il n'ait absolument rien. Je l'emmène, ce sera rapide.

— Je viens avec toi.

Nous ouvrons la porte et entrons dans le couloir, Anne-Sophie et moi, suivi d'Annick mais nous tombons sur Marie-Dominique qui s'impatiente.

— Alors? Tu es enfin là?

— Oui, répond Anne-Sophie, il a le matériel.

— Tu en as pour longtemps avec lui? Lui demande Annick.

— Non, il aurait dû avoir fini depuis longtemps, allons dans le salon.

Elle passe en me bousculant un peu et entre dans le salon.

Sandrine la remplace et je suis coincé entre les filles.

— Allez, dit Anne-Sophie en me frappant les fesses, va donc aux pieds de ma sœur.

Elle ouvre la porte et me pousse dans la pièce. Stéphanie entre de l'autre côté.

— Ce n'est pas encore fini? Demande-t-elle.

— Comme tu vois.

— Arno, tu n'es pas sérieux. Tu veux nous aider, mais tu dois le faire bien.

— Allez, au travail, fait Anne-Sophie en me frappant encore les fesses, un peu plus fort cette fois.

Je me retrouve devant Marie-Dominique qui s'est assise dans le divan. Elle me regarde et je me mets à genoux devant elle.

— Arno, me dit Stéphanie, tu es inconscient? Tu ne vas pas jouer avec du cirage comme ça sur le tapis, va chercher une protection.

Je n'en peux plus, je me lève et vais à la cuisine trouve un torchon sec et reviens devant Marie-Dominique.

— J'espère que c'est la bonne. Je pensais compter sur toi.

Elle semble très fâchée.

— Je suis désolé, Marie-Dominique, lui dis-je penaud.

Je m'entends avec une toute petite voix. Mais je n'ai pas envie qu'elle parle de ce que je lui ai dit.

Je place le tissu sur le sol et pose les pieds de Marie-Dominique dessus. Puis avec un chiffon, je frotte toutes les poussières et crasses et passe un peu de cirage noir que je brosse pour faire reluire. Les souliers deviennent brillants et neufs.

— Au moins c'est bien fait, se calme-t-elle.

Elle se penche sur moi.

— Je ne suis pas fâchée, juste un peu stressée.

— Ce n'est rien dis-je. Je comprends.

Elle se lève, j'ai à nouveau les trois filles debout autour de moi.

— Tu as vraiment de belles chaussures, lui dit sa sœur. Tu les as achetées où?

— Chez DDG,

— Il faudra que tu nous y emmènes, dit Stéphanie, je ne connais pas.

— Avec plaisir. Et Arno pourra venir avec nous, j'ai pensé à lui en les achetant.

— Certainement, conclut Stéphanie.

Je range mon matériel et tente de me relever, mais elles sont autour de moi, un peu trop serrées.

— Il faut vraiment que je me sauve.

Marie-Dominique bouge un peu vers la porte et je peux me relever. Stéphanie me sourit. Elle m'embrasse et je vais mettre la boite en place. Marie-Dominique est devant la porte.

— Va lui passer son manteau, me dit Anne-Sophie tout bas.

Je vais tout de suite vers elle et lui passe son long manteau blanc et noir. Très joli.

— Je te plais?

— Beaucoup, confirmé-je sincèrement.

— Moi aussi j'adore que tu sois nu avec moi. Répète-le-moi.

— Maintenant?

— Oui, maintenant.

— J'aime me retrouver tout nu avec toi, lui soufflé-je en espérant que les autres ne m'entendent pas.

La belle fille sourit et m'embrasse en caressant mon sexe.

— Moi aussi. Je t'autorise à être toujours nu en ma présence.

Elle se dirige vers la porte et l'ouvre. Je la ferme derrière elle et me retourne. Stéphanie n'est plus là mais Annick et Sandrine sont de retour.

— Enfin, me dit Annick, maintenant je ne te lâche plus.

Elle vient vers moi et me prend par la main.

— Attends, lui dit Anne-Sophie, il est tard, et il n'a pas encore fait la vaisselle.

— C'est vrai, reprend Sandrine, il traine partout et ne fait pas ce qu'on attend de lui.

— Allez, me dit Anne-Sophie, au travail et cette fois, ne traine pas, tu as compris?

— Oui Anne-Sophie, réponds-je tout penaud de me faire encore engueuler.

Je ne parviens pas à m'y faire, et je reste en érection. Alors, je vais vers la table, débarrasse les derniers plats et range le tout, puis je vais pour commencer la vaisselle.

— Apporte-nous encore du café, ordonne Anne-Sophie.

— Oui Anne-Sophie.

Je sers les tasses sur un plateau comme on m'a instruit hier et les apporte au salon, je me mets à genoux et leur sers le café.

Les trois filles me regardent, dire que je suis toujours nu et que c'est ici hier soir, avec Annick et Sandrine que j'ai voulu être nu devant les six filles.

Je ne parviens pas à bien saisir tout ce qui arrive. Sauf que je suis tout le temps nu entouré de filles. Je ne parviens plus à penser aux conséquences. Je vis sur le moment, nu en attendant une prochaine instruction. Je me sens trembler, lorsque je sers les tasses, je m'aperçois que mes mains tremblent, j'ai mal au ventre, et pourtant, la sensation d'être ainsi nu avec mes amies est si forte, si géniale! Je n'ai pas envie que cela s'arrête. Il me semble que j'avais promis à des amis de les voir, mais c'est comme dans un brouillard d'un lointain passé, tout ce que je désire c'est rester ainsi complètement nu en compagnie de mes amies.

Je me relève et vais à la cuisine pour faire la vaisselle. Je sens une main sur mes fesses et on m'embrasse dans le cou.

— Alors, me dit Anne-Sophie, tu t'en sors?

— Euh oui, Anne-Sophie.

— J'aime te voir nu. J'y suis habituée maintenant. Et toi?

— Quoi moi?

— Tu aimes être nu?

— Je te l'ai dit hier.

— Je veux que tu me le redises maintenant.

— Oui, j'aime être nu avec toi.

— Et avec les autres aussi?

— Oui, toutes.

— Dimanche, nous aurons notre petite session, j'attends cela avec impatience. Et toi?

— Oui, réponds-je troublé, moi aussi.

— Nous recommencerons doucement, parce qu'après cela, nous devrons continuer très souvent.

— Souvent?

— Oui, si nous aimons tous les deux. Stéphanie aussi, elle le veut. Nous pourrons le faire au loft, et ici.

— Ici, nous ne sommes pas seuls.

— Nous trouverons toujours un moyen, et puis, tu te balades tout le temps tout nu, cela ne changera pas grand-chose.

Elle caresse mon ventre et m'embrasse.

— Ce sera très bien...

— Oui, réponds-je encore plus troublé.

Je continue de ranger et je termine enfin le nettoyage, tout est beau et propre.

— Très bien.

— Ah, fait Annick, viens ici maintenant.

J'approche d'elle. Elle est assise et me fait mettre à genoux. Anne-Sophie vient se poster derrière moi.

— Voyons cela.

Elle approche son visage et inspecte mon ventre, puis elle manipule mon sexe pour bien regarder derrière et sur les côtés.

— Est-ce que son zizi a été touché? Demande Anne-Sophie.

— Je ne crois pas.

— C'est fort proche, il vaut mieux en être sûre.

Sandrine vient aussi toucher mon sexe, le caresse doucement et palpe partout.

— Cela ne te fait pas mal?

— N-n-n-n-n-n-n-n-n-non, fais-je.

— C'est que c'est bien, je ne crois pas que tu aies été blessé.

— Ouf, fait Anne-Sophie derrière moi. Je suis soulagée. Maintenant, puisque tout est bien, va nettoyer la salle de bains.

— Ce n'est pas encore fait? S'exclame Sandrine. Mais que fais-tu?

A nouveau à genoux entre elles pour me faire engueuler.

— Euh, j'avais plein de choses à faire, réponds-je.

— Quoi? Il semble que tu es en retard partout.

— Débarrasse les tasses, nettoie-les et va dans la salle de bains, m'ordonne Annick très sèchement.

Son ton est sans appel. Elles ont toute un ton impérieux que je ne devinais pas. Je retourne à la cuisine et fais vite la petite vaisselle. Anne-Sophie vient vers moi.

— Dimanche, ce sera comme ça, je serai très sévère, enfin, pas trop, mais j'aurai ma cravache. Et à la moindre petite erreur, tu sauras ce que c'est que de ne pas obéir.

— Vraiment, clame encore Sandrine, tu dis que tu veux nous aider, et tu ne le fais pas. Il va falloir changer rapidement, parce que cela commence à m'énerver.

Sandrine et Annick vont vers leur chambre et Anne-Sophie prend mon sexe en main pour aller à la salle de bains. Entre Stéphanie.

— Enfin te voilà, me dit-elle.

Journal de Stéphanie.

— Alors? Tu en as mis du temps.

Anne-Sophie l'emmenait par le sexe. Il était encore hagard et ne semblait pas complètement réaliser ce qu'il se passait.

— Viens dans la salle de bains, tout de suite.

— Oui Stéphanie.

Entouré de nous deux, il se retrouve dans notre couloir et poussé dans la salle de bains.

— Au travail! Je lui ai ordonné.

A nouveau à quatre pattes entre nous. Il frotte la baignoire et l'évier les robinets, les armoires, et remet correctement toutes les affaires, fioles, flacons et autres savons.

Il termine et se relève juste devant moi.

— C'est très bien. Dis-moi, tu n'es pas revenu dans la chambre ce matin, je t'attendais.

— Euh oui, Marie-Dominique m'a gardé un peu plus longtemps.

— Tu ne voulais pas que je joue avec ça?

Je prends son beau gros sexe en main et le secoue un peu.

— Oh oui, il a répondu rassuré d'être avec moi.

— Dis-moi, tu étais tout le temps en transe ce matin, il y avait quelque chose qui n'allait pas?

— Non, tout va bien.

— Ah, tant mieux.

— Il-il-il-il-il y avait beaucoup de ...

— Beaucoup de quoi? Parle.

J'aimais son trouble.

— Les filles.

— Quoi les filles?

— Cela n'a pas arrêté.

— Mais quoi?

Il ne savait plus s'exprimer.

— Parle. Enfin, viens dans la chambre, tu n'as pas encore rangé notre chambre.

Je l'ai pris par le sexe et l'ai poussé dans notre chambre, mais j'ai gardé la porte ouverte bien sûr.

— Alors, dis-moi? Que s'est-il passé avec les filles?

— Elles m'ont vu.

— Oui, comme d'habitude.

— Elles m'ont vu tout nu.

— Oui, si tu te promènes tout nu dans l'appartement. Tu n'aimais pas?

— Si.

— Tu aimais ce qui s'est passé ce matin?

— Oui, c'était trop fort.

— Allez, j'ai jubilé, range la chambre et fais le lit.

Il a commencé à faire le lit, j'aimais tant le voir travailler nu, surtout à des tâches domestiques.

— Tu sais que tu es très sexy quand tu travailles tout nu, à des tâches domestiques. Et en plus, cela aide.

— Oui Stéphanie, il a dit.

— Ah, vous êtes ici, dit Anne-Sophie en entrant dans la pièce. Et Arno est toujours occupé, il faudra qu'il vienne faire ma chambre quand il a fini.

— Bien sûr, j'ai répondu.

Annick est aussi entrée.

— Stéphanie, tu seras heureuse d'apprendre qu'Arno n'a rien, le produit n'aura pas affecté sa peau, j'ai bien vérifié.

Annick nous avait montré un produit, une liqueur réalisée par notre amie Marianne au labo de chimie. Ce produit était inoffensif pour la peau humaine mais pas pour le coton, une matière pourtant organique. Il y avait une vague odeur d'ammoniac, mais ce n'était pas dangereux. Sauf pour les vêtements.

— Merci, j'étais inquiète j'ai répondu. Arno, non, ne fais pas le lit comme ça, tu sais très bien que j'aime que ce soit bien net et bien tendu.

— Oui Stéphanie il a répondu.

Il a fait le lit au milieu de nous trois, Sandrine est apparue à la porte et nous a fait signe. Il était temps.

— Arno, vas me chercher un verre d'eau

— Oui Stéphanie.

Il s'est relevé. Son sexe était toujours dans le même état. Je croyais qu'il allait demander des vêtements, il n'avait aucune raison de rester nu, mais il est sorti.

— Ah, tu es là, lui a dit Sandrine. Où vas-tu?

— Stéphanie veut un verre d'eau.

— Tu vas bien?

— Oui Sandrine, il a répondu.

Sa voix était toujours altérée. Elle l'a suivi dans le living et je l'ai les ai rejoints. Alors qu'il était près du frigo, la porte s'est ouverte et Virginie est entrée. Il a sursauté. Il en a fait tomber la bouteille par terre et l'a vite ramassée.

— Arno, elle s'est écriée, dans mes bras

Elle est venue et l'a relevé puis pris dans ses bras.

Puis elle l'a serré contre elle. Sandrine et moi nous sommes regardées. Virginie ne devait pas encore revenir maintenant. Arno était encore groggy, il ne s'attendait pas à son retour si rapidement.

Elle l'embrasse et l'embrasse encore.

— Je suis si contente, je vais avoir un beau contrat, et grâce à toi.

Je les ai rejoints.

— Tu as eu un contrat?

— Oui, ce n'était pas prévu. J'ai montré des photos de mon travail, pour une exposition. Et puis elle a vu les photos que j'ai prises d'Arno au milieu de femmes, mes photos ethniques, et elle les a trouvées super.

— Lesquelles? A demandé Sandrine.

— Pas les très privées. Mais elle aimait ce concept, un garçon blanc très beau complètement nu avec des femmes de toutes les origines, des femmes banales si l'on puit dire. Elle veut faire un album et autres sur ce thème.

— Félicitations.

— Oui, tout cela grâce à Arno. Enlève mon manteau elle lui a dit.

Il s'est un peu détaché et a ouvert ses boutons un par un pendant qu'elle continuait à nous parler. Il a enfin pu retirer le manteau.

Quand il l'a pendu, elle a montré son sexe.

— Cela ne s'arrange pas, on dirait.

— Cela te dérange? J'ai demandé.

— Pas du tout. Je vais dans ma chambre, viens retirer mes chaussures, elle lui a dit.

J'aimais la façon dont nous changions de comportement. Un moment maternel, un moment cajoleur, sexy, et ensuite sec et ferme. Cela le perturbait. Les changements étaient très bien et l'empêchaient de s'habituer à une situation. Il était perdu et sans repère, et chacune adoptait le même caractère. Il ne pouvait se réfugier dans un système où il pouvait s'attendre à des réactions de notre part.

Il a suivi Virginie, nous aussi, nous l'avons suivi pour qu'il soit toujours bien entouré de trois filles. Elle a ouvert la porte, nous l'avons poussé dans le couloir où attendaient Anne-Sophie et Annick.

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