CFNM à l'université Chapitre 17

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
OmegaNu
OmegaNu
13 Admirateurs

— Il me semblait bien.

— Et à Sandrine et Annick également, il leur a promis qu'il les aiderait tout le temps nu.

— Il va nous dire cela aussi ce soir, a promis Virginie, je le veux.

— C'est bien pour commencer demain matin, il va aller préparer le petit déjeuner tout nu, et Marie-Dominique lui a demandé de venir lui apporter son café au lit, tout nu. Il va y aller, et puis elle va le laisser partir, il n'aura d'autre choix que de venir dans le salon, où nous serons toutes les trois. Virginie ira dans la salle de bains, et au moment où elle quitte la pièce, Marie-Dominique entrera par l'autre porte.

— Génial.

— Donc toujours avec trois filles en même temps. Au début, deux et moi, et ensuite trois différentes. Et cela devra aller de plus en plus vite.

— Il va devenir fou, a ri Virginie

— Attention, il revient.

Il est entré dans la chambre avec son plateau. Docilement il s'est agenouillé pour nous servir.

— C'est très bien Arno, lui a dit Anne-Sophie, tu sais, ma remarque concernant ton service à genoux, c'était pratique quand nous sommes assises, mais si tu veux le faire quand nous sommes debout, c'est encore mieux.

Il a rougi.

— Oui, a dit Virginie, c'est très bien. J'apprécie beaucoup.

Il était confus et il est resté à genoux. Nous nous sommes rapprochées, pour qu'il soit pratiquement contre nos pubis. Il ne bougeait plus, nous avons parlé de choses et d'autres, de soirées et de cinéma, juste pour trouver quelque chose à dire, et puis nous avons parlé de la soirée de vendredi, la soirée spéciale pour Marie-Dominique qui allait plaquer JC et venir avec nous.

— Va rapporter les verres, je lui ai dit.

Il nous a pris les verres des mains encore à genoux puis s'est levé et est parti dans le salon.

— Il reviendra?

— Oui, j'ai dit. J'en suis certaine.

Virginie a encore eu quelques idées pour demain, et Arno est revenu dans la pièce. Anne-Sophie m'a pincé la hanche, il était complètement dedans maintenant.

— Tu es encore nu? Lui a demandé Virginie.

— Euh oui, il a répondu.

— C'est très bien. Tu sais, j'approuve totalement que tu veuilles m'aider, et je t'autorise à faire toutes mes corvées et tout ce que j'ai envie que tu fasses.

— Oui Virginie.

— Et tu le feras tout nu, parce que je vois que tu aimes être tout nu.

Il a rougi, manqué de s'étrangler.

J'ai ri.

— Il semble que toutes veulent te voir tout nu!

— Oui, tu adores cela, n'est-ce pas? Lui a demandé Virginie.

Nous étions trois, c'était sans doute un peu trop,

— Allons, lui a dit Anne-Sophie en lui flanquant sa poitrine sous les yeux, fais nous donc plaisir.

— Quoi...

— Dis-nous que tu aimes être tout nu avec nous.

— Oui, il a marmonné.

— Non, dis-le, ce sera très sexy.

— J'aime être tout nu avec vous, il a dit en toussant presque de plaisir et de honte.

— Voilà, lui a dit Virginie en le prenant dans ses bras, merci, cela me touche beaucoup.

Elles l'ont caressé, cajolé, embrassé. Il n'en pouvait plus, mais ne regrettait pas du tout ses paroles.

— Allons dormir, j'ai dit, il se fait tard.

Nous nous sommes embrassées puis elles ont embrassé Arno très tendrement, en se collant à lui, elles l'ont même ramené à notre chambre, et encore embrassé. Il était groggy, dans un état second... J'ai fermé la porte.

— Et bien je lui ai dit, là tu as été grandiose.

— Pourquoi?

— Avec Marie-Dominique, et avec chacune d'elles ensuite, tu leur as avoué que tu aimais être tout nu avec elles, tu as juré que tu ferais leurs travaux et tout ce qu'elles veulent. Tu as rendu tout le monde heureux. Et puis, ici, tu t'es mis à genoux et ensuite tu es revenu, nous pensions que tu aurais enfin pris l'opportunité d'aller dans ta chambre.

— Non, j'aimais bien. Je voulais voir si je pouvais m'habituer, mais c'est trop dur, je me sens tout timide, je perds mes moyens.

— C'est le but.

— Stéphanie, c'est OK de me retrouver tout nu avec l'une ou même deux d'entre vous, mais trois, je ne parviens pas à m'habituer.

— Mais tu aimes?

— Oui, je te l'ai dit.

— Et tu m'as dit que tu aimerais te retrouver nu devant nous six.

— C'est juste une idée, je ne pourrai jamais faire cela. C'est trop.

— Nous verrons.

Etait-il si naïf? Je crois qu'il ne pense plus dans un état pareil.

— Nous sortons vendredi? Il m'a demandé.

— Oui, nous sept.

— Ah.

— Il y a longtemps que nous n'avons pas fait quelque chose ensemble, tu te souviens des rallyes, des soirées?

— Oui, c'est fini tout cela.

— Nous allons organiser beaucoup plus de sorties tous les sept.

— C'est bien il a dit. Quand rentrons-nous au loft?

— Vendredi, nous devons aider Marie-Dominique.

— Oui, c'est vrai.

Il n'osait m'embrasser. J'aimais quand il n'osait pas, après tout ce temps et il est toujours timide avec moi. Dire que j'aurais fait n'importe quoi avant pour qu'il me prenne dans ses bras, et aujourd'hui, il peut le faire, mais quand nous sommes comme ça, et surtout après une journée pareille, il ne peut plus, il n'ose pas malgré cette érection qui dure depuis ce matin.

Alors je l'ai pris dans mes bras.

— Tu as été super aujourd'hui. Je suis très fière de toi.

Il a quand même osé embrasser le sommet de mes seins.

— Et bien, quelle audace!

— Excuse-moi, il a répondu, en ne saisissant pas la boutade

Je l'ai embrassé très fort.

— Je veux que tu constates mon état, je lui ai dit en retirant mon peignoir.

J'avais une nuisette transparente, il a regardé mon corps, comme pour la première fois, et je l'ai poussé sur le lit.

Je suis allée sur lui, et je me suis approchée de son visage,

— Tu vois dans quel état tu me mets?

Je me suis collée à lui et il a embrassé mes lèvres, j'ai eu un spasme. Il a encore donné quelques baisers, j'ai joui.

— Tu as vu? Je n'en peux plus, toute une journée comme ça.

Je le regardais de haut, son beau visage coincé entre mes cuisses. J'ai attendu un peu, et je me suis à nouveau avancée. Quel champion, je l'ai toujours dit, mieux qu'une fille.

Il a fallu longtemps avant que je sois satisfaite. Alors, je l'ai laissé.

— Toi, je lui ai dit, tu ne jouis pas.

— Pourquoi?

— Parce que je l'ai décidé. J'aime te voir désespéré.

Il n'a rien dit, il était maté, et savait que je jouais. En d'autres temps, il m'aurait sauté dessus.

Je l'ai embrassé, il était frustré et râlait un peu tout en me le cachant. Il était presque craquant, ne voulant pas me montrer qu'il m'en voulait un peu.

OmegaNu
OmegaNu
13 Admirateurs
12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

J'adore toujours autant cette histoire, et j'attends avec impatience le moment où les filles auront réussi leur diabolique machination.

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

Quel super chapitre à nouveau.

Et au final Arno frustré mais toujours très excité.

Les jours prochains vont être chauds !

Rudy

Partagez cette Récit

récit TAGS

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

L'invasion Ch. 01 Une nouvelle voisine géante et sexy.
Social Media Star Boy becomes an unwilling lingerie model for online viewers.
Friends Meet at Last Pt. 01 Emily brings Megan to meet Mark for the first time.
Seduced by an Experienced Woman A young man, soon to be divorced and vulnerable, is seduced.
Interrogated by Her A barbarian gets captured and interrogated by a young girl.
Plus d'histoires